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Chronique aka, Akungu 1994 : discordes, infortunes et réparations
/ 16-06-1994
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique d'Akungu juin 1994, discordes, infortunes et réparationstraduction et voix en français : Bobino Patrice Topesua MbatoEn juin 1994, les habitants du campement pygmée d'Akungu, en République centrafricaine, sont frappés d'infortunes. Divers rituels sont pratiqués pour ramener le bien-être et la concorde. Une jeune femme, Mambi, pratique un rituel sur le corps de son dernier-né, afin de pouvoir consommer un animal interdit aux femmes allaitantes. Monduwa, un guérisseur étranger au campement, purifie un fusil souillé par du sang menstruel. Pour un prétexte futile, I'emprunt d'une harpe, une bagarre éclate: nombre d'habitants en profitent pour contester l'autorité du chef Yakpata. Mambi effectue une fumigation de son bébé puis raconte en riant sa consultation au dispensaire pour ses propres maux de ventre. Un homme se fait extraire par Monduwa le maléfice qui gâtait sa chance et son habileté à la chasse. Un singe et un céphalophe sont préparés sous le regard gourmand des enfants, puis partagés. Lors d'une soirée de danse, une divination par scrutation d'un feu allumé est pratiquée. Monduwa ordonne que Yakpata et son fils se réconcilient: le défunt frère cadet de Yakpata hante le campement. Une femme malade est soignée en utilisant une lame de machette rougie au feu. Un grand rituel de réconciliation a lieu. Chacun, après avoir dit ce qu'il avait sur le cœur, crache sur un rameau de feuilles purificatrices.
Chapitres :1ère journée
01 Bébé et nandinie, prévention d'une rupture d'interdit 1 mn 41
Lundi 6 juin 1994
10 h 35 : Akungu, maison de Ginza, Koti, Mambi & Co
Simon Kikili (cousin de Ginza) dépose devant Mambi l'animal qu'il a tué avec la cartouche que Monduwa , le guérisseur, lui a donné. C'est un petit carnassier, la nandinie, une viande goûteuse et grasse, normalement interdite (kila) aux femmes enceintes et aux mères allaitantes sous peine de maladie pour leur enfant. Et Mambi veut pouvoir en manger.
Elle effectue donc à titre préventif le rituel ketu.
Elle se saisit d'une poignée de feuilles de lèndè (Fabacée) dont elle fustige la tête de l'animal et celle de son dernier-né Noël. Pour finir, elle arrache quelques poils sur la tête de l'animal qu'elle dépose sur la fontanelle de son enfant.
Dans le même temps elle prononce des paroles rejetant vers la forêt les principes néfastes générant la maladie kila.
02 Chanvre et musique, préparation d'une journée de travail 57 s
C'est au cours de séances familiales pluriquotidiennes joyeuses de consommation collective de chanvre que Ginza, le "mbai", le dirigeant du campement, fait passer ses instructions du jour à ses frères et cousins.
03 Construction du corps, perçage des oreilles d'un bébé 1 mn 25
Mangutu, de passage au campement de ses parents, fait percer les oreilles de sa petite fille.
04 Chasse et chance, lavage d'un fusil 2 mn 41
Monduwa, le guérisseur, assisté de Mésa, "lave", purifie le fusil d'un chasseur villageois qui ne tue plus de gibier. La femme du propriétaire du fusil a gâté la chance du fusil en enfreignant un interdit : elle a mangé de la viande tué par ce fusil alors qu'elle avait ses règles.
05 Discorde et infortune, bagarre entre cousins 5 mn 19
Une bagarre éclate entre Mesa et Matoko, deux cousins, officiellement pour une harpe empruntée, officieusement parce que le premier a tenté de séduire la femme du second. Certains cherchent à les séparer, des frères viennent aider un des combattants. Le vieux Yakpata semble chercher l'apaisement, mais en fait soutient Matoko, son fils préféré, de telle façon, qu'il envenime la situation.
Masoy, la veuve de son frère le lui reproche publiquement.
Mambi et Koti commentent l'évènement.
06 Thérapie des interdits, fumigations de l'enfant et de la mère 3 mn 44
Noël, le dernier né de Mambi fait des cauchemards et se réveille la nuit. Redoutant que ce soit les symptômes annonciateurs d'une maladie dûe à un interdit qu'elle a rompu, elle lui applique ainsi qu'à elle-même une fumigation de feuilles sp..
