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Angkor Thom, de la Cité des dieux à l’horizon urbain : archéologie d’une mise en scène
/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Gaucher Jacques
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Conférence donnée le 11 juin 2009 dans le cadre des Conférences Iéna, organisées conjointement par l'Ecole française d'Extrême-Orient et le Musée Guimet.Le centre du site d’Angkor est occupé par un espace exceptionnel en raison de ses dimensions, de la géométrie de son enceinte et de la dramaturgie de ses monuments : Angkor Thom. A l’analyse, le symbolisme architectural de ses grands temples et leur ordonnancement figurent une représentation, celle de l’Univers habité par les dieux, rendue célèbre par les chercheurs de l’Ecole française d’Extrême-Orient au cours du XXe siècle. Mais ce vaste espace, aujourd’hui recouvert par la forêt, enfermait-il réellement celui d’une ville ? Quels mécanismes, inhérents à toute vie de cité, soutenaient cette mise en scène grandiose ? Pouvait-on en recueillir des traces, en dresser un plan, identifier des formes, caractériser des fonctionnements ? Enfin, dans quelle mesure était-il possible de rendre compte de sa fabrication dans le temps ? En procédant à l’archéologie d’un site à grande échelle, l’archéologue apporte à ces questions une première série de réponses qui restituent à l’ancienne capitale des rois khmers, ses dimensions urbaines, prémices d’une histoire insoupçonnée. Mot(s) clés libre(s) : Angkor, architecture khmère, Cambodge, urbanisme
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Les villes en Chine
/ UTLS - la suite
/ 09-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
GED Françoise
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En une décennie, la population urbaine chinoise a augmenté de 10% environ. Au regard d'une population globale évaluée à 1,3 milliard de personnes, cela revient à considérer que le double de la population de la France est devenue citadine en une dizaine d'années. L'impact sur le territoire est considérable, qu'il s'agisse des centres anciens, disparus ou en voie de l'être, des modes de vie, des mutations sociales et économiques des années 1990 qui ont transformé en biens marchands les prestations sociales du régime maoïste, en matière de santé, d'éducation, de logement notamment.Quels principes ont régi cette urbanisation forte et rapide ? La civilisation chinoise est par ailleurs célèbre pour la tradition urbaine qui servit de modèle à la construction de nombreuses capitales en Chine et jusqu'au Japon, ou encore par la déclinaison de modèles d'habitations, véritables entités urbaines au coeur des cités marchandes. Quelle considération a-t-on pour ce patrimoine hors pair et peut-on véritablement parler d'une stratégie de protection, face à la pression spéculative ou à la montée du tourisme intérieur ? Mot(s) clés libre(s) : chine, histoire, politique urbaine, quartiers anciens, spéculation financière, urbanisation, urbanisme, villes, villes (croissance)
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Contenção e contornamento territorial no espaço urbano brasileiro: inovação no limite ? / Rogério Haesbaert
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
HAESBAERT Rogério
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Contenção e contornamento territorial no espaço urbano brasileiro: inovação no limite ? / Rogério Haesbaert, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà
des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue
sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques,
sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à
innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de
donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce
qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui
pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au dépassement de
certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne
pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et
de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion
s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du
continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de
compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais
également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc.
Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre
d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à
(re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles /
culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales,
expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques /
géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs
appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite,
développement durable vs développement économique, valorisation vs
(co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme (aspect social), politiques territoriales, Brésil (20e-21e siècle), développement territorial
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Paris, ville de riches ? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-u.fr
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches.
Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, sociologie urbaine, Paris, embourgeoisement, gentrification, ségrégation
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Paris, ville de riches? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches. Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : embourgeoisement, gentrification, Paris, ségrégation, sociologie urbaine, urbanisme
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Des villages à la ville: le temple dans l'espace urbain moderne de l'Asie du Sud-Est
/ EFEO Ecole Française d'Extrême Orient
/ 07-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Lancret Nathalie
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A partir de quelques études de cas choisies à Bali, à Vientiane et à Siem Reap, Nathalie Lancret s’attachera à montrer quel a été le rôle de lieux de culte (temples et pagodes) dans la structuration des villes de l’Asie du Sud-Est contemporaine. Ces transformations des formes urbaines et du patrimoine seront envisagées depuis le temps des interventions coloniales jusqu'à nos jours : depuis la refondation de la ville de Vientiane, ou la création d'un centre colonial à Siem Reap, à Denpasar ou à Singaraja, et jusqu’à la périurbanisation et à l’intégration de groupements villageois organisés autour de leur temple dans les nouvelles aires urbanisées. Mot(s) clés libre(s) : Asie du Sud-est, lieux de culte, urbanisme
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Politiques culturelles et aménagement
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 29-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LE CORRE Sébastien, SIBERTIN - BLANC Mariette
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Politiques culturelles et aménagement du territoire peuvent être reliées. Pour s'en convaincre, il suffit d'analyser comment les collectivités territoriales se sont emparées de la culture dans des actions d'aménagement local.Cette banalisation pose cependant la question de la spécificité culturelle. Les outils politiques de l'aménagement peuvent-ils s'appliquer avec efficacité au volet culturel ? Peut-on spatialiser l'action des politiques culturelles ? (entretien réalisé le 29 juin 2006)GénériqueInterview : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse2, 5 allées antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, collectivités locales, équipements culturels, exception culturelle, france, politique culturelle, urbanisme
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [VF] / Loretta Lees
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [version française] / Loretta Lees. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Now that New Labour’s era of urban renaissance in the UK has hit the buffers of both an economic downturn and a change of government it is time to reflect on the urban injustices it has left in its wake. In this paper I focus on the urban injustices that have been practiced on the Aylesbury Estate in London. I look at how the sociomateriality of the Aylesbury was discursively constructed by those with power in order to further their goals of regeneration, that is state-led gentrification, into a new ‘mixed income’, new-build community. I question the truth claims that have been made about the Aylesbury as a ‘sink estate’ and argue that they served dominant interests. I look at how choices have been closed down for the estate’s residents and how their support for the regeneration programme has been misrepresented.In so doing I expose a variety of unjust practices that have been, and are being, enacted on the Aylesbury Estate. But importantly I look at what the residents think about the whole process (seeking alternative knowledges, imaginaries, logics) and how they are resisting dominant interests and practices. In so doing I question not just the policy of mixed communities (the new urban renewal) but also the way that it has been forced upon low income communities.> La communication est traduite en français en simultané par un interprète de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? [VF] / Christine Lelévrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LELÉVRIER Christine
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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? / Christine Lelévrier [version avec traduction simultanée en français]. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Social mix is a powerful category of housing and urban policies in France. The idea that urban and social diversity is a condition for a “balanced” and “peaceful” city life is not new and almost as old as urban planning and social housing. But, the strength of this notion has increased since the middle of the 1990’s. As in other countries, (the French) national government and local authorities consider social mix as a condition for community cohesion and social inclusion, a sort of public answer to poverty and ethnic concentration in cities and more recently, as a principle for sustainable development and territorial equality (Fenton, Turnstall, 2006). As in other countries as well, housing and especially social housing on one hand, area-based policies on the other hand, are the main public tools for implementing social mix strategies. In 2003, an ambitious urban renewal programme, focused on deprived neighbourhoods and based on housing diversification, followed up the debate about perverse effects of social mix strategies applied to poor areas. - Are urban renewal strategies successfull at diversifying housing and population in the neighbourhoods ?- Does social diversification mean more social capital and social interactions in the neighbourhoods ?- What are the benefits from urban renewal for the inhabitants, the “outsiders” and the “managers” of those neighbourhoods ?The findings from research conducted since 2004 highlight two mains processes of change: re-clustering and fragmentation (Lelévrier, 2010). Those urban and social effects could be seen as paradoxical ones, in reference to social mix public attempts, proceeding from a holistic and dualistic spatial representation of the city and the neighbourhood: instead of mixing, urban renewal just displaces poverty and instead of reenforcing cohesion, it enhances boundaries and distance between social groups. But the assessment could be different if the new private small residences are the opportunity for the “neighbourhoods children”, part of them coming from the immigrant families, to upgrade their residential careers and stay in the familiar neighbourhood while being able to keep social distance… Those changes encountered not national but local social housing managers -a way to stabilize “good tenants”, as well as private one- a way to endow their investments.> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, sociologie de l'habitat, urbanisme (aspect social)
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