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La main de l'image / Céline Duval
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 24-01-2013
/ Canal-u.fr
DUVAL Céline
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La main de l'image / Céline Duval, in "L'image empruntée : l'artiste comme éditeur", journée d'étude co-organisée par le laboratoire (LLA-CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut supérieur des arts de Toulouse (ISDAT) et le musée des Abattoirs de Toulouse, le 24 janvier 2013.À partir d'une sélection d'artistes pouvant être regroupés sous le terme «re-lecteurs d'images», Céline Duval analyse les différents gestes liés à l'acte d'appropriation, de manipulation et de re-distribution des images sur support papier. Cette étude révèlera le rapport corporel, quasi charnel qu'entretiennent ces artistes avec l'image imprimée, fétichisée, voir érotisée. Mais qu'en est-il de la pilosité des images numériques ?* Illustration : "Gridflow 2015-05-21-02h14m12s", capture d'écran du site GridFlow de Reynald Drouhin. Mot(s) clés libre(s) : perception des images, illustrations et images (interprétation), photographie (20e-21e siècles), photographies (oeuvres), emprunts artistiques
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L'erreur fondamentale d'attribution
/ Philippe THOMINE, Université Nancy 2 - Vidéoscop, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 25-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DUBOIS Nicole, THOMINE Philippe
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Ce sujet sera abordé de deux façons complémentaires : - un film bref relatant une expérimentation qui montre une erreur fondamentale d'attribution.- un exposé qui analyse cette expérimentation, présente d'autres expérimentations sur le même thème et apporte des notions théoriques sur l'erreur fondamentale d'attribution.Lorsque nous cherchons à comprendre les causes de nos comportements et de ceux des autres, nous avons le choix entre des causes internes (liées à la personne elle-même) et des causes externes (liées à la situation, aux circonstances).Dans cette analyse des causes, sommes-nous méthodiques, "scientifiques" ?Non, nous avons tendance à privilégier les causes internes. C'est ce qu'on appelle "l'erreur fondamentale d'attribution".Référent scientifique : Nicole Dubois / Professeur de psychologie sociale - UFR Connaissance de l'Homme - Laboratoire de Psychologie de - Universités Lorraines - Université Nancy 2Réalisation : Philippe ThomineCette expérimentation a été mise en scène avec : Céline Gomes - Doctorante en psychologie sociale - Université Nancy 2 et Adeline Benard, Julien Biaudet, Aline Euriez, Céline Euriez, Sylvie Gabrysiak, Lorène GutehrléValidation scientifique du film : Nicole Dubois, Céline GomezImage : Anne FerreraCadre : Anne Ferrera, Catherine MamecierSon : Christian LamalleMaquillage :Joyce SchwartzPost-production : Benoît PoncelinMixage : Julien DecollogneChargée de production : Catherine MamecierChef de projet : Jacqueline RiesDirectrice de production : Laurence CattiauxProduction déléguée et exécutive : Vidéoscop Université Nancy 2, Florence DucreauEnregistrements réalisés à la bibliothèque de géographie - Université Nancy 2Remerciements : Mme Arnould - Directrice du département géographie, Mr Corbet - Directeur de l'UFR des sciences historiques et géographiquesAvec le soutien financier du Ministère de l’éducation nationale et du Conseil Régional de Lorraine, Direction de l'enseignement supérieur et de la recherche.Une coproduction Université Ouverte des Humanités - Nancy-UniversitéTous droits réservés© Nancy-Université/Université Nancy 2 – U.O.H. – 2007La ressource est diffusée sous licence Creative Commons Mot(s) clés libre(s) : attribution causale, interaction sociale, perception sociale, psychologie sociale
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L'image sonore
/ UTLS - la suite
/ 18-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
DESHAYS Daniel
