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Innovation and entrepreneurship in China’s pre-modern economy
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 07-07-2015
/ Canal-u.fr
BOURDELAIS Patrice, GIPOULOUX François, BRAY Francesca
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Greetings to participants
Patrice BOURDELAIS (CNRS-INSHS Director)
Plenary Lecture
Chair: Francesca BRAY
François GIPOULOUX, Innovation and entrepreneurship in China’s pre-modern economy: Huizhou and Shanxi merchant networks revisited Mot(s) clés libre(s) : Chine, développement économique, financement, capitalisme (chine), Développement régional
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Destruction du patrimoine humain et historique en Chine
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUDERLOT Charles
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Artiste voyageur, Charles Chauderlot est tombé sous le charme de la Chine où il vit désormais depuis plusieurs années. Amoureux de Pékin, il n'a de cesse de peindre les beautés de cette ville. Mais depuis 2002, le paysage qui s'offre à son oeil d'artiste disparaît sous les coups des bulldozers. Témoin privilégié de ces changements, Charles Chauderlot dépeint dans ces dessins cette disparition du patrimoine humain et historique de la Chine. Mot(s) clés libre(s) : arts graphiques, charles chauderlot (1952-....), dessin, patrimoine culturel, pékin (chine), politique culturelle
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Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques
/ Mission 2000 en France
/ 30-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Même si elle apparaît à bien des égards comme accessoire dans les tourmentes révolutionnaires qui ont secoué la Chine tout au long du XXe siècle, la question de la survie du confucianisme dans une société qui se veut moderne, voire post-moderne, ne manque pas de provoquer une certaine perplexité. Comme chacun sait, le confucianisme a fourni pendant deux mille ans un soubassement idéologique et institutionnel à un régime impérial qui n'a définitivement disparu qu'en 1912. À ce titre, l'héritage confucéen, rendu responsable de l'arriération de la Chine et perçu comme la source de tous ses maux, a été la cible privilégiée du mouvement iconoclaste du 4 mai 1919, avant de faire l'objet, entre 1966 et 1976, de destructions systématiques au cours de la Révolution Culturelle. Comment expliquer alors que ce même confucianisme, à partir de la fin des années 1970, soit apparu au contraire comme le moteur de l'essor économique du Japon et des " quatre petits dragons ", jusqu'à devenir, dans la bouche de certains dirigeants connus pour leur autoritarisme, un atout central du discours sur les " valeurs asiatiques " ? Parallèlement à cette instrumentation de toute évidence idéologique s'est développée depuis le début du siècle une réflexion sur la réappropriation de la tradition et des valeurs confucéennes émanant d'intellectuels en Chine d'abord, puis, après la prise du pouvoir par les Communistes en 1949, à Hong Kong et Taiwan, avec un retour actuel en Chine Populaire accompagné d'une diffusion dans la diaspora de culture chinoise, notamment aux États-Unis. En fin de compte, le confucianisme a-t-il perdu définitivement toute assise dans les sociétés chinoises ou sinisées, et a-t-il encore une chance de compter dans les débats de notre " monde global et éclaté " ?. Mot(s) clés libre(s) : Asie, Chine, confucianisme, confucianisme contemporain, religion
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La pensée chinoise contemporaine : entre modernité et invention d'une tradition
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Dans quels termes et dans quelles circonstances s'est fait entendre la revendication de modernité au sein de la nouvelle intelligentsia chinoise au début du XXe siècle ? A partir des toutes premières années du siècle s'est imposée en Chine l'idée que la modernité devait obligatoirement passer par l'invention d'une tradition intellectuelle autochtone, prioritairement en termes de "philosophie", laquelle a pris la forme d'une série d'"histoires de la philosophie chinoise" dont la plus connue du public occidental reste sans doute celle de Feng Youlan (1895-1990). Cependant, plutôt que de fournir un descriptif des différents courants intellectuels du XXe siècle chinois, il s'agira pour nous de reconstituer une généalogie de cette revendication de modernité qui semble devoir remonter pour le moins à la deuxième moitié du XIXe siècle, au moment où se fait sentir l'influence des thèses évolutionnistes sur certains lettrés qui, autour de la figure-phare de Kang Youwei (1858-1927), lancent en 1898 la toute première tentative de réforme des institutions impériales sur le modèle de la monarchie constitutionnelle