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2. Éthiques de la protection de la nature : préservation ou conservation
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 24-04-2015
/ Canal-u.fr
LARRERE Catherine
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Dans cette vidéo, Catherine Larrère discute de la distinction qui peut être faite entre deux conceptions très différentes de la protection de la nature : la préservation et la conservation. Pour ce faire, elle s'appuie sur les oeuvre de John Muir et de Gifford Pinchot. Mot(s) clés libre(s) : environnement, éthique, conservation, préservation
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Les ambiguïtés des politiques de développement durable
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 19-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LASCOUMES Pierre
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Les ambiguïtés des politiques de développement durable par Pierre Lascoumes L'unanimité est toujours suspecte car elle dissimule la complexité du réel, la multiplicité des perceptions, les affrontements d'intérêts et l'hétérogénéité des stratégies des acteurs concernés. La belle unanimité qui accompagne de "puis dix ans les politiques dites " de développement durable " mérite d'être sérieusement interrogée. En effet qui oserait aujourd'hui être contre des choix d'action collective qui prétendent " assurer les besoins du présent sans compromettre la possibilité pour les générations futures de satisfaire les leurs " (rapport Brundtland, 1987). Ce principe concilie en effet un souci pragmatique pour le présent (il y a des besoins à satisfaire) avec un souci de solidarité inter-générationnelle (les besoins des générations futures). Une formulation plus concrète considère que " le développement est durable si les générations futures héritent d'un environnement d'une qualité au moins égale à celui qu'ont reçu les générations antérieures " (I. Ramonet, 2000). La notion de "développement durable" recouvre deux dimensions essentielles: la limitation des phénomènes d'irréversibilité (épuisement de ressources non renouvelables, destruction irrémédiable d'espèces ou de milieux) et l'incitation à des conduites de prudence, aussi bien dans les diverses utilisations des ressources écologiques (milieux, espèces, matières premières) que dans l'innovation scientifique et technique (OGM, nucléaire, chimie, etc.. Cependant le D.D. est, à tort, présenté comme une "solution" aux innombrables problèmes actuels de choix technologiques, économiques et politiques. C'est, au contraire un problème qui est à résoudre, enjeu par enjeu, territoire par territoire. Il n'existe pas de définition stabilisée de la notion, pas plus des objectifs précis qu'elle recèle que des moyens de les réaliser. Le D.D. est un critère de jugement en forme de standard, c'est à dire que son contenu est à élaborer chaque fois qu'on s'y réfère." Mot(s) clés libre(s) : couche d'ozone, déforestation, écologie, économie, environnement, pollution, responsabilité, ressources naturelles, solidarité
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RUP : La recherche-action en art : du non-savoir à l’inter_vention
/ Olivier SCHERER
/ 01-07-2016
/ Canal-u.fr
LASSUS Marie-Pierre
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par Marie-Pierre Lassus, Maître de conférence HDR en musicologie, Université Charles-de-Gaulle Lille 3
Avec la recherche-action en art apparaît une autre mission de la recherche, entre science et démocratie, qu’il s’agira de questionner à partir du non-savoir, en assumant l’incertitude et l’inconfort induits par ce type de recherche où le savoir n’est jamais donné d’avance mais se pense en chemin et en situation. A partir de trois expériences singulières de recherche-action en art dans des lieux de privation de liberté mêlant des personnes de la société civile (étudiants, professeurs ou professionnels) à des personnes placées sous main de justice et/ou des personnes internées en HP, nous questionnerons la relation « recherche-art » en soulignant l’invention et la créativité requises en situation ainsi que la possibilié d’inter_venir (ou venir-entre) pour connaître et créer du commun entre les gens. Nous mettrons ainsi en avant le caractère politique (au sens arendtienne d’une pluralité d’individus singuliers) et délibératif des dispositifs artistiques mis en place dans ces expériences (orchestre participatif, détenus, commissaires d’exposition) pour transformer la réalité de l’environnement en milieu de vie, propice aux échanges et aux dialogues. Grâce au travail musical (tant individuel que collectif), ou à l’écriture poétique et/ou plastique, rencontrer l’autre devient possible à travers les langages généras par ces pratiques artistiques indissociables d’un travail sur soi et sur autrui (le care), de caractère éthique autant que politique. Mot(s) clés libre(s) : musicologie, prison, public empêché, environnement d'apprentissage, recherche-action
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L'alimentation, parlons-en
/ 04-04-2013
/ Canal-u.fr
LAVELLE Christophe
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Si l'adage "nous sommes ce que nous
mangeons" est quelque peu un raccourci, il n'en reste pas moins que notre
mode de vie (et, en premier lieu, notre alimentation) influence notre
développement. Nous verrons quel rôle joue l'épigénétique dans cette affaire,
et tenterons notamment de montrer les liens de plus en plus solides qui se
tissent autour de la trilogie alimentation, épigénétique et cancer.
