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Des cartes et des images : Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 08-02-2008
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé, JOLIVEAU Thierry
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Comprendre les changements territoriaux et environnementaux
La Géomatique a pour objet le développement et l’utilisation d'outils et de méthodes servant à intégrer, organiser, représenter et analyser les données géographiques (Figure 1). Elle intègre par l’informatique des savoir-faire et des techniques telles que les Systèmes d’Information Géographique, la télédétection, la cartographie, la topographie, le GPS (Global Positionning
System), ou encore les services de géolocalisation...
Elle intéresse tant les gestionnaires que les scientifiques confrontés à l'organisation et à la gestion spatiales des territoires. La multiplication au cours de la dernière décennie des données géonumériques et l'émergence de nouveaux outils d'acquisition renouvèlent les approches scientifiques permettant de mieux comprendre les changements affectant les territoires et l'environnement. L'objet de cette conférence est ainsi triple : - présenter les principaux outils géomatiques et leur intérêt dans l'étude des phénomènes géographiques, - mettre en lumière à partir d'exemples et de logiques scientifiques contrastés les mutations de l'espace, - ouvrir laréflexion sur les champs thématiques émergeants résultant des avancées technologiques dans le domaine de la télédétection et de l’appropriation de ces outils géographiques (GoogleEarth, GPS navigator, plateformes Web collaborative) par différents acteurs et notamment le grand public, à l’origine de nouvelles pratiques et de
nouvelles logiques d’action.
Après une brève introduction de l’histoire de la cartographie et de l’image, s’attachant notamment à souligner l’évolution des supports et des modes de représentation de l’information géographique au cours du 20ème siècle, nous introduirons les conséquences de la révolution numérique qui a touché le domaine dans les années quatre-vingt dix tant au niveau de la cartographie que de l’imagerie.
L’apparition de nouveaux vecteurs (satellites à très haute résolution, drone) (Figure 2) et de nouveaux capteurs (hyper-spectraux, thermiques, radar) ouvre également de nouvelles perspectives en matière de caractérisation des objets géographiques. Dans un second temps seront présentés quelques exemples illustrant différents modes de représentation des territoires et de l’environnement élaborés par les chercheurs de la plateforme ISIG : sensibilité au bruit, visibilité paysagère, localisation des faits de délinquance, extension du tissu urbain, caractérisation des lits fluviaux.
Ces travaux permettront alors d’ouvrir la réflexion sur les différents modes de représentation des dynamiques temporelles enregistrées par les territoires et l’environnement. Plusieurs exemples seront ainsi présentés afin de visualiser l’urbanisation progressive de l’agglomération lyonnaise, la dynamique des paysages et leur simulation future (Figure 3), les changements fluviaux à l’échelle de tronçons de plusieurs dizaines de kilomètres ou de secteurs plus restreints sur lesquels des actions de restauration ont été réalisées. Dépassant la combinaison d’états temporels, il s’agit de replacer la dynamique de changement dans le contexte des causalités et des conséquences et d’aborder les enjeux scientifiques qui se posent aujourd’hui autour du traitement de l’information temporelle.
