Ressource documentaire

Bio et goût du terroir : atouts et dérives (en Français)


URL d'accès : http://www.canal-u.tv/?redirectVideo=11673...

Droits : Creative Commons (BY NC)

Auteur(s) : CHAPOUTIER Michel, DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
Éditeur(s) : DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
15-03-2013

Description : LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES ET TECHNIQUES 11e Matinée des Oenologues >> Pratiques oenologiques: les attentes du marché Michel Chapoutier, Bio et goût du terroir: atouts et dérives Si l’histoire du vin trouve ses origines dans la nuit des temps, les secrets qui ont accompagné les différentes étapes de son histoire se promènent entre vérités et superstitions, entre certitudes d’un jour et contre-vérités du lendemain. À qui la gloire de la réussite, à qui la responsabilité de l’échec ? Qui de l’agronomie, qui de l’oenologie, qui de la recherche expérimentale, qui de la recherche fondamentale ? À la fin des années 2000, l’INAO, puis l’O.I.V valident une définition conciliante et simple du terroir. Par cette définition, il commence à être intéressant et facile de prendre une certaine hauteur et de se poser la question que serait un terroir, et quels outils et quels moyens pouvaient l’influencer. C’est dans ce contexte que la défense du vivant, des micro-organismes, de la bactériologie trouva un terrain propice pour faire entendre la philosophie de l’agriculteur biologique. L’approche agrobiologique (biologique ou biodynamique) a le mérite de rappeler un fondamental agronomique (une plante vivante sur un sol vivant). Ceci n’est pas réellement innovant, mais interpelle par des questions qu’on se pose souvent, mais que l’on ne juge pas toujours prioritaires. S’il est indéniable que l’agrobiologie a le mérite de remettre l’église au milieu du village dans une pensée agronomique moderne et adaptée, elle doit aussi savoir reconnaître ses points faibles, carences et limites : - Au niveau de la vigne (phytotoxicité des cuivres ?), - Au niveau de l’oenologie (zéro SO², éthylphénols, oxydation, etc.) - Et enfin le risque de dérive commerciale en refusant d’écarter
Mots-clés libres : réglementation,pratiques,oenologie,vin bio
TECHNIQUE

Type : image en mouvement
Format : video/x-flv


Source(s) : 
rtmpt://fms2.cerimes.fr:80/vod/groupe_dcam/bio.et.go.t.du.terroir.atouts.et.d.rives_11673/chapoutier_md.mp4


Entrepôt d'origine : Canal-u.fr
Identifiant : oai:canal-u.fr:11673
Type de ressource : Ressource documentaire
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Ressource pédagogique

Bio et goût du terroir : atouts et dérives (en Français)


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rtmpt://fms2.cerimes.fr:80/vod/groupe_dcam/bio.et....
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Identifiant de la fiche : 11673
Schéma de la métadonnée : LOMv1.0, LOMFRv1.0

Droits : libre de droits, gratuit
Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs. Creative Commons (BY NC)

Auteur(s) : CHAPOUTIER MICHEL
Éditeur(s) : DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
15-03-2013

Description : LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES ET TECHNIQUES 11e Matinée des Oenologues >> Pratiques oenologiques: les attentes du marché Michel Chapoutier, Bio et goût du terroir: atouts et dérives Si l’histoire du vin trouve ses origines dans la nuit des temps, les secrets qui ont accompagné les différentes étapes de son histoire se promènent entre vérités et superstitions, entre certitudes d’un jour et contre-vérités du lendemain. À qui la gloire de la réussite, à qui la responsabilité de l’échec ? Qui de l’agronomie, qui de l’oenologie, qui de la recherche expérimentale, qui de la recherche fondamentale ? À la fin des années 2000, l’INAO, puis l’O.I.V valident une définition conciliante et simple du terroir. Par cette définition, il commence à être intéressant et facile de prendre une certaine hauteur et de se poser la question que serait un terroir, et quels outils et quels moyens pouvaient l’influencer. C’est dans ce contexte que la défense du vivant, des micro-organismes, de la bactériologie trouva un terrain propice pour faire entendre la philosophie de l’agriculteur biologique. L’approche agrobiologique (biologique ou biodynamique) a le mérite de rappeler un fondamental agronomique (une plante vivante sur un sol vivant). Ceci n’est pas réellement innovant, mais interpelle par des questions qu’on se pose souvent, mais que l’on ne juge pas toujours prioritaires. S’il est indéniable que l’agrobiologie a le mérite de remettre l’église au milieu du village dans une pensée agronomique moderne et adaptée, elle doit aussi savoir reconnaître ses points faibles, carences et limites : - Au niveau de la vigne (phytotoxicité des cuivres ?), - Au niveau de l’oenologie (zéro SO², éthylphénols, oxydation, etc.) - Et enfin le risque de dérive commerciale en refusant d’écarter
Mots-clés libres : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio

Classification UNIT : Génie des procédés > Génie Agroalimentaire et Biotechnologique
Sciences humaines et sociales pour l'ingénieur > Economie
Classification : Technologie (Sciences appliquées) > Génie chimique
Sciences sociales > Économie politique
Indice(s) Dewey: Vin (technologie des boissons) (663.2)
Agriculture (Produits) (338.17)


PEDAGOGIQUE

Type pédagogique : cours / présentation

Niveau : enseignement supérieur, licence, master, formation continue



TECHNIQUE


Type de contenu : image en mouvement
Format : video/x-flv
Taille : 65.83 Mo
Durée d'exécution : 23 minutes 11 secondes



RELATIONS


Cette ressource fait partie de :
  • 11e matinée des Œnologues



Entrepôt d'origine : Canal-u.fr
Identifiant : oai:canal-u.fr:11673
Type de ressource : Ressource pédagogique
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