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Les configurations internationales de l'expertise et de la critique
/ Canal-u.fr
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Table ronde introduite par Yohann Aucante (CESPRA)
Avec
Daniel Béland (Université de Saskatchewan),
Klaus Petersen (Université d’Odense),
Diane Stone (Murdoch University),
Kent Weaver (Georgetown University) Mot(s) clés libre(s) : sciences sociales, expertise scientifique, États-Unis, Royaume-Uni, think tank
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La dyslexie, un cas de ‘biologisation’ du social (Green15-16)
/ Canal-u.fr
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Séminaire du
Master de sociologie
« Changements institutionnels, risques et
vulnérabilités sociales »
« Gouvernance des risques et de l’Environnement
» (GREEN) Toujours en Salle du Conseil du Bâtiment
Lettres à 14h15 (sauf le 08/03) Programme 2015-2016
26 janvier 2016, Philippe
CORCUFF, sociologue, Maître de conférences HDR de science politique à l’IEP
de Lyon : « Etat, technocratisme et
politique : entre anarchisme méthodologique et anarchisme institutionnaliste ».
9 février, Sandrine GARCIA, sociologue,
Professeur de sciences de l’éducation à l’Université de
Bourgogne Franche-Comté :
« La dyslexie, un cas de
‘biologisation’ du social ».
8 mars, Baptiste COULMONT, Maître de
conférences HDR à l'Université
Paris VIII : « Changer de prénom. Devenir soi-même?
».
Attention, autre salle : Salle
B du Belvédère (dernier étage du bât. Droit).
22, mars, Elisabeth ANSTETT (Chargée de recherche
CNRS) &
Nathalie
ORTAR (anthropologue, chargée de
recherche au Laboratoire d'Économie des Transports à l'ENTPE) : « La deuxième vie des objets ».
12
avril, Danilo MARTUCELLI, Professeur
de sociologie à Université de Paris Descartes : « La vulnérabilité, une nouvelle perspective ? ».
Entrée libre (et gratuite) à toutes les séances Mot(s) clés libre(s) : risques, changements institutionnels, vulnérabilité sociale, travail, gouvernance des risques, green1516
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L'avenir des gauches européennes
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La gauche semble aujourd’hui traverser un moment crucial de son histoire. Est-il d’ailleurs possible de parler de la gauche, alors que se dessine une fracture de plus en plus nette entre plusieurs gauches ?
D’un côté, la gauche de gouvernement, en France
notamment, conduit une politique qui se veut réformiste, mais qui peine à
obtenir des résultats et provoque l’éloignement de ses électeurs
traditionnels. D’un autre côté, des mouvements de gauche plus radicaux,
à travers des partis comme Podemos et Syriza ou de nouveaux leaders
comme Jeremy Corbyn, connaissent un véritable essor en s’appuyant sur la
dénonciation de l’orientation « néolibérale » des partis aux pouvoir.
Cependant, il leur reste encore à réussir leur intégration dans les
différents systèmes parlementaires et à prouver qu’ils sont capables de
relever les défis auxquels les États européens font face.
Dans ce contexte, il faut se demander quel est l’avenir des gauches
européennes. Quelles sont les faiblesses et les forces des différentes
formations de gauche en Europe ? La division entre les gauches
européennes est-elle appelée à se résorber ou à s’élargir? Que peuvent proposer la gauche ou les gauches comme projet d’avenir pour les pays européens ?
Le renouveau viendra-t-il de la gauche radicale ?
Gaël BRUSTIER, auteur de A demain, Gramsci !, Paris, Cerf, 2015.
La social-démocratie a-t-elle encore quelque chose à offrir ?
Gérard GRUNBERG, co-auteur de La Loi et les Prophètes : les socialistes français et les institutions politiques, Paris, CNRS éd., 2013.
Réflexions sur la fin de l’idée socialiste
Pierre MANENT, auteur de Situation de la France, Paris, Desclée de Brouwer, 2015.
