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Titre
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Le proche et le tiers médiateur
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LAGREE Jacqueline
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Les limites du vivant / sous présidence de Gabriel Gachelin"La récente loi du 4 mars 2002 relative aux droits du malade prévoit à l'article 11 la désignation d'une «personne de confiance» pour exprimer la volonté et recevoir l'information nécessaire au cas où la personne malade en serait incapable. Alors même que se pluralise la relation thérapeutique par la multiplication des soignants que devient le colloque singulier du médecin et du malade ? Quel rôle est appelé à jouer le proche ? Entre justice et amitié, comment pratiquer justement la sollicitude."(J. Lagrée)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Malades -- Droits, Malades -- Famille, Relations médecin-patient, Santé publique -- Droit, Théories du vivant
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Les relations entre l’Economie et le Droit
/ 01-12-2012
/ Canal-u.fr
LAGARDE Christine
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3 enseignements à tirer de la crise : nécessité de l’application de la
norme de la façon la plus stable possible, nécessité d’un point
d’équilibre entre extrême liberté et encadrement excessif et nécessité
d’une norme élaborée, non pas par les acteurs économiques (soft law),
mais par les représentants de l’intérêt général.
3 lessons learnt after the crisis : necessity to apply the norm in the
most stable way, necessity to find a balance between a complete freedom
and an excessive frame, necessity for the norm to be drafted by the
representants of the general interest and not by the economic agents
(soft law).
Retrouvez toutes les vidéos TVDMA sur TVDMA .org. Mot(s) clés libre(s) : droit, économie, crise économique (2007-....), équilibre normatif, intérêt général, relation entre économie et droit
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Famille, droit et filiation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 11-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LABRUSSE Catherine
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Le droit civil ne définit pas la famille mais il détermine précisément la création, la destruction et les effets des liens qui unissent les membres d'une famille. La filiation est un des noyaux durs du droit de la famille. Élément essentiel de l'identité de tout individu, la filiation inscrit ce dernier dans une place généalogique au sein du réseau de relations, à géométrie variable, qu'institue le système de la parenté et de l'alliance. Ces liens, riches d'effets personnels et patrimoniaux et chargés de sens multiples, sont construits par le droit à partir de faits originaires naturels (et aujourd'hui technologiques) et ils rattachent la personne humaine à une double lignée maternelle et paternelle, articulant ainsi la différence des sexes comme celle des générations. Si le système peut obéir à des modèles variés, il répond aussi à des invariants que révèle et analyse l'anthropologie. Le principe de cette construction sociale, aussi vieille que l'humanité, se transforme sous des influences multiples qui tiennent autant à la diversité des sources normatives passées et présentes qu'aux évolutions sociologiques que traduisent les moeurs ou qui affectent les idéaux et les représentations de la famille et de ce qui la constitue, maternité, paternité, couple, ascendance, descendance, fratries, etc. Mot(s) clés libre(s) : adoption, clonage, concubinage, droit, famille, filiation, mariage, PACS, paternité, procréation artificielle
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La responsabilité médicale en Allemagne : comparaison avec la France
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 06-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
KREMER Antoine, LAURENT Vincent
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Dans le cadre du XIème séminaire de Droit médical, qui s'est tenu à Toulouse les 5 et 6 juillet 2007, Christoph KREMER et Vincent LAURENT font une comparaison entre l'Allemagne et la France de la responsabilité médicale. Mot(s) clés libre(s) : Allemagne, France, responsablité médicale, XIème séminaire de Droit médical
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DMP - De la loi de 2002 sur les droits des patients à celle de 2004 instaurant le DMP
/ 04-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
KOUCHNER Bernard
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La loi de 2002 installe le droit des patients à disposer de leur dossier médical s'ils le souhaitent. C'est grâce aux associations de patients luttant conte le VIH sida, que le regard du corps médical a changé . Le dossier numérique est bien un dossier médical dématérialisé. Les informations appartiennent bien au patient. La sécurité des informations doit être respectée. Ce dossier aménagera la confiance entre médecins et patients.
Origine
DMP : nouvelles technologies, éthique et santé. le 04 décembre 2006
Générique
Auteur : Bernard KOUCHNER Réalisation : Canal-U Médecine et Santé - CERIMES SCD médecine
Publications
Titre : Le Malheur des autres, Odile Jacob, Paris, 1991, 339 p, (ISBN 2-7381-0144-5)
Année : 1789
Présentation : publication_presentation
Titre : La Dictature médicale, avec Patrick Rambaud, Robert Laffont, Paris, 1996, 200 p.
