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Titre
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La spectrométrie d'électron Auger
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
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Descriptif de l'appareil et explication de l'obtention des images.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de surface, électron Auger, spectrométrie électronique
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Analyse de gaz par spectrométrie de masse
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
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Il s'agit de montrer comment analyser les constituants d'un gaz en utilisant un spectromètre de masse. Le système est bien décomposé pour expliquer le fonctionnement et les utilisations possibles.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de gaz, détection d'ions, ionisation, phase gazeuse, spectrométrie de masse
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Le réfractomètre
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 10-05-2004
/ Unisciel
Florentin Edith
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Le réfractomètre permet la mesure de l'indice de réfraction d'un milieu.
Présentation de l'appareil et description du protocole expérimental de mesure de l'indice de réfraction d'un liquide. Mot(s) clés libre(s) : réfractomètre, réfractométrie, réflexion totale, mesure d'indice, lois de Snell-Descartes, indice de réfraction, identification d'espèce chimique, composition d'un mélange, fraction molaire, indice optique
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Lidar météorologique - Télédétection active de l'atmosphère (2ème partie)
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 17-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FLAMANT Pierre H.
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Le lidar (Light Detection and Ranging ou sondage par laser) est aujourd’hui incontournable dans les études atmosphériques, l’étude des surfaces et des zones urbanisées, l’observation de la terre à partir de l’espace et l’exploration des planètes. Le mot lidar recouvre des méthodes et des instruments différents. Il recouvre aussi deux communautés différentes quant aux objectifs, l’une développe ses propres instruments lidar pour obtenir des profils de variables atmosphériques (nuages, aérosols, gaz minoritaires, etc) alors que l’autre utilise des lidars industriels et des sociétés de service pour les applications altimétriques et bathymétriques. D’une manière générale, un instrument lidar est composé d’un émetteur laser pulsé et d’un récepteur (un télescope) équipé d’un détecteur et d’un système de conversion analogique numérique de sorte que toutes les opérations ultérieures (traitement et calculs) sont effectuées sur des signaux numériques par ordinateurs. La première information fournie par un lidar, c’est le temps de vol de la lumière, donc la distance, entre le lidar et la cible ou la zone de l’atmosphère à étudier. Ensuite, les informations pertinentes que l’on recherche sont obtenues à partir de la distance, de l’intensité réfléchie et de l’atténuation du rayonnement laser au cours de sa propagation. Le but de cet exposé est de présenter les différentes méthodes lidar et les instruments, ainsi que les méthodes d’inversion qui conduisent à l’obtention des variables atmosphériques ou des propriétés de surfaces. Les différentes applications seront présentées en mettant l’accent sur les applications atmosphériques.Vous pouvez télécharger les diaporamas de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, laser, lidar, météorologie
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Lidar météorologique - Télédétection active de l'atmosphère (1ère partie)
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 17-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FLAMANT Pierre H.
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Le lidar (Light Detection and Ranging ou sondage par laser) est aujourd’hui incontournable dans les études atmosphériques, l’étude des surfaces et des zones urbanisées, l’observation de la terre à partir de l’espace et l’exploration des planètes. Le mot lidar recouvre des méthodes et des instruments différents. Il recouvre aussi deux communautés différentes quant aux objectifs, l’une développe ses propres instruments lidar pour obtenir des profils de variables atmosphériques (nuages, aérosols, gaz minoritaires, etc) alors que l’autre utilise des lidars industriels et des sociétés de service pour les applications altimétriques et bathymétriques. D’une manière générale, un instrument lidar est composé d’un émetteur laser pulsé et d’un récepteur (un télescope) équipé d’un détecteur et d’un système de conversion analogique numérique de sorte que toutes les opérations ultérieures (traitement et calculs) sont effectuées sur des signaux numériques par ordinateurs. La première information fournie par un lidar, c’est le temps de vol de la lumière, donc la distance, entre le lidar et la cible ou la zone de l’atmosphère à étudier. Ensuite, les informations pertinentes que l’on recherche sont obtenues à partir de la distance, de l’intensité réfléchie et de l’atténuation du rayonnement laser au cours de sa propagation. Le but de cet exposé est de présenter les différentes méthodes lidar et les instruments, ainsi que les méthodes d’inversion qui conduisent à l’obtention des variables atmosphériques ou des propriétés de surfaces. Les différentes applications seront présentées en mettant l’accent sur les applications atmosphériques.Vous pouvez télécharger les diaporamas de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, laser, lidar, météorologie
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Le traitement des images
/ Mission 2000 en France
/ 09-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FAUGERAS Olivier
