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Journées EMOIS Nancy 2015 : Session C2- Quel management pour quelle qualité après 4 ans de professionnalisation du codage ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, Université de Lorraine
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
MADELON Gilles
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Titre : Journées EMOIS Nancy 2015 - Session C2- Quel management pour quelle qualité après 4 ans de professionnalisation du codage ? – Auditorium 850Modérateurs : L. MOLINIER, N. TARIGHTIntervenant(s) : Gilles MADELONL’auteur
n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées
dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du XXVIIIe Congrès EMOIS le 26 et 27 mars 2015 au Centre Prouvé Grand Nancy.
----------PROGRAMME JEUDI 26 MARS Auditorium 850 ----------
8h309h30 : Accueil des participants – Hall d’accueil9h3010h00 : Discours d’ouverture du congrès – Auditorium 85010h0011h00 : Conférence invitée – Auditorium 850Modérateurs : C QUANTIN, M GOLDBERGIntervenant
Victor RODWIN. L'Epidémiologie des soins médicaux : un exemple des
besoins d’une exploitation accrue des données médicoadministratives
françaises11h0012h30 : Sessions parallèlesA1
– Utilisation de l'information médicale pour la prévision de l'activité
pour la sécurité des soins : analyse de l'activité, stratégie et
contractualisation – Auditorium 850Modérateurs : B GARRIGUES, D MAYEUXDESMARETS M,
BARDIAUX L, BENZENINE E, TIBERGHIEN P, QUANTIN C, MONNET E. Survie des
receveurs après transfusion en Bourgogne/FrancheComté : étude
pronostique dans deux CHU.NEURAZ A, GUERIN C, PAYET C,
POLAZZI S, SCHOTT AM, DUCLOS A. Influence de la dotation en personnel
et de la charge de travail sur la mortalité en réanimation: une étude
multicentrique observationnelle.FAUCON M, BAZIN A,
HILY Q, BABIN E, GUITTET L. Développement, adaptation et validation d’un
indicateur de sécurité des soins hospitaliers sur l’hémorragie ou
l’hématome postopératoire à partir des données PMSI.GOUESLARD K,
IACOBELLI S, COTTENET J, ROUSSOT A, COMBIER E, QUANTIN C. Hémorragie
sévère du PostPartum et distance domicile-hôpital : étude en population à
partir des données hospitalières.ALLENBACH D, PEREIRA O. Evolution de la demande de transports des patients dialysés de Lorraine entre 2012 et 2013.QUILLET A, DEFOSSEZ G,
INGRAND P. Surveillance des délais d’accès aux traitements chez des
patientes atteintes d’un cancer du sein : une approche automatisée à
partir des données d’un registre des cancers.
12h3014h00 : Déjeuner – Espace réceptif 52014h0015h30 : Sessions parallèlesB1 : PMSI T2A et actualités – Auditorium 850Modérateurs: G NISAND, D MAYEUX
15h3016h00 : Pause – Hall 316h0017h30 : Sessions parallèles
C2 : Organisation de la production de l'information
médicalisée quels modèles ? Quels choix en vue de la certification des
comptes ? Auditorium 850Modérateurs: L MOLINIER, N TARIGHTSEGOUIN C. Vécu des DIM en France en 2014 : résultats du premier questionnaire national sur ce sujet.MADELON G. Quel management pour quelle qualité après 4 ans de professionnalisation du codage ?TRAN BA LOC P,
MULLER J, JEANDEMANGE S, NISAND G. Que peuton attendre du DIM pour
améliorer l'indice de performance de la durée moyenne de séjour ?NGO T H, MARCHAND P. Le dossier de soins infirmier : son impact dans le codage centraliséSTRUKOV A, DELON M, BOUTEILLER M, PEROZZIELLO A, PICOULEAU D, BUZZI JC. Apport del'information paramédicale à la valorisation des séjours MCO.BARON S, PHUONG T, POULHES C, TINE S, DUCLOS C. Les diététiciens : acteurs de la qualité et duPMSI.17h3019h00 : AteliersAtelier " codage " assuré par Laurence Duriff et Olivier Guye. Salle 101Atelier "outils de l'information " assuré par Max Bensadon. Salle 105/10618h00 : Assemblée Générale COPSICOM Auditorium 30020h00 : Dîner de Gala
Réalisation, production : UNF3S- Canal U/3S - Université de LorraineMots
clés : EMOIS, 2015, Nancy, épidémiologie, évaluation, management,
organisation, information, santé, PMSI, T2A, tarification à l’activité,
programme de médicalisation des systèmes d’information Mot(s) clés libre(s) : Lorraine, 2015, programme de médicalisation des systèmes d’information, tarification à l’activité, T2A, PMSI, santé, information, organisation, management, évaluation, épidémiologie, EMOIS, université, Nancy
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CIDMEF Libreville 2011 - Construire un partenariat pédagogique avec les sciences de l'éducation
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LUDES Bertrand
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé Intervenant : Bertrand LUDES (professeur, doyen honoraire de la Faculté de Médecine de Strasbourg)Résumé : Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé. Construire un partenariat pédagogique avec les Sciences de l’Education, pourquoi, comment ?Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère-enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF Libreville 2011, enseignement, évaluation, partenariat, pédagogie, sciences de l'éducation, université
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CIDMEF Libreville 2011 - Synthèse des communications.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LOEMBE Paul-Marie
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé Intervenant : Paul-Marie LOEMBE (Libreville, Gabon)Résumé : Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé. Synthèse des communications.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère-enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CIDMEFLibreville 2011, enseignement, évaluation, médecine solidaire, partenariat public-privé
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole [st LSF] / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en cours de mécanique dans l'enseignement agricole / Hervé Lipp, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.* version sous-titrée en langue des signes française.L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant, Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces difficultés, ces apprenants ont des points forts, à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale. L'objectif est "d’utiliser" ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...) (INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation, Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté. Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp, iin "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante
augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant,
Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces
difficultés, ces apprenants ont des points forts à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale.
