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Voyage au coeur de la matière, source de lumière : de l’incandescence aux diverses luminescences
/ Paris Tech ESPCI
/ 07-12-2015
/ Canal-u.fr
ESPCI Paris Tech
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Avec Bernard Valeur (Conservatoire national des arts et métiers) et Jonathan Piard (École normale supérieure de Cachan)
De la bougie à la lampe halogène, du tube fluo aux LED, des bâtons lumineux aux vers luisants, la matière se fait source de lumière de multiples façons. En particulier, le phénomène général de luminescence se décline en fluorescence, phosphorescence, électroluminescence, chimiluminescence, bioluminescence, etc. Des expériences seront réalisées afin d’illustrer la diversité des mécanismes d’émission mis en jeu où les électrons règnent en maîtres. Mot(s) clés libre(s) : fluorescence, phosphoresence
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Voyage au centre des protéines
/ UTLS - la suite
/ 20-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
PéBAY-PEYROULA
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Les protéines sont les principaux acteurs du vivant, non seulement par leur quantité, mais surtout par la diversité des fonctions qu'elles exercent, allant de la catalyse de réactions chimiques jusqu'à la structuration de la matière vivante. Elles sont formées de longues chaînes d'acides aminés, qui se replient dans l'espace ; et cette structure tri-dimensionnelle est à la base de la fonction assurée par la protéine. Connaître la structure aux détails atomiques près, comprendre ses propriétés dynamiques, suivre les changements de conformation d'une protéine en action, intégrer ces connaissances aux données biochimiques et fonctionnelles constituent le coeur de la biologie structurale et permet d'avancer considérablement dans la compréhension de la fonction des protéines. Au cours de cet exposé, après avoir introduit quelques notions de base sur la composition des protéines, nous montrerons l'apport de la physique aux méthodes expérimentales permettant de sonder la structure des protéines et illustreront ensuite l'intérêt de ces études par quelques exemples. Mot(s) clés libre(s) : acide aminé, adénosine triphosphate, ADP, ATP, biologie structurale, cristallographie, infiniment petit, macromolécule biologique, protéine, protéine membranaire, rayonnement synchrotron, repliement des protéines
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Voyage au centre de mon coeur
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
LESBRE J.
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Les ultrasons constituent pour les cardiologues actuels une révolution tout aussi radicale que celle de l'électrocardiogramme. L'e Doppler couleur et l'émission d'ultra sons permettent d'analyser les flux sanguins, leur direction et leur vitesse. Ce film illustre les caractéristiques Doppler d'un coeur normal et les applications du Doppler couleur en pratique cardiologique de tous les jours : rétrécissement valvulaire, insuffisance valvulaire, shunt gauche - droit et évaluation fonctionnelle des prothèses valvulaires.
Origine
FILMED 1988 - 88 5102 137
Générique
Auteur: Lesbre J. Co-auteurs: Choquet D.Slama M.Raynier P.Darras B.Tribouilloy C.Jobic Y. Référence Filmed: 88 5102 137 SCD Médecine Mot(s) clés libre(s) : coeur, échodoppler couleur, FILMED
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Vous avez dit handicap ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 21-02-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MAZAUX Jean-Michel, BARUCQ Jean
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A partir des années 70, la représentation sociale du handicap se déplace d’un modèle individuel et biomédical à un modèle social. La société s’adapte à la personne handicapée et non plus l’inverse. Les associations et les familles ont joué un rôle fondamental dans cette mutation : les associations par leur rôle de pression politique sur la société et la famille moderne par sa combattivité. Ce mouvement aboutit le 11 février 2005 à la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées qui apporte plusieurs points positifs dont pour n’en citer que quelques-uns une définition du terme «handicap », absente de la loi de 1975 et la création des Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH). Ces structures, destinées à faciliter les démarches, offrent dans chaque département un accès unifié aux droits et prestations prévus pour les personnes handicapées.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2006-2007 sur le thème "L'autre". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : droit, handicap, handicapés, intégration, politique publique, protection, services aux handicapés
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Volvox, une algue verte mobile
/ BioMedia-UPMC
/ 24-03-2011
/ Unisciel
Delarue Michel, Camus Gilles
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Volvox est une algue verte d'eau douce appartenant au groupe monophylétique des Chlorobiontes, qui regroupe ce qu'on appelle communément les "végétaux verts", à savoir les algues vertes et les plantes terrestres (Embryophytes). Elle forme des colonies sphériques de 500 à 50 000 cellules environ dont les cellules somatiques froment un unique feuillet périphérique. Ces cellules étant biflagellées, la colonie est mobile. Mot(s) clés libre(s) : Volvox, Algue, verte
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Volcanisme et évolution de la vie sur terre
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
COURTILLOT Vincent
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Les causes les plus fréquemment citées des extinctions en masse des espèces biologiques comprennent les impacts d'astéroides, les éruptions volcaniques massives (traps), les variations du niveau de la mer, les événements anoxiques (plus d'oxygène dans les eaux profondes des océans), et aussi des mécanismes purement biologiques liés a la dynamique des espèces. Cet exposé fera le point sur les résultats récents concernant l'âge des principaux traps continentaux et océaniques et montrera un nombre croissant de corrélations avec les extinctions et les événements anoxiques. Seule la limite Jurassique-Crétacé (145 millions d'années) ne semble pas correspondre à un trap et pourtant il en existe un, le Parana en Amérique du Sud, de quelques millions d'années plus jeune (coïncidence ou erreur de datation?). Une des prédictions récentes couronnée de succès est la coïncidence entre les traps d'Emeishan et la fin du Guadalupien (il y a 258 millions d'années), et les traps de la limite Frasnien-Famennien (360 millions d'années) viennent peut être d'être trouvés, étendant la corrélation pratiquement "sans faute" au moins jusqu'au début du Dévonien. En contraste, l'impact de la limite Crétacé-Tertiaire, dont l'existence n'est pas mise en cause, reste à ce jour le seul cas bien établi d'un impact coïncidant avec une limite. La question est alors de savoir quelle aurait été l'amplitude de l'extinction coïncidant avec l'impact si la biosphère n'avait pas ete préalablement stressée par le volcanisme qui se poursuivait alors depuis quelques centaines de milliers d'années. Les variations du niveau de la mer, qui ne peuvent evidemment être associeés aux impacts, peuvent très bien l'être aux traps. Il semble donc que ce soit des "pulsations internes" caractéristiques de la dynamique du globe qui soient responsables la plupart du temps au Phanérozoique de ces brefs épisodes où ce ne sont plus les mieux adaptés mais les plus chanceux qui survivent. Mot(s) clés libre(s) : champ magnétique terrestre, disparition des dinosaures, éruption volcanique, évolution de la vie, extinction d'espèces, géologie, géophysique, lave, magma, météorite, tectonique des plaques, trapp, volcan, volcanologie
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Voix de substitution après chirurgie du pharyngo-larynx pour cancer
/ FILMED
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BATTEUR B.
