Version imprimable |
Ressource documentaire
EMOIS Nancy 2011 - Détection a posteriori des comorbidités associées actives oubliées (en Français) | |||
Droits : Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs Auteur(s) : CAUVIN Jean Michel, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport , CERIMES 18-03-2011 Description : Titre : Détection a posteriori des comorbidités associées actives oubliées.Résumé : Lorsqu’elles ne sont pas le motif principal d’hospitalisation, les maladies chroniques actives alourdissent la prise en charge et doivent être codées dans le résumé pour une juste valorisation du séjour. Ce travail compare deux méthodes de détection de maladies connues antérieurement mais possiblement négligées au moment du codage.Matériel et méthode : La méthode de référence attribue à dire d’expert un score croissant de chronicité de 0 à 9 au code CIM10. La seconde approche utilise les méthodes d’analyse de survie pour estimer la probabilité de retour du code en fonction du délai entre sa dernière notification et le séjour actuel. Dans un hôpital avec codage décentralisé, les deux méthodes ont été appliquées pour détecter dans les séjours de 3 nuits et plus des oublis de comorbidités signalées dans les séjours précédents. Le seuil d’éligibilité des codes était fixé à 5 pour la première méthode et à 0,5 pour la seconde. Les résumés étaient recodés sur la base des preuves accessibles dans le dossier numérique.Résultats : Au 1er trimestre 2010, 235 séjours étaient détectés : 123 par le score, 34 par le taux de retour et 78 par les deux méthodes. Le contrôle a permis de réintégrer des comorbidités dans respectivement 36, 6 et 36 résumés de séjours, soit des taux de précision de 29%, 18% et 46%. L’ajout de comorbidités modifiait la sévérité du GHM, plus d’une fois sur deux, pour un gain moyen de 1118 € (± 1445 €) par séjour recodé, sans différence significative selon la source de détection.Conclusion : La méthode actuarielle affine la détection à dire d’expert en prenant en compte le temps. Les deux méthodes sont complémentaires et permettent de maîtriser les ressources et le temps dédiés au contrôle a posteriori en ciblant sur les dossiers où les oublis sont les plus probables.Intervenant : CAUVIN Jean Michel.Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session Qualité des données PMSI et contrôle externe. Modérateurs : François KOHLER (CHU de Nancy – SPI-EAO), Daniel MAYEUX (Centre Anticancéreux de Nancy)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mots-clés libres : aide au codage, EMOIS Nancy 2011, épidémiologie, GHM, maladie chronique | TECHNIQUE Type : image en mouvement Format : video/x-flv Source(s) : rtmp://streamer2.cerimes.fr/vod/canalu/videos/cutms/emois2011_c1__cauvin_sd.mp4 | ||
Entrepôt d'origine : Canal-U - OAI Archive Identifiant : oai:canal-u.fr:222034 Type de ressource : Ressource documentaire |
Exporter au format XML |
Ressource pédagogique
EMOIS Nancy 2011 - Détection a posteriori des comorbidités associées actives oubliées (en Français) | |||||||||
Identifiant de la fiche : 222034 Schéma de la métadonnée : LOMv1.0, LOMFRv1.0 Droits : libre de droits, gratuit Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs Auteur(s) : CAUVIN JEAN MICHEL Éditeur(s) : Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES 18-03-2011 Description : Titre : Détection a posteriori des comorbidités associées actives oubliées.Résumé : Lorsqu’elles ne sont pas le motif principal d’hospitalisation, les maladies chroniques actives alourdissent la prise en charge et doivent être codées dans le résumé pour une juste valorisation du séjour. Ce travail compare deux méthodes de détection de maladies connues antérieurement mais possiblement négligées au moment du codage.Matériel et méthode : La méthode de référence attribue à dire d’expert un score croissant de chronicité de 0 à 9 au code CIM10. La seconde approche utilise les méthodes d’analyse de survie pour estimer la probabilité de retour du code en fonction du délai entre sa dernière notification et le séjour actuel. Dans un hôpital avec codage décentralisé, les deux méthodes ont été appliquées pour détecter dans les séjours de 3 nuits et plus des oublis de comorbidités signalées dans les séjours précédents. Le seuil d’éligibilité des codes était fixé à 5 pour la première méthode et à 0,5 pour la seconde. Les résumés étaient recodés sur la base des preuves accessibles dans le dossier numérique.Résultats : Au 1er trimestre 2010, 235 séjours étaient détectés : 123 par le score, 34 par le taux de retour et 78 par les deux méthodes. Le contrôle a permis de réintégrer des comorbidités dans respectivement 36, 6 et 36 résumés de séjours, soit des taux de précision de 29%, 18% et 46%. L’ajout de comorbidités modifiait la sévérité du GHM, plus d’une fois sur deux, pour un gain moyen de 1118 € (± 1445 €) par séjour recodé, sans différence significative selon la source de détection.Conclusion : La méthode actuarielle affine la détection à dire d’expert en prenant en compte le temps. Les deux méthodes sont complémentaires et permettent de maîtriser les ressources et le temps dédiés au contrôle a posteriori en ciblant sur les dossiers où les oublis sont les plus probables.Intervenant : CAUVIN Jean Michel.Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session Qualité des données PMSI et contrôle externe. Modérateurs : François KOHLER (CHU de Nancy – SPI-EAO), Daniel MAYEUX (Centre Anticancéreux de Nancy)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mots-clés libres : aide au codage, Emois Nancy 2011, épidémiologie, GHM, maladie chronique
| PEDAGOGIQUE Type pédagogique : cours / présentation Niveau : enseignement supérieur, doctorat, bac>=6, formation continue, autres, autres TECHNIQUE Type de contenu : image en mouvement Format : video/x-flv Taille : 50.03 Mo Durée d'exécution : 12 minutes 30 secondes RELATIONS Cette ressource fait partie de : | ||||||||
Entrepôt d'origine : Canal-U - OAI Archive Identifiant : oai:canal-u.fr:222034 Type de ressource : Ressource pédagogique |
Exporter au format XML |