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La critique de cinéma et le défi Internet : de la revue au blog ? Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 06-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Depuis une petite dizaine d'années, blogs et revues de cinéma en ligne se sont multipliés et ont fini par redessiner le paysage de la cinéphilie, mais aussi de la critique de cinéma. Comment Internet a-t-il fait évoluer la critique ? Représente-t-il pour l'écriture sur les films une planche de salut ou au contraire un danger ? De nouvelles formes sont-elles à inventer ?Avec Alexandre Tylski, Joachim Lepastier, Julien Gester, Frédéric Bas, Luc Lagier et N.T. Binh. Une rencontre animée par Bernard Payen (Cinémathèque française). Mot(s) clés libre(s) : blogs, critique cinématographique, critique de cinéma, internet et critique cinématographique, nouvelles technologies et cinéma, revues de cinéma sur Internet
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La fonction critique
/ Canal-u.fr
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Comment, dans le monde de demain, les SHS devront- elles redéfinir leur fonction critique et leur rapport à l’idéal démocratique? Leur faudra-t-il revendiquer explicitement des visées normatives? Si oui, lesquelles, et au nom de quoi ?
How should social sciences consider their contribution to collective reflexivity?
Présidence : Eve Chiapello (sociologue, EHESS)
Avec
Wolfgang Streeck (sociologue, Cologne), Carla Hesse (historienne, Berkeley), Thomas Piketty (économiste, EHESS), Étienne Balibar (philosophe, Paris-Ouest Nanterre) Mot(s) clés libre(s) : engagement, recherche scientifique, débat critique
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La photo contre l’image / Laurent Jenny
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 13-10-2014
/ Canal-u.fr
JENNY Laurent, COCHOY Nathalie
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La photo contre l’image / Laurent Jenny. Conférence organisée, dans le cadre du
séminaire Poéthiques "La vérité en images", par Nathalie Cochoy (axe "Poéthiques", laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) et par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire", Équipe Littérature et Herméneutique, PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès - campus Mirail, 13 octobre 2014.
Depuis son invention, en très peu de temps, la photographie a submergé le monde et forgé avec succès une nouvelle culture de l'image alors même que, paradoxalement, la photographie n'a cessé d'être contestée au motif qu'elle ne pouvait pas constituer de véritables images... S'adossant aux écrits critiques sur la photographie, Siegfried Kracauer, Charles Baudelaire, Clément Greenberg qui écrivit sur Walker Evans (Allie Mae Burroughs, 1936) et Edward Weston (Artichoke,
1930), Laurent Jenny questionne notre rapport aux images et l'essence de la photographie en convoquant la peinture, Eugène Delacroix (La
mort de Sardanapale, 1827) et Paul Delaroche (L'Hémicycle des Beaux-arts, 1841), la littérature et la philosophie, notamment Proust, Guibert et Georges Didi-Huberman à propos de sa lecture phénoménologique de quatre photos d'Auschwitz en août 1944.
Il illustre ses propos d'images de Gustave Le Gray (La grande vague, Navires au port de Sète, 1857), Eugène Adolphe Disdéri (portraits-cartes de visites), de daguerréotypes de nus, William Klein (Moscou 1er mai 1959), André Kertész (The Blind violonist, Ebony, 1921), Duane Michals (Andy Warhol, 1958), le portrait de la mère de Marcel Proust et la photographie de la mère de Roland Barthes...
* Illustration : photographie de Jean Kempf, The Ogdon Museum of Southern Art, La Nouvelle Orléans, 2010. Mot(s) clés libre(s) : réalité (dans l'art), esthétique (philosophie), critique photographique, esthétique de la réception (photographie), image (philosophie), photographie (19e-20e siècles)
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La poésie sonore italienne des années soixante à nos jours / Gabriele Belletti
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
BELLETTI Gabriele
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La poésie sonore italienne des années soixante à nos jours / Gabriele Belletti, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Corps à corps : poésie sonore, action, performance.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie sonore (histoire et critique), poésie italienne (20e-21e siècles)
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La scène ouverte de slam : dispositif, situation, art politique / Jérôme Cabot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-03-2015
/ Canal-u.fr
CABOT Jérôme
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La scène ouverte de slam : dispositif, situation, art politique / Jérôme Cabot, in colloque international "Performances poétiques", organisé par l'équipe "Textes, Contextes, Frontières" du Centre Universitaire Jean-François Champollion, le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail. Albi, Centre Universitaire Champollion, 19-20 mars 2015. Thématique 2 : Slam, etc.Ce
colloque réunit des spécialistes de six pays différents, issus de
disciplines diverses
(littéraires, spécialistes des arts de la scène, sociologues, etc.),
pour réfléchir sur les enjeux de la diffusion orale de textes poétiques
et embrasser leur profération comme dispositif, dans toute sa
