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Le bal des Quat’Z’Arts
/ Serge BLERALD
/ 04-06-2016
/ Canal-u.fr
Conte Isabelle, Boudin-Lestienne Stéphane
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De 1892 à 1966, les élèves des Beaux-Arts organisaient chaque année une fête, mêlant citations historiques, détournement et provocation. Ils n’hésitaient pas à s’identifier aux grands envahisseurs et à jouer, le temps d’une nuit, un tableau d’histoire grandeur nature. Émanation de l’esprit d’atelier, ce rituel libertaire et carnavalesque était avant tout destiné à rire à l’abri de toute censure. Mot(s) clés libre(s) : France (XIXe siècle), art de la fête, tableau vivant, étudiants en arts
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Taking Back the Arts: 21st Century Audiences, Participatory Culture and the End of Passive Spectatorship / Lynne Conner
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
CONNER Lynne
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Taking Back the Arts: 21st Century Audiences, Participatory Culture and the End of Passive Spectatorship / Lynne Conner, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc. Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique
entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations
techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : réception des oeuvres, arts du spectacle (Etats-Unis), arts du spectacle (21e siècle)
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Picasso-Miró : chassés-croisés
/ Serge BLERALD
/ 05-06-2016
/ Canal-u.fr
Combalía Dexeus Victoria
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Picasso et Miró : deux artistes très différents, dans leur art et dans leur personnalité. Pourtant, ils se sont influencés l'un l'autre et une forte amitié liait le fougueux Picasso et le timide Miró. Mot(s) clés libre(s) : art moderne, Art espagnol, Pablo Picasso, Joan Miro
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Photographie ou cinéma ? Le brouillage des modèles dans la poésie moderniste / Nadja Cohen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 12-02-2014
/ Canal-u.fr
COHEN Nadja
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Photographie ou cinéma ? Le brouillage des modèles dans la poésie moderniste / Nadja Cohen. In colloque international "Création, intermédialité, dispositif" organisé, sous la responsabilité scientifique de Philippe Ortel, par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 12-14 février 2014.
Thématique 1 : Poésie et médias. Mot(s) clés libre(s) : littérature et photographie, poésie française (20e-21e siècle), relations entre les arts, intermédialité, poésie et cinéma
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L'architecture, entre image et usage
/ Mission 2000 en France
/ 24-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Jean-Louis
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Art spatial, l'architecture forme le cadre de la vie quotidienne. La tension entre le jeu sur les formes et l'attention aux attentes des habitants traverse toute la production du XXe siècle. Support d'identité pour les citoyens, l'architecture suscite des expérimentations techniques et plastiques laissant entrevoir l'avenir des villes. Discipline d'observation autant que d'action, elle constitue des savoirs sur les transformations concrètes des territoires. La nostalgie historiciste du postmodernisme a désormais laissé la place à un jeu plus complexe et parfois opaque entre les courants et les démarches de projet. Dresser une cartographie des principales orientations coexistant dans le monde permettra de comprendre les clivages irrémédiables et les convergences implicites entre architectes, à un moment où les scènes nationales semblent perdre une partie de leur spécificité. Mot(s) clés libre(s) : architecture, architecture et paysage, art spatial, esthétique, le corbusier (1887-1965), projets d'architecture, urbanisme
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Furigraphier le vide : art et poésie touareg pour le IIIe millénaire / Hélène Claudot-Hawad
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail, Portique nomade (Agadez)
/ 01-06-2009
/ Canal-u.fr
CLAUDOT-HAWAD Hélène
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Comment exister hors des modèles hégémoniques imposés par la mondialisation ? Comment être touareg aujourd'hui ? Comment poursuivre la marche nomade qui multiplie les horizons ? Comment occuper le vide ? Ces questions douloureuses se posent avec une violence accrue dans les espaces arides du Sahara et du Sahel à l'économie asphyxiée, à la population criminalisée et aux territoires âprement convoités pour leurs richesses minières.Pour résister au chaos et au non-sens, pour lutter contre l'ultime dépossession de soi : celle de l'imaginaire, quarante-quatre poètes touareg de l'Aïr, de la Tagama, de la Téshilé et de l'Azawagh, se sont réunis à Agadez pendant trois nuits et trois jours en novembre 2006. Dessinant des parcours sonores libérés des entraves qui immobilisent aujourd'hui leur société, ils réinventent à leur manière les trames du présent.A travers un langage esthétique de l'intime, au plus près des visages, des corps, des regards, des gestes, des voix, ce film s'attache à saisir les émotions et la logique des acteurs en action. Il présente une facette ignorée du monde touareg, celle qui provient de l'intérieur de la société et fait découvrir la richesse insoupçonnée des productions poétiques et artistiques de cette culture originale et de ses cheminements esthétiques et éthiques dans la modernité. [Poésies et entretiens en tamajaght (touareg, langue amazighe), sous-titrés en français].
