Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Extraction de composés volatils et ellagitanins pendant l’élevage en barrique ou en contact avec des morceaux de bois de chêne
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
CHIRA Kleopatra
Voir le résumé
Voir le résumé
VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Bois et Oxygène
Kleopatra Chira, Extraction de composés volatils et ellagitanins pendant l’élevage en barrique ou en contact avec des morceaux de bois de chêne
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, vin, oxygénation
|
Accéder à la ressource
|
|
L'appropriation du vivant : de la biologie au débat social
/ Mission 2000 en France
/ 22-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVASSUS Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence du 22 janvier 2000 par Bernard Chevassus. Si la possession d'êtres vivants individualisés est une pratique ancienne, la volonté de revendiquer une propriété plus globale, s'étendant à un ensemble indéfini d'individus et à leur progéniture, n'est apparu qu'au vingtième siècle et s'est particulièrement affirmée avec l'essor des biotechnologies. L'émergence de cette revendication résulte en effet d'une conjonction entre des possibilités techniques nouvelles et des enjeux économiques devenus planétaires. Nous examinerons dans un premier temps la genèse scientifique et technique de cette "maîtrise de la génération", en montrant que les procédés sur lesquels la société s'interroge aujourd'hui - transgenèse, clonage, gène "Terminator" - sont l'aboutissement d'une longue quête pour comprendre et maîtriser les processus de la transmission de la vie. Nos exemples seront principalement issus des espèces animales et végétales utilisées pour l'agriculture, les questions plus particulièrement liées à l'être humain étant abordées par d'autres conférences. Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, biotechnologie, clonage, éthique, génération, génétique, propriété du vivant, reproduction, vivant
|
Accéder à la ressource
|
|
Le pétrole
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Musée du quai Branly
/ 18-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVALIER Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence de Jean-Marie Chevalier donnée le 18 février 2010 dans le cadre de l'Université populaire du quai Branly. Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières Le pétrole, par Jean-Marie Chevalier Jean-Marie Chevalier est professeur de sciences économiques à l’Université Paris-Dauphine où il dirige le Centre de Géopolitique de l’Énergie et des Matières Premières (CGEMP). Il est aussi Senior Associé au Cambridge Energy Research Associates (IHSCERA, bureau de Paris), membre du Conseil d’Analyse Économique (CAE) du Premier Ministre, membre du Cercle des Économistes et administrateur de Nexans. Jean-Marie Chevalier est diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris, Docteur en Sciences Économiques (Université Panthéon-Sorbonne) et Agrégé des Facultés de Sciences économiques. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et articles sur l’industrie et l’énergie, dont Les grandes batailles de l’énergie (2004), Les marchés du gaz et de l’électricité : un défi pour l’Europe et pour la France (avec J. Percebois, Rapport du CAE 2008), Les 100 mots de l’énergie (2008), Les nouveaux défis de l’énergie : Climat, Économie et Géopolitique (collectif 2009) dont la version anglaise est The New Energy Crisis: Climate, Economics and Geopolitics. En octobre 2009, Christine Lagarde, ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi, a confié à Jean-Marie Chevalier la présidence d’un groupe de travail sur la volatilité du prix du pétrole. Le rapport a été présenté en février 2010. Mot(s) clés libre(s) : énergie, histoire du pétrole, matière première, pétrole
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - L.Checola
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
CHECOLA Laurent
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Intervention du bois de chêne Quercus sp. sur le développement de Brettanomyces sp. dans les vins
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
CHATONNET Pascal
Voir le résumé
Voir le résumé
13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
