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Cafés des Sciences Nancy 2007 - Environnement : nos poubelles vont-elles nous envahir ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DILETTOSO Angélique, MARCHAL Fabrice, JOLY Caroline
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Résumé : Les Français produisent chaque année de plus en plus de déchets. Quelles sont les solutions afin de ne pas se laisser envahir ? Quels sont les procédés actuellement en place pour le traitement de nos ordures, depuis la poubelle jusqu’à l’usine d’incinération ? Les intervenants nous présenteront les gestes simples qui permettent de gérer intelligemment nos déchets tout en préservant au maximum l’environnement. Intervenants : DILETTOSO Angélique, MARCHAL Fabrice, JOLY Caroline, VALENTIN Jean-Pierre.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy-Université, compost, déchet, emballage, pétrole, plastique, poubelle, recyclage, tri
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Chronique des Pygmées Babongo 2007 : deux bébés et la petite fille dont la mère est enceinte
/ 21-02-2007
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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"Corps de garde" babongo, 21 février 2007, Midouma (Ogoué Lolo, préfecture de Koulamoutou, Gabon)
Sylvie Lebomin, ethnomusicologue et ethnolinguiste, mène une séance de travail avec un groupe d'informateurs babongo réunis dans le corps de garde, hangar à usages collectifs, profanes et sacrés, du quartier babongo du village de Midouma : d'abord, sur les danses et les musiques spécifiques (avec fabrication et essais de flûte beka), puis ethnolinguistique, notamment sur les nominations en ibongo des fluides et des déchets corporels.
C'est l'attraction du jour : aussi, de nombreux habitants du quartier, de tous âges, sont présents dans cet espace collectif, certains participant directement à l'enquête, d'autres en spectateurs plus ou moins actifs, parmi ceux-ci quelques nourrissons et très jeunes enfants.
La caméra suit tout particulièrement deux nourissons et une petite fille de deux/trois ans dont la mère est enceinte, tantôt avec leurs mères, puis lorsque deux d'entre elles se sont absentées, avec les personnes (hommes, femmes, jeunes filles, enfants) qui prennent en charge l'enfant et tentent de maîtriser ses pleurs, par la voix, le regard, le chant, le toucher, les bercements rythmiques.
Au cours de ce document tout l'arsenal des techniques de baisers, bercements, paroles et chants adressés à un nourrisson, aussi bien propre et replet que sali et affamé sont spontanément présentées : le corps de l'enfant en pleurs devenant un instrument sur lequel sont appliqués les rythmes et les sons du répertoire musical local.
Quant à la petite fille dont la mère est enceinte, bien nourrie, mais très peu souriante, l'observateur suit ses rapports avec sa mère, étrangement distante. Mot(s) clés libre(s) : afrique, petite enfance, Afrique, ethnomusicologie, pleurs, propreté, bercement, pygmée, Babongo, Midouma, baiser, interdits alimentaire des femmes, film ethnographique, Gabon, danse, musique, Vie quotidienne, forêt, alimentation, vidéo, grossesse, jeux, sevrage, ethnolinguistique, chant, fluides et déchets corporels
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La prévention des déchets
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
GOMBERT-COURVOISIER Sandrine
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Sandrine Gombert-Courvoisier définit ce qu'est la prévention des déchets, à l'aide notamment des 4R : réduire, réemployer, réutiliser, recycler. Mot(s) clés libre(s) : consommation responsable, prévention des déchets, déchets ménagers, 4R
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Les déchets ménagers
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
GOMBERT-COURVOISIER Sandrine
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Sandrine Gombert-Courvoisier apporte des éléments de définition concernant les déchets ménagers. Elle revient sur les grandes tendances en matière d'émission, que ce soit sur un plan quantitatif ou qualitatif. Mot(s) clés libre(s) : consommation responsable, déchets ménagers
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Vers une consommation responsable : les ménages témoins
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
GOMBERT-COURVOISIER Sandrine
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Sandrine Gombert-Courvoisier revient sur les démarches impliquant des ménages qui, volontairement, suivent leurs propres flux de matières et d'énergie et cherchent à réduire leur empreinte écologique. Mot(s) clés libre(s) : consommation responsable, ménages témoins, prévention des déchets
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Les énergies renouvelables : pollution des sols et recyclage des dechets - Robert Lion
/ UTLS au lycée
/ 14-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LION Robert
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLes énergies renouvelables : pollution des sols et recyclage des dechets Par Robert Lion, président d'AgrisudLycée Sainte Anne (Anglet 64)en partenariat avec la région Aquitaine Mot(s) clés libre(s) : déchets, dechets, développement durable, écologie, pollution, Pollution, recyclage