de l'ère Meiji au Japon. L'échec de cette tentative, restée unique dans l'histoire impériale qui prend fin quelques années plus tard, en 1911, met un terme définitif au projet utopique d'un Kang Youwei de mobiliser les ressources canoniques traditionnelles dans le but de réformer les institutions ainsi qu'à la préconisation fictive, entretenue pour répondre au défi de l'Occident, de faire usage de la suprématie matérielle de ce dernier tout en préservant l'essence culturelle de la Chine. Au moment même où la prétention chinoise à l'universalité se trouve contrainte de se réfugier dans le culturalisme et la dynamique réformiste de se décentrer sur le Japon, s'opère la mutation du lettré traditionnel en intellectuel moderne qui trouve son apogée dans le mouvement du 4 mai 1919, sorte de plaque tournante effectuant une polarisation entre les tenants radicaux d'une modernité du "tout occidental" et les conservateurs ralliés à la bannière d'un "nouveau confucianisme" - polarisation accentuée dans la génération suivante par le clivage entre les adeptes de la nouvelle idéologie marxiste et leurs opposants, et encore sensible dans ses effets aujourd'hui. Mot(s) clés libre(s) : Chine, intellectuels, modernité, philosophie, révolution
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Une nouvelle histoire de la Chine au 20e siècle - Yves Chevrier
/ UTLS - la suite
/ 06-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Yves
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Mon propos procède d'une évidence après vingt ans d'ouverture et de réformes post-maoïstes, la révolution chinoise a cessé d'être une référence au présent pour devenir un événement historique et se résume à une brassée de questions que je vous livre d'emblée: où est la spécificité contemporaine de la Chine dès lors que son histoire révolutionnaire et communiste semble se replier sur un cadre étatique autoritaire et bureaucratique qui évoque celui de l'empire ? Que reste-t-il de la révolution quand les traditions sont de retour, quand le message universaliste dont la Chine révolutionnaire se voulait le centre et le ferment a cédé devant la mondialisation ? Ce qui faisait la spécificité du XXe siècle chinois au regard d'une histoire et d'une culture millénaires étaient la révolution et l'occidentalisation. La Chine d'aujourd'hui semble échapper à l'un comme à l'autre de ces marqueurs de sa modernité. Il serait en effet naïf de penser que le renoncement post-maoïste à la révolution n'est qu'un surcroît de l'occidentalisation amorcée à la fin du XIXe siècle et dont l'histoire aurait été momentanément suspendue. Car s'il est vrai que la Chine s'intègre au monde "globalisé" d'aujourd'hui, ses réticences et ses différences, ainsi que leur prévisible influence sur le cours du monde, montrent à quel point la mondialisation est loin d'obéir à une logique unique, capable de simplifier le monde, et avec lui l'histoire chinoise, en le ramenant à un seul modèle dont le noyau serait l'histoire moderne de l'Occident.Il ne s'agit pas ici, comme on le dit souvent un peu vite, d'identité culturelle et de "choc des civilisations", ces grands mythes et fantasmes des lendemains post-révolutionnairestentés par la fin de l'histoire. Il s'agit de politique et d'histoire du politique. L'Etat chinois se construit et s'affirme, alors que la logique globale serait celle des réseaux. Le pouvoir règne à Pékin, dans les provinces et sur les marches de l'empire en tant que représentation légitime de la collectivité nationale chinoise, alors que l'heure mondiale serait ou devrait être celle des individus, de leurs droits, de leurs particularités identitaires et de leurs libertés. Nous ne voyons pas ici l'effet d'un écart ou d'un retard, l'écart étant culturel ou totalitaire selon la vulgate, le retard ressortissant à une transition dont une autre vulgate veut nous persuader que la logique différerait la transformation du politique après celle de l'économie et de la société. L'effet, massif, durable, est celui d'une trajectoire historique plus ancienne que la fin du maoïsme, mais guère plus âgée que la fin de l'Empire, en 1911-1912, une trajectoire de construction étatique, de nationalisation et de politisation de l'Etat à laquelle la mondialisation a offert de nouvelles ressources sans en modifier le cours. Ce constat indique en quoi, une fois relativisées la place et l'influence de la révolution maoïste, le XXe siècle possède une histoire spécifique, j'allais dire, en utilisant un terme dont il convient de se méfier, une identité dans la longue durée chinoise et dans l'histoire moins longue mais quand même antérieure des contacts de la Chine avec l'Occident. Le siècle post-impérial ne serait-il pas le moment où le vieil ordre chinois, qui avait été longtemps posé, pensé et défendu comme l'ordre