07 Jeu et apprentissage, grimaces à un petit frère 47 s
Wawa amuse son petit frère Noël en lui exécutant ses plus belles grimaces et mimiques.
campement - pygmée - aka - quotidien - petite enfance - apprentissage - grimace - jeu -
2ème journée
08 Chasse et chance, extraction d'un maléfice 9 mn 45
Mbonga consulte Monduwa, se plaignant de son infortune à la chasse à la sagaie. Le guérisseur diagnostique qu'un objet maléfique lui a été projeté dans l'épaule.
Il entreprend de le lui extraire, pratiquant d'abord une scarification, puis une succion.
Il crache sur une feuille de bananier un mélange de salive, de sang et l'objet maléfique, que Mbonga va soigneusement enterrer derrière la maison.
Puis Monduwa applique sur la scarification un remède devant conférer adresse et force à Mbonga lors de ses prochaines chasses.
09 Maladie et interdit, soins d'un abcès du dos 3 mn 11
Isanya tente vainement de percer un abcès du dos du fils de son frère Mbonga.
10 Soirée de danse, divination et thérapeutique 14 mn 42
En raison de la bagarre, des discordes et des infortunes qui affectent les habitants du campement, une soirée de danse est organisée, entrelaçée par deux séquences divinatoires et une séquence thérapeutique.
3ème journée
11 Discorde et infortune, réparation par la salive 13 mn 42
Suite à la soirée se danse réussie de la veille, Yakpata organise un rituel de réconciliation. Il est basé sur un crachat de salive par tous les résidents du campement, petits et grands, sur un faisceau de feuilles sp.. Chacun avant de cracher a la possibilité de dire ce qu'il a sur le coeur, et bon nombre ne s'en privent pas.
A la fin, avant d'expulser ce faisceau de feuilles couvert de salives en dehors du campement, Yakpata se purifie en s'en fustigeant la tête. Mot(s) clés libre(s) : réconcialiation, villageois, mbili, interdit, chanvre, campement, gibier, chasse, aka, Akungu, pygmée, remède, couteau, salive, interdit alimentaire, crachat, machette, fumigation, maléfice, discorde, bagarre, rituel/chasse, fusil, perçage, rupture d'interdit, rituel préventif, kila, parole, devin-guérisseur, guérissage, extraction, grossesse, vidéo, scarification, maladie, alimentation, oreille, apprentissage, feu, Vie quotidienne, musique, danse, abcès, allaitement, rituel thérapeutique, petite enfance, guérisseur, République Centrafricaine, phytothérapie, divination, film ethnographique, séduction, sang, jeu, ethnomédecine, chant, afrique
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Chronique aka 97 : Boire et déboires après la forêt
/ 20-09-1997
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique aka 97 : Boire et déboires après la forêt :Chronique aka vidéo, Paris septemnre 1997, Chronique aka écrite, Bordeaux, novembre 1994En septembre 1997, une tournée européenne de musiciens aka de République centrafricaine est organisée par "Le jardin des poiriers" et Régis Cissokho, des promoteurs français et centrafricains de spectacles ethniques
L'équipe choisie est celle avec laquelle travaillent depuis des décennies les ethnomusicologues du CNRS, Simha Arom et Susanne Fürniss à proximité de Mongoumba.
Alain Epelboin, anthropologue médecin, vidéaste, travaille dans des campements voisins de ceux des voyageurs.
Bien connu d'eux, il en profite pour poursuivre la "Chronique aka", initiée par lui en 1980...