L’élevage en barrique a été souvent associé au développement du caractère « Brett » dans les vins. Même si Brettanomyces sp. peut se développer quel que soit le type de contenant, il est vrai que la conservation au contact du bois de chêne est un facteur susceptible de favoriser le développement de ce microorganisme de contamination. Il reste à comprendre pourquoi. Tout d’abord, le bois de chêne possède une structure microporeuse particulière. La rugosité et la porosité de la surface du bois en contact avec le vin offrent à tous les micro-organismes une surface de développement et une protection vis-à-vis des agents antiseptiques présents dans le vin. Il est donc facile de comprendre que les enjeux du nettoyage d’abord et de la désinfection ensuite sont infiniment compliqués avec un matériau de ce type. D’autre part, certains auteurs ont suggéré que le bois de chêne Quercus sp., en particulier lorsqu’il était chauffé, pouvait libérer dans le vin des sucres favorables au développement de Brettanomyces sp. tels que le cellobiose (β-D-glucopyranosyl (1->4)-D-glucopyranose) ; les barriques neuves ou les solutions alternatives d’élevage (copeaux, douelles), représenteraient alors une source potentielle de nutriments permettant d’expliquer le développement plus important du caractère « phénolé » au contact du bois neuf. Brettanomyces sp. peut effectivement métaboliser différents types de sucres apportés par le bois et son chauffage, notamment des osides simples comme le glucose ou le galactose, mais aussi des diholosides et des anhydrides de sucres formés lors de la dégradation des hémicelluloses (galactopyranosane) et plus secondairement de la cellulose (cellobiose, cellobiosane, levoglucosane). Cependant, lorsque des extraits hydro-solubles de bois de chêne Quercus sp. chauffé ou non chauffé sont ajoutés à un milieu de culture simulant le vin, Brettanomyces sp. ne se développe pas de façon plus importante en présence des extractibles du bois, tout au contraire. Ce résultat démontre que les extractibles de Quercus sp. et notamment les sucres et anhydrides de sucres ne représentent pas un facteur significatif de croissance de Brettanomyces sp. dans les conditions de vinification ou d’élevage. En revanche, le chauffage du bois peut augmenter la teneur en acides cinnamiques et favoriser la production d’éthyl-4-gaïacol. Enfin, s’il existe peu de différences de pénétration d’oxygène entre une barrique usagée et une barrique neuve, en revanche, la réactivité de l’oxygène dans le vin est très différente selon l’âge de la barrique ou le degré de recyclage des alternatives. Cette réactivité dépend directement de la quantité de tannins ellagiques extractibles du bois de chêne, composés éminemment plus réactifs que les polyphénols du vin rouge et qui diminuent avec la durée d’usage. Grâce au phénomène d’oxydation couplée, ils peuvent induire l’apparition de radicaux oxydants puissants. Il s’ensuit que le SO2 moléculaire actif dans une barrique neuve, seul inhibiteur de Brettanomyces sp., est nettement plus instable dans une barrique neuve que dans une barrique usagée.Les observations réalisées dans la pratique sont expliquées par les expériences en solutions modèles. En outre, les barriques neuves possèdent une consume de vin plus importante au cours des trois à six premiers mois d’utilisation ; ce facteur concourt à une pénétration accrue d’oxygène dans les vins élevés en barriques neuves au cours des premiers mois d’utilisation et corrélativement à une oxydation et à une combinaison accrues du dioxyde de soufre. À la lumière de ces résultats, on comprendra aisément qu’il n’y a pas de mystère pour expliquer le développement parfois nettement plus rapide de Brettanomyces sp. dans les vins conservés au contact du bois neuf en comparaison de barriques usagées potentiellement bien plus dangereuses. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
|
Accéder à la ressource
|
|
Bio et goût du terroir : atouts et dérives
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
CHAPOUTIER Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Pratiques oenologiques: les attentes du marché
Michel Chapoutier, Bio et goût du terroir: atouts et dérives
Si l’histoire du vin
trouve ses origines dans la nuit des temps, les secrets qui ont accompagné les différentes étapes
de son histoire se promènent entre vérités et superstitions, entre certitudes d’un
jour et contre-vérités du lendemain. À qui la gloire de la réussite, à qui la
responsabilité de l’échec ? Qui de l’agronomie, qui de l’oenologie, qui de la
recherche expérimentale, qui de la recherche fondamentale ?
À la fin des années
2000, l’INAO, puis l’O.I.V valident une définition conciliante et simple du terroir. Par cette
définition, il commence à être intéressant et facile de prendre une certaine
hauteur et de se poser la question que serait un terroir, et quels outils et
quels moyens pouvaient l’influencer.
C’est dans ce contexte que la
défense du vivant, des micro-organismes, de la bactériologie trouva un terrain propice pour faire
entendre la philosophie de l’agriculteur biologique. L’approche agrobiologique
(biologique ou biodynamique) a le mérite de rappeler un fondamental agronomique (une plante vivante sur
un sol vivant). Ceci n’est pas réellement innovant, mais interpelle par des
questions qu’on se pose souvent, mais que l’on ne juge pas toujours
prioritaires. S’il est indéniable que l’agrobiologie
a le mérite de remettre l’église au milieu du village dans une pensée agronomique moderne et
adaptée, elle doit aussi savoir reconnaître ses points faibles, carences et limites :
- Au niveau de la vigne
(phytotoxicité des cuivres ?),
- Au niveau de l’oenologie (zéro SO²,
éthylphénols, oxydation, etc.)