même du monde, s'est réorganisé pour occuper toute sa place dans un univers qui le dépassait? Que cette réorganisation, révolutionnaire ou réformiste, portée par des groupes sociaux ou par des pouvoirs d'Etat, ait été avant tout et reste dans le temps présent un processus politique centré sur la construction de l'Etat-nation, que ce processus n'ait pas été l'imitation d'une formule imposée à partir du XIXe siècle par des Etats modernisés en Europe, en Amérique du Nord et au Japon, qui furent momentanément plus forts, autrement dit une réponse à l'Occident, comme le voulait John King Fairbank, mais une réponse de la Chine à sa propre histoire, et, précisément, à l'histoire des rapports entre le pouvoir impérial et une société en pleine mutation sous la dynastie des Qing, que cette réponse par la mutation du politique ait conféré au siècle dernier sa contemporanéité et sa spécificité dans l'histoire de la Chine et du monde, ainsi qu'une unité d'ensemble embrassant dans un même mouvement la fin de l'époque impériale, le moment révolutionnaire et la sortie du maoïsme, et qu'enfin cette unité permette de recadrer les événements dispersés et les expériences isolées auxquels s'attachent désormais nombre d'historiens, voilà quelle sera notre hypothèse. Il s'agit là, bien sûr, d'un questionnement qui s'adresse aux spécialistes, mais il suffit de songer une seconde à ce que représente, dans la dynamique du monde actuel, le poids de la construction étatique chinoise débarrassée des impedimenta de la souveraineté limitée et des hyperboles révolutionnaires pour mesurer l'importance non seulement intellectuelle, mais avant tout politique de l'enjeu, dans une dimension qui déborde de beaucoup les intérêts strictement géopolitiques et qui, bien évidemment, ne se limite pas à l'affrontement culturel sur les valeurs ni à la compétition économique. Deux exemples suffiront à préciser ces enjeux. Si l'on accepte l'idée que la mondialisation fait entrer l'Etat-nation dans l'histoire, il faut passer par pertes et profits la trajectoire historique chinoise la plus récente, celle qui est encore active de nos jours, ou, du moins, il faut en rendre compte en posant que l'Etat post-maoïste, encore si puissant aujourd'hui, est appelé à se dissoudre dans les réseaux nationaux et internationaux, dont certains observateurs annoncent au reste qu'ils minent déjà l'édifice. Ou bien il faut postuler qu'un totalitarisme aussi résilient ne pourra qu'être rompu par le poids supérieur des processus de la mondialisation qui l'englobent irrésistiblement, en dépit de ses adaptations. à moins que la Chine néo-totalitaire du post-maoïsme ne soit que l'avant garde politiquement explicite d'un régime de pouvoir total qui serait celui de l'économie de marché planétarisée. L'autre exemple est, bien entendu, celui de la démocratie et de son avenir en Chine continentale et, par ricochet, à Hong Kong et à Taiwan. Enjeu majeur de l'histoire du politique dans la Chine du XXe siècle, sera-t-elle assurément au rendez-vous de la modernisation post-maoïste, comme beaucoup le pensent ou le souhaitent? Ne doit-on pas, ici encore, s'interroger sur le poids non d'une tradition culturelle intemporelle, mais d'une histoire tout à fait contemporaine, dans laquelle l'objectif primordial de l'Etat-nation n'a cessé d'écarter l'institutionnalisation des libertés publiques et individuelles? Ne faut-il pas remarquer que si la société taiwanaise construit bel et bien un Etat-nation dans une perspective démocratique, cette démocratie et cette nation ne peuvent parvenir à la reconnaissance étatique internationale parce que l'histoire contraire de la démocratie, de la nation et de l'Etat sur le Continent les en empêchent? Cette histoire-là est-elle appelée à se fondre dans le grand tout globalisé, ou bien ce tout n'est-il qu'un changement de l'échelle d'interaction de trajectoires historiques particulières qui n'ont pas dit leur dernier mot? S'interroger sur la place et sur le sens d'une histoire du contemporain en Chine, c'est donc bien plus que suggérer des pistes à des spécialistes pour lesquels l'éclatement de l'ancien système des références historiques a ouvert une ère de repli et parfois même de désarroi. C'est, en réalité, comprendre non seulement la Chine d'aujourd'hui mais aussi le monde dans lequel nous vivons. Guidés par ces interrogations, nous allons partir pour ce qui pourrait s'appeler la recherche d'une histoire perdue, en mesurant les effets qu'ont eus sur les interprétations historiques du XXe siècle chinois l'abandon de la référence révolutionnaire et l'insertion de la Chine post-maoïste dans la mondialisation. Chemin faisant, cette recherche va nous conduire à revisiter les paradigmes de l'ancienne histoire moderne chinoise avant de nous orienter vers une histoire contemporaine du politique en Chine. Si je tiens mon pari, nous pourrons conclure ensemble que la mise en perspective critique et comparatiste d'une nouvelle histoire de la Chine au vingtième siècle peut ambitionner de nourrir une histoire du vingtième siècle en Chine dont le discriminant serait cette histoire du politique. Mot(s) clés libre(s) : Chine, maoïsme, mondialisation, révolution chinoise