Dernier volet du cycle de conférences "De la génétique à l'épigénétique". Pour voir les volets précédents : 1.Histoire des idées2. Voyage au coeur de nos cellules Mot(s) clés libre(s) : ADN, environnement, cancer, molécule, épidémiologique, compléments alimentaires
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L'évaluation environnementale : principes, organisation administrative, conséquences
/ Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire - Université de Caen Basse-Normandie, Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ 17-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
Lavoux Thierry
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Cette conférence a été filmée le 17 janvier 2012 dans le cadre du séminaire annuel « Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales », au programme du Master recherche de Sociologie de l'Université de Caen. Initié dans les années 1990, ce séminaire est actuellement dirigé par Salvador Juan, professeur de sociologie à l'Université de Caen.Résumé de la communicationLes préoccupations environnementales sont aujourd'hui très présentes sur la scène publique et elles constituent un enjeu du débat politique. Depuis des dizaines d'années, les connaissances à ce sujet n'ont cessé de s'accroître. De nombreux indicateurs, spécifiques ou globaux, ont été mis en place, surtout par les économistes, afin de mesurer l'impact environnemental des activités humaines. Comment se fait-il, dès lors, que les pratiques ne changent pas à la mesure de ces connaissances ? Thierry Lavoux tente de répondre à cette question en analysant les controverses au cœur du débat. Il interroge l'indépendance des évaluateurs. Puis il évoque un problème, non résolu aujourd'hui : celui des relations entre connaissance et jeux d'acteurs. Autre facteur important : l'utilisation de l'information. Alors que la demande sociale est de plus en plus importante en la matière, il est très difficile de communiquer sur des sujets si complexes. Le rôle des politiques publiques consiste donc de trouver les bons leviers d'action pour que les comportements citoyens soient influencés par un ensemble de connaissances qui se situe à une échelle différente de celle de la vie quotidienne. Mathilde Heinrich Mot(s) clés libre(s) : Développement, Environnement, Evaluation, Politique
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8. Les cartes mentales en éducation au développement durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 05-06-2015
/ Canal-u.fr
LENA Jean-Yves
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Dans cette vidéo, Jean-Yves Léna explique ce que sont les cartes mentales, comment elles peuvent être créées et interprétées, et comment elles peuvent contribuer à une éducation à l'environnement et au développement durable. Mot(s) clés libre(s) : environnement, outil, développement durable, éducation, cartes mentales, pédagogie
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Missions et modalités d'action du Conservatoire du littoral
/ Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire - Université de Caen Basse-Normandie, Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ 25-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEYMARIE Régis
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Cette conférence a pour titre : « Les missions du Conservatoire du littoral ». Elle a été filmée le 25 octobre 2011 dans le cadre du séminaire annuel «Changements institutionnels, risques et vulnérabilités sociales », au programme du Master recherche de Sociologie de l'Université de Caen. Initié dans les années 1990, ce séminaire est actuellement dirigé par Salvador Juan, professeur de sociologie à l'Université de Caen. Les conférences précédemment enregistrées (depuis 2007) dans le cadre de ce master sont lisibles sur le site de la forge numérique.Résumé de la conférenceLe Conservatoire du littoral est un établissement public voué à acquérir et protéger les espaces naturels côtiers. Il possède aujourd'hui 12,7 % du linéaire côtier. Il doit définir des orientations de gestion car il n'est pas lui-même gestionnaire de ses territoires. Ce sont, dans la majeure partie des cas, les collectivités locales. Depuis la loi de 2002 dite Démocratie de Proximité, le Conservatoire du littoral peut également exercer ses missions sur une portion du Domaine Public Maritime qui lui est confiée. Il existe 10 délégations régionales. En Normandie, cet établissement est également opérateur, pour le compte de l'État, de 15 sites Natura 2000 situés sur