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Le bonheur est dans le pré : oies, canards, poulets et …psittacose
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 11-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DE BARBEYRAC Bertille
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De canard ou d’oie, la production de foie gras est l’apanage du Sud-Ouest. Elevés, gavés, les palmipèdes gras sont les hôtes privilégiés des prés girondins. Mais cette production comporte des risques épidémiologiques forts liés à la psittacose, maladie infectieuse transmise par les oiseaux.Médecin au Centre de Référence des Infections à Chlamydia, Bertille de Barbeyrac revient sur les risques, notamment professionnels, liés à cette infection et nous expose les premiers résultats de l’étude menée en 2008 sur la psittacose humaine dans le Sud-Ouest et l’Ouest de la France. La conférence a été donnée le 11 décembre 2008 à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 à l'occasion du 58ème Congrès de la Société Nationale Française de Médécine Interne (S.N.F.M.I.), session "Pathologies des loisirs dans le Sud-Ouest". Mot(s) clés libre(s) : chlamydia psittaci (france - sud-ouest), ornithose, palmipèdes gras (élevage)
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Le bal des Quat’Z’Arts
/ Serge BLERALD
/ 04-06-2016
/ Canal-u.fr
Conte Isabelle, Boudin-Lestienne Stéphane
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De 1892 à 1966, les élèves des Beaux-Arts organisaient chaque année une fête, mêlant citations historiques, détournement et provocation. Ils n’hésitaient pas à s’identifier aux grands envahisseurs et à jouer, le temps d’une nuit, un tableau d’histoire grandeur nature. Émanation de l’esprit d’atelier, ce rituel libertaire et carnavalesque était avant tout destiné à rire à l’abri de toute censure. Mot(s) clés libre(s) : France (XIXe siècle), art de la fête, tableau vivant, étudiants en arts
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Le bal des Matières : la fête comme célébration artistique
/ Philippe KERGRAISSE
/ 31-05-2015
/ Canal-u.fr
Boudin-Lestienne Stéphane
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Le bal que donnent Charles et Marie-Laure de Noailles en juin 1929 dans leur hôtel particulier de la place des Etats-Unis n’est pas une simple fête mondaine mais une sorte de rendez-vous célébrant d’une manière à la fois légère et brillante la création artistique. Les invités avaient reçus pour consigne de concevoir leur costume qu’avec des matières non usuelles pour l’habillement. Du carton aux cailloux en passant par le papier ou les plumes, la contrainte se révèle une liberté. De même toute latitude est donnée aux artistes et musiciens Francis Poulenc, Georges Auric, Jean Hugo, Jean-Michel Frank pour créer des œuvres aux formes inattendues. Il s’agira ici non seulement de faire revivre cet événement mais surtout d’en faire saisir les différents enjeux dans une époque où le mécénat privé joue un rôle de premier plan. Mot(s) clés libre(s) : mécénat, Jean Cocteau, Années folles, art de la fête, Noailles, Francis Poulenc, Jean Hugo, George Auric, Etienne de Beaumont
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Le 4 août 1701 — La Grande Paix de Montréal : les Français et les Amérindiens concluent une alliance décisive
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 11-01-2012
/ Canal-u.fr
Delâge Denys
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Après plus un siècle de guerres, Montréal fut en 1701 le haut lieu de la
conclusion d’un traité de paix regroupant 1 300 ambassadeurs
représentant 40 nations amérindiennes habitant un immense territoire
depuis l’Acadie jusqu’aux Prairies et depuis le bassin de la Baie James
jusqu’au Missouri. Les signataires étaient d’un côté, les Français et
l’ensemble des nations du grand réseau d’alliance huron-outaouais et de
l’autre, la Ligue iroquoise des Cinq Nations. La cérémonie protocolaire
du 4 août 1701 fut empreinte de solennité tout en empruntant largement
aux traditions diplomatiques amérindiennes : la hache de guerre fut
jetée au plus profond de la terre et l’Arbre de Paix érigé sur une grande montagne, ses racines s’étendant sur ce vaste continent.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-4-aout-1701-La-Grande-Paix-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Grande-Bretagne, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, États-Unis, France, Grande Paix de Montréal
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Le 3 juillet 1608 — La fondation de Québec : les Français s’installent en Amérique du Nord
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 13-10-2011
/ Canal-u.fr
Lacoursière Jacques
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Si, le 3 juillet 1608, Samuel de Champlain établit un poste de traite à Québec, c’est que, dès 1603, il en avait obtenu l’autorisation par le chef montagnais Anadabijou. A cette époque, il avait promis de prêter main-forte aux Montagnais dans leur guerre contre les Iroquois. Lors de la fondation de Québec, le futur « Père de la Nouvelle-France » échappera à une tentative d’assassinat, parce que les Basques ne sont pas intéressés à voir un poste de traite situé plus à l’ouest que Tadoussac. Le premier hivernement sera catastrophique. La majorité des premiers occupants seront victimes soit du scorbut, soit de la dysenterie. L’établissement de Québec se développera très lentement. Et, ce ne sera vraiment qu’en 1618 que Champlain deviendra le chef d’une colonie de peuplement. C’est d’ailleurs cette année-là qu’il dressera un inventaire des richesses éventuelles de la colonie naissante. Le petit poste de Québec peut donc être considéré comme le premier établissement permanent de la France dans sa colonie.