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Image sonore désigne le lien établi entre une image visuelle et le son qui l'accompagne ; le cinéma n'est qu'une des occurrences de cette relation. Image sonore caractérise également une faculté propre au son. Ecouté seul, tenu hors de tout accompagnement visuel, le son engage en chacun de nous une production d'imaginaire. Lecture sans narration, les sons entendus entretiennent une polysémie toujours active. Lorsque l'on entend un verre se casser, la nature de ce son permet de l'associer à un verre en Duralex, une bouteille ou une vitre. Dans son déroulement rien n'est attendu, la surprise se renouvelle à chaque instant de l'écoute. En révélant une matière virtuelle plastique et architecturée, le son s'inscrit dans l'espace : grain, densité, couleur sonore, flux, type de plan, échelle, etc. C'est pourquoi il a la faculté d'être mis en scène. Alors, à son tour, le son devient un objet de création, indépendamment de la condition où le cinéma le subordonne. La question musicale n'est pas ici en jeu. Insistons : l'image sonore n'existe pas socialement. Son existence artistique autonome n'est nullement instituée. Le son est loin de posséder le statut de la photographie bien qu'il en détienne des qualités. L'enregistrement sonore reste soumis aux seules fonctions de conservation, par exemple celles de l'industrie de l'édition musicale. Déposer sur un support engage un processus d'écriture qui implique d'en concevoir la forme. Cette forme nous introduit à un autre espace de création : celui de la mise en scène de la prise de son, lieu premier de l'écrit. Cette approche bénéfice par conséquent autant à l'art en général qu'au son lui-même. Cette conférence voudrait faire apparaître un territoire méconnu. Car, contrairement à l'opinion commune, la question sonore se joue ailleurs que dans le champ de la technologie. Mot(s) clés libre(s) : cinéma (son), enregistrements sonores, image sonore, musique (influence), ouïe, perception auditive, sens et sensations, son (arts du spectacle)
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EN-5. Various ways of reading biodiversity: appropriation, reinterpretation and dispute of a plural word
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 12-12-2014
/ Canal-u.fr
DEMEULENAERE Elise
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Elise Demeulenaere proposes an analysis framework to better understand the variety of nature and biodiversity appropriation modes. She gives several examples underlining this diversity: the biodiversity appropriation in a post-Rio context, and the tension related to the agricultural orientations and the GMO. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, perception, Appropriation, biodiversity
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5. Biodiversité en société : appropriations, réinterprétations, contestations d'un terme pluriel
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, UVED
/ 12-12-2014
/ Canal-u.fr
DEMEULENAERE Elise
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Elise Demeulenaere propose un cadre d'analyse permettant de mieux comprendre la diversité des modes d'appropriation de la nature et de la biodiversité. Elle apporte plusieurs exemples mettant en exergue cette diversité : l'appropriation de la biodiversité dans un contexte post-Rio, et les tensions autour des orientations agricoles et des OGM. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, agriculture, perception, Appropriation
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L’analyse de l’image - Bernard Darras
/ UTLS au lycée
/ 07-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DARRAS Bernard
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L’analyse d’une image ne peut se faire selon une méthode scientifique (division en parties de l’image) car elle représente un tout synthétique. C’est donc sous une approche holiste et systémique que toute image doit être étudiée : le tout est supérieur à la somme des parties. C’est de cette affirmation que part Bernard Darras pour détailler sa conception de l’analyse d’un objet, quelque soit son genre ou sa typologie. L’étude d’une image comporte 4 grandes phases : - l’Ekphrasis : description- l’Exégèse : explication, interprétation- l’Herméneutique : art d’interpréter et de faire comprendre- le ThéoriqueUne conférence de l'UTLS au lycéeL’analyse de l’image par Bernard Darras, sémioticien.Professeur des UniversitésUniversité Paris 1 Panthéon-Sorbonne UFR 04Directeur du Centre de Recherche Images et Cognitions LYCEE JEAN JAURES (93100 MONTREUIL) Mot(s) clés libre(s) : éducation à l’image, holisme, illustrations et images (interprétation), perception des images, réductionnisme, sémiotique et arts