L'objectif est « d’utiliser » ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...)
(INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation,
Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien
orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la
formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté.
Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à
l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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CIF vaccinologie 2011 - Evaluation économique des stratégies vaccinales.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 06-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY Pierre
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Cours international francophone de vaccinologie.Titre : CIF vaccinologie 2011 - Evaluations du rapport coût bénéfice des vaccinations.Intervenant : Pierre LEVYRésumé : 29 mars 2011 - cours 51 : L'évaluation économique des stratégies vaccinales.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du DIU de vaccinologie le mercredi 6 avril. Hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce - Ecole du Val-de-Grâce.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère - enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ACE, ACU, CIF vaccinologie 2011, évaluation économique, stratégie vaccinale, vaccinologie
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? [st LSF] / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, BRUGEILLE Jean-Louis
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015. Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. * Version sous-titrée en Langue des Signes Française.La Langue des Signes Française (LSF) est aujourd'hui reconnue comme une langue à part entière et de fait comme langue enseignée. Mais sa reconnaissance comme langue d'enseignement reste encore difficile, ce qui peut, comme nous le verrons de manière transversale lors de cette présentation, poser différents problèmes aussi. Pourtant de nombreuses évolutions ont découlé du texte de loi de février 2005 relatif à l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. En effet, dès la rentrée scolaire en septembre 2008, des programmes d'enseignement de la LSF ont été édictés pour un enseignement de langue 1 et de langue 2, dans le premier et second degré -notamment dans le cadre des épreuves facultatives aux baccalauréat et BTS. Il est important toutefois de signaler que des classes où l'enseignement est fait en LSF de la maternelle au lycée existe depuis 1984 en France. Le groupe ministériel chargé de l'élaboration des programmes d'enseignement s'est donc appuyé sur ces expériences du terrain. Par ailleurs, les concours du CAPES de LSF (Certificat d'Aptitude au Professorat de l'Enseignement du Second degré) ont été mis en place également dès l'année scolaire 2009-2010. Depuis cette création, les épreuves du CAPES -comme ceux du Diplôme de compétence en langue (DCL)- et les critères d'évaluation n'ont eu cesse d'être modifiés pour s'adapter au mieux à cette langue visuo-gestuelle, sans écriture (au sens graphique du terme). De même, il faut noter qu'il n'existe pas à ce jour de référentiel détaillé pour la langue des signes française. Seule une ébauche dans le cadre de l'adaptation du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) avait été produite en 2002. Comment donc concevoir des critères d'évaluation adaptés au vu du format des concours proposés ? Il s'agit de soulever, dans le cadre de la justice basée sur des normes collectives et une justesse fondée sur la prise en compte des singularités du
public -les sourds entre autres, des réflexions quant à l'accès des sourds au
français écrit, que nous considérons comme langue seconde pour ce public. Dans cette communication, Élise Leroy et Jean-Louis Brugeille montrent les pistes et solutions d'évaluation pensées dans ce cadre, tout en tenant compte d'une part, de la problématique singulière de l'hétérogénéité du public des candidats (apprentissage divers de la LSF, langue
1 vs langue 2…) et, d'autre part, du caractère singulier de la langue. Il
s'agit, autrement dit, d'expliciter l'innovation des épreuves de ce concours faites au moyen de la LS-vidéo.
