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Table ronde 2. Michelangelo Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
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2. Michelangelo
Reloaded : Les Esclaves (re)vus par Robert Smithson
– Salle Vasari –
Modération : Larisa Dryansky (Institut national
d’histoire de l’art)
De quelle manière le maniérisme de Michel-Ange, et
notamment les corps tourmentés de ses Esclaves, ont-ils pu constituer pour
l’artiste américain Robert Smithson un contre-modèle à un certain puritanisme
du modernisme ?
Nina Leger
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un idéalisme
monstrueux ». Méta et infra-physique des corps de Michel-Ange selon Robert
Smithson
Maud Maffei
(Paris 8 Vincennes Saint-Denis)
« Un rire
apathique» — au-delà de l’expression tragique des Esclaves de Michel-Ange : une
lecture de Robert Smithson
Riccardo Venturi (INHA)
« Some corners of hell ». Autour de Asphalt
Rundown de Robert Smithson Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, art contemporain, Michel-Ange
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Table ronde 1. L'effet Michel-Ange - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
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1. L'effet
Michel-Ange
– Salle Benjamin –
Modération : Giovanni Careri (EHESS)
L’objet de cette table ronde sera d’envisager « l’effet »
produit par l’art et le personnage de Michel-Ange dans la culture occidentale,
du xvie au xxe siècle (sculpture,
peinture, littérature, cinéma).
Nicolas Cordon
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
Michel-Ange et ses
simulacres
Sara Vitacca
(université Paris 1 Panthéon Sorbonne / HiCSA)
« Sous les yeux
clos » : Regards croisés autour de l’Esclave mourant au xixe siècle
Abslem Azraibi
(EHESS / CEHTA)
Du corps prisonnier
à l’architecture libérée Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Michel-Ange
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Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
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Looking Widely, Looking Closely Symposium : Monument or Ornament ? Early French architectural histories of Islamic buildings in Egypt (1850s–1870s)
Metropolitan Museum of Art
Recorded October 18–20, 2012 (Part Twenty-one of Twenty-Six)
Mercedes Volait, CNRS Research Professor, Institut national d’histoire de l’art (INHA)
In 1869, the French publisher Veuve A. Morel and Co. was engaged in the publication of two parallels works illustrating monuments in Egypt. Resulting from surveys made during the 1850s and 1860s, the books quite differ in their method, scope and philosophy. They represent distinct approaches to Islamic architecture in Egypt that can be broadly summarized as engaging with theory vs. engaging with history. In their own ways, both publications indeed address issues and topics that are still of relevance to current scholarship of Islamic art and architecture. Furthermore, they share an evolution towards including objects in their perspective that is worth questioning Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture, Egypte, monument
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La collection de plaques de projection de l’Institut d’Histoire de l’art de l’Université de Strasbourg
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Mme Denise Borlée
M. Hervé Doucet Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, Plaques photographiques
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Fous du Caire : entretien avec Mercedes Volait
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Un entretien avec Mercedes Volait pour le journal al-Masri al-Youm (L’Egyptien aujourd’hui) à l’issue de la présentation du livre Fous du Caire à l’Institut français d’Héliopolis le 7 avril 2011.
Bibliographie : Mercedes Volait, Fous du Caire : Excentriques, architectes et amateurs d’art en Egypte, 1867-1914, Montpellier : L’Archange Minotaure, 2009, 298 p. Mot(s) clés libre(s) : le caire (egypte), histoire de l'art, architecte
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Expériences du paysage
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La notion de Jardin en mouvement se réfère directement à la technique du
jardinage, à l’entretien et au développement des espèces dans le temps ;
elle procède d’une expérience de terrain. Sa théorisation et son renvoi
à d’autres échelles de territoire que celles du jardin à proprement
parler atteint, pour des raisons de logique écologique, la planète
entière à travers cette attitude : «faire le plus possible avec le moins
possible contre». D’où le Jardin planétaire valant comme projet
politique d’écologie humaniste.Au sein même de ce jardin étendu à la
planète, la biodiversité en souffrance se réfugie sur les seuls
territoires à l’écart de l’activité humaine : le Tiers-paysage. Attirer
l’attention sur cette richesse, au demeurant mal connue, devient une
urgence. Cependant, l’ensemble des activités humaines, aveuglément
orientées par une économie dérégulée devenue folle, menace cette
richesse dont l’humanité entière dépend. D’où la nécessaire résistance à
ces mécanismes suicidaires.Dans ce cadre où s’entrecroisent les
données formelles, esthétiques, biologiques du paysage, la part active
laissée à l’humanité dans le processus de l’évolution – transformant,
pour certaines, notre ère en une nouvelle séquence : l’Anthropocène –
acquiert une si grande importance qu’il devient difficile de séparer la
question du paysage de la question économique et politique globale. La
notion de Paysage du désendettement, plus précisément associée au
paysage rural, traduit bien cette complexité.Gilles Clément Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, architecture et paysage
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: L’orientalisme architectural. invitée: Mercedes Volait
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L’orientalisme appliqué à l’architecture a été un mouvement important au XIXe siècle. Cela a produit un style international qui a engendré des œuvres aussi bien en Orient qu’en Occident. Le phénomène n’est pas seulement lié à l’entreprise coloniale. Il constituait aussi un répondant au voyage en Orient des peintres et des écrivains. Il avait à voir avec la poétique et la sensibilité romantiques. C’est finalement un résultat de la découverte des arts de l’islam et particulièrement de son architecture médiévale.
