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Emprunts et remédiation / Jérôme Dupeyrat
/ Claire SARAZIN, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 24-01-2013
/ Canal-u.fr
DUPEYRAT Jérôme
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Emprunts et remédiation / Jérôme Dupeyrat, in "L'image empruntée : l'artiste comme éditeur", journée d'étude co-organisée par le laboratoire (LLA-CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut supérieur des arts de Toulouse (ISDAT) et le musée des Abattoirs de Toulouse, le 24 janvier 2013.Lorsque les artistes travaillent avec des images empruntées, l'utilisation de ces dernières implique le plus souvent le passage d'un médium et/ou média à un autre : passage d'une forme imprimée à une autre, du livre au web, du web au papier, du papier à l'écran, du cinéma à l'édition, de l'édition à l'exposition, etc. Dans cette communication, Jérôme Dupeyrat se propose d'étudier ces remédiations ainsi que les processus d'adaptation, de traduction et de transposition qui en résultent, afin de saisir quels sont leurs effets sur l'économie et la réception des images.* Illustration : "Gridflow 2015-05-21-02h14m12s", capture d'écran du site GridFlow de Reynald Drouhin. Mot(s) clés libre(s) : photographie (20e-21e siècles), photographies (oeuvres)
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Entre concept et image dans l’oeuvre de Jan Dibbets - conférence inaugurale de la 5e édition du Festival
/ Philippe KERGRAISSE
/ 29-05-2015
/ Canal-u.fr
Dibbets Jan, Verhagen Erik
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Figure majeure et incontournable de la scène artistique de ces cinquante dernières années, l’artiste néerlandais Jan Dibbets, né en 1941, est l’un des principaux créateurs à avoir intégré, et ce dès la deuxième moitié des années soixante, la photographie au sein des arts plastiques. Il s’entretient avec Erik Verhagen, maître de conférence en histoire de l’art contemporain à l’université de Valenciennes. Mot(s) clés libre(s) : photographie, arts plastiques, Pays-Bas, Jan Dibbets
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Fabriquer un "théâtre de la preuve". Le cas des émotions humaines au début du XXe siècle.
/ Canal-u.fr
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Mme Allison Huetz
Historienne de l’art, Genève Mot(s) clés libre(s) : Plaques photographiques
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Géographie et observation par satellite
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MERING Catherine
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La géographie s'intéresse aux structures spatiales et aux processus d'origine anthropique et naturelle qui les produisent. La question se pose alors d'observer ces structures de la façon la plus objective et la plus directe possible. Depuis l'avènement de la photographie aérienne et de la télédétection, les géographes ont à leur disposition une source d'information irremplaçable pour observer, analyser et cartographier ces structures sous leur forme la plus directement perceptible et mesurable, c'est à dire les paysages. Les photographies aériennes, qui ont été prises de façon systématique à partir des années 50 leur permettaient déjà d'observer le paysage en laboratoire, d'en délimiter les différentes unités pour produire des croquis interprétatifs et enfin des cartes. Au début des années 70, les images multispectrales, prises de façon systématique sur l'ensemble du globe par le satellite Landsat MSS inauguraient la série de prises de vue périodiques de la surface terrestre sous forme d'images numériques. Les méthodes statistiques et informatiques allégeaient désormais sa tâche en classant automatiquement les points de l'image, l'aidant ainsi à produire plus rapidement et de façon plus objective une carte des paysages de la scène étudiée. L'avancée incontestable que constituait la télédétection satellitaire et l'accès aux images numériques de la Terre, ne remettait pas en cause l'intérêt des photographies aériennes . En effet, le pouvoir de résolution de ces nouvelles images était encore insuffisant puisqu'il ne permettait pas de distinguer les tissus urbains, les lieux d'habitats dispersés, ni les paysages complexes et discontinus comme les steppes et les savanes de la zone intertropicale. Les satellites SPOT et Landsat Thematic Mapper, lancés au milieu des années 80, allaient combler ce fossé: il était désormais possible d'étudier de nombreuses catégories de paysages, quel que soit leur niveau de complexité. Un problème demeurait cependant : les prises de vues effectuées par les capteurs comme ceux de SPOT et Landsat dits "passifs" parce qu'ils ne font qu'enregistrer l'énergie renvoyée par la surface, sont difficilement exploitables en période de forte nébulosité où les paysages sont totalement masqués par les nuages. Mais depuis les années 90, grâce aux images radar des satellites ERS et JERS , l'observation des paysages peut se faire