Lien vers le site de l’AMEP: http://etudespolitiques.org/wp/ Mot(s) clés libre(s) : démocratie, gauche, socialisme, néolibéralisme
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Introduction au cycle de conférences
« Vivre et faire vivre la laïcité »
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Les origines historiques et philosophiques du concept de la laïcité - par M. Abdennour BIDARProfesseur agrégé de philosophie, essayiste, chroniqueur radio, Chargé de missionsur la pédagogie de la Laïcité au Ministère de l’Education nationaleet Le vote de la loi de 1905 et son application jusqu’à nos jours - par M. Gérard DELFAUSénateur honoraire, ancien maître de conférences à l’Université Paris VII,président de l’association EGALE (Égalité. Laïcité. Europe). Mot(s) clés libre(s) : Internet, réseaux sociaux
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Interpréter les mémoires officielles locales de l’esclavage : les politiques de mémoire comme politiques symboliques
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Renaud Hourcade (IEP de Rennes) Mot(s) clés libre(s) : discrimination, justice sociale, esclavage (mémoire collective)
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Histoire de Shanghai de Marie-Claire Bergère
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Ville
pionnière, Shanghai l'est depuis longtemps. Son destin est scellé en
1842, quand une poignée de Britanniques, bientôt suivis de Français et
d'Américains, arrachent des "concessions" au gouvernement impérial. Ces
Barbares venus de l'ouest devaient y rester près d'un siècle. Avec les
Chinois, ils allaient faire de Shanghai la capitale d'une autre Chine,
cosmopolite et entreprenante.
Symbole
du capitalisme triomphant, Shanghai est à l'avant-garde des mouvements
de masse : le parti communiste y est fondé en 1921 au moment même où le
parti nationaliste commence à renaître autour de Sun Yat-sen. À partir
de la fin des années 1920, sous l'impulsion de Chiang Kai-shek, elle
devient la vitrine moderne d'un régime qui ne l'est guère. Elle voit
alors s'épanouir le Haipai, une culture populaire influencée par
les modèles importés de l'Occident, mais acquiert la réputation de
capitale de la prostitution et de la mafia. Occupée par l'armée
japonaise dès 1937, elle ne connaît qu'une brève embellie après la
libération et assiste, passive, au triomphe de la révolution communiste.
Mal aimée du régime maoïste qui ne lui pardonne pas son passé
capitaliste et impérialiste, elle rentre en grâce à la fin des années
1990 auprès des dirigeants de Pékin qui veulent en faire la tête d'un
nouveau dragon.Histoire de Shanghai, Marie-Claire Bergère Paris, Fayard, 2002, traduit en 2005 en chinois par Wang Ju et Zhao Nianguo (deuxième édition en 2014).
白吉尔 (Marie-Claire Bergère) 著,«上海史:走向现代之路» Histoire de Shanghai,王菊,赵念国(译),上海,上海社会科学院出版社,2014,365页,ISBN 978-7-5520-0528-8 http://cecmc.hypotheses.org/17775
Table des matières
Introduction : Shanghai et la modernité chinoiseI. Le port ouvert (1842-1911)1. Les étrangers dans la ville (1843-1853)2. Diplomatie locale et politique nationale3. Naissance du capitalisme shanghaien (1860-1911)4. Le kaléidoscope de la société shanghaienne5. Le modèle des concessions6. La révolution de 1911II. La métropole (1912-1937)7. L'Âge d'or du capitalisme shanghaien (1912-1937)8. Le foyer de la révolution (1919-1937)9. Ordre et crime (1927-1937)10. Le Haipai et l'idéal de la modernitéIII. La fin d’un monde (1937-1952)11. La guerre, l'occupation et la fin du statut international12. À reculons dans la révolution (1945-1952)IV. Shanghai sous le communisme 13. La mal-aimée du régime maoïste14. La renaissance (1990-2000)Épilogue : Shanghai à l'orée du XXIe siècle AnnexesBibliographieChronologieIndexTable des cartes et plans
Compte-rendu de Xiaohong Xiao-Planes, « Marie-Claire Bergère, Histoire de Shanghai », Perspectives chinoises, 80 | novembre-decembre 2003 Mot(s) clés libre(s) : Shangai, concession française, Académie des sciences sociales à Shanghai
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Jérôme CLÉMENT - 05 novembre 2015
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 5 novembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Jérôme
CLÉMENT Fondateur et Ancien président d’ARTE.
Jérôme
Clément, je suis particulièrement heureux de vous accueillir ce soir au Forum nîmois
Charles Gide pour nous parler de « La Culture à la télévision ».