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : environnement, géomatique, images, cartes, changements territoriaux, géolocalisation
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Paint brush: dessiner sur une image
/ INRIA, Unisciel, Fuscia, Université de Nice
/ 2011
/ Unisciel
Pichardie David
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Permet de s'initier au codage pixelique et aux opérations de dessin sur une image. Mot(s) clés libre(s) : proglet, manipulation d'images, codage pixelique, codage matriciel, dessin sur une image
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Bruits de Poisson et base probabiliste
/ Observatoire de Paris, Unité de formation-enseignement de l'Observatoire de Paris
/ 2003
/ Unisciel
Pelat Didier
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Différentes appliquettes autour des lois de Poisson: les bruits de Poisson,
histogramme d'une loi de Poisson, fonction de répartition d'une loi de Poisson,
théorème central limite pour les lois de Poisson, flux de Poisson et d'Erlang,
fonction de répartition et densité de probabilité, théorème central limite pour les lois d'Erlang, formation d'une image comme flux de Poisson 2D. Mot(s) clés libre(s) : loi de Poisson, bruits de Poisson, Erlang, formation des images, théorème central limite
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Analyse d'images par traitement de Fourier optique
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ORTALO Jérémie, GAUFRÉS Etienne, FOULET Gloria
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Montage expérimental dans lequel est visualisé le spectre d'une image au niveau du plan de Fourier. Deux exemples de traitements d'images sont présentés : le floutage et le démultiplexage.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : démultiplexage, diffraction, floutage, optique de Fourier, traitement d'images, transformée de Fourier
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La mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 1/2)
/ Pascal CESARO
/ 01-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
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Le cinéma est à la fois fiction (un plan de chien enragé ne mord pas) et documentaire (tout film documente au moins ses acteurs en train de jouer). Mais bien évidemment la visée documentaire diffère considérablement de celle de la fiction. La vérité historique n'est pas du même ordre (de production, de croyance) que la vérité dramatique ; elles ne réfèrent pas au monde de la même façon (même si elles peuvent se mêler) et ne relèvent pas du même geste, de la même intention (ni donc de la même réception).La nature documentaire du cinéma, de la prise de vue comme prise de vie, engage deux ordres de questionnement :
1) la question de la réalité et de la vérité à l'écran vis à vis du spectateur ;
2) la question de la relation filmeur/filmé, des conditions et directives de tournage, qui vont elles-mêmes guider (tromper ou détromper) la croyance du spectateur. Car filmer, plus spécialement en documentaire, ce n'est pas seulement représenter, c'est aussi agir directement sur le monde et ses protagonistes ; en documentaire bien plus qu'en fiction, la relation entre l'action du filmeur et les actions des filmés (au tournage comme au montage) est non seulement le moteur du film, mais partie intégrante de son motif et de son sens. Si en fiction, selon l'adage godardien, "un travelling c'est une question de morale" (comme on dirait "le style c'est l'homme"), en documentaire "la morale est bien une question de travelling" (citation moins connue mais antérieure de Luc Moulet), dans la mesure où on ne filme pas les personnages d'une histoire (une représentation au sens théâtral et une vision d'auteur) mais l'histoire des gens, qui valent et répondent d'eux-mêmes devant la caméra, et le documentariste doit répondre de leur présentation. C'est pourquoi nous parlerons ici d'analyse "esth-éthique", au sens où la compréhension du documentaire exige une critique pragmatique en plus d’une analyse sémiologique (ou iconique). Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, analyse sémiologique, cinema, documentaire, fiction, image, réalité, réel, représentation, théorie du cinéma
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Représentations préhistoriques, images du sens-Primitiva Bueno Ramirez
/ CERIMES, Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN
/ 19-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Muséum national d'Histoire naturelle
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Représentations préhistoriques : images du sens11h05-11h30 – P. Bueno Ramírez, R. de Balbín Behrmann , R. Barroso Bermejo , J.C. López Quintana , A. Guenaga : Fronteras y arte megalitico. Una perspectiva desde el ambito pirenaicoL’art préhistorique, ouverture directe sur les sociétés de Sapiens Les découvertes de grottes ornées spectaculaires, comme Chauvet, le problème de leur conservation, à Lascaux par exemple, la force expressive de figurines en ivoire, telle la Dame de Brassempouy, traversent la conscience collective que nous avons des sociétés préhistoriques par le prisme de l’art. Chargées d’esthétique, ces peintures et gravures sur parois rocheuses, tout comme ces statuettes, nous semblent proches de nos arts, alors que leurs auteurs, avec leurs outils de pierre et leurs modes de vie dans la Nature, nous semblent si définitivement