- Et enfin
le risque de dérive commerciale en refusant d’écarter Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
|
Accéder à la ressource
|
|
Du pétrole et du gaz aux plastiques
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CASTEL Joëlle
Voir le résumé
Voir le résumé
Gaz naturel et pétrole et tous les hydrocarbures en général - sont des matières premières familières, que nous associons d'emblée à la production d'énergie : centrales électriques, carburants automobiles, ainsi que chauffage domestique au gaz et au fioul. Mais en parallèle de cet emploi en tant que combustibles, ces ressources naturelles sont les matières premières de base de la pétrochimie, qui fournit d'innombrables matériaux synthétiques aujourd'hui indispensables à notre monde moderne. Du caoutchouc aux divers plastiques, en passant par les fibres synthétiques, les solvants et colorants, les engrais et même les médicaments, les hydrocarbures sont omniprésents dans notre quotidien. Si les principes de base de la pétrochimie sont connus depuis le 19ème siècle, c'est surtout après la deuxième guerre mondiale qu'elle a connu un développement important. Mais ce n'est pas pour autant une industrie vieillissante, car le renchérissement du coût des matières premières a conduit à une recherche de la performance technique tant au niveau efficacité qu'au niveau coût. Cette industrie a également su s'adapter aux contraintes environnementales de plus en plus sévères en vigueur aujourd'hui. Requérant d'énormes investissements en capital, elle fait appel à des technologies complexes pour la fabrication de produits de haute pureté. Sans avoir pour ambition de décrire de façon exhaustive toutes les technologies de transformation du gaz naturel et du pétrole, cette présentation passe en revue quelques unes des grandes filières de transformation de ces matières premières aboutissant à des produits de synthèse bien connus tels que les engrais, le polystyrène ou le polyéthylène. Mot(s) clés libre(s) : chaine de traitement du pétrole, gaz naturel, hydrocarbure, matériaux synthétiques, pétrochimie, plastique, polymère, raffinage
|
Accéder à la ressource
|
|
La transgénèse végétale
/ Jacqueline GUIBAL, Université Montpellier 1
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASSE Françoise, BREITLER Jean-Christophe
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis 1983 où les premiers tabacs transgéniques résistant à la kanamycine ont été obtenus, la transgénèse végétale est devenue un outil largement utilisé aussi bien en recherche fondamentale pour étudier la régulation de l'expression des gènes de plantes ou faciliter leur clonage par étiquetage, qu'en amélioration des plantes pour introduire des caractères d'intérêt agronomique ou à des fins industrielles pour produire des substances à forte valeur ajoutée.GénériquePrise de vue Jean-Luc FAUQUIER Prise de son Alain PETIT Régie Jean-Marc TALENTON Montage Aude REVALOR Moyens techniques ASV Montpellier Création musicale Jean-Luc GRANIER Infographie Jean-Christophe BREITLER Boris BOUQUET Ingénierie pédagogique Bernard DUMONT Supervision scientifique Françoise CASTEX Lynn SALHI Réalisation Jacqueline GUIBAL Avec le soutien du Ministère de l'Education nationale et du Ministère de la Recherche Copyright Université Montpellier 1 - 2000 Mot(s) clés libre(s) : clonage, gènes, génétique, plantes, transgénique
|
Accéder à la ressource
|
|
Pourquoi un antibiotique permet de sélectionner une plante transgénique ?
/ BioMedia-UPMC
/ 03-02-2011
/ Unisciel
Camus Gilles
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans le protocole de transgenèse d'un organisme végétal, la sélection des cellules ayant intégré le transgène s'effectue sur un milieu de culture contenant un antibiotique, en tirant parti du fait que le vecteur comporte un gène de résistance à l'antibiotique utilisé en plus du gène d'intérêt. Dans ce cadre, seules les cellules ayant intégré le transgène pourront se développer en présence de l'antibiotique, et par la suite donner une nouvelle plante. Mot(s) clés libre(s) : Sélection, Transgénèse, Antibiotiques
|
Accéder à la ressource
|
|
La génomique végétale et les plantes cultivées - Michel Caboche
/ UTLS - la suite
/ 13-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CABOCHE Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?Par Michel Caboche, Directeur adjoint de l’unité de Recherche en Génomique Végétale INRA – CNRS – Université d’Evry Mot(s) clés libre(s) : ADN, génétique, génome, OGM
|
Accéder à la ressource
|
|