En effet, la vidéographie semble être aujourd'hui le moyen de palier l'absence de forme écrite pour cette langue, en remplissant la quasi totalité des fonctions de la lecture/écriture graphique, mais des critères d'évaluation ont dû être inventés tenant compte des compétences techniques et linguistiques que cela implique. Enfin est évoqué un recul sur l'évolution des épreuves au CAPES en montrant les contraintes (éducatives, sociales et politiques) encore rencontrées face à ce jeune concours. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, évaluation en éducation, vidéo (outil d'évaluation), Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré
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CIDMEF Libreville 2011 - Maquette de formation pour un étudiant étranger.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEMARIE Etienne
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé Intervenant : Etienne LEMARIE (professeur – Tours, France)Résumé : Les coopérations institutionnelles et professionnelles en éducation dans les Sciences de la Santé. Comment bâtir une maquette pour un étudiant étranger ? Aspects administratif, juridique et pédagogique.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère-enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : AFS, AFSA, CIDMEF Libreville 2011, contrat pédagogique, DES, DFMS, enseignement, évaluation
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Journées EMOIS Nancy 2015 : Session B2 - Rapprochement des bases de données du Registre Aquitain de prise en charge initiale des Infarctus du myocarde (REANIM) et de celle de la régulation SAMU
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, Université de Lorraine
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
LEGRAND Jean-Pierre, JAY Nicolas, CHAZARD Emmanuel
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Titre : Journées EMOIS Nancy 2015 - Session B2 - Rapprochement des bases de données du Registre Aquitain de prise en
charge initiale des Infarctus du myocarde (REANIM) et de celle de la régulation
SAMU – Auditorium 300Modérateurs : E. CHAZARD, N. JAYIntervenant(s) : Jean-Pierre LEGRANDL’auteur
n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées
dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du XXVIIIe Congrès EMOIS le 26 et 27 mars 2015 au Centre Prouvé Grand Nancy.
----------PROGRAMME JEUDI 26 MARS Auditorium 300 ----------11h0012h30 : Sessions parallèlesA2 – PMSI et épidémiologieModérateurs : G CHATELLIER, S GOMEZ
JANUEL JM, BURNAND B. Biais potentiels de mesures
attribuables à un changement de version de la CIM-10 utilisée pour le codage
des diagnostics des patients hospitalisés dans les hôpitaux en Suisse.
DOAT S, SAMSON S, FAGOT-CAMPAGNA A, TUPPIN P, MENEGAUX F.
Estimation de l’incidence du cancer du sein, de la prostate et du colon-rectum
à partir des données de bases médico-administratives (Echantillon Généraliste
des Bénéficiaires de l’Assurance Maladie).
MOUTENGOU E, MOISAN F, BOUSSAC-ZAREBSKA M, DUPORT N,
CARCAILLON L, ELBAZ A. Estimation de la proportion de malades parkinsoniens en
institution avec pharmacie à usage intérieur à partir du Sniiram en France:
quel impact sur la prévalence?
FRESSON J, EGO A, REY S, MOUQUET MC, JAY N, BLONDEL B.
Analyse de la mortinatalité par le PMSI : premiers résultats nationaux.
PIERRON A, REVERT M,
GOUESLARD K, VUAGNAT A, COTTENET, BENZENINE E, FRESSON J, QUANTIN C. Évaluation
de la qualité métrologique des données du programme de médicalisation du
système d’information (PMSI) en périnatalité : Etude pilote réalisée dans les
CHU de Dijon, Port Royal et Nancy.
CARON A, CLEMENT G, HEYMAN C, AERNOUT E, CHAZARD E, LE
TERTRE A. Détermination de l’exposition de 394 979 nouveau-nés par imputation
multiple de données manquantes dans une étude épidémiologique.
12h3014h00 : Déjeuner – Espace réceptif 52014h0015h30 : Sessions parallèlesB2 : Systèmes
d'informations, automatisation du codage et des contrôles, interfaces
Modérateurs : E CHAZARD, N JAY
Conférence invitée : P MANET. L'accompagnement par
l'ANAP du programme Hôpital Numérique : une étape dans le soutien de la
puissance publique à l'informatisation du Système d'Information de
Santé.
FICHEUR G, FERREIRA CARREIRA L, CHAZARD E, BEUSCART R.
EpiHosp : un outil web permettant l’exploration des poses de dispositifs
médicaux implantables et de leurs complications par la réutilisation de la base
nationale du PMSI.
LEGRAND JP, SEVIN F, LESAINE E, PRADEAU C,
SAILLOUR-GLENISSON F. Rapprochement des bases de données du Registre Aquitain
de prise en charge initiale des Infarctus du myocarde (REANIM) et de celle de
la régulation SAMU.
DJENNAOUI M, FICHEUR G, AERNOUT E, BEUSCART R, CHAZARD E.
Construction et évaluation de règles de prédiction de diagnostics à partir des
bases de données hospitalières : application au contrôle qualité des données
médico-administratives.
