Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Après Charlie : Liberté de pensée / Liberté d’expression
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 03-03-2015
/ Canal-u.fr
RECHTMAN Richard, SAPIRO Gisèle, HAMIT Bozarslan, MATONTI Frédérique, GOLE Nilüfer, MOHEN Jean-Pierre, BRAHIMI Mohamed Amine, DUCLOUX Thibault
Voir le résumé
Voir le résumé
L’EHESS poursuit son cycle de débats Les Agendas du Politique sous l’égide du laboratoire d’excellence Tepsis et des Éditions de l’EHESS.
Les attentats contre Charlie Hebdo et les réactions qu'ils ont
suscitées ont ravivé les débats autour de la liberté d'expression et de
ses limites, ainsi que sur les formes de la religiosité et leur
inscription dans l'espace public. L'urgence de condamner ne doit pas
empêcher la prise de recul par rapport à des représentations souvent
caricaturales de part et d'autre. Cette conférence vise à restituer une
réalité plus hétérogène, trop souvent ignorée par des analyses hâtives
et simplificatrices.
Intervenants
Hamit Bozarslan (CETOBAC/EHESS) : Discuter de l’Islam à l’heure de Charlie
Mohamed Amine Brahimi (CESSP-CSE/CETOBAC//EHESS) : Les nouveaux penseurs de l’Islam
Thibault Ducloux (TEPSIS/CMH-ETT/EHESS) : Les usages de la religion en prison
Nilüfer Göle (CESPRA/EHESS) : Avant / Après Charlie
Gisèle Sapiro (CESSP-CSE/EHESS) : Écrivains et artistes face aux limites de la liberté d’expression : perspectives socio-historiques
Discussion et modération
Frédérique Matonti, CESSP/Université Paris I Panthéon-Sorbonne
Richard Rechtman, Directeur du LabEx TEPSIS Mot(s) clés libre(s) : démocratie, Islam, liberté d'expression, Charlie Hebdo
|
Accéder à la ressource
|
|
Médecine connectée
/ FMSH Production
/ 19-01-2016
/ Canal-u.fr
RAINHORN Jean-Daniel
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, nouvelles technologies, liberté individuelle, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - J-D. Rainhorn
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
RAINHORN Jean-Daniel
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Républicanisme et révolution
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MONNIER Raymonde
Voir le résumé
Voir le résumé
Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéRaymonde Monnier propose ici une définition des deux termes, républicanisme et révolution, qui recouvrent deux concepts apparemment contradictoires mais étroitement liés. Elle s'intéresse au transfert et à la réappropriation révolutionnaire des théories du républicanisme. Elle évoque notamment la notion de liberté politique en mentionnant Jean-Fabien Spitz, Constant et celle de liberté civile défendue par Condorcet. Elle propose une définition de la liberté républicaine comme non domination entre les individus et entre les peuples puis s'intéresse au problème général de l'association politique et de la liberté des individus. Desmoulin, Bonneville, Taine, Mandart, Milton, le journaliste Robert et sa brochure "Le Républicanisme adapté à la France", les pamphlets de Lavicomtrie, l'Oceana de Harrington, Turgot, John Adams sont autant de références sur lesquelles elle s'appuie. Elle s'attache notamment à montrer l'importance des transferts entre les Lumières anglaises et françaises prouvée par le grand nombre de traductions d'ouvrages anglais. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : liberté, républicanisme, révolution
|
Accéder à la ressource
|
|
Le fascisme au XXème siècle
/ Mission 2000 en France