complexité, depuis l'écriture littéraire jusqu'au mode d'intervention
public, en s'attachant aussi bien au texte, à l'interprétation, à la
scénographie, à la réception, aux praticiens, aux publics, aux cadres de
diffusion, aux enjeux poétiques mais aussi sociaux, éducatifs,
éthiques, politiques. Sont ainsi étudiées les multiples voies (et voix)
qu'a prises la performance poétique ce dernier siècle dans l'espace
francophone, depuis les références incontournables que sont Ghérasim
Luca, Bernard Heidsieck (disparu le 22 novembre 2014) ou l'OuLiPo,
jusqu'aux formes émergentes du slam contemporain, avec ses joutes ou ses
scènes ouvertes, dans une approche globalisante qui aborde aussi les
enjeux de la récitation scolaire ou la définition d'un code
typographique pour incarner la voix dans l'écriture. Mot(s) clés libre(s) : performance artistique (poésie), poésie (lecture publique), slam (poésie), slam (étude et critique)
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Les contextes cachés du film de Wojciech Has "Manuscrit trouvé à Saragosse" / Marcin Maron
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 14-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MARON Marcin
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Les contextes cachés du film de Wojciech Has "Manuscrit trouvé à Saragosse" / Marcin Maron. In colloque "Jean Potocki. Pérégrinations", organisé par la section de slavistique de l'UFR de Langues, Littératures et Civilisations Étrangères de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre de la "Semaine polonaise". Toulouse : Université-Toulouse II-Le Mirail, 14-15 avril 2011.Thématique 3 : D'un genre à l'autre, 14 avril 2011. Mot(s) clés libre(s) : adaptations cinématographiques (histoire et critique), Jan Potocki (1761-1815), littérature et cinéma polonais, littérature polonaise (18e siècle), Wojciech Jerzy Has (1925-2000)
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Littérature et réflexivité : Camille Laurens en dialogue avec Gisèle Sapiro
/ 07-05-2015
/ Canal-u.fr
SAPIRO Gisèle, LAURENS Camille
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La littérature pense et se pense, elle
observe et s’observe. Cette réflexivité, que la littérature partage avec
les sciences sociales, traverse toute l’œuvre de Camille Laurens :
étude de la condition féminine et de la relation amoureuse dans la
tradition des moralistes, rapports entre fiction et réalité, récit de
soi, dialogue entre le moi et le surmoi, renversement des situations
entre observateur et observé(e), méditations sur la répétition dans
l’art et dans la vie, écriture comme travail de deuil. Alors qu’elle
achève un nouveau roman et prépare une adaptation cinématographique de
Dans ces bras-là, retour réflexif sur une œuvre prolifique, qui sonde
les passions et interroge ce qu’écrire veut dire.
Camille Laurens est l’auteure de : Index (1991), Romance (1992), Les Travaux d'Hercule (1994), Philippe (1995), L'Avenir (1998), Dans ces bras-là (2000, prix Femina), L’Amour roman (2003), Le Grain des mots (2003), Cet absent-là (2004), Ni toi ni moi (2006), Tissé par mille (2008), Romance nerveuse (2010), Les Fiancées du diable (2011), Encore et jamais (2012)… La plupart de ses livres sont publiés ou réédités chez Gallimard.
Gisèle Sapiro est directrice d’études à l’EHESS et directrice de recherche au CNRS. Elle a publié entre autres La Guerre des écrivains, 1940-1953 (Fayard, 1999, rééd. 2006), La Responsabilité de l’écrivain (Seuil, 2011) et Sociologie de la littérature (La Découverte, 2012). Mot(s) clés libre(s) : écriture, roman, critique, réflexivité
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Luc Boltanski, "La sociologie est toujours critique. Le champ conceptuel de la notion de domination", session plénière du congrès 2013 de l'AFS
/ 02-09-2013
/ Canal-u.fr
BOLTANSKI Luc
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Plus de 1000 sociologues français et étrangers étaient présents pour le 5ème congrès de l'AFS dont le thème principal était les "dominations". A cette occasion, le sociologue Luc Boltanski a donné une conférence plénière sur le thème "La sociologie est toujours critique. Le champ conceptuel de la notion de domination".
Présentation du 5e Congrès de l'Association française de sociologie
L’analyse des formes de domination est centrale en sociologie pour comprendre ce qui fait tenir l’ordre social. De Marx, Durkheim, Weber en passant par Foucault et Bourdieu, la domination constitue cette relation sociale qui répartit et hiérarchise les groupes sociaux, discrimine les forces sociales en structurant leur dissymétrie tout en contribuant à l’acceptation de l’ordre existant.
Des études récentes en ont cependant renouvelé la compréhension sous plusieurs dimensions : en insistant sur la diversité des modes de domination et leur variation historique et spatiale, en révélant les "ratés" du consentement ou son caractère de façade chez les groupes subalternes, en mettant en évidence le travail nécessaire aux dominants pour imposer et exercer leur domination…
Cette vidéo a été réalisée par les services de la WebTV de l'Université de Nantes. L'UFR de Sociologie et le Centre Nantais de Sociologie (CENS) de l’Université de Nantes accueillaient du 2 au 5 septembre 2013 le 5e congrès international de l'association française de sociologie. Mot(s) clés libre(s) : sociologie, critique, domination
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