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Les énergies renouvelables : pollution des sols et recyclage des dechets - Robert Lion
/ UTLS au lycée
/ 14-11-2008
/ Canal-u.fr
LION Robert
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLes énergies renouvelables : pollution des sols et recyclage des dechets Par Robert Lion, président d'AgrisudLycée Sainte Anne (Anglet 64)en partenariat avec la région Aquitaine Mot(s) clés libre(s) : pollution, déchets, écologie, recyclage, développement durable
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Les égouts et l'évacuation des déchets
/ UTLS - la suite
/ 01-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Jean-Marie
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Après de nombreux siècles où l'alimentation en eau de Paris, et par voie de conséquence, son réseau d'égout sont restés fort limités, un essor considérable a été donné au réseau au milieu du 19e siècle, et il s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui. Parmi les projets initiaux, certains prévoyaient la création d'une ville souterraine, où seraient réalisées nombreuses des basses besognes nécessaires au fonctionnement et au prestige de la partie visible (et "hygiénisée") de la ville. Les réseaux souterrains devaient ainsi assurer le transport de l'eau mais aussi de nombreuses marchandises ou déchets. Dans le même temps, l'alimentation en eau potable généralisée, et l'élimination des eaux souillées hors de la ville, devenait un objectif prioritaire pour des raisons sanitaires. Les épidémies de choléra du milieu du siècle furent un des facteurs déclenchant le développement des projets de Belgrand à l'époque ou Haussmann rénovait la partie visible de Paris. Une particularité des égouts de Paris est la taille des canalisations, qui les rend en tout point visitables, ce qui leur confère un cachet tout particulier. Ils ont d'ailleurs toujours été visités, par les égoutiers chargés de leur entretien en premier lieu, mais aussi par de nombreux visiteurs qui accèdent aujourd'hui au musée des égouts situé dans le réseau. Dans la dernière partie du 19e siècle fut instauré le principe du tout-à-l'égout, mais sa mise en oeuvre complète, visant à l'élimination de toutes les fosses chez les particuliers, dura plusieurs décennies et se poursuivit au début du 20ième siècle. Le réseau devint unitaire, évacuant à la fois les eaux usées et les eaux de chaussées (eaux du lavage de rues, eaux de ruissellement pluvial etc.). Pour des raisons techniques, et pour éviter des déversements en Seine à l'intérieur de Paris, Belgrand a basé l'architecture du réseau sur un collecteur central qui rejoignait directement la Seine à Clichy. Le développement de la ville, et la mise en oeuvre du tout-à-l'égout ont considérablement augmenté la quantité de pollution déversée. A la fin du 19ième siècle, une solution basée sur l'épuration par le sol fut développée pour traiter les eaux avant leur arrivée en Seine. Des champs d'épandage furent installés dans la presqu'île de Gennevilliers puis plus à l'aval (Achères, Triel
), la ville de Paris devint propriétaire fermier et favorisait une intense activité de maraîchage. Au moment de l'exposition universelle à la toute fin du siècle, presque toutes les eaux collectées étaient envoyées vers les champs d'épandage. Cependant, la course en avant devait continuer, de plus en plus d'eau étant utilisée et devant être évacuée puis traitée dans une ville en constante expansion, alors que la pression foncière réduisait la superficie des champs d'épandage. Dès le début du 20ième, les rejets d'eaux usées en Seine reprirent de plus belle. Après de nombreux essais menés sur les pilotes par la ville de Paris, la première station d'épuration moderne à boues activées fut construite à Achères en 1938 (aujourd'hui "Seine-Aval"), et ne fut réellement alimentée que plusieurs années après la guerre. Dans les filières de traitement d'une telle station, comme dans le sol, des micro-organismes se développent en digérant les matières organiques et les transforment en gaz carbonique et en sels. Les matières solides transportées dans l'eau des égouts et les micro-organismes produits au cours du traitement sont rassemblés pour constituer les boues d'épuration. D'autres filières sont chargées du traitement des boues qui sont épaissies, pressées, éventuellement digérées avant d'être épandues sur des terres agricoles, mises en décharge ou encore incinérées. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le processus de construction de nouveaux réseaux et de nouvelles stations de traitement des eaux n'a cessé de se développer. A partir des années 70, on cessa de créer des réseaux unitaires pour passer au système séparatif. Dans un réseau séparatif, les eaux pluviales sont collectées dans un réseau séparé des eaux usées domestiques ou industrielles. Les eaux pluviales sont évacuées directement vers le milieu récepteur, alors que les eaux usées sont envoyées vers les stations d'épuration. Un avantage très significatif de ce type de collecte est que les flots reçus par les stations de traitement sont beaucoup plus réguliers, et qu'il n'y a pas de risques de surcharge du système en temps de pluie. Par contre, ce système nécessite une surveillance accrue des "mauvais branchements" d'eaux usées sur le