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Physique et cosmologie
/ UTLS - la suite
/ 19-06-2005
/ Canal-u.fr
BOUCHET François
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L'équipe scientifique du satellite WMAP a annoncé récemment les résultats très attendus de leur cartographie des anisotropies du fond de rayonnement cosmologique. Les caractéristiques de ce fond confirment un modèle cosmologique minimal, dit "de concordance", qui rend compte d'un très grand nombre d'observations, mais qui n'en reste pas moins très surprenant. Ces résultats de WMAP confirment et affinent les résultats obtenus par les expériences précédentes. Dans ce modèle de concordance, la géométrie spatiale de l'Univers est plate, la densité est dominé à plus des deux tiers par un terme d'énergie noire", le reste étant pour l'essentiel sous forme de "matière noire", car la matière usuelle ne compte que pour quelques pour cent du tout... L'explication de ses résultats sont à la fois un défi pour la physique théorique contemporaine, et une chance, qui permet d'envisager le dépassement du cadre de pensée actuel. Au cours de cette présentation, j'évoquerai les raisons physiques qui justifient les analyses faites, et ferai un point critique de l'état de nos connaissances actuelles en les situant dans une perspective historique. Je conclurai par une illustration du type de résultats attendus au cours de la décennie à venir. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, cosmologie, rayonnement cosmique, relativité générale, big bang, expansion de l'univers, matière noire
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Les systèmes de référence : de la terre aux confins de l'univers
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 15-01-2016
/ Canal-u.fr
BOURDA Géraldine
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Pour déterminer une position, il est nécessaire avant tout
d’avoir un système de référence. Sur terre ce système est constitué par un
ensemble de position de stations qui permettent le positionnement GPS. Mais
comment faire pour localiser les objets célestes, comment établir un système de
référence céleste ? Spécialiste de l’interférométrie à très longue base,
Géraldine Bourda, astronome au laboratoire d’Astrophysique de Bordeaux,
travaille à cette question. Elle s’intéresse plus particulièrement aux quasars,
des noyaux actifs de galaxie constitués d’un
trou noir central, d’un disque d’accrétions et d’un tore de poussière. Considérés
comme des éléments fixes dans l’univers, ils servent notamment de référence de
navigation pour les sondes spatiales envoyées dans le système solaire.
Géraldine Bourda est Astronome adjoint et développe ses recherches dans l'équipe Métrologie de l'Espace, Astrophysique, Astrodynamique (M2A) du Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux
Site du LAB
Ce document a été réalisé dans la cadre de « Physique
des objets du quotidien », un MOOC coordonné par Ulysse Delabre, Maître de Conférences
en physique à l'Université de Bordeaux, et développé par la Mission d’Appui à
la Pédagogie et à l’Innovation (MAPI) de l'Université de Bordeaux Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, quasar, système de référence céleste
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Le système solaire
/ Mission 2000 en France
/ 07-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BRAHIC André
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D'où venons-nous ? Comment le Soleil et la Terre sont-ils apparus ? Nous avons enfin atteint le moment où la science peut apporter des réponses de plus en plus précises, de plus en plus étonnantes. La Nature a décidément plus d'imagination que les hommes ! Depuis l'exploration spatiale, nous en avons plus appris sur notre système solaire et son origine en une génération qu'en quarante siècles. Là où l'on attendait l'uniformité, on a trouvé la plus grande diversité ?. Je vais vous présenter les multiples facettes du système solaire et vous raconter quatre milliards et demi d'années de son histoire. Les planètes sont les soeurs du Soleil. Nous sommes les enfants du temps et des étoiles. Sommes-nous seuls dans l'Univers ? Les astronomes commencent à apercevoir d'autres planètes autour de quelques soleils proches. Ils espèrent bientôt trouver d'autres Terres ! Mot(s) clés libre(s) : astre, astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, observation du ciel, origines de l'univers, planète, soleil, système solaire, terre, univers