Texte de la conférence :
http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-3-juillet-1608-La-fondation-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, France (17e siècle), Nouvelle-France, Ville de Québec, Samuel de Champlain, Jacques Lacoursière, Colonisation des Amériques
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Le 10 février 1763 — Le traité de Paris : la France peut être heureuse sans Québec
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 23-02-2012
/ Canal-u.fr
Vaugeois Denis
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Ce matin du 10 février, le duc de Choiseul observe le duc de Bedford
signer le fameux traité par lequel la France cède, à la Grande-Bretagne,
le Canada et diverses autres possessions à travers le monde. Il s’y
prépare depuis trois ans. Cette guerre qui a duré sept ans a coûté trop
cher à la France. Il a bien hâte de croiser Voltaire qui lui écrivait
quelques mois plus tôt : « Je suis comme le public, j’aime mieux la paix
que le Canada et je crois que la France peut être heureuse sans
Québec ». Choiseul a convaincu le Roi de préférer le sucre et le poisson
à la fourrure. Il n’a qu’un regret : celui de ne pas avoir en face de
lui William Pitt le grand vainqueur de cette guerre. Il le sait bien
embarrassé. Tous deux se posent en effet la même question : que feront
les Treize colonies sans une menace française à leurs frontières ? En
quittant la salle, il glisse à ses conseillers : « Nous les tenons ! »Et tant pis pour cent cinquante ans d’héroïsme, tant pis pour un
prolongement de la France en Amérique, tant pis pour ses alliés indiens.
Qu’ils aillent aux Anglais ! Quant au marquis de Montcalm ? Que Dieu
ait son âme !Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-10-fevrier-1763-Le-traite-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, Nouvelle-Espagne, Traité de Paris de 1763, Guerre de Sept Ans
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
DUFFULER-VIALLE Hélène
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.A partir notamment des archives départementales du Nord et du
Pas-de-Calais, des archives municipales de Lille, Douai, Boulogne, Dunkerque,
Roubaix et des thèses juridiques d’époque, Hélène Duffuler-Vialle étudie
l'évolution des maisons de tolérance durant l'Entre-deux-guerres entre abolitionnisme
et réglementarisme, un régime juridique spécial qui encadre la prostitution et
dont la mise en œuvre et l'application ont été déléguées -du Consulat jusqu’en
1946- à l’autorité municipale. Au cours du XIXe siècle la plupart des maires
adoptent des logiques réglementaristes communes sur l’ensemble du territoire,
il s’agit de l’ « âge d’or » des maisons de tolérance. A la fin du XIXe siècle, le nombre de maisons décline en raison, notamment, de l’extension de la
prostitution clandestine qui s’exerce dans les bars à femmes, de nouvelles
conduites prostitutionnelles et de la critique abolitionniste contre la
prostitution réglementée. Après la Première Guerre mondiale, les maisons de
tolérance semblent trouver un nouveau souffle sur l’ensemble du territoire, du fait de l'afflux d’hommes dans les zones à
reconstruire ou dans les zones militarisées. Le Nord-Pas-de-Calais fait figure
de bastion du réglementarisme. Dans le département du Nord, en 1921, Dunkerque
est, après Paris, la deuxième ville par le nombre de maisons closes. Dans le
Pas-de-Calais, le recours à de la main d'œuvre étrangère dans les usines et les
mines explique la réorganisation et la multiplication des maisons de tolérance. Au niveau national, face
aux critiques abolitionnistes et aux positions du Comité de la traite des
femmes et des enfants de la Société des Nations, une remise en question du
réglementarisme se dégage et une tendance prohibitionniste semble poindre. Les
projets et propositions de loi, soit abolitionnistes, soit réglementaristes, tentent
d'instaurer le délit de contamination, le délit de racolage et des mesures
sanitaires coercitives, sans prévoir toutefois le délit de prostitution des
femmes majeures consentantes. Ne parvenant pas à se positionner entre
abolitionnisme et réglementarisme, le législateur reste silencieux. Les
circulaires ministérielles sont également ambivalentes car certaines créent des
standards afin que les règlements municipaux puissent parer les critiques
abolitionnistes et d’autres interdisent l’ouverture de nouvelles maisons. Mot(s) clés libre(s) : France (1919-1939), prostitution (droit), maison de tolérance
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La table du Tsar [19ème s.]
