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03 - Le laboratoire florentin - 2ème partie
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 16-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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L'art de gouverner à Florence (1494-1530) 03 - Le laboratoire florentin - 2ème partieCe cours, à la suite du précédent, présente les grandes lignes de l’histoire de Florence et les effets des guerres sur la cité (1494-1537) ; il s’agit de mettre en évidence ce que l’on peut nommer le « laboratoire florentin » dans lequel s’élaborent les textes de Savonarole, de Machiavel et de Francesco Guicciardini que nous allons étudier. Le plan de ces cours est strictement chronologique ; les textes du XVIe siècle qui sont utilisés pendant ces cours sont téléchargeables en PDF.A. La naissance du Grand Conseil : Florence, novembre-décembre 1494B. 1494-1512 : le débat interne et l’institution du gonfaloniérat à vie (1502)C. 1512-1527 : la première restauration des MédicisD. 1527-1530 : la seconde République du grand conseilE. 1530-1537 : La restauration définitive des Médicis : Alessandro de’ Medici (1530-1537) ; élection de Cosimo I (1537).Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : art de gouverner, Florence, Guichardin, Machiavel, politique et gouvernement, Savonarole
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02 - Le laboratoire florentin
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 09-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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L'art de gouverner à Florence (1494-1530) 02 - Le laboratoire florentinCe cours et les deux suivants présentent les grandes lignes de l’histoire de Florence et les effets des guerres sur la cité (1494-1537) ; il s’agit de mettre en évidence ce que l’on peut nommer le « laboratoire florentin » dans lequel s’élaborent les textes de Savonarole, de Machiavel et de Francesco Guicciardini que nous allons étudier. Le plan de ces cours est strictement chronologique ; les textes du XVIe siècle qui sont utilisés pendant ces cours sont téléchargeables en PDF.A. La naissance du Grand Conseil : Florence, novembre-décembre 1494B. 1494-1512 : le débat interne et l’institution du gonfaloniérat à vie (1502)C. 1512-1527 : la première restauration des MédicisD. 1527-1530 : la seconde République du grand conseilE. 1530-1537 : La restauration définitive des Médicis : Alessandro de’ Medici (1530-1537) ; élection de Cosimo I (1537).Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : art de gouverner, Florence, Guichardin, Machiavel, politique et gouvernement, Savonarole
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01 - Problématique générale : le moment des guerres d'Italie
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 02-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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L'art de gouverner à Florence (1494-1530) 01 - Problématique générale : le moment des guerres d'ItalieIl s’agit de resituer la question de l’art de gouverner dans un moment et un lieu. Le moment, c’est celui des guerres d’Italie ; il s’agit d’une coupure fondamentale dont le sens n’échappe pas aux contemporains : tout a été bouleversé par l’arrivée des troupes françaises en Italie en 1494. L’état de guerre est une donnée permanente. Le lieu, c’est Florence, avec sa tradition républicaine, son attachement à la libertà, terme signifiant à la fois l’indépendance de la cité et la forme républicaine de son gouvernement — et ce malgré les soixante années de gouvernement médicéen qui, de 1434 à 1494, tendait vers le principat. La conjoncture qu’ouvre l’état de guerre amène la mise en place d’une forme politique nouvelle, le grand conseil. La réflexion des républicains florentins part de l’analyse de cette conjoncture nouvelle. Dès lors, on considérera que dans l’expression « art de gouverner », « art » est à prendre dans le sens que lui donnaient les Florentins du XVIe siècle : il s’agit du « métier » de gouverner et de la réflexion sur ce « métier ».Equipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Exploitation: Julien Lopez, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Multimédia: Patrick Sarselli, Design graphique: Antonello Marvulli Mot(s) clés libre(s) : art de gouverner, Florence, Guichardin, Machiavel, politique et gouvernement, Savonarole
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Turquie 2015 : un bilan post-électoral
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 10-06-2015
/ Canal-u.fr
YÜCEL Hakan, UYSAL Aysén, BOZARSLAN Hamit, AKGÖNÜL Samim
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Turquie 2015 : un bilan post-électoral
Cycle de conférences organisé par le LabEx Tepsis Les Agendas du PolitiqueAprès 13 années passées au pouvoir, l’AKP est le grand favori des
élections législatives organisées en Turquie le 7 juin 2015. La
conférence débat sera l’occasion d’esquisser un premier bilan du
scrutin. Quel est l’état des forces politiques en présence ? Où en est
l’opposition ? Quelles grandes réformes attendent la Turquie pendant
cette nouvelle législature ?