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La musique
/ Mission 2000 en France
/ 22-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DANDREL Louis
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La musique multiple par Louis Dandrel Faire un état de la musique aujourd'hui oblige à dresser un inventaire abondant et disparate. On peut tenter d'y voir ou d'y entendre plus clair en observant les transformations des situations d'écoute, les techniques de traitement et diffusion du son, ou encore les évolutions de l'architecture. L'extrême diversité de la musique semble en effet coïncider avec le fractionnement et le mélange des espaces où elle prend forme et se propage. Des ethnologues et des historiens ont déjà mis en évidence des relations entre des développements de musiques traditionnelles ou savantes et leur milieu acoustique. La production et la consommation de musique paraissent à ce jour doublement liées à leur environnement qu'elles contribuent à façonner mais dont elles sont étroitement dépendantes. Mot(s) clés libre(s) : acoustique architecturale, acoustique et physique, écoute musicale, musique, musique et architecture, perception de la musique, style musical
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Joël
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.La pointe du Microscope à Force Atomique (AFM) peut palper une surface à l’échelle nanométrique comme je le fais avec l'extrémité de mon doigt à notre échelle. Quelle différence entre la pointe de l’AFM et le bout de mon doigt lorsqu’ils touchent une surface, c’est à dire un mur ? Pas si grande. La soudaineté du contact, manifestation banale mais centrale de la mécanique quantique, fait que du nanomètre au mètre, les objets inertes ne s'interpénètrent pas mais se touchent brutalement. Alors faire le portrait d’un électron avec un AFM, est ce différent ? Oui. Cet électron attaché à une molécule sur une surface est d’abord une charge électrique. La pointe nanométrique vient interagir avec lui grâce au champ électrique. Un portrait électrique donc. Le mur m’exclut quelques soient mes efforts pour partager son espace. Pour occuper sa place, il me faudra le détruire. Un électron sur une surface. Quelle est sa taille ? Quelle place occupe-t-il ? Mauvaises questions pour un scientifique. Pour le Microscope à Force Atomique, l’image vient tranquillement et sans détour. C’est quasiment automatique. Appuyant fort, la pointe s’approche, on a l’image d’un petit électron. En appuyant faiblement, une nouvelle image le montre énorme. Dans les deux cas, on produit une image de l’électron, toujours basée sur la force électrique d’interaction entre la pointe du palpeur et cet électron. Parmi toutes ces images, quel est le portrait de l’électron ? Au choix du spectateur. Jusqu’où peut aller cette variation de la taille apparente ? Ici, jusqu’aux limites de "l’appareil photo".> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (réception), nanotechnologies (instrument), perception spatiale
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Art et Science - Jean Pierre Changeux
/ UTLS - la suite
/ 29-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CHANGEUX Jean-Pierre
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Professeur au Collège de France, Jean Pierre Changeux, explore ici le domaine des neurosciences de l’art.Il démontre comment et pourquoi la contemplation ou création d’une œuvre d’art est profondément liée au cerveau et à l’activité cérébrale. Un phénomène que le philosophe Gaston Bachelard a défini comme un « matérialisme instruit ».Une conférence de l'UTLS au lycée par Jean Pierre Changeux. Lycée Hoche (78000 Versailles) Mot(s) clés libre(s) : cerveau (physiologie), neurosciences, perception, sciences et arts
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Audition humaine
/ BioMedia-UPMC
/ 14-04-2010
/ Unisciel
Camus Gilles, Bonnet Gabrielle
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Il est impossible de mettre en parallèle le son et la lumière sans se préoccuper, non seulement de la nature physique de ces deux types d'ondes, mais aussi du fonctionnement des organes qui nous permettent de les percevoir. Mot(s) clés libre(s) : audition, oreille, perception, anatomie, Physiologie humaine
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