indépendamment des conditions climatiques et météorologiques, ce qui ouvre la voie à l'étude par satellite des zones tropicales et équatoriales où l'atmosphère est rarement limpide ou ceux des zones boréales éclairées la plupart du temps par une lumière rasante. Les géographes, disposent donc aujourd'hui d'une immense banque d'images sur les paysages terrestres. Ces archives, acquises depuis environ un demi-siècle continuent de s'enrichir d'images numériques produites par des capteurs passifs ou actifs, prises sous des angles variés et à des résolutions de plus en plus grandes. A l'aube du troisième millénaire, il ne s'agira plus seulement pour eux de faire un inventaire des paysages en les cartographiant, mais d'analyser et de mesurer leurs transformations : En effet, ces transformations qu'elles soient très rapides quand elles sont dues à des catastrophes naturelles, comme les séismes, les éruptions volcaniques, les cyclones ou les inondations ou plus lentes lorsqu'elles sont liées à l'évolution des sociétés telles la déforestation, la déprise agricole ou la croissance urbaine sont désormais directement observables par télédétection. Mot(s) clés libre(s) : photographie aérienne, photographies spatiales, satellites artificiels en télédétection, SPOT (satellites de télédétection), télédétection, terre (images de télédétection), traitement d'images (techniques numériques)
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Images de la mort dans la B.D. et la peinture
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 02-02-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHRISTIN Pierre
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A une époque où la mort est devenue une « valeur marchande » pour les médias et où l’intérêt pour le fait divers se fait toujours plus vif, Pierre Christin nous donne un aperçu de la représentation visuelle de la mort dans l’art pictural et photographique et dans la bande dessinée. Occultée parfois, crainte le plus souvent, la mort est un thème récurrent dans l’art et sa représentation évolue en même temps que les croyances et les sociétés. Tantôt prise sur le vif comme le permet l’instantané de la photographie, tantôt suggérée par une tonalité, un objet, un sentiment, les procédés narratifs pour représenter le mystère de la mort sont très nombreux : académique (la crucifixion, le cadavre), grotesque, surréaliste. En suscitant des sentiments de peur, de terreur, d’inquiétude chaque représentation permet de pousser la réflexion, d’éduquer, de ramener au souvenir. Cette réalité de la mort disparait dans la bande dessinée où elle prend l’aspect d’un leurre et est très souvent associée à la disparition ou à la chute d’un personnage. Cette distinction est due principalement comme l’explique Pierre Christin au caractère continu de la bande dessinée. Il est en effet délicat de faire passer dans l’au-delà le personnage d’une série en cours, la disparation permet donc si nécessaire de le « ressusciter ».La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2004-2005 sur le thème "La mort : Regards croisés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : anamorphose (art), art (thèmes et motifs), art chrétien, bandes dessinées, mort dans l’art, peinture, photographie
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Images de sciences : décryptage
/ Hervé COLOMBANI, Cité des Sciences et de l'Industrie, C.N.R.S Images
/ 01-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
GUYON Etienne, COLOMBANI Hervé
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La Cité des sciences et le CNRS Images ont édité un DVD qui contient 21 séquences de 1 min 30 s, chaque séquence présentant une image scientifique, fixe ou animée en la décryptant : conditions d'obtention, sens de l'image, intérêt pour le chercheur. On présente ici une sélection de 5 ces séquences. Chambre à bulles, particules élémentaires : ce film aborde plusieurs techniques de détection et de visualisation des particules élémentaires. D'abord dans les chambres à bulles, puis, plus récemment, dans les chambres à fils. Il explique comment les physiciens interprètent ces images. Appareil photographique, caméra, mouvements de l'airCette image, réalisée par Etienne-Jules Marey est le témoin du travail approfondi qu'il a mené sur les mouvements de l'air et la photographie. Les machines qu'il a construites à cet effet ont été reconstituées à l'occasion d'une exposition à Paris, au musée d'Orsay en 2005. L'étude des mouvements des fluides se poursuit toujours dans les laboratoires à l'aide de la photographie et du film. Microscope optique, premier caryotype Aujourd'hui, cette image est connue, elle représente un caryotype humain. C'est en 1955 que pour la première fois, on a pu voir distinctement l'ensemble des 46 chromosomes d'un individu. Cette image est maintenant devenue courante dans le cadre des diagnostics prénataux, mais on peut se demander pourquoi et comment elle a été réalisée lors de sa