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'Les "vrais" tontons flingueurs
/ 12-02-2015
/ Canal-u.fr
VIMONT Jean-Claude, RENNEVILLE Marc
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Pendant les cinq années qui suivirent la Libération, holdups violents, cambriolages de trafiquants du marché noir, agressions au faux-policier, épurations sauvages pour dépouiller des paysans enrichis durant les années noires alimentèrent la chronique des faits divers. Les malfaiteurs utilisaient des voitures puissantes, agissaient à Paris comme sur la Côte d'Azur, écumaient les environs de Lyon et ils semblaient insaisissables. La presse signalait "un gang de Tractions avant". il y en avait plusieurs en fait. La police traquait "Pierrot le fou n°1", "Pierrot le fou n°2", "l'ennemi public n°1", sans oublier "l'Arsène Lupin de l'après-guerre" ou "le bandit bienaimé, roi des évasions". Des gangs regroupaient d'anciens gestapistes et d'anciens résistants pour des attaques à main armée qui rapportaient gros. Pierre Loutrel, Jo Attia, Abel Danos, Emile Buisson, Paul Dellapina, René Girier et leurs nombreux complices ont acquis une célébrité certaine dès l'après-guerre puis sont devenues des figures mythiques du roman et du cinéma policier.L'encre et le sang, selon le beau titre de Dominique Kalifa se télescopent dans les représentations des crimes comme dans les fictions qu'ils suscitent. Mot(s) clés libre(s) : crime, agression, cambriolage, trafiquant, gang, policier, holdup
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004 - Entre l’ancien et le nouveau : les grèves ouvrières de mai-juin 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
VIGNA Xavier
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Colloque MAI 68 en quarantaine On peut aujourd’hui dépasser l’opposition convenue entre un mouvement étudiant inventif et des grèves ouvrières engluées dans une tradition pesante. Certes, la tradition délégataire domine, mais à la faveur du plus forte vague de grèves de l’histoire française, la boîte de Pandore s’ouvre et les ouvriers posent les prémisses d’une insubordination prolongée dans les usines. Bibliographie CROUCH (Colin), PIZZORNO (Alessandro) : The ressurgence of class conflict in Modern Europe, Londres, Macmillan, 1978. DREYFUS-ARMAND (Geneviève) et alii (dir.) : Les années 68. Le temps de la contestation, Bruxelles, Complexe, 2000. LEUWERS (Jean-Marie) : Un peuple se dresse. Luttes ouvrières, mai 1968, Les Éditions ouvrières, 1969. MOURIAUX (René), et alii (dir.) : 1968, Exploration du mai français, 2 vol., L’Harmattan, 1992. ▪ Notre arme, c’est la grève, Maspero, 1968. ▪ Oser lutter, oser vaincre, Flins 68, Nouvelles presses parisiennes, 1972.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier comméat, Encodage-Montage-DiffusionWeb : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, france (1968), grève générale (france ; 1968), grèves ouvrières, mai 68, mouvement ouvrier, mouvements sociaux (1945-1970)
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Les Pieds noirs
/ UTLS - la suite
/ 28-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VERDES-LEROUX Jeannine
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L'histoire des « pieds noirs » a souvent été déformée car totalement méconnue, remplacée par une histoire coloniale qui manipule des catégories mais ne considère pas les vivants, les rapports qu'ils entretenaient et leur vie quotidienne en Algérie. Ces français sont oubliés et souvent caricaturés 40 ans après un exode dramatique. Sont-ils difficile à comprendre ? Ils sont certes différents, tous n'étaient pas colons au sens strict. Nombreux étaient ouvriers, enseignants, chefs d'entreprise, commerçants. L'ensemble des français représentait l'infrastructure économique du pays. Il ne s'agissait pas de riches propriétaires comme certains clichés le laissent penser. Il existe une histoire réelle, importante, entre français et algériens, faite d'échanges, de fraternité, parfois de tendresse. Il faut désormais souhaiter que les historiens repensent, réévaluent le passé des « humilier de l'histoire ». Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), colonies françaises, guerre d'algérie, harkis, pieds-noirs (histoire), rapatriement forcé, relations france-algérie
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références, refus du débat : tables rondes