/ Serge STEYER, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), Les Films de l'Observatoire
/ 30-06-1999
/ Canal-U - OAI Archive
STEYER Serge
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Ce film présente “Flore de Lorraine”, table énigmatique à la marqueterie représentant un paysage allégorique de la Lorraine, commandée en automne 1893 à Emile Gallé et offerte au Tsar Alexandre III à l’occasion de la signature de l’alliance franco-russe.La table du Tsar raconte, en compagnie de conservateurs et restaurateurs du musée de l’Ermitage, d’historiens lorrains, de botanistes et biographes de Gallé, l’histoire de cet exceptionnel objet d’art conçu et fabriqué dans l’urgence par le célèbre artiste de l’Art Nouveau, ses collaborateurs et artisans, en seulement trois semaines. Mot(s) clés libre(s) : 1891, 1893, Alexandre III, Allemagne, alliance franco-russe, alliance germano-austro-italienne, annexion allemande, Art Nouveau, botanique, ébénisterie d’art, Ecole de Nancy, Emile Gallé, esthétique, flore, France, Guillaume II, histoire de l’art, image d
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La responsabilité médicale en Allemagne : comparaison avec la France
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 06-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
KREMER Antoine, LAURENT Vincent
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Dans le cadre du XIème séminaire de Droit médical, qui s'est tenu à Toulouse les 5 et 6 juillet 2007, Christoph KREMER et Vincent LAURENT font une comparaison entre l'Allemagne et la France de la responsabilité médicale. Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, France, responsablité médicale, XIème séminaire de Droit médical
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La prostitution à Grenoble et en Dauphiné au XVIIIe siècle : territoires, sociabilités et pratiques / Anne Giraudeau
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
GIRAUDEAU Anne
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La prostitution à Grenoble et en Dauphiné au XVIIIe siècle : territoires, sociabilités et pratiques / Anne Giraudeau. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.Considérée comme un problème sociétal, la prostitution est
périodiquement remise au cœur de l’actualité médiatique et législative.
Les recherches en sciences sociales autour de ces questions se sont
développées à partir des années 1970. Ces années ont vu les
mobilisations de prostitué.es avec l’occupation de l’église Saint-Nizier
en 1975 mais aussi la parution d’un livre majeur pour l’histoire de la
prostitution en France : Les Filles de noce d’Alain Corbin. Si
les publications sur les prostitutions vont sans cesse croissant, ce
n’est qu’à partir des années 2000 que de jeunes historiens et
historiennes, sensibles à l’histoire des femmes et du genre, se sont
emparés de la question et en ont considérablement renouvelé l’approche. "Prostituée" vient du latin prostituere
qui signifie « mettre devant, exposer au public » et son usage en
français est attesté depuis le XVIe siècle. L’invariant du terme de
prostituée ne doit pas cacher le parcours historique d’une notion qui,
entre le XVIe siècle et aujourd’hui, s’est considérablement modifiée. De
même, qu’il ne doit pas faire penser qu’il ait fallu attendre le XVIe
siècle pour que « le plus vieux métier du monde » se développe en
France. Couvrant une période qui va du Moyen Âge à nos jours, cette
journée d’étude est l’occasion de mettre en lumière
l’historicité de l’activité prostitutionnelle en abordant les
différentes étapes par lesquelles les prostitutions et leurs gestions
sont passées au fil des siècles en Europe. Mot(s) clés libre(s) : prostitution, france (18e siècle), Grenoble (Isère)
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