Dans ma
bouche et probablement dans la vôtre, ce soir, le mot « culture »
est entendu en son sens usuel, que nous allons tenter plus loin d’approcher, et
non dans son sens anthropologique comme on parle de la « culture inca » ou de la culture du fer ou du
bronze, même si les deux sens de « culture »ne sont pas sans liens
Vous êtes
particulièrement bien placé pour en parler. Après Sciences Po Paris, puis l’ENA, que vous
intégrez en 1970 dans une promotion grandiose, puisque vous avez collectivement
choisi Charles de Gaulle, vous débutez
votre carrière administrative au Ministère de la Culture. Vous deviendrez
sous-directeur de la Direction du Patrimoine de ce Ministère, puis, après une
expérience de Conseiller culturel et scientifique auprès de l’Ambassade de
France en Egypte, vous allez participer au Cabinet de Pierre Mauroy en 1981,
avec quelle responsabilité ? la Culture, les relations culturelles
internationales et la communication.
Après avoir
été directeur général du Centre de la Cinématographie, vous prenez la direction
d’une Chaîne de télévision, la Sept, avec pour objectif d’en faire une chaîne
européenne de la Culture. , ce qui aboutira, selon la volonté commune de
François Mitterrand et Helmut Kohl à ARTE ( Association relative aux
télévisions européennes) l qui voit le jour en 1991, dont vous prenez la tête
du Comité de gérance. Conformément à la Convention initiale, vous avez cédé
votre place à un cadre allemand en 1999,
puis la reprendrez de 2003 à 2011, après diverses modification statutaires.
Ajoutons
qu’entre 1997 et 2000 , vous aviez été aussi président de La Cinq, avant
qu’elle ne devienne France 5..
Vous êtes ou
avez été- c’est difficile de suivre pas à pas une carrière aussi denses, mais
toujours dans la Culture- membre des conseils d’administration de l’orchestre
de paris, du Théâtre du Chatelet, et du
Musée d’Orsay, et vous êtes aussi actionnaire et membre du Conseil de la
société de vente Piasa, concurrent de Christies. Vous baignez vraiment dans
tous les domaines de la Culture. Je ne cite pas tous les festivals dont vous
avez été président ou animateur.
Je ne peux
pas clore cette biographie si riche sans ajouter que vous êtes aujourd’hui
aussi Président de la Fondation Alliance Française, tête de réseau
organisatrice et pensante des 811 alliances françaises , présentes dans 133 pays, et qui y
diffusent cette culture française qui
reste si appréciée dans le monde, par laquelle même j’ose dire que la France
reste principalement appréciée, et pour laquelle, chez nous , le goût s’affadit.
Ajoutons que vous êtes l’auteur de neuf livres et
de deux émissions de radio. Trois de vos livres sont présentés ici ce soir par
la librairie Moda que je remercie, dont un , le « Choix d’Arte » est
révélateur de vos propres choix culturels
On vous attribue,
Jérôme Clément, une phrase qui me parait
fort juste et que notre ami Régis Debray présent il y a trois semaines ici ne
renie certainement pas : « Le
champs politique n’est plus irrigué par des personnalités nourries de culture »
. Tout le monde pense évidemment aux Président de Gaulle, Pompidou et
Mitterrand, vraiment nourris de Culture dès leur plus jeune âge. On ressortait
toujours plus riche d’un entretien avec eux, quand on avait la chance de
l’avoir et, surtout, quand leurs phrases éveillait en vous un certain écho… ce
qui signifiait que notre humus culturel avait lui-même été travaillé. Il est
vrai que, dans le « mundillo » politique, dirait-on à Nîmes, Mesdames
H et L , H pour l’histoire, et L pour la
littérature, selon la linguistique de
Debray, semblent bien s’en être allées,
et elles étaient, qu’on le veuille ou non meilleure conseillères, que les
sondages d’opinion sur 1000 personnes, ou la lecture de journaux qui n’ont en
vue que l’événementiel politique, quitte à tenter de le créer eux-mêmes.
Une phrase
suffirait pour donner à la culture une
légitimité absolue . Tout le monde l’a entendue ! Mais excusez moi de la prononcer en allemand, car
c’est de là qu’elle vient « Wenn ich Kultur höre, entsichere ich meine
browning » » , « Quand j’entends le mot culture, j’arme mon
browning », phrase non pas de Goering ou Goebels, mais d’un personnage de
théâtre dans une mauvaise pièce célébrant un des premiers nazis, écrite par un
scriboullard nazi lui-même,dénommé Hans Johst. .
