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Histoire de l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux : Apports à la Communauté Médicale
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 11-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAMILLERI Gérard
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Créée en 1890 afin d’assurer la formation de médecins militaires de haut niveau, l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux (E.S.S.A.) se développe au gré des guerres et des conflits et joue très vite un rôle prépondérant dans le développement sanitaire outre-mer. Fidèles à leur devise « Sur mer et au-delà des mers toujours au service des hommes », les « Navalais », assurent, hier comme aujourd’hui, le soutien médical et sanitaire et luttent contre les endémies en Afrique, en Asie…
Commandant de l’Ecole du Service de Santé des Armées de Bordeaux (E.S.S.A.) et médecin général inspecteur, Gérard Camilleri retrace les grands événements qui ont marqués cette institution.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 à l'occasion du 58ème Congrès de la Société Nationale Française de Médécine Interne (S.N.F.M.I.) le 11 décembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : armée française (service de santé), armées (services médicaux et sanitaires), école du service de santé des armées (bordeaux), école du service de santé des armées (lyon), médecine (étude et enseignement), médecine militaire (histoire), médecine navale, s
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La sécurité alimentaire N6 - Les acteurs de la sécurité alimentaire : du Scientifique au Juge
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Canal U/Tice Médecine Santé
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La sécurité alimentaire - Les acteurs de la sécurité alimentaire : du Scientifique au Juge.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : AFSSA, Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments, alimentation, Compagnie des Experts, contrôle, Cours d'Appel de Reims, justice, nutrition, sécurité alimentaire
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Institut National du Cancer aux Etats-Unis et soutien fédéral au début du XXe siècle / David Cantor
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CANTOR David
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L'Institut National du Cancer aux Etats-Unis et le soutien fédéral au début du XXe siècle - The National Cancer Institute and the Problems of Federal Sopport for Cancer in the Early Twentieth Century United States / David Cantor. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011. On Sunday 8 August 1937 the Washington Post announced the creation of the National Cancer Institute (NCI) with the headline « ‘Conquer Cancer’ Adopted as Battle Cry of the Public Health Service. » Most of the funds of the new Federally-financed Institute initially went to purchase radium for the routine treatment of poor patients. But, the organization had ambitions beyond care for the poor. It also aimed to transform public and medical attitudes, behaviors and knowledge about cancer. To this end it started major programs of public education, and sought to encourage the development of state and local cancer control programs, specialist training programs for cancer practitioners, and research into the cause, cure and control of this group of diseases. Many of these initiatives raised old concerns about the appropriate role of the Federal government in health care and research. This paper explores how anxieties about Federal involvement in cancer shaped the work of the new institute.> [La communication en anglais de M. Charles Hayter est traduite en simultané en français par Madame Solange Hibbs, directrice du Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'Université Toulouse II-Le Mirail]. Mot(s) clés libre(s) : cancer (politique sanitaire), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (Etats-Unis), Etats-Unis (1930-1950), Institut National du Cancer (Etats-Unis), poltique de santé publique (Etats-Unis), programmes de recherche (cancer), Thomas Parra
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L'accès aux soins en Guyane: quand usagers et système de soins viennent "d'ailleurs" / Estelle Carde
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CARDE Estelle
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« L’accès aux soins en Guyane : quand usagers et système de soins viennent "d’ailleurs" », Estelle CARDE (LISST-CERS, Université Toulouse II-Le Mirail). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire]. Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A2 : Accommodements avec le droit et l'éthique chez les praticiens.La Guyane est un terrain privilégié pour l’étude du soin en contexte de migration. Les allochtones y sont en effet particulièrement nombreux, chez les usagers (à l’image de la population résidente en Guyane, dont plus du tiers est étrangère) mais aussi chez les professionnels de l’accès aux soins (qui, bien que français dans leur grande majorité, sont pour partie nés en métropole, c’est-à-dire loin de la Caraïbe dont sont originaires la plupart des usagers, étrangers ou français). Par ailleurs, les enjeux de légitimité que soulève l’accès aux soins des étrangers sont plus prégnants en Guyane qu’en métropole. La restriction progressive des droits aux soins de ceux des étrangers qui sont en situation précaire (d’un point de vue économique et juridique), dont témoigne par exemple chaque nouvelle réforme de l’Aide Médicale d’Etat, prend