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Titre
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/ La Cinémathèque française
/ 13-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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/ La Cinémathèque française
/ 14-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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/ La Cinémathèque française
/ 14-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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/ La Cinémathèque française
/ 13-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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Hommage à Stanley Cavell - Écrans, cartes et estampes
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 07-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
IMBERT Claude
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les nombres de la "vie moderne " (Baudelaire, Emerson, Cavell) La pensée et l’expression à l’écran Présidence : Anne Sauvagnargues Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. À cette occasion seront présentées au public une nouvelle traduction française et deux rééditions d’ouvrages de Stanley Cavell : Dire et vouloir dire (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Le Cerf, 2009), Qu’est-ce que la philosophie américaine ? De Wittgenstein à Emerson (trad. fr. C. Fournier et S. Laugier, Folio Gallimard, 2009), et Le cinéma nous rend-il meilleurs ? (éd. augmentée, éd. E. Domenach, trad. fr. E. Domenach et C. Fournier). Ces publications récentes constituent une avancée décisive dans notre connaissance de l’œuvre de Stanley Cavell, puisqu’elles permettront de découvrir en français un aspect méconnu de sa philosophie du langage (constitué de ses lectures d’Austin et de Wittgenstein), et de redécouvrir ses travaux sur les penseurs fondateurs de la philosophie américaine et la réflexion morale engagée à partir des films. Une séance de signature de ces livres, à l’issue du colloque, sera l’occasion de réfléchir à la diffusion de sa pensée en France, alors que ses ouvrages de philosophie de la connaissance (Les Voix de la raison), ses écrits sur Shakespeare (Le Déni de savoir dans six pièces de Shakespeare) et sur Thoreau (The Senses of Walden) sont désormais considérés comme des classiques. Une cérémonie de remise du Doctora Honoris Causa de l’ENS Lyon à Stanley Cavell, en présence de Monsieur le Directeur général de l’ENS Lyon, Olivier Faron, conclura le colloque, et permettra de nouer un dialogue pérenne avec sa pensée au sein de l’École. Cavell est reconnu outre-Atlantique depuis une trentaine d’années déjà pour son apport décisif au champ des études cinématographiques et à la philosophie du langage et de la connaissance, mais la dimension philosophique de ses travaux sur le cinéma n’a pas encore reçu toute l’attention qu’elle mérite, en France ni dans le monde. Promouvoir la philosophie de l’art de Cavell demande un décloisonnement des champs disciplinaires de la littérature, du cinéma, de la philosophie, et l’appropriation des grandes voix de la culture que cette œuvre incorpore ; de la philosophie du langage ordinaire d’Austin et Wittgenstein au transcendantalisme américain d’Emerson et Thoreau, en passant par Shakespeare, Kant, Nietzsche et Freud. L’ENS Lyon s’impose comme le lieu adapté pour créer un espace de pensée ouvert, au croisement des disciplines, pour la philosophie du cinéma. 1999-2009 : les deux actes de la réception de la pensée du cinéma de Cavell en France Dix ans après le premier (et, jusqu’à présent, unique) colloque consacré à la philosophie du cinéma de Stanley Cavell en France (à l’Université de Paris III Sorbonne Nouvelle en 1999, organisé par S. Laugier et M. Cerisuelo. Stanley Cavell. Cinéma et philosophie, Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2001), ce colloque permettra de prendre en compte des dernières ressources de la recherche sur Stanley Cavell, en France et dans le monde. Une telle recherche doit se faire dans l’optique d’une collaboration élargie entre laboratoires et institutions. C’est la raison pour laquelle nous mettons en commun les ressources distinctes et les spécialisations complémentaires