Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
007 Langue arabe et logique grecque
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ELAMRANI-JAMAL Addelali
Voir le résumé
Voir le résumé
Session Traduction, langage et pensée philosophique Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) L’histoire du thème des rapports entre la langue arabe et la logique grecque est aussi ancien que le début des traductions du corpus du savoir grec à l’arabe. La fameuse controverse entre le grammairien al-Sirafi et le logicien Matta Ibn Yunus (320H = vers 930) rapportée par al-Tawhidi en a structuré par formulation. Depuis le XIXe siècle la tradition d’études européenne a traité des rapports de la langue arabe et de sa grammaire avec la logique aristotélicienne dans deux perspectives en apparence apposées mais en fait solidaires. L’une s’est efforcée d’établir l’influence de la l’ Organon sur l’œuvre des premiers grammairiens ; l’autre systématisant l’incompatibilité de l’Islam avec la philosophie et la rationalité opposa la logique grecque à la langue et la grammaire arabe. L’étude de cerains textes classiques tels que ceux d’al-Farabi ou d’al-Batalyawsi permet de réduire la trop grande part idéologique prise dans la présentation de ce thème dont les termes sont devenus les symboles d’une opposition irréductible entre l’ « occident » et l’Islam.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, langue arabe, logique grecque, moyen âge, orient et occident, philosophie arabe
|
Accéder à la ressource
|
|
La transmission de savoirs licites ou illicites (3/3)
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 19-05-2008
/ Canal-u.fr
GALLEGO BARNÉS André, BAÑOS VALLEJO Fernando
Voir le résumé
Voir le résumé
La transmission de savoirs licites ou illicites dans le monde hispanique péninsulaire (XIIe au XVIIe siècles), partie 3/3. Colloque international organisé par l'équipe "Littérature
espagnole médiévale et du siècle d'or" (LEMSO), rattachée au
laboratoire FRAMESPA, sous la direction scientifique de Françoise Cazal, Amaia Arizaleta et Luis González Fernández, Université Toulouse II-Le Mirail, 19-21 mai
2008.Communications- Fernando Baños Vallejo : Quevedo como modelo del estoicismo en la poesía española. De la sentencia incontestable al consuelo insuficiente. - André Gallego : Un aspecto de la la transmisión del arte epistolar : el De conscribendis epistolis de Juan Lorenzo Palmireno o del Ars dictaminis a la Carta de favor. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), littérature espagnole (16e siècle), transmission des connaissances, Francisco de Quevedo (1580-1645), savoir et érudition
|
Accéder à la ressource
|
|
011 Lire Aristote dans le texte de Platon.
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent
Voir le résumé
Voir le résumé
Averroès et la mutation de la médecine politiqueSession La transmission des savoirs du monde arabo-musulman à l’Occident Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Lorsqu’il ouvre sa Paraphrase de la République de Platon, Averroès signale qu’il n’a utilisé le texte de Platon que pour pallier l’absence de celui d’Aristote, dont il voulait commenter La Politique. Averroès va donc devoir reconstituer dans sa lecture de Platon un Aristote hypothétique, et cette opération de palimpseste conceptuel le conduit à déplacer délibérément le sens de l’analogie médico-politique qui se trouve effectivement dans la République. Recodant ainsi finement le platonisme de la République pour y loger l’aristotélisme dont il a besoin, Averroès inaugure un usage de l’analogie médico-politique qui jouera un rôle décisif dans la naissance de la science politique moderne.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Averroès, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, transmission des textes
|
Accéder à la ressource
|
|
014 Débat : La transmission des savoirs du monde arabo-musulman à l’Occident
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent, OTTAVIANI Didier, SENELLART Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident
|
Accéder à la ressource
|
|
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GUTAS Dimitri
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, échange de savoirs, influence hellénistique, moyen âge, orient et occident, philosophie arabe
|
Accéder à la ressource
|