CHOUDAT I, GUERIN A, COURAY TARGE S, COROND P, COLIN C.
Certification des comptes des établissements publics de santé. L’exemple des
Hospices Civils de Lyon : une coopération DIM – KPMG.
15h3016h00 : Pause – Hall 316h0017h30 : Sessions parallèles
C1 : Session FIDES
point sur la situation
Modérateurs : C QUANTIN, E TOUSSAINT
Intervention de Yannick LE GUEN
(sous-directeur de la performance des acteurs de l’offre de soins à la
Direction Générale de l’Offre de Soins).
Intervention de Franck ROBIN (directeur du
programme Hôpital à la CnamTS).
Réalisation, production : UNF3S- Canal U/3S - Université de LorraineMots
clés : EMOIS, 2015, Nancy, épidémiologie, évaluation, management,
organisation, information, santé, PMSI, T2A, tarification à l’activité,
programme de médicalisation des systèmes d’information Mot(s) clés libre(s) : Lorraine, 2015, programme de médicalisation des systèmes d’information, tarification à l’activité, T2A, PMSI, santé, information, organisation, management, évaluation, épidémiologie, EMOIS, université, Nancy
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation [st LSF] / Nathalie Lefranc
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEFRANC Nathalie
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation [st LSF] / Nathalie Lefranc, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.[Version sous-titrée en langue des signes française].Depuis plusieurs années au sein du Centre de Formation d'Apprentis, a été mis en place un Centre de Ressources qui avant d'être un espace, se définit comme une démarche autour de la personnalisation des parcours des apprentis, avec pour mission l'élaboration de parcours et l'accompagnement d'apprentis, particulièrement au niveau V et prioritairement d'apprentis en difficulté d'apprentissage avec reconnaissance ou non des troubles DYS, isolés ou associés. Adapter des ressources est devenu rapidement une nécessité pour favoriser l'accessibilité aux supports écrits. Malheureusement, il s'est avéré que c'était nécessaire mais non suffisant au regard des résultats obtenus lors des évaluations pour plusieurs apprentis. En réponse à ces situations d'évaluation qui ne reflètent pas toujours les capacités et les connaissances de certains apprentis, il a été tenté d'adapter les conditions d'évaluations formatives en référence aux demandes d'aménagement aux examens réalisées pour les candidats en situation de handicap. Cette communication décrit les adaptations mises en place de façon empirique. Elles ne s'inscrivent pas dans le cadre d'une expérimentation mais peuvent peut-être devenir une piste de réflexion dans les pratiques pour la formation de jeunes en difficultés. C'est auprès d'apprentis préparant le Certificat d'Aptitude Professionnelle dans le domaine du paysage, qu'ont été expérimentées des adaptations, notamment : en mathématiques, aux vues de certains profils de jeunes et des premiers résultats, la démarche a été de faire travailler les apprentis dans un contexte sécurisé pour lever les blocages souvent inhérents à la non-réussite, se réconcilier parfois avec les mathématiques. Dans un premier temps,ont été mises en évidence les capacités et les compétences du référentiel à acquérir dans des situations très simples de sorte que chacun pouvait réussir une première étape en amorçant parallèlement la démarche d'autoévaluation. Pour certains, l'évaluation a été souvent réalisée à l'oral, éventuellement à travers une manipulation sur l'aire de TP par exemple tels l'estimation de distance, calcul de périmètre. Une grille d'évaluation était adaptée.La Reconnaissance des végétaux est un apprentissage passionnant mais difficile. L'évaluation en classe est souvent réalisée à l'écrit devant un vidéo-projecteur. Avec deux formatrices, nous avons organisé l’évaluation en passation individuelle, en questionnant sur des végétaux, fraîchement cueillis ou mieux sur pied, interpellant ainsi les différents sens. Les résultats sont souvent encourageants et invitent à renouveler de telles pratiques. Elles sont en cohérence avec les conditions d'examen et d'exploitation des compétences dans leur vie professionnelle. Les résultats ont souvent été positifs pour les deux modules. Cependant certaines questions ont été soulevées : valeur de la note en comparaison au groupe classe? Ces adaptations vont-elles permettre au final d'atteindre les objectifs académiques en terme de contenus et conditions de passation ? Pour les formateurs, l'évaluation reste une question complexe. La question d'équité prend ainsi toute sa valeur. Il est certain qu'évaluer savoirs et/ou savoirs-faire requiert une profonde réflexion sur le sens, les objectifs visés et les moyens mis en œuvre pour chaque apprenant. L'issue de cette démarche expérimentale encourage à réfléchir sur les modalités d'évaluation au sein de la classe et à plus long terme, probablement, pour un plus grand nombre d'apprenants. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, apprentissage professionnel, enfants handicapés (éducation)
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