le littoral. En tant qu'établissement public, le Conservatoire du littoral est amené à travailler avec des représentants de l'État qui peuvent être l'État lui-même ou ses services déconcentrés, des établissements publics ou les collectivités locales. Plusieurs projets sont en cours actuellement en Normandie. L'université de Caen Basse-Normandie est partenaire du projet Interreg LICCO, Living with a Changing Coast. L'objectif de ce programme est de construire, avec les acteurs locaux, une stratégie, face au changement global, d'adaptation à long terme pour protéger les sites littoraux. Des projets de ce type sont certes ambitieux, mais permettent d'anticiper le changement climatique, plutôt que d'attendre et de se trouver en situation de gestion de crise. Mathilde Heinrich Mot(s) clés libre(s) : environnement, maritime, protection
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Le développement durable - Robert Lion
/ UTLS - la suite, UTLS au lycée
/ 19-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
LION Robert
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Une conférence de l'UTLs au LycéeLycée de la côte d’Albâtre (76 Saint Valery en Caux)Avec Robert Lion (président d’Agrisud) Mot(s) clés libre(s) : développement durable, grenelle de l'environnement, ONG
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La vie dans des conditions extrêmes
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 14-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LOPEZ-GARCIA Purificacion
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Au cours des 30 dernières années, nous avons assisté à la découverte d'une extraordinaire diversité de microorganismes habitant des milieux que l'on croyait auparavant hostiles à la vie. Aujourd'hui, on sait que la vie microbienne s'étend sur Terre partout où l'on trouve l'eau à l'état liquide, des calottes polaires jusqu'aux sources hydrothermales sous-marines, dans les déserts, dans des lacs hypersalins ou de soude, dans des eaux acides, à l'intérieur de la croûte terrestre... On a baptisé comme « extrêmophiles » ces organismes limites du vivant, qui se développent optimalement dans des environnements où les conditions physico-chimiques sont insoutenables pour le reste des êtres vivants. Ces conditions mettent à l'épreuve les propriétés de stabilité et de fonctionnalité des macromolécules biologiques. Comment font-ils pour survivre ? Des études de biologie moléculaire montrent que ces microbes sont prodigieusement bien adaptés aux conditions extrêmes et que leurs molécules ne sauraient fonctionner dans des milieux plus doux. De là, l'intérêt biotechnologique que les extrêmophiles ont suscité. Mais surtout, la découverte des extrêmophiles et des nouvelles limites de la vie sur Terre a permis d'aborder la question de la vie extraterrestre de façon rigoureuse. Certains microorganismes de notre planète seraient parfaitement capables de vivre dans les conditions environnementales qui existent dans quelques régions d'autres planètes et satellites, ou d'y avoir existé dans le passé. L'étude des microorganismes des environnements extrêmes a ainsi ouvert des nouvelles perspectives pour aborder la question des origines de la vie et pour l'exploration de la vie dans l'univers. Mot(s) clés libre(s) : adaptation, bactérie, environnement extrême, évolution, exobiologie, extrêmophile, micro-organisme, microbiologie, océanographie, origines de la vie, vie sur terre
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Naviguer comme les Polynésiens
/ Inria / Interstices
/ 20-12-2019
/
Jaulin Luc
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Dans l’Océan Pacifique, les Polynésiens savaient naviguer entre des îles distantes sans GPS, ni boussole, ni horloge. Ils pouvaient rester plusieurs jours sans voir un morceau de terre. Pourtant, ils ne se perdaient pas grâce à une technique de navigation utilisant une connaissance partielle de leur environnement et la vision stellaire. De nos jours, avec l’apparition du GPS, ces techniques peuvent nous paraître désuètes. Cependant, dans un environnement sous-marin, le GPS ne fonctionne pas. Pour naviguer sans refaire surface, les robots sous-marins cherchent à reproduire les méthodes de navigation ancestrales afin d’explorer de grands environnements sans jamais se perdre. Mot(s) clés libre(s) : robotique sous-marine, robotique mobile, intelligence artificielle, navigation topologique, navigation métrique, exploration, environnement non structuré
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