découverte. Coronographe, soleil MasquéPour mieux voir ce qui se passe à la surface du soleil, le meilleur moyen est d'en cacher le centre ! C'est le rôle du coronographe. Les coronographes C2 et C3 LASCO du satellite SOHO nous permettent d'étudier ces éruptions solaires. Ce film explique comment ces images ont été obtenues et comment les interpréter. IRM structurelle, le cerveau Cette image obtenue par Résonance magnétique est une image du cerveau humain. Cette technique permet de voir les structures du cerveau en volume. Ce film est un décryptage rapide de cette image. Comment l'obtient-on, et que peut-elle nous apprendre ?GénériqueRéalisateur : COLOMBANI Hervé. Conseiller scientifique : GUYON Etienne. Production : Cité des sciences et de l'industrie/CNRS Images. Diffuseur : CNRS Images, http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : chambre à bulles, chambre à fils, coronographie, détecteur de particules, imagerie, IRM, microscope optique, mouvements de l'air, photographie
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L'analyse de l'image - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 09-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'analyse de l'image par Martine Joly Mot(s) clés libre(s) : cinema, photographie, publicité
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L'analyse de l'image - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 09-02-2010
/ Canal-u.fr
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'analyse de l'image par Martine Joly Mot(s) clés libre(s) : photographie, cinéma, publicité
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L'image photographique
/ UTLS - la suite
/ 11-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
FRIZOT Michel
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La photographie est omniprésente, mais elle est souvent regardée à l'égal d'une autre image, sans égards pour la spécificité absolue du processus photographique. L'actuel renouvellement produit par la numérisation nous incite pourtant à reconsidérer les particularismes de l'image photographique, et la rupture historique imposée par cette invention. Il s'agit pour nous de refonder une lecture de l'image photographique sur cette spécificité, impliquant d'abord l'action de la lumière, une surface sensible et un dispositif optique, déterminés par leurs caractères physiques, leurs critères de fonctionnement et leurs impératifs propres. Mais l'image photographique est ensuite au centre des intérêts et des préoccupations humaines d'intervenants et protagonistes : ceux qui « font » la photo, ceux qui la commandent ou la diffusent, ceux qui la regardent. L'approche de l'image par les sens humains (sa lecture, sa compréhension) devient alors un jeu d'articulation entre un mode de production physique et les capacités humaines perceptives qui rapportent une image à des connaissances, à des souvenirs, à des affects, à des projections individuelles. La photographie a transformé notre regard sur le monde, elle nous oblige à voir « photographiquement » ; ce que nous attendons d'une photographie se confronte à ce que l'on peut y trouver. Mot(s) clés libre(s) : photographie, photographie (technique), photographie numérique, techniques numériques, traitement d'images
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L'image photographique
/ UTLS - la suite
/ 11-07-2004
/ Canal-u.fr
FRIZOT Michel
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La photographie est omniprésente, mais elle est souvent regardée à l'égal d'une autre image, sans égards pour la spécificité absolue du processus photographique. L'actuel renouvellement produit par la numérisation nous incite pourtant à reconsidérer les particularismes de l'image photographique, et la rupture historique imposée par cette invention. Il s'agit pour nous de refonder une lecture de l'image photographique sur cette spécificité, impliquant d'abord l'action de la lumière, une surface sensible et un dispositif optique, déterminés par leurs caractères physiques, leurs critères de fonctionnement et leurs impératifs propres. Mais l'image photographique est ensuite au centre des intérêts et des préoccupations humaines d'intervenants et protagonistes : ceux qui « font » la photo, ceux qui la commandent ou la diffusent, ceux qui la regardent. L'approche de l'image par les sens humains (sa lecture, sa compréhension) devient alors un jeu d'articulation entre un mode de production physique et les capacités humaines perceptives qui rapportent une image à des connaissances, à des souvenirs, à des affects, à des projections individuelles. La photographie a transformé notre regard sur le monde, elle nous oblige à voir « photographiquement » ; ce que nous attendons d'une photographie se confronte à ce que l'on peut y trouver. Mot(s) clés libre(s) : photographie, traitement d'images, photographie (technique), photographie numérique, techniques numériques
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