en effet en Guyane un écho particulier car les étrangers résidant en Guyane sont particulièrement vulnérables. Cette vulnérabilité est souvent tant économique (au sein d’une société locale traversée d’inégalités socio-économiques bien plus accusées qu’en métropole) que juridique (les règles du droit au séjour s’accommodant mal, en Guyane, d’une dynamique migratoire intra-caraïbéenne intense et ancienne).Cette communication porte sur les pratiques des professionnels métropolitains exerçant en Guyane à l’égard des usagers étrangers en situation précaire. Les premiers se perçoivent comme des immigrés, sur cette terre tropicale, mais sont bardés de la légitimité que leur octroient leur nationalité française et leur statut professionnel. L’accès aux soins des seconds est soumis, entre autres facteurs, à l’appréciation que font les professionnels de leur légitimité à accéder à la solidarité nationale, et en l’occurrence aux soins.En nous appuyant sur un terrain réalisé en 2002 et actualisé en 2009, nous nous attarderons sur trois situations qui amènent ces professionnels à "prendre position", face à une situation de précarité particulière de l’usager auquel ils ont affaire : lorsque l’usager est dépourvu de documents d’identité (attribution d’un jugement déclaratif de naissance), de résidence en Guyane (suspicion de tourisme médical) ou enfin de titre de séjour (attribution d’un titre de séjour pour soins). On verra comment les professionnels, représentants en Guyane cette métropole d’où sont importés le droit et la règle, adaptent ces derniers quand ils les pensent inappropriés à la réalité locale, voire improvisent quand ils les estiment muets face à des situations imprévues par le législateur, naviguant alors en marge du droit.On constatera que ces pratique, en s’affranchissant des règles et du droit, se différencient aussi les unes des autres -même quand elles s’articulent à des conceptions morales partagées par tous. Si par exemple ces professionnels s’accordent en général pour considérer que d’une part les lois françaises sur l’immigration sont inappropriées au contexte local, tant naturel (frontières fluviales) qu’humain (les étrangers au sens juridique du terme ne le sont pas toujours du point de vue historique et culturel) et que d’autre part rendre possible l’accès à un soin optimal est un devoir auquel nul ne peut échapper, leurs pratiques varient considérablement. Leur ancienneté en Guyane, des considérations relatives à leur exercice professionnel (qu’est-ce que le soin, de l’avis d’un médecin, ou le mérite, de celui d’une assistante sociale) ou encore les sources d’information dont ils disposent, s’avèrent influer notablement leurs pratiques à l’égard des étrangers en demande de soins. Sont ainsi dessinées une série de pratiques dont la diversité même introduit de l’inégalité de traitement, puisque chaque usager pourra être traité différemment selon le professionnel auquel il s’adresse. Surtout, cette diversité illustre la difficulté à situer un consensus social sur l’accès aux soins des étrangers. Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins médicaux, anthropologie de la santé, discrimination dans les soins médicaux, droit à la santé, immigrés (Guyane), personnel médical, politique sanitaire
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Le principe de précaution : une spécificité française?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 18-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DAB William
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Journée Santé Environnement Quelques grandes questions environnementales des débuts du XXIe siècle ISPED, Université Victor Segalen Bordeaux 2 Alors que la majorité des pays voit dans le principe de précaution un principe de politique environnementale, la France elle, lui a donné un contenu essentiellement sanitaire. En appliquant le principe de précaution, on protège la santé. Ancien Directeur Général de la Santé, William Dab partage ici quelques expériences décisionnelles en matière de précaution et aborde les problèmes posés par son application. Amiante, maladie de Creutzfeldt-Jakob, nanoparticules…les scandales sanitaires sont nombreux et les prises de décision souvent difficiles. Mot(s) clés libre(s) : environnement, évaluation du risque, prévention, principe de précaution, risques pour la santé, santé, sociologie de la santé, veille sanitaire
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Recompositions et permanences des interventions sanitaires en milieu de prostitution / Marion David
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Marion
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« Recompositions et permanences des interventions sanitaires en milieu de prostitution face à l'arrivée de prostituées migrantes », Marion DAVID (Doctorante CENS/Université de Nantes, ANSO/Université Catholique de Louvain, Belgique). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009.Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.Depuis les années quatre-vingt-dix, on assiste à l’arrivée en nombre important de femmes d’origine étrangère sur les lieux de prostitution européens. Dans un premier temps ces migrations étaient essentiellement le fait de populations originaires de régions ayant des liens historiques avec les pays de destination (ainsi, en France, il s’agissait alors de personnes provenant du Maghreb et d’Afrique noire francophone). Puis, à la fin des années quatre-vingt-dix, la plupart des pays d’Europe occidentale furent concernés par l’arrivée de femmes originaires des pays de l’ex-bloc soviétique (Albanie, Bulgarie, Ukraine, Moldavie, Roumanie), et, par la suite, d’Afrique anglophone (Nigeria, Sierra Leone, Ghana). Aujourd’hui, ces migrantes sont devenues majoritaires au regard des autres populations pratiquant l’activité de prostitution (prostituées dites traditionnelles, transsexuels, hommes, etc.). Ainsi lorsqu’on estime par exemple qu’il y aurait entre 15000 et 20000 personnes se prostituant en France et 12000 en Belgique, la proportion de femmes étrangères représenterait près de 70% de cette population [1]. Face à cette évolution liée à un contexte de mondialisation, on peut s'interroger sur la manière dont les dispositifs médico-sociaux spécialisés dans l'intervention en milieu de prostitution, pour la plupart créés au début années 90 suite à l'apparition de l'épidémie de sida, ont été amené à modifier le contenu et les modalités de leurs pratiques de santé ainsi que les représentations qu'ils associent aux populations concernées (ces deux aspects étant bien sûr interdépendants). Un tel questionnement constituera donc le propos de notre communication; il s'inscrit plus largement dans le cadre d'un doctorat portant sur les interventions sanitaires réalisées -en France et en Belgique- en direction des personnes se prostituant ainsi que sur la mobilisation morale et politique du registre de la santé autour du phénomène prostitutionnel. A l'occasion de cette présentation, nous exposerons tout d'abord les caractéristiques générales du champ médico-social existant. Nous constaterons alors que l'arrivée en nombre important de ces prostituées étrangères a conduit la plupart des structures concernées à adapter leur offre de soins et de prévention afin de faciliter le contact avec ce public difficile d'accès (actions de proximité régulières et inscrites dans la durée, à bas seuil d'accès, recourant à la médiation culturelle, etc.) mais également de répondre à ses demandes spécifiques (offre de santé généraliste visant l'insertion dans le droit commun et associée à la défense des droits des personnes). Dans le même temps, il apparaitra que certains dispositifs ayant historiquement inscrit leur action sanitaire dans le cadre d'une reconnaissance professionnelle de l'activité de prostitution peinent à inclure les nouvelles arrivantes dans leur intervention (difficultés à établir un lien avec cette population mouvante pratiquant souvent la prostitution de façon transitoire) et à leur proposer une offre médicale qui leur soit adaptée (intervention limitée à la prévention du VIH et des IST ne répondant pas aux autres problèmes de santé rencontrés par ce public précaire). Enfin, à partir du cas de la ville d'Anvers ayant mis en place une politique locale de régulation de la prostitution (comprenant un soutien à des actions spécifiques de prévention du VIH), nous nous interrogerons sur la manière dont certains enjeux politiques -liés à des objectifs d'ordre public et de contrôle des populations migrantes- peuvent venir interférer avec les préoccupations de santé publique affichées et compromettre l'action de santé réalisée en direction des prostituées étrangères.[1] Précisons cependant que si ces chiffres peuvent révéler certaines tendances, ils sont à manier avec de grandes précautions. En effet ils concernent des personnes souvent en situation de double illégalité (migrantes en situation irrégulière et prostituées) dont la présence sur les lieux de prostitution est instable et fluctuante. Ils sont en outre tributaires des buts qu’on leur assigne (grossir un phénomène ou à l’inverse le réduire pour justifier une politique). Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, droit à la santé, politique sanitaire, politique sociale, prostitution des étrangers (Belgique), prostitution des étrangers (France), services de santé
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Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DENAX Alain
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Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 2 : Pour une meilleure prise en charge thérapeutique (1890-1914), 21 janvier 2011. A la veille du premier conflit mondial, les chirurgiens pensent encore venir à bout du cancer par le seul exercice de leur art. La chirurgie, libérée de ses limites, grâce à l’anesthésie et à l’asepsie, exprime des ambitions légitimes. La radiothérapie dont on mesure les effets antitumoraux intéresse alors pourtant peu les chirurgiens. Les nécessités de la guerre vont obliger les chirurgiens à travailler en équipe, avec des radiologues, des bactériologistes, des histologistes, des physiciens, des rééducateurs et même des radiothérapeutes (on croit alors au pouvoir cicatrisant des rayons). Des centres, parfois à vocation universitaire, vont s’organiser autour d’une prise en charge pluridisciplinaire du blessé. En même temps, les premiers services de soins pour soldats cancéreux apparaissent. Cette organisation, motivée par une lutte patriotique, préfigure ce que seront plus tard, les centres de lutte contre le cancer.>> [Avertissement : certaines diapositives ou images du diaporama de M. Alain Denax issues du fonds de l'Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense (ECPAD) ont été volontairement "noircies" afin de respecter les droits de propriété littéraire et artistique]. Mot(s) clés libre(s) : armées (services médicaux et sanitaires), cancer (chirurgie), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer, France (1914-1918), médecine militaire
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Bons et mauvais microbes
/ Mission 2000 en France