des sections arts et philosophie au sein de l’ENS Lyon, mais aussi des deux laboratoires de l’École, le CEP, avec sa vocation d'expérimentation poétique et d'engagement dans la création contemporaine, et le CERPHI UMR 5037, avec ses méthodes d'histoire des idées, de contextualisation des textes et des débats qui structurent le champ intellectuel. Trois autres laboratoires français sont associés au colloque (et représentés au comité d’organisation) : le CURAPP de l’Université de Picardie Jules Verne qui associe sociologues, politistes et philosophes dans des travaux sur l’action publique, le politique, et deux laboratoires trans-artistiques, l’ARIAS de l’ENS Ulm/Paris III et le LESA de l’Université d’Aix-Marseille, qui travaillent en esthétique et théorie du cinéma. Enfin, il est décisif que ce colloque se tienne à Lyon, dans la ville du cinéma, et avec le soutien du Département du Rhône. L’écran de nos pensées Considérer le cinéma comme écran de nos pensées implique de corréler la théorie avec la création cinématographique. C’est pourquoi nous sollicitons des cinéastes réalisateurs et scénaristes, lecteurs de Stanley Cavell ; soit qu’ils s’intéressent aux possibilités spécifiques d’expression du medium cinématographique (Luc Dardenne, Jacques Audiard, Agnès Varda), soit qu’ils s’inspirent directement de Stanley Cavell (Claire Simon, Emmanuel Bourdieu) ou ambitionnent d’« adapter » sa pensée à l’écran (comme aime à le dire Arnaud Desplechin). Nous souhaitons faire place à des projections de films et d’extraits de films d’Arnaud Desplechin et de Terrence Malick, tous deux « disciples » de Stanley Cavell, car on ne peut dissocier la pensée cinématographique, critique et philosophique, de l’expérience des films. Cette variété d’approches vise à explorer la manière dont le film devient l’écran de nos pensées. Interroger cette dimension, c’est accepter avec Stanley Cavell une profonde rénovation critique du discours philosophique, l’ancrer dans notre expérience ordinaire du monde et des autres, et mettre en question notre expérience des films, sans préjuger de la clarté de nos pensées projetées, ni des difficultés que l’écran permet ou non de lever. C’est pourquoi nous voulons articuler ce colloque autour des concepts cavelliens de projection, d’éducation, de perception, de mythe pour examiner ce qu’il advient de nos pensées et de leurs objets lors de leurs projections ; ce que la perception cinématographique altère ou révèle de la nature de nos perceptions ordinaires ; ce qui distingue et lie l’expérience cinématographique à l’expérience ordinaire, et l’effet de retour de l’image projetée sur la pensée. Si le cinéma hollywoodien nous fait rêver à la possibilité de réconcilier ses héros, d’éduquer le faible, de moraliser les vilains, c’est pourtant au cinéma que nous trouvons l’expression d’un sentiment d’exil du monde, d’étrangeté, que Cavell a appelé scepticisme, qui traverse nos vies ordinaires. Dans le mélodrame américain, Cavell a poursuivi une interrogation menée d’abord sur le terrain de l’étude des tragédies shakespeariennes, sur nos dénis du monde et des autres. Le cinéma devient ainsi l’écran de nos pensées, parce qu’il s’offre comme le miroir de nos doutes et incertitudes, tout en nous donnant les moyens d’en « guérir », dit Wittgenstein, et Cavell après lui. Il s’agira donc d’interroger ces rapports entre image, émotion, projection et pensée, sur le double versant de la création cinématographique et de la réflexion philosophique. Mot(s) clés libre(s) : Cavell, philosophie du cinéma
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Projet Jean Rouch ? J3.5 :Débat (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 18-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HOLTEDAHL Lisbet, ALVES COSTA Catarina, DIABATE Idrissa, RIAL Carmen