C’est une sorte
de « loi » politico-sociologique. La culture est nécessairement
un « désordre » dans n’importe ordre qui prétend s’imposer. Elle a
donc nécessairement avec les partis d’extrême droite une relation très
conflictuelle allant jusqu’aux autodafés. La culture, c’est un désordre
inventif, imaginatif, créatif , l’équivalent de la destruction créatrice dans
le monde économique. Voyez vous, Jérôme Clément,, j’avoue avoir peu de gout pour l’art
contemporain, et trouver assez souvent – excusez l’expression- qu’il s’agit
d’un « foutage de gueule », mais je me battrais contre quiconque
exercerait une censure à son encontre. Quand on voit d’ailleurs, chez nous, les
nouvelles municipalités élues en 2014 dans quelques endroits perméables aux
idées extrêmes, supprimer prioritairement les aides aux associations
culturelles , on ne peut que constater encore une fois, la réalisation de la
loi socio-politique que j’évoquais.
Une seconde phrase célèbre, elle aussi
transmise déformée, m’est venue, bien sûr, à l’esprit : « La culture
, c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublié ». Cette
phrase n’est pas d’Edouard Herriot, mais d’un homonyme académicien élu en 1945. La culture serait-elle une sorte de
trace épigénétique, qui s’incrusterait dans nos neurones, au fur et à mesure de
nos divers apprentissages de
jeunesse, et resterait latente en nous ? Elle « exprimerait », ensuite , pour
reprendre le terme génétique, tout au long de notre vie et de nos fonctions, des
réactions ou comportements. Chez les politiques , elle
« exprimerait » des compréhensions du monde, donc de grandes
décisions d’avenir. Je pense que c’est une image signifiante ! Et je pense
donc comme vous que les maths, les stats et l’économie, pour qui j’ai quelques
faiblesses et qui dominent l’enseignement supérieur d’aujourd’hui, ne suffisent pas à cet enrichissement « génétique ».
Pour revenir
à la première phrase citée, celle du « théatreux » nazi, j’aime à
voir aujourd’hui que la chaîne la plus culturelle est celle que nous partageons
avec les allemands d’aujourd’hui. La vôtre si je puis dire.Nos voisins ont
ainsi renoué avec leur grande tradition
culturelle trop ignorée d’ailleurs et que la nazisme avait temporairement
effacée.
Il y a une
troisième phrase, complètement apocryphe, celle là , attribuée par erreur à
Jean Monnet, qui aurait dit, à propos des débuts de la construction de
l’Europe : « Si c’était à
refaire, je commencerais par la culture ». Il n’a jamais prononcé cette phrase et et
j’ignore les raisons de son succès apocryphe. Pour faire l’Europe, d’ailleurs, compte tenu
de la diversité des « cultures » au sens anthropologique des
peuples d’alors, ne serait-ce que des langues,
il a eu bien raison , comme Schumann et Adenauer, de commencer par
l’économie. Parce que c’était la voie d’entrée la plus facile! Au demeurant l’Europe de la culture se
réalise peu à peu, à travers Erasmus et l’immense mobilité de nos jeunes. A
travers des entreprises culturelles comme Arte ! Par les alliances françaises ! Et même à
travers Airbus, Ariane et quelques autres grandes entreprises, où l’on parle
anglais , bien sûr, mais ou se réalise quand même une certaine fusion
culturelle. Et les institutions de Bruxelles, si critiquées qu’elles
soient, et peut-être d’autant plus
aujourd’hui qu’elles sont la cible du Front national, sont aussi d’heureux
creusets de fusion des cultures
Mais pour
venir au sujet même de ce soir, la culture est-elle aujourd’hui absente de la
télévision ? Evidemment, nous n’aurons plus, je crois, comme les plus âgés
d’entre nous ont eu le plaisir de regarder, Les Perses d’Eschyle au prime time.
Probablement plus Les Rois Maudits ! Mais nous disposons , quand même, si
nous avons l’envie d’attendre les deuxième partie de soirée des émissions
historiques, des réunions d’invités prestigieux, des opéras et concerts qui
constituent quand même un beau menu de culture.
Le problème,
justement, c’est celui de l’envie. Si
l’envie en était plus forte dans le public, chez les téléspectateurs, ces
émissions seraient plus nombreuses et en première partie de soirée, car elles
feraient de l’audimat et gonfleraient donc les recettes publicitaires.