/ 02-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MILZA Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Après plus d'un demi-siècle de paix, le monde industrialisé, et en premier lieu l'Europe, bénéficient d'une adhésion quasi unanime au modèle démocratique et d'un rejet aussi large des dictatures de " droite " et de " gauche ". Il n'en a pas toujours été ainsi. Notre continent a été, ne l'oublions pas, le berceau des totalitarismes, et en particulier celui du fascisme, cette idéologie qui, rapprochant dans leur commune hostilité aux idéaux de la démocratie libérale des individus et des groupes venus de l'ultra-droite et de l'ultra-gauche, a donné naissance entre les deux guerres à des régimes visant au formatage des individus sur un modèle unique, à la déification de la nation et à l'impérialisme guerrier. En quoi cette idéologie et ces régimes se distinguent-ils des autres formes de rejet de la démocratie libérale dont notre siècle a vu la prolifération ? Pourquoi se sont-ils développés à un moment où les idéaux démocratiques paraissaient devoir s'imposer aux sociétés industrialisées ? Ces dernières se trouvent-elles ou non menacées par l'émergence d'un " néo-fascisme ", qui, entre autres, se nourrirait des craintes suscitées par la mondialisation ? Telles sont les questions auxquelles cette conférence se propose de répondre. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, dictature, fascisme, liberté, totalitarisme (europe)
|
Accéder à la ressource
|
|
033 - Pourquoi le 1er novembre 1954 ? par Gilbert Meynier
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MEYNIER Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)Résistances anticoloniales et nationalisme : l’avant 1954 : session thématique (prés. Omar Carlier)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En reprenant la classique gradation en histoire des causes lointaines aux plus immédiates, cette contribution entend situer le déclenchement de la Guerre d’indépendance le 1er novembre 1954 à la rencontre de plusieurs séries factuelles et de plusieurs échelles temporelles. Le récit ainsi constitué renvoie l’événement que les journalistes français nommèrent la « Toussaint rouge » : À la colonisation de l’Algérie par la France, depuis la conquête entamée en 1830, à son caractère violent, aux spoliations et aux traumatismes qui l’ont accompagnée. Au dépérissement culturel qu’a engendré la colonisation. À la discrimination et au racisme et aux corollaires politico-culturels de cet état de fait. À la naissance de l’idée indépendantiste/nationale, apparue en exil, constituée en 1926, en « Étoile Nord-Africaine »puis en Parti du peuple algérien - PPA (1937) et après la Seconde Guerre mondiale, en Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques - MTLD (1946). Au dépit de non-possession des élites rurales, le plus souvent mises sur la touche par la colonisation. De ce fait, on a pu dire que le peuple algérien fut à ce moment un « peuple-classe » et que la lutte des classes fut donc presque toujours, en même temps, une lutte anticoloniale, contrairement à ce qui a pu exister en d’autres aires du Tiers-monde. Aux blocages coloniaux et à l’incapacité du système colonial à se réformer. À des détonateurs précurseurs qui, de la grande insurrection à vecteurs confrériques de 1871 aux soubresauts du Constantinois de mai 1945 et à la répression consécutive, pérennisèrent dans la masse algérienne le non-dit de la reprise des armes pour chasser les envahisseurs. À la crise du parti indépendantiste MTLD à l’été 1953, où la figure de Messali Hadj fut remise en cause, ouvrant la voie à des militants activistes qui décidèrent d’une rupture par les armes pour sortir du désarroi et de l’impasse.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : ahmed messali hadj (1898-1974), algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, colonisation, étoile nord-africaine, guerre d’indépendance, histoire, mouvement pour le triomphe des libertés démocratiq
|
Accéder à la ressource
|
|
Que faire de nos traces numériques ?
/ 12-10-2015
/ Canal-u.fr
MERZEAU Louise
Voir le résumé
Voir le résumé
En quelques années, le numérique a évolué dans le sens d’une personnalisation des interfaces et des contenus : chacun, aujourd’hui, peut prétendre à une information sur mesure. La contrepartie est un traçage systématique des préférences et des comportements des utilisateurs sur les réseaux. Traduite en traces, l’identité relève alors de plus en plus du calcul et de la documentation. Livrée aux algorithmes, la personne fait l’objet de traitements et de transactions.