ACTEURS
Bokuma, Botambi, Malala, Mokenzo, Mombangu, Ngélébodé, Ndolé, Ngbana, Tinakoka, Yakpa
et
Simha Arom, Aby Barthélémy, Béatrice Edlicher-Godelier, Alain Epelboin, Susanne Fürniss
COMMENTAIRES de Ginza, Mbonga, Koti, Isanya, Makanda et Cie transcrites à Akungu en novembre 1994 à leur retour du voyage à la foire-exposition de Bordeaux traduites par Bobino Topesua Mbato et dîtes par Alain Epelboin
IMAGES et SONS
Alain Epelboin, Claire Lussiaa-Berdou
MONTAGE
Alain Epelboin, Annie Marx, Mireille Gruska, Jean-Louis Durand, David-Pierre Fila
REALISATION
Alain Epelboin Mot(s) clés libre(s) : danse, France, Paris, hoel, tournée, aka, pygmée, ethnomusicologie, film ethnographique, spectacle, chant, vidéo, voyage, Vie quotidienne, musique, Europe
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Chronique aka 1993, Motonga : Leçon de chant et de danse ou la drague des Pays d’Akungu
/ 10-12-1993
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Leçon de chant et de danse ou la drague des Pays d’Akungu
Ginza, Isanya et Mombaka, meneurs de chant et de danse
Mokoso, meneur de percussions
Le mari de Gbédélé
Bassin Joseph
Un frère de Monduwa
Le fils de Bassin
Gbédélé
Bonzanga, la femme de Monduwa
Mombaka, fils de Ginza10 décembre 1993
Campement de Oto Joseph (Mongouba, RCA)
© 2002 Alain Epelboin SMM CNRS MNHN Paris
En décembre 1993, Ginza, Isanya et Mombaka en visite chez Monduwa font une démonstration de leurs chants et danses à leurs hôtes. C'est aussi l'occasion de séduire ! Mot(s) clés libre(s) : afrique, percussion, Motonga, drague, Lobaye, Akungu, pygmée, bébé, ethnomusicologie, République Centrafricaine, film ethnographique, séduction, chant, vidéo, musique, danse, Mongouba
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Chronique aka 1993, Motonga : Gbédéle, femme, fille et mère
/ 20-06-1994
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique pygmée, juin, décembre 1994, Mongoumba, Lobaye, RCA
Filmé dans un campement de pygmées aka, sous-préfecture de Mongoumba,
Gbédélé : femme, fille et mère Lobaye, R.C.A.
Image et son
Alain Epelboin
Dans le campement pygmée aka de Woto, en République centrafricaine, suivi au cours de deux journées ordinaires des interactions entre un bébé (âgé de 3-4 mois puis 9-10 mois), de sa mère adolescente, Gbédélé , de Mowo, sa grand-mère et des membres du campement, sans compter les tantes et les cousins, cousines.
Gbédélé donne à téter à sa fille, la berce en chantant, rieuse. A ses côtés, sa mère la regarde, la conseille, l’éduque. Elle prend aussi soin du bébé, qu'elle berce pendant que Gbédélé vaque à ses activités ménagères.
Six mois plus tard : un petit groupe s'est formé pour faire de la musique avec des arcs musicaux, des percussions, la frappe des mains, des chants... Gbédélé joue de l'arc à deux cordes. Le bébé est présent parmi eux.
Les stimulations sonores et corporelles imprimées sur le corps de l’enfant lors de ses pleurs sont systématiquement en rapport avec les rythmes fondamentaux de la musique traditionnelle aka. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, Afrique, ethnomusicologie, bercement, pygmée, aka, Lobaye, chanvre, grand-mère, grand-père, sango, pilage, Mongoumba, relation mère /enfant, péparation repas, arc musical, marche, petite enfance, toilette, lait, danse, musique, Vie quotidienne, apprentissage, psychologie, alimentation, genre, santé publique, femme, vidéo, maternage, allaitement, chant, jeu, film ethnographique, République Centrafricaine, eau
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Chronique Aka 1991, Ngopama : La danse du professeur et le refus des Aka
/ 19-09-1991
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique Aka 1991, Danse du professeur et le refus des Aka
ActeursJustin Idanga, guérisseur mbati
le secrétaire de J. Idanga
l'assistant de J. Idanga
Monduwa François, guérisseur aka
Madame T, guérisseuse mbati
les consultants de J. Idanga
les accompagnateurs des consultants
les habitants deNgopama
les musiciens réunis par J. Idanga
le jeune fils de J. Idanga
Réalisation caméra montage
Alain Epelboin
© 2006 SMM CNRS MNHN ParisEn République Centrarficaine, Justin Iganga est un guérisseur isongo (= mbati) qui a organisé son activité sur un modèle syncrétique empruntant de larges fragments à l’institution biomédicale. Mot(s) clés libre(s) : danse, guérissage, Afrique, objet maléfique, devin-guérisseur, tradipraticien, pygmée, aka, Lobaye, relation inter-ethnique, fer, mbati, pluie, sifflet, ngnaga, tam-tam, rituel thérapeutique, guérisseur, amulette, musique, feu, stérilité, fécondité, maladie, vidéo, extraction, consultation, chant, ethnomédecine, malheur, film ethnographique, divination, transe, République Centrafricaine, Ngopama
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Chronique aka 1988, Kpétényé : les dents sculptées
/ 15-01-1988
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique pygmée : les dents sculptées.