différents. Ainsi, l’art, dégagé de l’évolution des techniques, des changements des modes de vie, des adaptations aux perpétuels bouleversements des climats et des milieux, paraît faire un lien unique de compréhension avec les auteurs préhistoriques des peintures, gravures et sculptures. Des recherches renouvelées au croisement de l’archéologie préhistorique, de la physicochimie des minéraux et des roches, des méthodes de datation. La variété des microanalyses devenues applicables aux représentations préhistoriques sans incidence sur leur conservation et leur intégrité d’une part, la diversité des techniques d’observation, d’analyse et de traitements des données d’autre part ont considérablement servi le développement des recherches appliquées à l’art préhistorique. Cette évolution vers des caractérisations objectives des composantes minérales, biologiques et techniques des représentations préhistoriques couplées à leurs supports s’accompagne d’une prise en compte croissante des contextes archéologiques et paléo-environnementaux. Tant sur le plan chronologique des datations que sur celui des données faunistiques ou pétrographiques régionales et sur le plan des comportements techniques et culturels, les représentations préhistoriques s’enracinent dans les recherches préhistoriques en général. Objectif du colloque La rencontre programmée au Musée de l’Homme de spécialistes français et étrangers des formes graphiques et plastiques de la préhistoire, spécialistes de l’image et de sa place dans l’évolution cérébrale des Sapiens, répondra pleinement aux exigences méthodologiques et aux débats scientifiques actuels. Elle se tiendra à l’écart des interprétations généralisantes et coupées des données réelles, fortement médiatisées, qui polluent continuellement le fondement scientifique des recherches consacrées aux représentations rupestres et mobilières de la Préhistoire, dans le monde. Une place importante sera donnée aux travaux concernant l’art paléolithique, pariétal, rupestre et mobilier en Europe, en étroite corrélation avec les recherches en cours dédiées aux comportements techniques et sociaux des Néandertaliens et des Hommes anatomiquement modernes de la Préhistoire qui ont peuplé conjointement le finistère de l’Eurasie. Parallèlement, des séries de communications seront axées sur des ensembles rupestres d’autres continents et sur des formes rupestres néolithiques et protohistoriques en Europe ; d’autres enfin aborderont les questionnements méthodologiques provoqués par les diverses nouvelles techniques d’analyse. Il devrait en ressortir une image renouvelée des Hommes préhistoriques et de leur évolution pendant le Pléistocène supérieur et l’Holocène, de la relation innovante de leurs comportements symboliques sur leurs comportements sociaux, techniques et économiques. Mot(s) clés libre(s) : image, préhistoire, sens
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Éditer la guerre / Morad Montazami
/ Claire SARAZIN, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 24-01-2013
/ Canal-u.fr
MONTAZAMI Morad
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Éditer la guerre / Morad Montazami, in "L'image empruntée : l'artiste comme éditeur", journée d'étude co-organisée par le laboratoire (LLA-CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut supérieur des arts de Toulouse (ISDAT) et le musée des Abattoirs de Toulouse, le 24 janvier 2013.Trois oeuvres basées sur l’appropriation d’images de guerre et le spectre plus large de leur fabrication, leur transmission et leur mise en discours, servent d’exemples dans la perspective singulièrement politique d’« éditer la guerre » : Zineb Sedira, Gardienne d’images (2010), Walid Raad, Atlas Group (1989-2004), Jean-Luc Godard, Ici et ailleurs (1974). Entre images de Palestine, du Liban et de l’Algérie, Morad Montazami étudie ainsi les gestes de montage, d’archivage ou de décodage qui activent des dispositifs de témoignages.* Illustration : "Gridflow 2015-05-21-02h14m12s", capture d'écran du site GridFlow de Reynald Drouhin. Mot(s) clés libre(s) : relations texte et image, photographie (20e-21e siècles), appropriation (art), guerre (dans l'art)
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Qu'est-ce que voir une image ?
/ UTLS - la suite
/ 13-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
MONDZAIN Marie-josé
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On associe spontanément l'image à la vision parce que nous identifions aussi naturellement image et spectacle. Les choses ne sont pas si simples. L'histoire théologique et philosophique témoigne de la vivacité des débats qui opposèrent les défenseurs de l'image à leurs adversaires. Tous défendirent l'image, reconnaissant en elle une opération structurante, mais pour les uns elle devait rester invisible alors que pour les autres la visibilité était sa condition nécessaire. Est-il possible de concevoir un traitement du visible qui respecte l'invisibilité de l'image ? Si c'est le cas, il faut donc reprendre la définition différentielle de l'image et du visible pour construire la question du sens partagé dans l'expérience sensible ? Si le visible est déterminé par la vision, il est en effet irréductible au partage. La question qui porte sur le voir ne peut échapper à celle qui porte sur la parole elle-même. Ne faut-il pas dire alors que voir une image c'est partager le visible par l'usage de la parole ? Voir une image c'est déjà voir ensemble ce qui est montré à des sujets parlants. Dès lors on peut revenir à l'analyse de ce qui permet de distinguer non seulement image et vision mais aussi image et spectacle. Les controverses actuelles qui traversent le monde du spectacle montrent clairement que la question : « qu'est-ce que voir une image ? » revient à demander : qu'est-ce qu'un spectateur et quelle est sa place ? Est-il toujours reconnu quand on lui donne à voir dans sa situation de sujet de la parole et de la pensée ? Mot(s) clés libre(s) : iconographie, image, perception, philosophie, vision