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Mercredi 18 novembre : Une anthropologie nouvelle, une anthropologie du vivantDébat (17h30-19h) - Modérateur/discutant : Lisbet Holtedahl (Danemark), professeur, visual cultural studies, Université de Tromsø, anthropologue, cinéaste. - Participants : Catarina Alves Costa (Portugal), professeur en anthropologie visuelle, Faculté des Sciences sociales, Nouvelle université, Lisbonne, anthropologue, cinéaste. Idrissa Diabaté (Côte d'Ivoire), enseignant à l'Institut national supérieur des arts et de l'action culturelle (INSAAC), chercheur associé, Université d'Abidjan, cinéaste. Carmen Rial (Brésil), anthropologue, professeur, laboratoire d’anthropologie visuelle (NAVI), Université Fédérale de Santa Catarina (Brésil). Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie du vivant, anthropologie hors-texte, anthropologie nouvelle, cinéma, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Projet Jean Rouch ? J4.3 : Communications 1 (version française)
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 19-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HENLEY Paul, GRAFF Séverine, BOUCHARD Vincent, VON KASSEL SIAMBANI Elena
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LE PROJET JEAN ROUCH ? : VERS UNE CONNAISSANCE HORS TEXTE, CROISER LES REGARDS, PARTAGER LES INTERROGATIONS. 14 – 20 novembre 2009 Évènement organisé par le Comité du film ethnographique en collaboration avec la Bibliothèque nationale de France, le Centre national du cinéma - Archives françaises du film et le Centre national de la recherche scientifique.Jeudi 19 novembre : CInéma direct et construction du réelCommunications (11h45-13h)Modérateur/discutant :Paul Henley (Royaume-Uni), professeur, directeur du Granada Centre for Visual Anthropology, Université de Manchester, anthropologue, cinéaste. Intervenants :Séverine Graff (Suisse), doctorante, section d’histoire et esthétique du cinéma, Université de LausanneTechniques légères et cinéastes du direct : un cas de « Rouchéole » ?Vincent Bouchard (Canada), post-doctorant, histoire du cinéma, Université du Québec, MontréalCinéma direct et dispositifs légers et synchrones, comparaison Rouch/ONFElena Von Kassel Siambani (Royaume-Uni), chargée de cours, études cinématographiques, Université de Paris IIIAnthropology at Home » dans Chronique d’un été et We Are the Lambeth Boys Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, cinéma direct, construction du réel, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Comité du Film Ethnographique
/ 19-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HENLEY Paul, GRAFF Séverine, BOUCHARD Vincent, VON KASSEL SIAMBANI Elena
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Mot(s) clés libre(s) : anthropologie, anthropologie audio-visuelle, anthropologie hors-texte, anthropologie visuelle, cinéma, cinéma direct, construction du réel, ethnofiction, ethnographie, films ethnographiques, Jean Rouch
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Le documentariste et ses outils à travers les âges (Penser le cinéma documentaire : leçon 1, 1/2)
/ Catherine Goupil
/ 04-04-2003
/ Canal-U - OAI Archive
Goupil Catherine
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Le cinéma documentaire est né de la rencontre entre le désir des cinéastes d'explorer le monde et la passion des inventeurs d'enregistrer le réel :Entre Louis et Auguste Lumière, filmant le déjeuner en famille avec une caméra cinématographe noir et blanc muette et Dominique Cabréra se filmant elle-même avec une caméra DV numérique en couleurs et sonore, il y a cent ans d'écriture documentaire et d'inventions techniques.Les cinéastes ont cherché à transmettre, avec leur point de vue, la vie quotidienne de leurs contemporains en s'approchant progressivement au plus près de leur intimité, jusqu'à parfois devenir les propres "acteurs" de leurs films.Pour en arriver là, un dialogue permanent s'est établi entre eux, des inventeurs et des ingénieurs. il a fallu alléger les caméras, les installer sur des trépieds fluides, domestiquer la couleur de la pellicule, mener une véritable conquête pour entendre en direct les personnes que l'on filme, réunir sur un même support l'image et le son avec l'arrivée de la vidéo, inventer de nouvelles techniques de montage plus simples et plus rapides, miniaturiser tous ces équipements pour parvenir aux caméscopes que nous connaissons actuellement. Mot(s) clés libre(s) : cinema, cinématographie, documentaire, histoire du cinéma, invention, technique, théorie du cinéma
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