> Visionner la version anglaise : Furigraphing the Void: Touareg Art and Poetry for the IIIrd Millennium. Mot(s) clés libre(s) : Arlit (Niger), littérature touareg, art touareg, nomadisme (Sahel), poésie touareg, tamajaght (langue), civilisation amazighe (touareg), entreprises multinationales de production d'énergie, nomadisme (Sahara), résistance politique, dépossession territoriale, Agadès (Niger), politique et littérature, uranium (mines et extractions), littérature amazighe (tamajaght)
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Images de la mort dans la B.D. et la peinture
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 02-02-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHRISTIN Pierre
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A une époque où la mort est devenue une « valeur marchande » pour les médias et où l’intérêt pour le fait divers se fait toujours plus vif, Pierre Christin nous donne un aperçu de la représentation visuelle de la mort dans l’art pictural et photographique et dans la bande dessinée. Occultée parfois, crainte le plus souvent, la mort est un thème récurrent dans l’art et sa représentation évolue en même temps que les croyances et les sociétés. Tantôt prise sur le vif comme le permet l’instantané de la photographie, tantôt suggérée par une tonalité, un objet, un sentiment, les procédés narratifs pour représenter le mystère de la mort sont très nombreux : académique (la crucifixion, le cadavre), grotesque, surréaliste. En suscitant des sentiments de peur, de terreur, d’inquiétude chaque représentation permet de pousser la réflexion, d’éduquer, de ramener au souvenir. Cette réalité de la mort disparait dans la bande dessinée où elle prend l’aspect d’un leurre et est très souvent associée à la disparition ou à la chute d’un personnage. Cette distinction est due principalement comme l’explique Pierre Christin au caractère continu de la bande dessinée. Il est en effet délicat de faire passer dans l’au-delà le personnage d’une série en cours, la disparation permet donc si nécessaire de le « ressusciter ».La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2004-2005 sur le thème "La mort : Regards croisés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : anamorphose (art), art (thèmes et motifs), art chrétien, bandes dessinées, mort dans l’art, peinture, photographie
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Le kimchi : le plat incontournable des coréens
/ Mathilde LE PAGE, Marie OLIVET
/ 03-04-2015
/ Canal-u.fr
CHOE Jeong-U, LE PAGE Mathilde
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Cet entretien a été réalisé dans le cadre de la fomation, communication interculturelle de l'Inalco, Institut National des Langues et Civilisations Orientales à Paris, plus particulièrement pour le cours Patrimoine Immateriel et Médiation Culturelle avec notre professeur Mme LEGRAND.La Corée du Sud, en forme longue, République de Corée et en hangeul (coréen), 대한민국 est un pays de l'Asie de l'Est qui couvre la moitié de la péninsule coréenne avec au Nord, la Corée du Nord. La Corée du Sud se trouve entre la Chine et le Japon avec non loin la Russie. Elle regroupe un peu moins de 49 millions d'habitants avec 10,5 millions d'habitants à Séoul, sa capitale.A travers notre entretien nous mettons en avant le kimchi, le plat incontournable de la culture coréenne. Le kimchi fait partie de l'identité culturelle de la Corée du Sud. Le kimchi étant du chou fermenté et épicé dont les coréens raffolent. Ces derniers en mangent à tous les repas depuis toujours. On compte aujourd'hui plus de 160 sortes de kimchi dont le Baechu kimchi, qui est actuellement le plus répandu à travers le monde. Bien que le kimchi ne soit pas encore très connu en dehors de l'Asie, ce plat fait parler de lui en occident, notamment pour ses bienfaits sur notre santé. Nous souhaitons que le plus de gens, coréens comme non coréens apprennent à connaître la recette du kimchi, l'histoire et la tradition qui se cache autour de ce chou fermenté. C'est ainsi que Mr CHOE JEONG-U, coréen et professeur de coréen à INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) nous parle du kimchi avec passion et nous montre la recette de celui-ci. La culture du "kimjang" (lien vers le site de l'UNESCO), où les familles se réunissent afin de préparer de grandes quantités de kimchi pour l'hiver, a été enregistrée sur la liste du patrimoine culturel de l'UNESCO en décembre 2013. Mot(s) clés libre(s) : cuisine, recettes, Corée du Sud, Kimchi, chou fermenté, cuisine coréenne, santé, art culinaire
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Joël
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.La pointe du Microscope à Force Atomique (AFM) peut palper une surface à l’échelle nanométrique comme je le fais avec l'extrémité de mon doigt à notre échelle. Quelle différence entre la pointe de l’AFM et le bout de mon doigt lorsqu’ils touchent une surface, c’est à dire un mur ? Pas si grande. La soudaineté du contact, manifestation banale mais centrale de la mécanique quantique, fait que du nanomètre au mètre, les objets inertes ne s'interpénètrent pas mais se touchent brutalement. Alors faire le portrait d’un électron avec un AFM, est ce différent ? Oui. Cet électron attaché à une molécule sur une surface est d’abord une charge électrique. La pointe nanométrique vient interagir avec lui grâce au champ électrique. Un portrait électrique donc. Le mur m’exclut quelques soient mes efforts pour partager son espace. Pour occuper sa place, il me faudra le détruire. Un électron sur une surface. Quelle est sa taille ? Quelle place occupe-t-il ? Mauvaises questions pour un scientifique. Pour le Microscope à Force Atomique, l’image vient tranquillement et sans détour. C’est quasiment automatique. Appuyant fort, la pointe s’approche, on a l’image d’un petit électron. En appuyant faiblement, une nouvelle image le montre énorme. Dans les deux cas, on produit une image de l’électron, toujours basée sur la force électrique d’interaction entre la pointe du palpeur et cet électron. Parmi toutes ces images, quel est le portrait de l’électron ? Au choix du spectateur. Jusqu’où peut aller cette variation de la taille apparente ? Ici, jusqu’aux limites de "l’appareil photo".> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (réception), nanotechnologies (instrument), perception spatiale
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Défense d'entrer
/ Université Nancy 2 - Vidéoscop, SIS - Grand Nancy Terre de Sciences et d'Innovation
/ 30-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUVELOT Patrick
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En 2058, la Société Anonyme du Génome Humain a été officiellement abandonnée depuis plusieurs années. En réalité, elle poursuit secrètement ses travaux sur le clonage humain mais aussi sur les espèces disparues. Mot(s) clés libre(s) : clonage humain, docufictions, mise en scène, muséum Aquarium de Nancy, sciences et arts, sciences et chorégraphie, société préhistorique
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