AvecKpebe : le jeune adolescentDominique Makoba : le tailleur de dents
Jean-Marie Elima et Bassin Joseph : les “oncles" de Kpebe
Les habitants du campement de Kpétényé en janvier 1988
Lobaye, sous préfécture de Mongouba, République centrafricaine
Conseillers scientifiques : S. Arom, S. Bahuchet, J.M.C. Thomas
Auteurs-réalisateurs :
Alain Epelboin & François Gaulier
© LACITO_CNRS AV, LA Cathode vidéo - 1988
Dans le campement pygmée aka de Kpetenye en République centrafricaine, outre les activités quotidiennes, la matinée est marquée par deux événements de la vie collective : la taille des dents de deux jeunes garçons, rituel pratiqué sur les adolescents pour les rendre séduisants auprès des filles, et la préparation et cuisson d'un rat palmiste. Mot(s) clés libre(s) : afrique, petite enfance, couteau, pygmée, aka, technique du corps, dent, animal/cuisson, musiquesexe, drague, Mongoumba, Kpétényé, toilette, République Centrafricaine, danse, musique, Vie quotidienne, feu, alimentation, plante médicinale, adolescence, vidéo, chant, bouche, film ethnographique, rat palmiste
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Mumbwiri, rite thérapeutique : initiation d’une femme et d’un enfant nzebi
/ 21-05-1995
/ Canal-u.fr
DUPUIS Annie
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Deux malades sont traités au cours de ce rituel, la jeune femme pour devenir féconde, l’enfant pour guérir d’une grave et ancienne toux à laquelle aucun traitement n’a pu remédier. Le rituel requiert la possession par les génies et la prise du bois sacré l’« iboga », qui doivent conduire à la guérison.
Le rituel se déroule sur deux jours et deux nuits au village et en forêt.
Le film commence avec la présentation de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie. Les génies sont appelés à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique (harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses. . Les membres de la société encadrent la postulante.
Des soins sont donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société : aspersions au moyen de plantes médicinales et massages. Les génies apportent leur « bénédiction » à la malade.
En forêt près de la rivière, un espace est débroussé. Les malades sont maquillés, ils absorbent l’iboga sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la transe par les sifflets. Ils reçoivent dans les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision. Ils sont invités à voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal.
La cérémonie se poursuit le lendemain matin au village.
Le soir et la nuit suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture dans le miroir. Des offrandes sont offertes.
Je remercie les participants du village de Lébamba, de m’avoir invitée à ce rituel et permis de le filmer.
Merci également à mon amie Madeleine Koundi qui m’a beaucoup appris.
montage : Mireille Gruska, Annie Marx, Annie Dupuis
Chapitres
01 - 1er jour au village, danses de possession au petit matin après la première nuit
Au village, présentation
de l’espace rituel, dans lequel au cours de la nuit s’est déroulé la cérémonie. Les génies sont appelés
à investir les participants et la malade par le jeu des instruments de musique
(harpe, tambours, percussions, corne) qui accompagnent les chants et les danses.
.Les membres de la société
encadrent la postulante.
02 - 2ème jour au village, soins, aspersions, onctions et massages
Des soins sont
donnés à la malade par la guérisseuse et des membres de la société :
aspersions au moyen de plantes médicinales et massages. Les génies apportent leur « bénédiction »
à la malade.
03 - 2ème jour en forêt,
Aménagement de l'espace, maquillage et mise en condition des nouveaux initié. En forêt près de
la rivière, un espace est débroussé.
Les malades sont
maquillés, ils absorbent l’iboga
sous forme de décoction et de rapures, et sont appelés à la
transe par les sifflets.
Ils reçoivent dans
les yeux une instillation de sève leur permettant d’aiguiser leur vision.