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Les observations récentes en astrophysique
/ UTLS - la suite
/ 17-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
BRAHIC André
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La fin du XX ème siècle a vu l'explosion des connaissances en astrophysique. Ce bouleversement a totalement changé nos connaissances à tel point qu'il manque à l'heure actuelle d'un recul suffisant pour bien interpréter ces nouvelles données. Ainsi, l'essentiel de la matière qui compose l'univers est invisible, 98% nous est inconnue
les 2% visibles n'étant d'ailleurs que partiellement connus et compris. L'Homme à toutefois connaissance de trois sphères. Celle où il est allé physiquement (l'espace, la Lune, peut être Mars), celle où il envoie des robots (jusqu'à Triton), et celle, beaucoup plus vaste, qu'il voit grâce aux télescopes. Cinq éléments majeurs ressortent de ces observations et découvertes : l'univers invisible, les planètes extra-solaires, les origines, aux confins du temps et de l'espace, l'exploration spatiale. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, expansion de l'univers, exploration spatiale, galaxie, matière noire, observation du ciel, origines de l'univers, planète, système solaire, univers
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Les campus universitaires québécois - Emission 22
/ Annie Boudin, Pierre Greco, Gaston Imbeau, Sophie I. Gagnon, Eric Bachand
/ 01-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Canal Savoir, Télé-Québec
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ÉMISSION 22 Les marais côtiers du Saint-Laurent (UQAR) Une équipe de chercheurs de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski de l’Université du Québec à Rimouski a choisi le marais salé de la Pointe aux Épinettes dans le parc national du Bic (Bas Saint-Laurent) comme site de référence pour leurs études. Un prof, un livre : Martin Pâquet, professeur au Département d’histoire à l’Université Laval, nous parle de l’ouvrage Langue et politique au Canada et au Québec, une synthèse historique qu’il a rédigé en collaboration avec Marcel Martel, historien à l’Université York. Pulsars et magnétars (Université McGill) Partez à la découverte des étoiles à neutrons en compagnie de Victoria Kaspi, astrophysicienne titulaire de la Chaire d’astrophysique et de cosmologie Lorne Trottier de l’Université McGill. Entretien : Jean-Pierre Béland, professeur en éthique et en philosophie à l’Université du Québec à Chicoutimi, nous parle de la mort assistée en tant que concept à définir. Anne Hébert, édition critique (Université de Sherbrooke) Redécouvrez l’œuvre d’Anne Hébert grâce à ce reportage qui couvre les travaux de chercheurs de l’Université de Sherbrooke dont l’objectif est de publier une édition critique des écrits de l’auteure en comparant ses textes, tels que transcrits dans diverses sources. Mot(s) clés libre(s) : Anne Hébert, Astrophysique, Éthique, Histoire, Littérature québécoise, Magnétar, Marais côtiers, Mort assistée /euthanasie, Pulsar, Séquestration du carbone
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Du Big Bang aux planètes
/ Observatoire de Paris
/ 09-2005, 09-2008, 09-2007, 09-2006
/ Unisciel
Casoli Fabienne, Doressoundiram Alain, Durret Florence, Füzfa André, Moreno Raphaël, Robichon Noël, Schneider Jean, Viala Yves-Paul
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Dans ce chapitre, nous essayons de donner un panorama de l'Univers et son évolution, ainsi que de ses constituants (galaxies, étoiles, milieu interstellaire, etc), depuis ses origines (avec notamment la théorie du Big-Bang) jusqu'aux récentes découvertes des planètes extra-solaires. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, astrophysique, planète, exoplanète, étoile, galaxie, milieu interstellaire, univers, Big-Bang