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Les vols spatiaux chinois, de l'orbite basse à la Lune et au-delà
/ 09-02-2013
/ Canal-u.fr
COUÉ Philippe
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En 1992, la Chine
s'est engagée dans un programme de vols spatiaux habités qui ont abouti au
lancement du premier chinois (Yang Liwei) en 2003. Depuis, l'Empire du
Milieu gravit une à une toutes les marches qui devraient le conduire à
disposer d'une station orbitale permanente avant dix ans. Pékin imagine
déjà qu'elle puisse "remplacer" la station spatiale
internationale et ouvre son projet à la coopération. Des projets beaucoup
plus audacieux sont en cours d'étude ou de développement pour déposer sur
la Lune des taïkonautes, le préalable à des vols habités dans le Système
solaire. Cette conférence rappellera toutes les grandes étapes du
programme spatial habité chinois, le plus dynamique des grandes puissances
spatiales. Mot(s) clés libre(s) : Chine, astronomie, lune, station spatiale, conquête spatiale
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La Chine et le monde contemporain : l'avenir du communisme
/ Mission 2000 en France
/ 27-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Jean-Luc
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La Chine d'aujourd'hui se trouve dans une situation paradoxale. En effet, après l'avoir longtemps refusée ou éludée, les dirigeants de Pékin ont enfin pris la décision de participer au monde. Or, au même moment, celui-ci se transformait, non seulement dans sa hiérarchie, mais aussi dans son organisation et dans sa texture sociétale. La mondialisation qui s'est accélérée au lendemain de la guerre froide constitue pour la Chine une chance extraordinaire, dont ses dirigeants s'efforcent de profiter, mais elle fait aussi peser de lourdes menaces sur leur pouvoir et sur leur régime. Elle fait également ressortir les graves faiblesses de la société et de la culture chinoises contemporaines. Cette situation paradoxale explique les à-coups de l'intégration de la Chine au monde ainsi que les graves incertitudes qui pèsent sur le communisme en Chine et sur l'avenir de ce pays. Mot(s) clés libre(s) : Chine, communisme, Den Xiaoping, économie de marché, Gorbatchev, guerre froide, Mao Zedong, nationalisme
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La Chine et le monde contemporain : l'avenir du communisme
/ Mission 2000 en France
/ 27-10-2000
/ Canal-u.fr
DOMENACH Jean-Luc
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La Chine d'aujourd'hui se trouve dans une situation paradoxale. En effet, après l'avoir longtemps refusée ou éludée, les dirigeants de Pékin ont enfin pris la décision de participer au monde. Or, au même moment, celui-ci se transformait, non seulement dans sa hiérarchie, mais aussi dans son organisation et dans sa texture sociétale. La mondialisation qui s'est accélérée au lendemain de la guerre froide constitue pour la Chine une chance extraordinaire, dont ses dirigeants s'efforcent de profiter, mais elle fait aussi peser de lourdes menaces sur leur pouvoir et sur leur régime. Elle fait également ressortir les graves faiblesses de la société et de la culture chinoises contemporaines. Cette situation paradoxale explique les à-coups de l'intégration de la Chine au monde ainsi que les graves incertitudes qui pèsent sur le communisme en Chine et sur l'avenir de ce pays. Mot(s) clés libre(s) : Chine, économie de marché, communisme, guerre froide, nationalisme, Den Xiaoping, Gorbatchev, Mao Zedong
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L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ?
/ UTLS au lycée
/ 13-03-2009
/ Canal-u.fr
DOMENACH Jean-Luc
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ?
Avec Jean-Luc Domenach (Directeur de recherches Science-Po)
LYCEE GALILEE (95 CERGY)
Partenariat Région Ile de France Mot(s) clés libre(s) : Chine, économie, mondialisation, puissance économique
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L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ? - Jean-Luc Domenach
/ UTLS au lycée
/ 13-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Jean-Luc
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ?
Avec Jean-Luc Domenach (Directeur de recherches Science-Po)
LYCEE GALILEE (95 CERGY)
Partenariat Région Ile de France Mot(s) clés libre(s) : Chine, économie, mondialisation
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