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Mon exposé est centré sur un aspect du traitement d'images, celui du traitement de l'information tridimensionnelle. Je prendrai comme point de départ les idées de David Marr dont l'influence a été déterminante à la fois sur les neurosciences de la vision et sur le traitement d'images ou la vision par ordinateur. L'idée selon laquelle la vision est notamment un problème de traitement de l'information qui peut être abordé en utilisant des contraintes assez générales issues de la physique et de la géométrie pour construire une représentation des surfaces des objets présents et de leurs mouvements s'est avérée extrêmement fructueuse tant du point de vue théorique pour répondre précisément à une partie de la question " qu'est-ce que voir ? " que du point de vue applicatif pour résoudre de nombreux problèmes où intervient la perception visuelle robotique au sens large, c'est-à-dire celle d'un système mécanique/informatique. En me plaçant de trois points de vue, mathématique, algorithmique et biologique, je montrerai comment une combinaison d'indices visuels tels que les variations spatiales d'intensité et de texture, le mouvement, les contours d'occultation ou encore la stéréoscopie peut fournir de l'information sur la forme et le mouvement tridimensionnels des surfaces des objets. J'illustrerai mon propos par quelques exemples d'applications comme le calcul de l'orientation d'un robot dans l'espace, la génération de déplacements, la reconnaissance d'objets et la réalité augmentée. Mot(s) clés libre(s) : David Marr, image de synthèse, image numérique, modélisation, perception visuelle, représentation des formes, résonance magnétique nucléaire, stéréoscopie, traitement d'images, traitement de l'information, vision par ordinateur
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De l’électronique quantique à l’optique quantique
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 16-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
FABRE Claude
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L’avènement du laser est l’aboutissement d’un long processus de maturation des concepts relatifs à l’interaction entre la lumière et la matière, qui a commencé il y a plus de cent ans avec les travaux de Lorentz. A la suite des travaux d’Einstein, on s’est rendu compte qu’il était indispensable de traiter quantiquement la matière pour caractériser précisément cette interaction, d’où le nom d’ « électronique quantique » donné dans les années 50-60 à ce domaine de recherche. Mais l’avènement du laser a relancé la problématique et les interrogations : comment concilier la nature manifestement ondulatoire de la lumière produite par un laser avec son caractère non moins manifestement quantique et corpusculaire, puisque ce sont bien des photons qui sont produits par le mécanisme d’émission stimulée à l’origine du fonctionnement du laser ? Sous l’impulsion de R. Glauber et d’autres chercheurs, une théorie complètement quantique s’est mise progressivement en place, capable de rendre compte de manière unifiée de ces deux aspects de la lumière laser. On s’est alors rendu compte qu’il était envisageable de produire une lumière aux propriétés spécifiquement quantiques, notamment en ce qui concerne ses fluctuations et de ses corrélations. L’électronique quantique a ainsi progressivement cédé la place à l’optique quantique. Les techniques laser ont ainsi permis de produire et d’étudier des états aux propriétés quantiques de plus en plus étranges : photons uniques, états comprimés, états intriqués, chats de Schrödinger… L’exposé retracera les grandes lignes de cette évolution, poursuivie sur plus d’un siècle, et ses perspectives.Vous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, applications, laser, quantique
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Utilisation de sources lasers pour le micro-usinage
/ Lycée Felix Le Dantec, Foton, Enssat
/ 09-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
EVEN Patrick
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La miniaturisation des composants, l’exigence de fiabilité et de traçabilité étant de plus en plus importantes dans notre environnement quotidien, le laser devient un outil incontournable pour l’usinage de petites pièces et pour la mise en œuvre de procédés rapides et fiables.Toutefois, même si l’usinage laser est aujourd’hui parfaitement intégré dans l’industrie, le micro-usinage laser reste une technologie très récente et mal défini.On peut cependant définir le micro-usinage suivant deux approches : une mise en œuvre de source laser de relativement « faible » puissance, et/ou par un aspect dimensionnel des pièces réalisées avec des tolérances de quelques microns à quelques dizaines de microns.Deux approches systèmes sont comparées, les stations de marquage par tête de déflection galvanométrique et les stations de type CN avec tête de micro-usinage.Vous pouvez télécharger le diaporama de cette conférence sur le site A la lumière du laser Mot(s) clés libre(s) : 50 ans, applications, laser, micro-usinage
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Voyage au coeur de la matière, source de lumière : de l’incandescence aux diverses luminescences
/ Paris Tech ESPCI
/ 07-12-2015
/ Canal-u.fr
ESPCI Paris Tech
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Avec Bernard Valeur (Conservatoire national des arts et métiers) et Jonathan Piard (École normale supérieure de Cachan)
De la bougie à la lampe halogène, du tube fluo aux LED, des bâtons lumineux aux vers luisants, la matière se fait source de lumière de multiples façons. En particulier, le phénomène général de luminescence se décline en fluorescence, phosphorescence, électroluminescence, chimiluminescence, bioluminescence, etc. Des expériences seront réalisées afin d’illustrer la diversité des mécanismes d’émission mis en jeu où les électrons règnent en maîtres. Mot(s) clés libre(s) : fluorescence, phosphoresence
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Gouttes réactives : lumière et effets spéciaux
/ Paris Tech ESPCI
/ 12-10-2015
/ Canal-u.fr
ESPCI Paris Tech
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Avec Damien Baigl, Manos Anyfantakis (ENS) et Nikita Kavokine
Peut-on manipuler des gouttes avec de la lumière ? Nous démontrerons, à l’aide de quelques expériences, comment utiliser la lumière pour contrôler la génération, le déplacement, le mélange ou le séchage de gouttes de compositions variées (eau, huile, milieu organique, suspension colloïdale, bactéries et même du vrai café !). Ainsi dirigées par la lumière, les gouttes peuvent être transportées et combinées à façon pour réaliser des analyses ou des réactions chimiques. Nous verrons même comment contrôler leur évaporation et ainsi supprimer, voire apprivoiser, l’effet « tâche de café » !Plus d'infos sur www.espgg.fr Mot(s) clés libre(s) : lumière, café, goutte
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