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Milieu interstellaire, naissance et mort des étoiles
/ Mission 2000 en France
/ 10-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASSE Michel
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La Galaxie est un système complexe et évolutif. Ses trois composantes matérielles (baryoniques), étoiles, nuages interstellaires et rayonnement cosmique sont en symbiose. Les nuages accouchent de lignées d'étoiles. Les étoiles, réacteurs nucléaires à confinement gravitationnel synthétisent la variété complète des noyaux d'atomes à l'exception des plus légers, et les rejettent dans le milieu environnant sous l'effet de leurs vents et de leur explosion. Les ondes de choc engendrées par les supernovae communiquent une très haute vitesse à une fraction congrue de la matière. Ce cycle laisse derrière lui des résidus compacts, naines blanches, étoiles à neutrons et trous noirs. De génération en génération d'étoiles le milieu interstellaire s'enrichit en éléments complexes, propices à la vie. Les noyaux d'atomes, expulsés par les étoiles, s'entourent d'électrons et s'enchaînent en molécules dans le froid des nuages. Il naît toute une chimie. Les indices observationnels de la nucléosynthèse stellaire, de la chimie nuageuse et de l'évolution chimique de la Galaxie seront passés en revue, avec une mention spéciale à l'astronomie gamma, révélatrice de la violence créatrice des étoiles, et au stellaire INTEGRAL, qui en est le fleuron européen. Mot(s) clés libre(s) : astronomie gamma, astrophysique, cosmologie, étoile, galaxie, matière noire, matière nucléaire, nuage interstellaire, nucléosynthèse stellaire, rayonnement cosmique, supernova, univers
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LES SURSAUTS GAMMA
/ Jean MOUETTE
/ 05-05-2015
/ Canal-u.fr
DAIGNE Frédéric
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Les sursauts gamma sont des phénomènes brefs mais très énergétiques
observés dans le ciel avec une fréquence de l'ordre de un par jour, dans
le domaine spectral des rayons gamma. Ils occupent une place importante
dans le domaine de l'astrophysique des hautes énergies depuis que l'on
sait qu'ils se produisent à des distances cosmologiques, ce qui en fait
les explosions les plus énergétiques de l'Univers. On les associe à la
naissance d'un trou noir suite à l'effondrement d'une étoile très
massive ou la fusion de deux étoiles à neutrons. Un tel événement est
suivi d'une éjection de matière à des vitesses proches de la lumière,
qui conduit au phénomène très brillant observé. Les sursauts gamma sont
donc des explosions d'étoiles observables jusqu'aux confins de
l'Univers.
Dans cette conférence, je raconterai l'histoire de la découverte des
sursauts gamma et j'expliquerai comment leur distance phénoménale a pu
être mesurée. Je décrirai ensuite la compréhension actuelle que nous
avons de ces phénomènes, dans lesquels interviennent des conditions
physiques particulièrement extrêmes, impossibles à reproduire au
laboratoire. J'illustrerai aussi les liens des sursauts gamma avec
d'autres champs de l'astrophysique (physique stellaire et cosmologie en
particulier), avec les efforts instrumentaux actuels pour rechercher des
« nouveaux messagers » (ondes gravitationnelles et neutrinos de haute
énergie), et avec la physique fondamentale (utilisation des sursauts
gamma comme tests de nouvelle physique). Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, rayon gamma, cosmologie, trou noir, relativité générale ; gravitation ; pulsars ; VIRGO ; LIGO ; étoiles à neutrons ; trous noirs ;, constantes ; cosmologie ; astrophysique ; Dirac ; modèles ; Univers
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Le télescope solaire Thémis
/ Jean-François Dars (CNRS Images), Anne Papillault (CNRS Images), C.N.R.S Images
/ 03-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
Dars (CNRS Images) Jean-François, Papillault (CNRS Images) Anne