Peut-on donc, et comment, restaurer cette envie populaire au sens
etymologique? Le mot « culture populaire a-t-il encore un sens ?Est-ce encore notre enseignement
qui est en cause ? Les divers enseignements artistiques, dont nous ne bénéficions
point dans notre jeunesse, mais que l’Ecole organise aujourd’hui largement pour
nos enfants, sont-ils des fausses portes pour stimuler l’envie de culture ? Ou, pour reprendre votre
phrase, la culture comme nous l’entendons est-elle morte , et nos futurs hommes
politiques ne pourront-ils plus être nourris que de séries, trop souvent
américaines, donc industriellement réussies, ce clips, de pages Facebook et de
Twitts, voire de jeux vidéo. ? Vers quel monde alors vont-ils nous
guider ? N’y sommes nous pas déjà
entrés ?
Nous vous
écoutons aussi curieux qu’inquiets. Mot(s) clés libre(s) : télévision (aspect social), télévision et musique
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Forum Nîmois - Charles GIDE - CHEBEL-GODIN - 25 mars 2013
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charles GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 25 mars 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Malek Chebel et Christian Godin sur le thème « Vivre ensemble et diversité des religions »Paru : 2011 Editeur : Éditions First-Gründ Collection : First Document Nb. de pages : 352 pages ISBN : 978-2-7540-2759Un entretien avec l'islamologue progressiste Malek Chebel sur les différentes façons qu'ont les êtres humains de se représenter les autres. En 13 chapitres,les différents modes de ces relations,de l'amour à la haine en passant par l'indifférence, entre sympathie et antipathie, familiarité et étrangeté, sont évoqués dans un style ouvert, chaleureux mais sans complaisance. À partir de nombreux exemples empruntés à l'Histoire, à l'actualité et à la vie quotidienne, ce dialogue porte sur des questions aujourd'hui aussi essentielles que l'identité, les droits de l'homme, la laïcité, le racisme, le terrorisme.Pour plus d'information voir le site de Christian Godin http://www.christian-godin.com/prog/base.php?destina=bibliographiePour plus d'information voir Wikipédia sur Malek ChebelMalek Chebel est un anthropologue des religions et philosophe1 algérien né en 1953 à Skikda ex- Philippeville. Il a étudié en Algérie, puis en France à Paris, où il a également étudié la psychanalyse, activité qu’il a un temps exercée1,2,3. Il a enseigné dans de nombreuses universités à travers le monde. Mot(s) clés libre(s) : conditions sociales, philosophie et religion
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Faith communities and local governance
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Faith and politics can clash when communities feel that it is desirable to take local governance into their own hands. For the closing panel, activists and academics will discuss local politics, community interaction and the boundaries of religious observance in secular life, particularly with regard to the notion of Trust.
Trust, Faith & governance: J. Siddiqi, Activist / P. Winicki, Consultant
Church & civil society: A. Artaud, Researcher GSRL / D. Barclay, Activist CTC
Chair: M. Cohen, Researcher CNRS / Discussant: S. Hussain, Academic Coventry Mot(s) clés libre(s) : religions, action sociale, paris et londres
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Etat, technocratisme et politique : entre anarchisme méthodologique et anarchisme institutionnaliste (Green15-16)
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Master de sociologie
« Changements institutionnels, risques et
vulnérabilités sociales »
« Gouvernance des risques et de l’Environnement
» (GREEN) Toujours en Salle du Conseil du Bâtiment
Lettres à 14h15 (sauf le 08/03) Programme 2015-2016
26 janvier 2016, Philippe
CORCUFF, sociologue, Maître de conférences HDR de science politique à l’IEP
de Lyon : « Etat, technocratisme et
politique : entre anarchisme méthodologique et anarchisme institutionnaliste ».
9 février, Sandrine GARCIA, sociologue,
Professeur de sciences de l’éducation à l’Université de
Bourgogne Franche-Comté :
« La dyslexie, un cas de
‘biologisation’ du social ».
8 mars, Baptiste COULMONT, Maître de
conférences HDR à l'Université
Paris VIII : « Changer de prénom. Devenir soi-même?
».
Attention, autre salle : Salle
B du Belvédère (dernier étage du bât. Droit).
22, mars, Elisabeth ANSTETT (Chargée de recherche
CNRS) &
Nathalie
ORTAR (anthropologue, chargée de
recherche au Laboratoire d'Économie des Transports à l'ENTPE) : « La deuxième vie des objets ».
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avril, Danilo MARTUCELLI, Professeur
de sociologie à Université de Paris Descartes : « La vulnérabilité, une nouvelle perspective ? ».
Entrée libre (et gratuite) à toutes les séances Mot(s) clés libre(s) : risques, anarchisme, changements institutionnels, vulnérabilité sociale, travail, gouvernance des risques, green1516, technocratisme
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