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 24-09-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VAYSSIÈRE Bertrand
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références et refus du débat sur l'Europe : tables rondes. 1. L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest, mythe ou réalité ? 2. Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ?. Tables rondes animées par Jean-François Soulet (professeur d'histoire à l'Université Toulouse II, directeur du GRHI). In colloque "Reflets de la construction européenne" organisé par Bertrand Vayssière et le Groupe de Recherche en Histoire Immédiate (GRHI) du laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 septembre 2010. [colloque co-financé par l'Union européenne].Il est un fait que les débats sur l'appartenance et l'adhésion à la construction européenne ont gagné en intensité ces dix dernières années et qu'ils remettent en question bien des certitudes sur le bien-fondé de l'entreprise. Ce tournant de siècle a ainsi été "critique" pour une Europe bousculée dans ses fondements par des événements à même d'influer sur l'image qu'en ont les Européens. Ces derniers, singulièrement absents d'une aventure dont les fondements politiques avaient été oubliés au profit de la construction économique, ont ainsi eu l'occasion de revisiter, à la lumière, crue et parfois trompeuse de la crise, les mythes politiques relatifs à la citoyenneté, à la monnaie, en un mot au « vouloir-vivre » européen. Au terme du colloque, deux tables rondes sont consacrées, respectivement, à la place de l'Union européenne au niveau régional au travers de l'expérience de trois eurodéputés de la circonscription Sud-Ouest (France) et, d'un point de vue historique, à la puissance de l'Europe au plan mondial.1ère partie : L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest : mythe ou réalité ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants- Christine De Veyrac, députée européenne UMP, circonscription Sud-Ouest, France.- Kader Arif, député européen socialiste- Gérard Onesta, vice-président du Conseil régional en charge des questions européennes et ancien vice-président du Parlement européen.2ème partie : Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants :- Le poids économique de l'Europe dans le monde aujourd'hui / Philippe Mioche, professeur et directeur du Master Études Européennes à l’Université de Provence, France (voir sa page personnelle).- Puissance et capacité de négociation de l'Europe dans les instances mondiales (OMC, OIT, OMS, Haut Commissariat aux Droits de l'Homme, FMI...) / Antoine Fleury, professeur émérite de l'Institut européen de l'Université de Genève, Suisse (voir sa page personnelle).- Relations internationales : l'exemple des relations entre l'Europe et la Russie / Leszek Kuk, Directeur du Centre Scientifique de l’Académie Polonaise des Sciences à Rome et Professeur à l’Institut des Relations Internationales de l’Université Nicolas Copernic de Torun (Pologne).- L'Union européenne et l'OTAN / Thierry Grosbois, Université du Luxembourg (voir sa page personnelle).- La politique de défense et de sécurité de l'Europe / Gérard Bossuat, professeur d'histoire et chercheur au labo "Identités, Relations Internationales et Civilisations de l'Europe (IRICE)" à l'Université de Cergy-Pontoise, France (voir sa page personnelle). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté européenne, diplomatie européenne, euroscepticisme, politique européenne de sécurité et de défense, relations Union européenne-Russie, Union européenne (crédits budgétaires et dépenses), Union européenne (parlement européen), Union européenne
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références, refus du débat : tables rondes
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 24-09-2010
/ Canal-u.fr
VAYSSIÈRE Bertrand