réseau pluvial, et ne permet pas de traiter les eaux de ruissellement qui peuvent être fortement contaminées. Les stations de traitement sont devenues plus efficaces et plus flexibles dans leur gestion, ce qui permet notamment de traiter une fraction toujours croissante des eaux de temps de pluie dans les réseaux anciens unitaires, et de résoudre en grande partie graves problèmes dues aux déversements de temps de pluie dans le réseau unitaire. De nouvelles stations ont été construites en différents points de l'agglomération parisienne pour des raisons techniques, parce qu'il devenait techniquement difficile d'acheminer les eaux sur de très longues distances vers un point de traitement unique à l'aval, mais aussi pour des raisons éthiques et politiques pour que soit mieux partagées les nuisances dues au traitement. Le devenir des boues est toujours un problème aujourd'hui car elles peuvent contenir des contaminants persistants en quantité excessive. Alors que les matières organiques contenues dans les boues constituent des amendements utiles aux cultures, les contaminations doivent être évitées. Des efforts très importants ont été faits dans l'agglomération parisienne pour limiter le rejets de contaminants dans le réseau. Cette politique de réduction à la source a porté ses fruits puisque les teneurs en certains métaux dans les boues de la station "Seine-Aval" ont diminué de plus qu'un facteur 10 en 20 ans. L'évolution actuelle va vers des réseaux et des méthodes de traitement plus diversifiées. Le développement de stations de traitement va se poursuivre en différents points de l'agglomération parisienne, alors que l'interconnexion du réseau unitaire devient une réalité, qui permet une meilleure gestion des eaux en temps de pluie. Dans le même temps les eaux pluviales sont de plus en plus souvent retenues ou traitées à l'amont des bassins versants pour limiter le ruissellement excessif. Il aura donc fallu plus d'un siècle pour que la grande ligne directrice "tout vers l'aval" qui avait été instaurée par Belgrand soit remise en cause. Il aura fallu un siècle également pour que l'objectif "zéro rejets par temps", atteint au début du siècle lors de l'exposition universelle, soit de nouveau atteint. Le réseau d'assainissement fait donc bien partie de ces patrimoines techniques urbains fondamentaux qu'il faut gérer aujourd'hui en pensant aux générations futures.Références utilisées dans cette conférence : "Atlas du Paris Souterrain", par Gilles Thomas et Alain Clément, Ed. Parigramme, 2001. "Paris Sewers and Sewermen, realities and representations", par D. Reid, Harvard University Press, 1991. "Les égouts de Paris, une ville sous la ville", plaquette de présentation des égouts, Mairie de Paris "Rendre l'eau à la vie, 1970/1995, 25ième anniversaire du SIAAP", par M.F. Pointeau, Ed. CEP Euro Editions. "La Seine en son Bassin", M. Maybeck, G. de Marsily et E. Fustec (editeurs), publié par Elsevier en 1998. Mot(s) clés libre(s) : boues d'épuration, collecteur, déchet, eaux usées, égoutiers, égouts de Paris, génie urbain, réseau d'assainissement, station d'épuration, système séparatif, tout-à-l'égout, traitement des eaux
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Les déchets, les éliminer, les revaloriser, les éviter
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 15-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
STAHEL Walter
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Les déchets proviennent aujourd'hui surtout de l'activité industrielle de l'homme : les déchets miniers et de fabrication, les produits au rebut, et les emballages. Les problèmes des déchets se posent au lieu de " chute " (end of pipe), la solution préférée étant encore souvent leur élimination, normalement dans le cadre légal. Mais les déchets sont aussi issus de nos systèmes de valeur et de responsabilité. Au lieu de perfectionner leur élimination, nous pourrions essayer de les revaloriser ou de les éviter. " Déchet " veut dire un bien avec une valeur perçue comme négative et sans propriétaire. Des politiques de précaution, ainsi que des stratégies de " valeur continue " et de " propriété continue " des produits manufacturés, permettraient d'éviter la majorité des déchets. Elles changeraient toutefois aussi la structure de l'économie présente, qui est linéaire et basée sur la valeur ajoutée. La nouvelle structure correspondrait à une économie en boucles fermées qui met l'accent sur le maintien de la valeur d'utilisation, par une gestion innovatrice du parc des biens. Mot(s) clés libre(s) : déchets, économie en boucles fermées, élimination, politque de précaution
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De la conception à la consommation : réduire l'impact environnemental des produits que l'on utilise
/ UTLS - la suite
/ 07-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence du cycle : "Développement durable, la croissance verte : comment ?"De la conception à la consommation : comment réduire les impacts environnementaux des produits que l'on utilise ? Par Christine Cros, (Ecoproduits à l'ADEME) Mot(s) clés libre(s) : consommateurs, consommation, cycle de vie, déchets, développement durable, éco-conception, écolabels, écologie, emballages, produits
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