|
004 Avicenne et son emprise sur la pensée postérieure
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JANSSENS Jules
Voir le résumé
Voir le résumé
tant en terre d’Islam qu’en OccidentSession La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen Âge Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009)Avicenne reconnaît Aristote comme une grande autorité, tant dans le domaine de la philosophie que des sciences. Cela ne l’empêche pas pour autant de le critiquer, surtout en indiquant qu’il ne se soit pas toujours clairement exprimé. Il n’a donc pas hésité à introduire à plusieurs égards d’importantes modifications, voire d’innovations réelles. En nous limitant à ses théories en métaphysique et psychologie, nous démontrerons qu’il a élaboré un système de pensée qui dépasse largement le cadre d’une simple transmission de la pensée du Stagirite, et, plus largement, de la pensée hellénistique. Tant dans le monde musulman post-Avicennien que dans la scholastique chrétienne on constatera l’influence énorme que ces théories innovatrices ont exercé.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Avicenne, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, philosophie islamique
|
Accéder à la ressource
|
|
005 Débat La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen Âge
/ ENS-LSH/SCAM
/ 11-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JANSSENS Jules, DJEBBAR Ahmed, GUTAS Dimitri
Voir le résumé
Voir le résumé
Session La philosophie dans le monde arabo-musulman au Moyen ÂgeColloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Dans son livre l’ Obtention du bonheur, al-Fârâbî (Xe siècle) présente la philosophie qui est d’après lui "la science suprême" et "la science la plus ancienne" comme le produit des Chaldéens (peuples d’Irak) transmis aux Egyptiens, puis aux Grecs, ensuite aux Syriaques, enfin aux Arabes. Cette présentation insiste sur la pérégrination des savoirs antiques dans différentes ères géographiques et linguistiques et sur leur appropriation par la culture arabo-musulmane à un moment donné de l’histoire. Certains affirment, toutefois, que la « falsafa ne coïncide pas totalement avec notre "philosophie" » (Rémi Brague, Au moyen du Moyen Âge, p. 238), et pensent que le travail des philosophes arabes serait dépourvu de ce qui caractérise celui des Grecs : la recherche libre du savoir. D’autres estiment que l’ère géographique dominée par la culture arabo-musulmane pendant le Moyen Âge serait restée faiblement hellénisée, donc étrangère aux dynamiques intellectuelles et scientifiques qui ont animé leurs prédécesseurs grecs. Al-Fârâbî était-il donc en droit de revendiquer l’appropriation des savoirs antiques ? Par ailleurs, les connaissances produites en terre d’islam en fait de sciences et de philosophies ont-elles été foncièrement différentes de ce qui est né en Grèce et de qui sera élaboré en Occident au Moyen Âge et plus tard ? Les spécialistes de la philosophie arabe du Moyen Âge sont invités à débattre de la nature et de l’ampleur des productions scientifiques et philosophiques qui ont eu lieu en terre d’islam à cette époque.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Al-Fârâbî, civilisation islamique, civilisation occidentale, échange de savoirs, moyen âge, orient et occident, philosophie arabe
|
Accéder à la ressource
|
|
Plessage à Montaillé
/ 18-04-2004
/ Canal-u.fr
LIZET Bernadette
Voir le résumé
Voir le résumé
Plessage à MontailléUn film de Bernadette Lizet et Henry Colomertourné à Montaillé (Sarthe) autome 2003 -printemps 2004avec le club des Aînés Ruraux de Montaillé :
Marcel Gautier et sa femme Lucette, Bernard Geffraye, Marcel Huon, Michel Huon, Marceau Jodeau, Claude Juignet, Bernard Lhermitte, Joël Lhermitte, Pierre Rigault, Daniel Rousseauenquête : Bernadette Lizet
images : Henry Colomer
montage : Barberine Feinberg
© 2004 -Bernadette Lizet - CNRS -MNHN
Nous sommes à Montaillé, petit bourg rural de l’est de la Sarthe, en 2004. Une équipe d’anciens agriculteurs, membres du Club des aînés ruraux, entreprend de « plesser » une haie, un demi-siècle après l’abandon de la pratique. Autrefois effectué tous les neuf ans, conformément à la coutume transcrite dans les baux ruraux, le plessage est une sorte de réparation cyclique de la barrière vivante, permettant de contenir au mieux les animaux, tout en fournissant du bois de fagot. Porté par la vague patrimoniale qui remet la vieille technique à l’honneur, le groupe éprouve son savoir-faire, dans un feu-roulant de commentaires et de plaisanteries ritualisées. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, Sarthe, Montaillé, technique, plessage, haie, coutume, tressage, taille, rural, ethnobotanique, film ethnographique, savoir-faire, vidéo, élevage, histoire, écologie, France