Année : 1789
Présentation : publication_presentation
Titre : La Fabrique démocratique, Robert Laffont, 2006 (ISBN 2221106458)
Année : 1789
Présentation : publication_presentation Mot(s) clés libre(s) : confiance, confidentialité, DMP, Dossier Médical Personnel, droits du patient, sécurité
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Egalité, inégalité, différences
/ 02-05-2002
/ Canal-U - OAI Archive
KOUBI Geneviève
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L'internationalisation du droit pénal
/ Mission 2000 en France
/ 07-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KOERING-JOULIN Renée
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1919 : le Traité de Versailles prévoit la mise en accusation (qui n'aura jamais lieu) de l'ex-empereur d'Allemagne, Guillaume II, devant un tribunal international " pour offense suprême contre la morale internationale et l'autorité sacrée des traités ". 1998 : la Convention de Rome instaure une cour pénale internationale permanente compétente pour juger tous auteurs et complices, y compris les chefs d'État et de gouvernement, qui se seraient rendus coupables de génocide, crimes contre l'humanité, crimes de guerre ou agression. Le pas ainsi accompli, considérable, est sans aucun doute l'expression la plus emblématique du phénomène d'internationalisation du droit pénal. Néanmoins, il ne saurait faire oublier les manifestations moins spectaculaires, parfois même quotidiennes, et pour certaines en pleine mutation, de collaboration répressive des Etats contre le crime, telles l'entraide policière, l'entraide judiciaire, l'extradition... Or, si les instruments de cette internationalisation du droit pénal sont les plus divers, leur diversité n'est rien face à la multiplicité, à l'hétérogénéité et à l'infinie complexité des textes, notamment conventionnels, qui les encadrent et assurent, non sans difficultés, leur mise en oeuvre. Mot(s) clés libre(s) : droit, droit pénal, internationalisation, juridiction internationale
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Le droit chez Kant (par Jean-François Kervégan)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 12-01-2012
/ Canal-u.fr
KERVÉGAN Jean-François
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La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. Les débats qui l'ont précédée sont nourris de philosophie. De l'autre côté du Rhin, une autre révolution a eu lieu, celle du kantisme. Mais c'est une révolution philosophique. Si bien que Hegel a pu dire des Allemands qu'ils avaient fait en théorie ce que les Français avaient réalisé en pratique.La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. Celui-ci commence par une refonte de la problématique du contrat social.À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif. Ni l'un ni l'autre ne sont un objet d'expérience, ils ne peuvent donc être connus. Le contrat social doit être conçu comme la norme rationnelle de toute communauté politique effective. Il représente une idéalité, la condition normative de légitimité de l'autorité politique. Tout doit donc se passer comme si le pouvoir légitime était fondé sur un contrat originaire de chacun avec chacun. La société politique est normativement fondée sur le contrat social. Elle se distingue de toutes les formes d'associations qui ne présupposent pas l'idéalité normative du contrat social. La société politique est une construction normative. L'état de nature s'en distingue car il ne repose pas sur une norme. Cet état de nature n'est d'ailleurs pas exclusif de toute vie sociale.La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Ces principes sont au nombre de trois : la liberté, l'égalité et l'indépendance. Le premier de ces trois droits et le plus important. Le principe de liberté s'applique à l'homme. C'est un droit antérieur à la société politique mais qui ne prend sens qu'à l'intérieur de celle-ci. Le principe d'égalité juridique des sujets du pouvoir signifie que ceux-ci ont un pouvoir de contrainte mutuelle. Il n'y a pas d'inégalité juridiquement valable. Les privilèges doivent être abolis. Le principe d'indépendance concerne l'indépendance économique des citoyens. Elle est, selon Kant, la condition de leur indépendance politique.Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie Mot(s) clés libre(s) : contrat social, Völkerbunt, droit cosmopolitique, Staatsbürger, Révolution française de 1789, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, état de nature, théorie du contrat, pacte social, républicanisme, Etat de droit
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Le droit chez Kant
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat - Jean Zay - Internat d'excellence
/ 12-01-2012
/ Canal-U - OAI Archive
KERVÉGAN Jean-François
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La Révolution française, commence Jean-François Kervégan, a eu un impact considérable sur la philosophie allemande. Cette révolution s'est faite au nom de principes et au nom du droit. C'est une révolution philosophique. Les débats qui l'ont précédée sont nourris de philosophie. De l'autre côté du Rhin, une autre révolution a eu lieu, celle du kantisme. Mais c'est une révolution philosophique. Si bien que Hegel a pu dire des Allemands qu'ils avaient fait en théorie ce que les Français avaient réalisé en pratique.La philosophie juridique et politique de Kant constitue un commentaire spéculatif de la Révolution française. Celui-ci commence par une refonte de la problématique du contrat social.À la différence de ses prédécesseurs, Kant rejette l'hypothèse d'un état de nature ou d'un contrat social primitif. Ni l'un ni l'autre ne sont un objet d'expérience, ils ne peuvent donc être connus. Le contrat social doit être conçu comme la norme rationnelle de toute communauté politique effective. Il représente une idéalité, la condition normative de légitimité de l'autorité politique. Tout doit donc se passer comme si le pouvoir légitime était fondé sur un contrat originaire de chacun avec chacun. La société politique est normativement fondée sur le contrat social. Elle se distingue de toutes les formes d'associations qui ne présupposent pas l'idéalité normative du contrat social. La société politique est une construction normative. L'état de nature s'en distingue car il ne repose pas sur une norme. Cet état de nature n'est d'ailleurs pas exclusif de toute vie sociale.La constitution de la société politique repose sur des principes de droit public. Ces principes sont au nombre de trois : la liberté, l'égalité et l'indépendance. Le premier de ces trois droits et le plus important. Le principe de liberté s'applique à l'homme. C'est un droit antérieur à la société politique mais qui ne prend sens qu'à l'intérieur de celle-ci. Le principe d'égalité juridique des sujets du pouvoir signifie que ceux-ci ont un pouvoir de contrainte mutuelle. Il n'y a pas d'inégalité juridiquement valable. Les privilèges doivent être abolis. Le principe d'indépendance concerne l'indépendance économique des citoyens. Elle est, selon Kant, la condition de leur indépendance politique.Antoine de La TailleProfesseur de CPGE - Philosophie - Lycée d'Etat Jean Zay Internat d'excellence Mot(s) clés libre(s) : contrat social, droit, Kant, Kervégan, philosophie, politique
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/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
K.WOOLF Patricia
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Mot(s) clés libre(s) : Bioéthique, Ethique médicale, Ethique médicale -- Etude et enseignement (supérieur), Médecine -- Recherche -- Droit
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