Ils sont invités à
voir dans le miroir, aidés par les génies, la cause de leur mal.
04 - 2ème jour en forêt. Appel à la transe. Possession des initiés
Instillation dans les yeux et onctions sur le corps de sève médicinale.
Appel des esprits par les sifflets, les instruments de musique, les chants.
Prises répétitives d’iboga (décoction et râpures).
Le lendemain matin,
la cérémonie se poursuit au village.
05 - 2ème jour en forêt . Possession des nouveaux initiés
06 - 2ème jour en forêt .Possession d’une initiée soignante
07 - 2ème jour au village, soirée
divination par lecture dans le miroir
08 2ème Nuit : divination, offrandes
Le soir et la nuit
suivante, les malades identifient la cause de leur mal, et procèdent à une
séance de divination pour eux-mêmes et pour toute l’assistance, par lecture
dans le miroir. Des offrandes sont offertes. Mot(s) clés libre(s) : afrique, corne, possession, offrande, tambour, Tabernanthe iboga, rituel thérapeutique, harpe, états modifiés de conscience, nzebi, percussion, initiation, bois sacré, aspersion, onction, sève médicinale, Lebamba, guérissage, guérisseur, transe, danse, musique, miroir, stérilité, maladie, plante médicinale, enfant, femme, vidéo, massage, maquillage, cérémonie, génie, chant, film ethnographique, divination, Sud Gabon
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Danses classiques indiennes
/ Julie BELLO, Hajar MOUCHFIQ
/ 27-04-2015
/ Canal-u.fr
DEDIEU Eva
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Cette vidéo présente les danses traditionnelles du sud de l’Inde et plus précisement du Tamil Nadu (தமிழ் நாடு). Notamment du Bharata natyam, des danses folkloriques et du théâtre dansé. Ces pratiques vous sont présentées par Chantal Vadrot, présidente de l’association Anjali Mudra. Les images proviennent des répétitions et spectacles créés par l’association. Mot(s) clés libre(s) : danse, Inde, Danses classiques, Bharata Natyam, Théâtre dansé, Danses folkloriques
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Danse classique khmère - Maison du Cambodge (Cité Universitaire, Paris)
/ Cindy Keo-Vu, Sophie Nogueira Afonso, Éléonore Ballif
/ 17-04-2015
/ Canal-u.fr
Bru-Nut Hélène Suppya, Labbé Lucie, Meach Kolap
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Entretien avec Mme Hélène Suppya Bru Nut sur la danse classique khmère (ល្ខោនព្រៈរាជទ្រព្យ - Lakhon preah reac troap), et démonstration de la danse Neary chea chour (នារីជាជួរ - la danse des jeunes filles en rang).
L’entretien aborde les généralités de la danse classique khmère, son histoire, l’apprentissage par les danseurs et le devenir de cette danse après les Khmers Rouges.
La danse de Neary chea chour est l’une des danses les plus connues du répertoire classique. Elle est enseignée principalement aux jeunes élèves, afin de leur apprendre la gestuelle de base de la danse et le rapport entre les paroles des chants et les gestes.
La danse des jeunes filles en rang est dansée entièrement et n’a pas été coupée au montage.
La troisième partie de la vidéo est un témoignage des danseuses, qui nous livrent leurs ressentis sur leur apprentissage de la danse classique khmère. Mot(s) clés libre(s) : Cambodge, danse, Danse classique khmère, Khmer, Ballet Royal du Cambodge
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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BOUJU Marie-Hélène, RUETSCH Christophe
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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010.Présentation de deux créations présentées dans le cadre du colloque : la danse des Ferro-Fluides (musique pour une matière "réactive") et VDW, performance danse/musique élaborée avec la danseuse Marie-Hélène Bouju à partir de la théorie des forces de Van Der Waals. Pour cette performance, le travail chorégraphique fondamental s'appuie sur la mobilité du poids dans un contexte où les repères essentiels sont absents.> Communications suivies d'un débat avec le public ainsi que du film de la performance VDW présentée à la Fabrique culturelle de l'université du Mirail, le 8 décembre 2011 à l'occasion du colloque. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, chimie moléculaire (réception et influence), création artistique (21e siècle), danse contemporaine (21e siècle), musique électro-acoustique, nanosciences (influence)
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