|
Accéder à la ressource
|
|
016 L’Islam médiéval ou le miroir aux identités. Remarques sur une civilisation de la bigarrure
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LOISEAU Julien
Voir le résumé
Voir le résumé
Session Grammaire ou choc des civilisations ? Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Un peuple, une langue, une religion. Les monades ont quelque chose de rassurant que n’ont pas les organismes complexes. La confusion du monde islamique avec les seuls pays de langue arabe (quand, par exemple, près de 40 % des musulmans d’aujourd’hui vivent dans le monde indien) et la réduction de l’Islam à l’unique champ de la religion musulmane, sont sans doute les deux certitudes les mieux partagées par ceux que l’Islam inquiète et ceux qui entendent le défendre sur le terrain des luttes politiques. Elles ont, pour les uns comme pour les autres, l’utilité de ramener un passé devenu difficilement compréhensible à quelques identités immédiatement saisissables, sans angle ni faille tant elles ont été réifiées par les discours et les luttes qui ont accompagné, au XXe siècle, la sortie des empires.Même le chapitre longtemps consensuel de la coexistence confessionnelle, celui de l’Andalousie de la convivència, a volé en éclat : on n’y voit plus qu’une oppression habillée par le droit ou, à l’inverse, une bienveillance bafouée et depuis détrompée. Aussi l’air du temps ne devait pas non plus épargner l’histoire des idées et de la transmission des savoirs, soumise au jeu de massacre des identités. La transmission de l’héritage grec ne serait ni l’œuvre des musulmans (puisque bon nombre de traducteurs étaient chrétiens), ni l’accomplissement des Arabes (puisque les mêmes étaient issus de la population autochtone de l’Iraq). Le roi est nu et l’Islam médiéval, privé du dernier des atours que l’opinion commune voulait bien encore lui prêter. C’est qu’il nous est devenu difficile aujourd’hui d’admettre qu’une société ait pu faire sa richesse de l’infinie diversité des peuples rassemblés sous sa Loi. Difficile, de comprendre une société qui leur attribuait un génie propre et, partant, des domaines particuliers d’excellence ; où la non-appartenance au groupe dominant (au regard du nombre, de la Loi ou de la culture majoritaire) était une voie d’accès privilégiée à la société politique ; où l’allochtonie était la clé du pouvoir. Jusqu’au XIXe siècle, ce qui donna une unité de civilisation au monde de l’Islam fut sans aucun doute cette complexe machinerie sociale, fondée sur l’ajustement des différences. L’Islam, civilisation de la bigarrure, n’est décidément pas soluble dans l’alternative de l’identité et du métissage.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, échange de savoirs, Islam médiéval, moyen âge, orient et occident
|
Accéder à la ressource
|
|
La scénographie, le présent et le passé face à face : introduction / Jean-Marc Luce
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
LUCE Jean-Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
La scénographie, le présent et le passé face à face : introduction / Jean-Marc Luce, in "La scénographie, le présent et le passé face à face", 6ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 2 avril 2015.
L’acte qui consiste à
exposer un objet du passé n’est pas neutre. Le sens de cette
transformation n’est pas le même selon que l’objet est très ancien,
ancien ou récent, mais aussi selon qu’il s’agit d’un objet de la vie
quotidienne ou d’une œuvre d’art, faite pour le regard. L’objet
devient-il un document ou un objet esthétique ? La scénographie est-elle
en elle-même une œuvre d’art ? Comment le conservateur répond-il à
l’attente de son public ? Dans tous les cas, l’exposition dit quelque
chose sur le passé, mais aussi sur ceux qui le regardent. Mot(s) clés libre(s) : transmission du savoir, scénographie d'exposition (muséologie)
|
Accéder à la ressource
|
|