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Reflets de la construction européenne. Réflexions, références et refus du débat sur l'Europe : tables rondes. 1. L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest, mythe ou réalité ? 2. Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ?. Tables rondes animées par Jean-François Soulet (professeur d'histoire à l'Université Toulouse II, directeur du GRHI). In colloque "Reflets de la construction européenne" organisé par Bertrand Vayssière et le Groupe de Recherche en Histoire Immédiate (GRHI) du laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 22-24 septembre 2010. [colloque co-financé par l'Union européenne].Il est un fait que les débats sur l'appartenance et l'adhésion à la construction européenne ont gagné en intensité ces dix dernières années et qu'ils remettent en question bien des certitudes sur le bien-fondé de l'entreprise. Ce tournant de siècle a ainsi été "critique" pour une Europe bousculée dans ses fondements par des événements à même d'influer sur l'image qu'en ont les Européens. Ces derniers, singulièrement absents d'une aventure dont les fondements politiques avaient été oubliés au profit de la construction économique, ont ainsi eu l'occasion de revisiter, à la lumière, crue et parfois trompeuse de la crise, les mythes politiques relatifs à la citoyenneté, à la monnaie, en un mot au « vouloir-vivre » européen. Au terme du colloque, deux tables rondes sont consacrées, respectivement, à la place de l'Union européenne au niveau régional au travers de l'expérience de trois eurodéputés de la circonscription Sud-Ouest (France) et, d'un point de vue historique, à la puissance de l'Europe au plan mondial.1ère partie : L'adhésion populaire à l'Europe dans le Sud-Ouest : mythe ou réalité ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants- Christine De Veyrac, députée européenne UMP, circonscription Sud-Ouest, France.- Kader Arif, député européen socialiste- Gérard Onesta, vice-président du Conseil régional en charge des questions européennes et ancien vice-président du Parlement européen.2ème partie : Quelle place pour l'Union européenne dans les relations internationales ? Table ronde suivie d'un débat avec le public.Intervenants :- Le poids économique de l'Europe dans le monde aujourd'hui / Philippe Mioche, professeur et directeur du Master Études Européennes à l’Université de Provence, France (voir sa page personnelle).- Puissance et capacité de négociation de l'Europe dans les instances mondiales (OMC, OIT, OMS, Haut Commissariat aux Droits de l'Homme, FMI...) / Antoine Fleury, professeur émérite de l'Institut européen de l'Université de Genève, Suisse (voir sa page personnelle).- Relations internationales : l'exemple des relations entre l'Europe et la Russie / Leszek Kuk, Directeur du Centre Scientifique de l’Académie Polonaise des Sciences à Rome et Professeur à l’Institut des Relations Internationales de l’Université Nicolas Copernic de Torun (Pologne).- L'Union européenne et l'OTAN / Thierry Grosbois, Université du Luxembourg (voir sa page personnelle).- La politique de défense et de sécurité de l'Europe / Gérard Bossuat, professeur d'histoire et chercheur au labo "Identités, Relations Internationales et Civilisations de l'Europe (IRICE)" à l'Université de Cergy-Pontoise, France (voir sa page personnelle). Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté européenne, diplomatie européenne, euroscepticisme, politique européenne de sécurité et de défense, relations Union européenne-Russie, Union européenne (crédits budgétaires et dépenses), Union européenne (parlement européen), Union européenne (politique économique), Union européenne (politique extérieure)
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Le 10 février 1763 — Le traité de Paris : la France peut être heureuse sans Québec
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 23-02-2012
/ Canal-u.fr
Vaugeois Denis
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Ce matin du 10 février, le duc de Choiseul observe le duc de Bedford
signer le fameux traité par lequel la France cède, à la Grande-Bretagne,
le Canada et diverses autres possessions à travers le monde. Il s’y
prépare depuis trois ans. Cette guerre qui a duré sept ans a coûté trop
cher à la France. Il a bien hâte de croiser Voltaire qui lui écrivait
quelques mois plus tôt : « Je suis comme le public, j’aime mieux la paix
que le Canada et je crois que la France peut être heureuse sans
Québec ». Choiseul a convaincu le Roi de préférer le sucre et le poisson
à la fourrure. Il n’a qu’un regret : celui de ne pas avoir en face de
lui William Pitt le grand vainqueur de cette guerre. Il le sait bien
embarrassé. Tous deux se posent en effet la même question : que feront
les Treize colonies sans une menace française à leurs frontières ? En
quittant la salle, il glisse à ses conseillers : « Nous les tenons ! »Et tant pis pour cent cinquante ans d’héroïsme, tant pis pour un
prolongement de la France en Amérique, tant pis pour ses alliés indiens.