Cette évolution pose la question de la dépossession et de la réappropriation de sa « présence numérique ». En termes de contrôle ou de protection bien sûr, mais aussi d’exercice individuel et collectif d’une liberté, d’une mémoire et d’une sociabilité. Car notre environnement numérique doit d’abord se penser comme un espace à habiter, à construire et à partager. Mot(s) clés libre(s) : protection, contrôle, liberté, identité, traces numériques, information, traçage, présence numérique, mémoire
|
Accéder à la ressource
|
|
« La liberté, Sancho, est un don précieux…II, 58 »
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 28-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LY Nadine
Voir le résumé
Voir le résumé
Fantasque, extravagant, fou, justicier…sont autant de qualificatifs attribués au héros légendaire de Cervantès, Don Quichotte.
Chevalier errant des temps modernes, Don Quichotte, trouve dans la lecture de romans chevaleresques et les méandres de son imagination un moyen « […] d’aventurer la vie (II, 58) ». Vagabondant entre rêve et réalité, il multiplie les aventures et les rencontres sombrant peu à peu dans une folie salutaire car garante de liberté.
C’est de cette soif intarissable de liberté de Don Quichotte, de ses limites et de ses paradoxes dont nous parle Nadine Ly lors de cette rencontre.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2008-2009 sur le thème "Actualités". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : don quichotte (personnage fictif), don quijote de la mancha, liberté (dans la littérature), littérature espagnole (1500-1700), miguel de cervantès saavedra (1547-1616 ), roman courtois espagnol
|
Accéder à la ressource
|
|
Sécurité nationale et libertés publiques
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 11-03-2015
/ Canal-u.fr
LINHARDT Dominique, RIOS-BORDES Alexendre, CAHN Olivier, BOURMEAU Sylvain
Voir le résumé
Voir le résumé
Séance exceptionnelle dans le cadre d’un cycle de quatre conférences-débats organisées par l’EHESSIntervenants :Dominique Linhardt (sociologue, LIER, EHESS),Olivier Cahn (spécialiste de la lutte contre le terrorisme, Université de Cergy-Pontoise),Alexandre Rios-Bordes (historien, CENA, EHESS)Michel Debacq
(avocat général près la Cour de cassation, expert de l'Union européenne
auprès des autorités judiciaires maliennes compétentes en matière de
lutte contre le terrorisme.) Conférence-débat animée par Sylvain Bourmeau, France Culture, professeur associé à l'EHESS Mot(s) clés libre(s) : sécurité, terrorisme, radicalisation, libertés publiques, politiques sociales
|
Accéder à la ressource
|
|
L’Afrique et ses avenirs
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 31-10-2000
/ Canal-u.fr
KIPRE Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Les images d'un continent à la dérive que renvoient les tenants de l'afro-pessimisme s'opposent aux positions sur la renaissance d'un passé glorieux de l'Afrique. Au regard des acquis collectifs et individuels du siècle sur notre continent, la fin sombre du XXème siècle ne doit pourtant pas fonder des avis définitifs. Les temps à venir seront plus probablement ceux de changements positifs que des temps de régression si l'on se place dans la longue durée des changements structurels et du temps des mentalités. Qu'il s'agisse de l'instance économique, de l'instance sociale ou politique, l'Afrique de cette fin de siècle part avec le handicap d'avoir été toujours perçue, et maintenue depuis le XVIIIème siècle, comme " zone de réserves de matières premières " et comme espace marginal de l'humanité. Sont ainsi réduites encore ses possibilités de nécessaire rupture avec une longue histoire de " mal développement ". Et pourtant, la créativité de ces peuples et leurs capacités d'adaptation sont restées fortes. Aussi, tout montre-t-il que se dessinent aujourd'hui de nouveaux espaces mentaux sur ce continent marqué par la pluralité des cultures anciennes et l'ouverture de plus en plus affirmée à la modernité. L'Afrique aura l'avenir qu'elle saura dessiner, au cours du prochain siècle, avec les autres continents dans des rapports de réciprocité enrichissants et bénéfiques pour tous. Mot(s) clés libre(s) : afrique, démocratie, démographie, agriculture, liberté, identité, pauvreté
|
Accéder à la ressource
|
|