La volumétrie et le primat de l’ornement dans le décor ont provoqué la fascination d’une nouveauté qui se répercutera jusque dans l’enseignement de l’architecture et qui infléchira le choix des sujets pour les concours. Les réalisations des pavillons des pays islamiques dans les expositions universelles (Paris, Chicago) ont contribué à la diffusion de ce style néo-oriental dont la variété répercutait une diversité originelle qui distingue entre le monumentalisme mamlouk du Caire, beylical de Tunis, ou hispano-mauresque de Fès.
Le goût pour ce style a fait rêver les architectes pour doter Paris d’une mosquée. Le projet de la fin du XIXe siècle qui proposait une mosquée néo-mamlouk au quai d’Orsay n’a pu voir le jour. Il fallait attendre Lyautey et la gestion de la question musulmane dans le cadre de l’empire colonial pour que la mosquée de Paris apparaisse en 1926 dans le style marocain qui nous éloigne du modèle cairote non réalisé, lequel signalait le persistant effet de l’expédition d’Egypte de Bonaparte où s’ensource l’égyptomanie française.
Bibliographie :
L’orientalisme architectural entre imaginaires et savoirs, ouvrage collectif dirigé par Nabila Oulebsir et Mercedes Volait, éd. du CNRS et éd. Picard, col. D’une rive l’autre, Paris, 2009. Mot(s) clés libre(s) : orientalisme, histoire de l'art
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Cultures d’islam par Abdelwahab Meddeb: Les Passions du Caire, invitée : Mercedes Volait
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Nous voyageons avec Mercedes Volait dans le Caire du XIXe siècle, et particulièrement avec ce que les architectes européens et surtout français ont bâti, en s’inspirant de l’art arabe local, et surtout de la séquence mamelouke (fin XIIIe siècle – début XVIe siècle). Ces architectes, artistes, décorateurs, dilettantes, vulgarisateurs, savants, érudits, se sont passionnés des signes médiévaux de la ville, à partir de 1860, et s’en sont inspirés pour inventer une architecture néo-mamelouke, ou pour injecter des éléments de décor puisés dans cette mémoire, à travers des édifices soumis aux techniques et aux formes qui étaient à l’œuvre en Europe à la même époque. Ces passions, artistiques et architecturales, ont métamorphosé l’image de la ville, et ont pu ainsi ajouter un temps supplémentaire à l’histoire de la cité, qui avait déjà neuf siècles d’acquis, Le Caire ayant été fondé en 969 par les Fatimides, fondation du reste qui prolongea des établissements humains qui lui étaient antérieurs, Fustât ayant été créée par le conquérant arabe de l’Egypte ‘Amr Ibn Al-‘Aç dès avant le milieu du VIIe siècle.
Bibliographie : Mercedes Volait, Fous du Caire : Excentriques architectes et amateurs d’art en Egypte, 1867-1914, Montpellier : L’Archange Minotaure, 2009 Mot(s) clés libre(s) : le caire (egypte), histoire de l'art, architecture
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Conférences inaugurales des Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
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Pour cette quatrième édition, la
Galerie Colbert ouvre à nouveau ses portes au grand public. Lieu historique
conservant la mémoire du xixe
siècle et de ses fameux « passages », elle héberge depuis 2001 la plupart des
établissements d’enseignement et de recherche d’Île-de-France en histoire de
l’art, ainsi que l’Institut national du patrimoine.