Intervenants
Samim Akgönül (Université de
Strasbourg, DRES), « Davantage de centralisation ou les débuts de la
décentralisation ? Premier bilan et prospective après les élections du 7
juin 2015 »
Ayşen Uysal (Université 9 Eylül, Izmir), « De la sélection des candidats aux résultats électoraux : le cas du CHP »
Hakan Yücel (Université de Galatasaray), « Les impacts du Mouvement Gezi de 2013 sur les élections générales de 2015 »
Présidence et discussion : Hamit Bozarslan (CETOBAC, EHESS)
Conférence organisée par Işıl Erdinç (Paris I,
CESSP), Benjamin Gourisse (Paris-Dauphine, IRISSO) et Sümbül Kaya
(CETOBAC, ehess) dans le cadre du groupe de recherche « Pouvoirs et
société en Turquie contemporaine ». Mot(s) clés libre(s) : élections, Turquie, AKP, Erdogan
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L’école contre le tribalisme au Congo-Brazzaville sous le parti unique
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
YENGO Patrice
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Evaluation sociologique des résultats des élections municipales de 2009
/ 21-04-2009
/ Canal-u.fr
YAVUZ Erdal
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mardi 21 avril 2009
Evaluation sociologique des résultats des élections municipales de 2009 - Erdal Yavuz Mot(s) clés libre(s) : Turquie, sociologie politique, élections locales
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Les maladies chroniques de la démocratie : quelles sont-elles et comment les soigner ?
/ 15-01-2016
/ Canal-u.fr
WORMS Frédéric
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Nous sommes habitués à parler de « crise » comme si tous les maux de nos sociétés survenaient à la manière des maladies aiguës de nos organismes.
Mais il en est dont il faut sans doute admettre qu’ils sont, ont toujours été, ou sont redevenus, comme des maladies chroniques, c’est-à-dire avec lesquelles il faut apprendre à vivre sans pour autant cesser de les soigner et de les affronter. Quels sont ces maux chroniques ? C’est la première question. Comment les traiter ? C’est bien sûr la seconde. Mais cette métaphore médicale est sans doute plus qu’une image. C’est peut-être sur le modèle d’une politique du soin qu’on doit prendre soin de la politique. À condition de penser pleinement le soin et la politique, ainsi que la démocratie. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, société, crise, maladie chronique, métaphore médicale, soin
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Table ronde : intervention de Laurent Wirth
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
WIRTH Laurent
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De justes inégalités - John RAWLS (par Astrid von Busekist) [réédité 2015]
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 09-02-2012
/ Canal-u.fr
von BUSEKIST Astrid
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John Rawls est un auteur américain qui a réveillé la philosophie politique, qui a pris au sérieux les critiques de ses contempteurs, et qui s'est impliqué dans la vie politique américaine. C'est un auteur classique, qui doit beaucoup à la pensée de Kant.Son ouvrage le plus connu, Théorie de la justice, répond à une question fondamentale de la philosophie politique : selon quels principes ordonner une société juste ? Trois grands principes, que l'auteur écartera successivement, se présentent traditionnellement : le mérite, l'utilité, la liberté.1. Le mérite moralUne société est juste, les institutions sont bien ordonnées si elle donne aux individus en fonction de la valeur de leur contribution à la société. Variante aristotélicienne : déterminer la meilleure adéquation entre les talents de l’individu et leur rôle social (les meilleures flûtes vont aux meilleurs joueurs)2. L’utilitéSi les institutions permettent de maximiser le bien-être agrégé, si elles permettent la somme de satisfaction la plus élevée pour l’ensemble des sociétaires, elles sont justes. La valeur des choses est fonction de leur utilité, il n’y a pas de valeur intrinsèque des choses ou des êtres.3. Libertarisme- Je suis propriétaire de moi-même. L’individu est souverain et ne peut pas être contraint par une quelconque emprise ou entreprise collective.- Toutes les transactions sont justes si elles sont volontaires. La justice se déduit du respect des droits individuels fondamentaux et du respect des termes initiaux du contrat.- Ce que j’améliore par mon travail devient mien.Le libéralisme politique rawlsien tire les principes de la justice de l’opinion que vont en avoir les acteurs de la société après une délibération impartiale. « Les principes de justice, écrit Rawls, sont (ceux que des) individus libres et rationnels, désireux de favoriser leurs propres intérêts et placés dans une situation initiale d’égalité, accepteraient et définiraient (comme) les termes fondamentaux de leur association » (p. 152-152). Il convient donc que ces principes soient établis à l’issue d’une délibération commune.La singularité de la solution de Rawls est illustrée par un exemple imaginé par le prix Nobel d’économie Amartya Sen dans The Idea of Justice, 2010, p. 12-15. Trois enfants se chamaillent pour une flûte. Anne est la seule à savoir en jouer. Bob est le plus pauvre, il n’a pas de jouets du tout. Clara a travaillé dur pour fabriquer la flûte. À qui doit aller la flûte ? Pour l’utilitariste et pour Aristote, à Anne : son plaisir sera le plus grand, elle sait en jouer. Pour le libertarien, pour Locke (et le marxiste), à Clara : elle a droit aux fruits de son labeur. Pour Rawls, il faudrait que les enfants se mettent d’accord.Antoine de La Taille Mot(s) clés libre(s) : contrat social, A Theory of Justice, libertarisme, Amartya Sen, droit politique, égalité des chances, mérite, libéralisme, philosophie politique, The Idea of Justice
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EN-7. Political science and sustainable development
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 21-05-2015
/ Canal-u.fr
VILLALBA Bruno
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Bruno Villalba shows that the sustainable development is a political proposal which implies changes in the forms, the temporalities and the scales of decision. Then he discusses the benefits and the risks of the processes started for several decades. Mot(s) clés libre(s) : institutions, sustainable development, political science
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