/ 07-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUCLUZEAU Robert
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"Les microbes sont des êtres vivants unicellulaires que leur petite taille ne permet d'observer qu'à l'aide de microscopes optiques ou électroniques. Ce terme s'applique à deux sortes de populations. Les premières sont composées de cellules dont la structure est voisine de celle des organismes supérieurs et qui sont donc classées dans le règne des eucaryotes. Certaines sont proches des cellules des végétaux comme par exemple les champignons microscopiques ; d'autres, comme les protozoaires, se rapprochent des cellules des animaux. Les autres populations de microbes sont classées dans le règne des procaryotes, car le matériel génétique de leurs cellules ne forme pas un noyau distinct limité par une membrane. Ce sont par exemple les virus ou les bactéries qui vont constituer le sujet principal de cette conférence. L'image que nous avons des microbes est souvent associée à un aspect de danger potentiel. Cette connotation négative est en grande partie due au fait que les premières bactéries étudiées par les élèves de Louis Pasteur étaient responsables de maladies redoutables pour l'homme et les animaux. En réalité on constate aujourd'hui que les bactéries pathogènes, responsables de maladies, sont infiniment moins abondantes dans notre environnement que celles qui sont utiles, voire indispensables à l'homme." Mot(s) clés libre(s) : bactérie, bactériologie, immunologie, micro-organisme, microbe, microbiologie, sécurité sanitaire, virus
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La migration est-elle une pathologie ? Enjeux politiques et anthropologiques / Fred Eboko
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
EBOKO Fred
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« La migration est-elle une pathologie ? Enjeux politiques et anthropologiques », Fred EBOKO (chargé de recherches à l'IRD Marseille, UMR 912, IRD-INSERM-U2). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009.[Séance plénière du 16 septembre 2009 présidée par Stéphanie Mulot (LISST, Univ. Toulouse-Le Mirail) et suivie d'un échange avec l'auditoire].Notre intervention vise à questionner les faits de santé par le prisme des migrations et des mobilités. Le monde globalisé connaît une exceptionnelle avancée des échanges et des informations qui masque aussi des différentiels en matière d’accès aux soins. A partir d’un regard africaniste, il s’agit modestement de mettre en lumière les représentations et les pratiques que génèrent les migrations africaines (internes et externes) face aux grandes questions contemporaines de santé. Au-delà de ces migrations africaines, il est aussi question d’insister sur les logiques et les apories politiques qui accompagnent les questions de mobilités face à l’accès aux soins, au bout des trajectoires migratoires. L’interprétation politique de la prise en charge des personnes en situation de mobilité varie d’un pays à l’autre, d’une histoire politique à l’autre. Quels rapports entretiennent ces différentiels de prise en charge, de traitement et d’accès aux soins avec l’idéal éthique médical ?Du Nord au Sud de la planète, d’un pays africain à l’autre, c’est toujours par une combinatoire de variables (économiques, politiques, « culturelles », historiques, sanitaires, etc.) que s’explique la manière avec laquelle la santé est un miroir de l’altérité et un prisme du rapport à soi. Vu sous l’angle des mesures internationales et politiques, les migrations sont souvent conçues comme un péril, quand l’histoire nuance ou révoque cette hypothèse. La lecture bijective entre pathologies et immigrations quelques fois admise comme une évidence aux sommets des Etats, au Nord comme au Sud, en Afrique comme ailleurs, permet de poser la question titre que nous déconstruirons : « la migration est-elle une pathologie ? ». Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins médicaux, Afrique, anthropologie de la santé, économie de la santé, émigration et immigration, politique sanitaire
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Ebola au Congo en décembre 2003 à Mbomo : virus, braconnier et fétiche
/ 23-12-2003
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Ce troisième film de la série "Ebola au Congo", "virus, braconnier et fétiche, Mbomo décembre 2003" décrit l'épidémie de Mbandza et Mbomo des mois de novembre et décembre 2003. Il souligne la stigmatisation dont sont victimes les individus convalescents et les individus ex-contacts. This third film of the series “Ebola in Congo”, “virus, poacher and fetish, Mbomo December 2003”describes the epidemic in Mbanza and Mbomo in November and December 2003. It underlines the stigmatisation towards convalescents and former- contact subjects.Ces films à caractère ethnographique ont été réalisés dans le cadre de missions de réponse de l'OMS aux épidémies de fièvre hémorragiques à virus Ebola au Congo en 2003 (février, juin et décembre), en collaboration avec Pierre Formenty, virologue, épidémiologiste (OMS/CDS/CSR/ARO)Certains acteurs ne suivent pas les protocoles recommandés par l'OMS pour les précautions et la prise en charge des patients. Mot(s) clés libre(s) : afrique, Cuvette Ouest, enterrement sécurisé, Ébola, tenues individuelles de protection, boucs-émissaires, fièvre hémorragique virale, Mbomo, mobilisation sociale, épidémie, stigmatisation, film ethnographique, Congo (République), éducation sanitaire, vidéo, mort, hôpital, pavillon d'isolement
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