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Installé aux Iles Canaries, dernier né des instruments consacrés à l'observation du soleil, le télescope Thémis, conçu par l'INSU et le CNRS, est un maillon essentiel d'une chaîne d'observatoires terrestres ou satellites permettant de répondre aux questions posées par l'activité magnétique du soleil, comme les aberrations de température constatées entre sa surface et sa couronne. Le télescope Thémis est un télescope destiné à observer le soleil avec une résolution supérieure à celles des télescopes classiques. Il permet d'observer des détails de l'ordre de 100 à 150 km de longueur. Les scientifiques pourront ainsi mieux comprendre les phénomènes magnétiques qui ont lieu à la surface du soleil (zones de la photosphère et de la chromosphère). On obtient des images spectrographiques dans le domaine du visible. Thémis (Télescope Héliographique pour l'Etude du Magnétisme et des Instabilités Solaires) est un projet franco-italien (INSU/CNRS et CNR italien). Il est installé sur le site de l'Institut d'astrophysique des Canaries (Espagne). Le film est présenté par Jean Rayrole (Observatoire de Paris Meudon). Voir informations supplémentaires sur le site : http://webast.ast.obs-mip.fr/people/paletou/Themis/GénériqueAuteurs-réalisateurs : DARS Jean-François et PAPILLAULT Anne (CNRS Images media FEMIS, Ivry-sur-Seine). Production : CNRS AV, CNRS Images media FEMIS. Diffuseur : CNRS Images http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : astronomie, astrophysique, instabilité solaire, observation du soleil, phénomène magnétique, spectrographie, télescope, THEMIS
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Les yeux d'Antares
/ Jean-François Dars (CNRS Images), Anne Papillault (CNRS Images), CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 01-01-2004
/ Canal-U - OAI Archive
Dars (CNRS Images) Jean-François, Papillault (CNRS Images) Anne
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Conçu il y a sept ans, le projet Antares est le fruit d'une collaboration entre plusieurs laboratoires français et européens (CNRS, CEA, IFREMER). Son objectif est de détecter et d'étudier les neutrinos cosmiques de très haute énergie grâce à l'élaboration du premier télescope sous-marin à neutrinos du monde qui sera installé à une profondeur de 2500 mètres au fond de la mer. L'observation des neutrinos cosmiques constitue un moyen privilégié pour sonder l'intérieur des objets astrophysiques très distants et obtenir une description de l'univers lointain, de manière complémentaire au rayonnement électromagnétique. Elle pourrait également apporter, de façon indirecte, des informations sur la nature de la masse cachée de l'univers. A environ 40 km au large de Toulon, dans la fosse de Porquerolles, à bord du navire le Castor, le Cyana, petit submersible de l'IFREMER inspecte les fonds pour trouver le site le plus approprié à l'installation d'Antares. Les capteurs d'Antares sont tournés vers le fond de la mer et reçoivent des neutrinos montants qui ont traversé la Terre et qui viennent de l'hémisphère sud, certains d'entre eux produisent des muons qui sont détectés grâce à l'effet Tcherenkov (équivalent optique du mur du son). Quand une particule dans l'eau va plus vite que la lumière dans l'eau, elle produit un cône de lumière bleue qui signe le passage de la particule. L'installation d'Antares dans l'eau de mer oblige toutes les équipes techniques à travailler au choix de matériaux et d'appareils qui puissent résister à ces conditions. Certains équipements sont aussi testés en Sibérie auprès d'une équipe russe habituée aux conditions extrêmes et travaillant sur un projet similaire sur le lac Baïkal. Une première ligne de cinq étages de détecteurs est testée puis reliée à la boîte de jonction. Celle-ci est raccordée grâce à un câble de 45 km de long à un laboratoire d'analyse installé sur la côte, à la Seyne sur mer.GénériqueAuteurs-réalisateurs : Jean-François Dars (CNRS Images) et Anne Papillault (CNRS Images) Production : CNRS Diffuseur : CNRS Images. www.cnrs.fr/cnrs-images/ Mot(s) clés libre(s) : Antares, astrophysique, détecteur, effet Tcherenkov, fonds marins, muon, particule élémentaire, photomultiplicateur, physique des particules, sursaut gamma, télescope à neutrinos, télescope sous-marin, univers
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