Selon le principe de cette
manifestation, une œuvre a été choisie pour fédérer les réflexions et nourrir
les débats : les Esclaves de Michel-Ange, un chef-d'œuvre de l’art européen,
qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs.
Si, par l’histoire même de leur conception et de leur devenir, ces deux œuvres
représentent une matière fort riche à explorer, elles permettent également de
couvrir de nombreux enjeux qui ne se limitent ni au contexte de leur création,
ni au seul médium de la sculpture.
Mot d'introduction
et conférences inaugurales
– Auditorium –
Antoinette
Le Normand-Romain, Directeur
général de l’INHA
Genevieve
Bresc-Bautier, Conservateur générale du patrimoine
honoraire, musée du Louvre
Barthelemy
Jobert, Président de l'Université Paris-Sorbonne Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Musée du Louvre (Paris), Michel-Ange, Eugène Delacroix
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Colloque "Civilisation(s) : la Méditerranée et au-delà" 2/3
/ Canal-u.fr
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Enregistrement issu de la deuxième journée du colloque Civilisation(s), qui s'est tenu au MuCEM les 27-27-28 juin 2014.
Ce
colloque international organisé par le Musée des civilisations de
l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM), l’Institut national d’histoire
de l’art (INHA) et le Comité français d’histoire de l’art (CFHA), sous
l’égide du Comité international d’histoire de l’art (CIHA) part d’une
interrogation commune aux historiens de l’art et aux anthropologues sur
ce qui définit et constitue les civilisations, les rapports qu’elles
entretiennent entre elles et la part qui revient aux oeuvres d’art et
aux objets de civilisation(s) dans ce contenu et ces échanges.Comment
l’histoire de l’art et l’anthropologie traitent-elles, chacune dans son
champ disciplinaire et/ou en échangeant outils théoriques et méthodes,
de ces questions particulièrement cruciales en un moment de l’Histoire
où, alors que la globalisation met en exergue un discours de
civilisation universelle, se raidissent pourtant les particularismes
identitaires ?Que cette rencontre internationale se tienne au
MuCEM nous a incité à interroger la pluralité des civilisations, leur
étude historique et anthropologique et leur présentation muséale à
partir du cas de la Méditerranée. Cependant les questions qui sont
traitées débordent largement les limites du bassin méditerranéen. Ont
été pourtant privilégiées les propositions qui entretiennent avec le cas
méditerranéen des rapports d’analogie (mer intérieure, monde insulaire,
ports comme villes-mondes,espace de civilisation comme lieu de
rencontre de cultures, etc.) ou posent des points plus généraux de
terminologie ou de méthodologie.Si l’objectif de ce colloque est
de réfléchir aux usages historiographiques du terme « civilisation »,
une série de questions porte sur les références identitaires aux
civilisations dans l’histoire et dans le monde contemporain. Souvent
détournées en crispations identitaires, en Méditerranée comme ailleurs,
ces références n’en sont pas moins révélatrices de regards croisés ou, à
tout le moins, de coexistences stimulantes. On a considéré l’espace
méditerranéen comme espace de partagede civilisation(s). La
dialectique qui anime un tel espace peut-elle être envisagée comme celle
d’une « communauté de traducteurs » ? Comment les paysages naturels et
humanisés, l’architecture, l’urbanisme, les objets et le décor
participent-ils d’imaginaires et de mythes entrecroisés dans la « longue
durée » ?Enfin, la tenue de ce colloque international au sein
du MuCEM, un musée qui se consacre à l’étude et à l’exposition des «
civilisations » de l’Europe et de la Méditerranée, engage à mener une
réflexion de fond sur les distinctions et les recoupements que l’on peut
établir entre « œuvres d’art » d’une partet « objets de
civilisation » qui n’ont pas d’intentionnalité esthétique d’autre part.
Leur considération conjointe, dans un même espace muséographique, comme
preuves substantielles des échanges entre les civilisations, semble
devoir enrichir réciproquement les disciplines qui s’y confrontent. Mot(s) clés libre(s) : histoire de l'art, aylin kocunyan, roberto conduru, paolo girardelli, alesandra mascia, mucem, civilisations, Langues et civilisations, INHA, colloque, algérie (civilisation), afrique du Nord (civilisation), roger benjamin
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