Qu’ils aillent aux Anglais ! Quant au marquis de Montcalm ? Que Dieu
ait son âme !Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-10-fevrier-1763-Le-traite-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, Nouvelle-Espagne, Traité de Paris de 1763, Guerre de Sept Ans
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Les articulations scolaires espagnoles par Rafael Valls
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VALLS Rafael
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Guerre et diplomatie : victoire militaire, défaite diplomatique ?
/ UTLS - la suite
/ 14-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VAISSE Maurice
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Victoire militaire, défaite diplomatique. 0n peut y voir un constat objectif au regard des résultats positifs de l'armée française et de l'issue négative du conflit pour la France. Mais comment ne pas déceler dans cette opposition des termes une intention polémique. Aux yeux d'une partie de l'armée, des pieds noirs, la victoire fut manquée parce que le chef de l'état n'en a pas voulu ainsi. La guerre gagnée sur le terrain fut mise à mal par une politique ambiguë poussant les Algériens à se rallier au FLN et à préférer l'indépendance au maintien de la France en Algérie.Il y a effectivement un paradoxe, comment une victoire militaire s'est-elle transformée en défaite diplomatique ? Mais d'abord, y-a-t-il eu victoire militaire et dans quelle mesure peut-on parler de défaite diplomatique ? Pour y voir plus clair, il convient d'analyser la guerre d'Algérie, non pas comme une guerre classique, mais bien comme une guerre de décolonisation. Hors dans un tel conflit, c'est la hantise d'une défaite qui a plané au-dessus de la France après l'Indochine et Dien Bien Phu, après le retrait de la Tunisie et du Maroc. Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française, colonies françaises, FLN, front de libération nationale (algérie), guerre d'algérie, guerre d'indépendance, harkis, relations france-algérie, torture
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L’université en banlieue nord entre 1960 et 1990 - 3/3
/ 06-12-2011
/ Canal-u.fr
Vadelorge Loïc
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Quelles ont été les logiques contradictoires qui ont conduit à la création d’un espace universitaire complexe et fortement concurrentiel au nord de Paris entre la fin des années 1960 et le début des années 1990 ? Après des premiers projets d’implantation des années 1955-1968, le début des années 1970 verra la création officielle des universités de Vincennes et de Saint-Denis-Villetaneuse. L’État ne pilote plus réellement le développement universitaire de la banlieue nord. Après 15 ans d’hésitations et de projets contradictoires, le lancement à la fin des années 1980 des universités nouvelles de Cergy et Marne-la-Vallée pose les bases d’une mise en concurrence généralisée des équipements et des politiques universitaires sur le territoire.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : université, développement territorial, Nord est parisien
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L’université en banlieue nord entre 1960 et 1990 - 2/3
/ 06-12-2011
/ Canal-u.fr
Vadelorge Loïc
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Quelles ont été les logiques contradictoires qui ont conduit à la création d’un espace universitaire complexe et fortement concurrentiel au nord de Paris entre la fin des années 1960 et le début des années 1990 ? Après des premiers projets d’implantation des années 1955-1968, le début des années 1970 verra la création officielle des universités de Vincennes et de Saint-Denis-Villetaneuse. L’État ne pilote plus réellement le développement universitaire de la banlieue nord. Après 15 ans d’hésitations et de projets contradictoires, le lancement à la fin des années 1980 des universités nouvelles de Cergy et Marne-la-Vallée pose les bases d’une mise en concurrence généralisée des équipements et des politiques universitaires sur le territoire.
Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : université, développement territorial, Nord est parisien
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