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Le Documentaire et les images d'archives (Penser le cinéma documentaire : leçon 5)
/ Pascal CESARO
/ 10-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MILLS - AFFIF Edouard
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De DzigaVertov à Frédéric Rossif, en passant par Alain Resnais et Chris Marker, de grandes signatures se sont prêtées à cet exercice bien particulier, qui consiste à faire un film sans tourner une seule image, un film qui va s’écrire entièrement sur la table de montage. Ce n’est pas pour rien qu’on appelle bien souvent les documentaires d’archives des « films de montage ».Images d’actualité, émissions de télévision, archives industrielles, militaires, éducatives, films de famille, d’explorateurs ou d’ethnologues, les terrains de chasse du documentaire d’archives sont diverses et variées. Mais quelque soit l’origine du fonds qui va constituer la matière première du film à faire, il convient au préalable de savoir décrypter et déchiffrer ces images, afin d’en révéler la nature profonde. Une image n’est pas une preuve de vérité, elle est toujours faite dans un but précis, elle peut dire vrai comme mentir vraiment. « Tous les documents doivent être analysés comme des documents de propagande, préconise l’historien Marc Ferro. Mais le tout, c’est de savoir de quelle propagande il s’agit. Les images d’archives ne sont pas mensongères au moins sur un point : ce que l’on a voulu dire aux gens. Ça, c’est une vérité historique ! »Autres questions qui s’imposent comme des impératifs catégoriques avant de rentrer en salle de montage : comment ne pas ajouter de la manipulation à la manipulation? Quels principes de montage se donner pour éviter de tomber dans le piège de répondre à la propagande par de la contre-propagande ? Comment ne pas se contenter de plaquer un discours sur des images prétextes, dont la seule fonction sera d’illustrer et de valider le point de vue initial des auteurs ?Nous verrons, à partir d’exemples précis, quels sont les différents styles d’écriture empruntés par le documentaire d’archives, sans exclusive, mais en privilégiant toutefois les formes les plus innovantes et singulières.1.Le contexte historique de l'usage des images d'archives dans le cinéma et à la télévision.- Les différentes formes de documentaires d'archives : archive de guerre, film de famille, documentaire historique, scientifique, expérimental...- Une utilisation classique : le document témoignage comme preuve d'une réalité historique- Une utilisation contemporaine : L'archive comme moteur du récit, le document d'archive est ré-interrogé, il sert un champ d'expérimentation des formes narratives cinématographiques... 2. Le statut des images d'archives : Histoire ou Propagande ?- Vérité et mensonge dans le documentaire historique, le faux et le vrai, la réalité et le matériau cinématographique.L’image d’archive est une trace "historique", le réalisateur doit s'interroger sur la signification et la fonction qui lui ont été assignées : c'est le refus de l'archive comme simple illustration et preuve du réel !- Exemple de la polémique sur les images des camps de concentration: Shoah de C. Lanzman / versus D.D. Huberman3. Les spécificités de l' écriture pour un scénario de film documentaire à base d’archives ?- Appréhender les archives par une méthodologie de réalisation.- Ethique du montage : comment appréhender au montage des images que l’on a pas conçues ? comment intégrer les archives à une nouvelle stratégie narrative ?4. Les dispositifs de la mise en scène des images d'archives dans le documentaire télévisé:- Ecrire ou reécrire l'histoire ?- Le statut et l'écriture du commentaire : le rôle de la voix off- Le traitement sonore : le rôle de la musique, bruitage et ambiance sonore.5. L'archive comme matériau cinématographique Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinéma, documentaire d'archives, esthétique, film de montage, histoire du cinéma, images d'archive, télévision
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Images du monde visionnaire
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUX Henri, DUVIVIER Eric
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Avec une extraordinaire lucidité et une incroyable précision, Henri Michaux avait réussi à fixer dans sa mémoire telles ou telles images du monde visionnaire qui apparaissent sous telle ou telle substance hallucinogène. C'est la grande valeur scientifique de ces expériences qui a justifié la perpective médicale initiale de cette réalisation d'Eric Duvivier.
Origine
Eric Duvivier 1963
Générique
Auteur : Henri Michaux Réalisateur : Eric Duvivier Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : hallucinations, hallucinogènes, images, mescaline, perception visuelle
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