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Rééducation de la voix après ablation chirurgicale du pharyngo-larynx pour cancer
Origine
FILMED : 98 5501 179
Générique
Auteur : Batteur B. FILMED : 98 5501 179 Mot(s) clés libre(s) : FILMED, orthophonie, rééducation, voix
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Voir l’invisible à l’aide d’impulsions laser ultra-brèves
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 15-01-2016
/ Canal-u.fr
ABRAHAM Emmanuel
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Comment déterminer le nombre de pages d’un livre sans les
compter une à une, sans même les toucher, et cela en un temps très court ?
C’est à ce genre de questions (mais à bien d’autres aussi)
qu’Emmanuel Abraham est capable de répondre. Le sujet qu’il étudie concerne les
interactions matière-rayonnement. Il utilise des lasers puissants, à impulsions
ultracourtes, de l’échelle des femtosecondes, une femtoseconde équivalent à un
millionième de milliardième de seconde !… Ce type de laser, au contact de
graphite, génère des ondes téra Hertz que l’on peut visualiser sur un écran. Cette
onde révèle un maximum dans son tracé qui apparait à un temps précis. Si
ensuite l’on interpose sur le trajet de l’onde un obstacle tel qu’un assemblage
de feuilles de papiers comme celles composant un livre, on observe alors que le maximum de l’onde est
décalé dans le temps ; ce décalage est proportionnel au nombre de feuilles
de papier. Bien étalonné, on peut alors en déduire le nombre exact de feuilles,
ou de pages d’un livre. Simple, non ?
Emmanuel Abraham est Professeur à l'Université de Bordeaux et développe ses recherches dans l'équipe Photonique et MAtériaux du Laboratoire Ondes et Matière d'Aquitaine
Site du LOMA
Ce document a été réalisé dans la cadre de
« Physique des objets du quotidien », un MOOC coordonné par Ulysse Delabre, Maître de Conférences
en physique à l'Université de Bordeaux, et développé par la Mission d’Appui à
la Pédagogie et à l’Innovation (MAPI) de l'Université de Bordeaux Mot(s) clés libre(s) : laser femtoseconde, onde terahertz
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Voir les cellules communiquer
/ UTLS - la suite
/ 19-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
AMATORE Christian
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Nos cellules "communiquent" chimiquement en échangeant des "molécules-mots" : hormones, neurotransmetteurs, etc. Le dialogue entre neurones dans notre cerveau est ainsi intimement lié à leurs échanges de petites bouffées de neurotransmetteurs de proche à proche. Beaucoup est déjà connu en physiologie et en biologie sur ce domaine, mais il reste encore très mystérieux car nos connaissances sur le sujet sont encore limitées par des difficultés expérimentales. Cela se comprend aisément lorsque l'on sait que ces échanges impliquent seulement quelques milliers de molécules-mots en quelques millièmes de seconde. De même, les neurones étant incapables de stocker leur énergie, ont une activité impliquant un couplage très fin avec le système neurovasculaire qui irrigue le cerveau. En d'autres termes, lorsqu'un neurone "communique avec ses partenaires", il doit simultanément "réclamer" un accroissement du flux sanguin à son voisinage immédiat. C'est précisément cette modulation locale du flux sanguin qui est observée en temps réel par imagerie IRM ou par caméra à positons (PET scan) avec des conséquences importantes en médecine ou en sciences cognitives. Néanmoins, le phénomène observé n'est que le résultat d'un échange de neurotransmetteur, le NO, sous-jacent comme nous le démontrerons au cours de cette conférence. Au cours de cette conférence nous expliquerons comment des électrodes extrêmement petites (entre une vingtaine et une cinquantaine d'entre elles, réunies en faisceau, auraient l'épaisseur d'un seul cheveu humain !) peuvent être utilisées afin de "voir les cellules parler". Nous montrerons ensuite comment les données expérimentales ainsi obtenues permettent de remonter aux mécanismes physicochimiques mis en jeu, c'est-à-dire de "comprendre comment elles parlent". voir le site internet : : http://helene.ens.fr/w3amatore/ Mot(s) clés libre(s) : cellule, chimie organique, cinétique, espace synaptique, hormone, modélisation, neurone, neurotransmetteur, physico-chimie, vésicule
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Voir le cerveau penser
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 26-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées... Mot(s) clés libre(s) : anatomie cérébrale, Broca, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, language, matière blanche, matière grise, motricité, neuroimagerie, neurone, neuroscience, pensée, région cérébrale, She
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