Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
4. Le développement durable en géographie
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 04-06-2015
/ Canal-u.fr
JEGOU Anne
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans cette vidéo, Anne Jegou discute de l'ancrage du développement durable en géographie scolaire et universitaire. Après un examen des pratiques, elle propose une étude de cas : la lagune de Valence (Espagne). Mot(s) clés libre(s) : géographie, développement durable
|
Accéder à la ressource
|
|
Colloque "Santé et mobilités au Nord et au Sud" : discours de bienvenue / Marie-Christine Jaillet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine
Voir le résumé
Voir le résumé
Discours de bienvenue, Marie-Christine JAILLET (Directrice de recherche et VP du Conseil Scientifique, UTM). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités-Sociétés-Territoires, l'Association d'Anthropologie Medicale Appliquée au Développement Et à la Santé (AMADES), l'IFERISS, l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar et l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD). Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Toulouse, 16-18 septembre 2009.Voir le site dédié au colloque "Santé et mobilités au Nord et au Sud" Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins médicaux, anthropologie de la santé, émigration et immigration, ethnomédecine, géographie de la santé, personnel soignant, politique sanitaire, tourisme médical, transnationalisme
|
Accéder à la ressource
|
|
Claude Simon géographe : ouverture du colloque / Marie-Christine Jaillet
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine
Voir le résumé
Voir le résumé
Claude Simon géographe : ouverture du colloque / Marie-Christine Jaillet. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011.L'œuvre de Claude Simon, réputée pour son rapport à l'Histoire, fait aussi une large place à la géographie, ce qui d'ailleurs n'a rien de contradictoire. L'auteur ne donne-t-il pas pour épigraphe à L'Invitation, récit d'un voyage en URSS, cette phrase de Bismarck : « Le seul facteur permanent de l'Histoire, c'est la géographie » ? Face au chaos des guerres et des révolutions, la géographie assure cette permanence où le matérialiste qu'est profondément Claude Simon trouve une forme de paix, dans l'acquiescement à un monde qui « ne signifie rien - sauf qu'il est » (Discours de Stockholm). Certes, Simon n'est pas comme Gracq un géographe de formation. Le trajet serait plutôt inverse : non de la géographie vers l'écriture, mais de l'écriture vers la géographie. C'est en puisant à sa mémoire d'enfant, de soldat, de voyageur, qu'il en vient dans ses romans à reconstruire l'espace dans une véritable écriture de la terre. Captivé par les reliefs, les climats, la végétation, mais aussi par la topologie et la métamorphose des villes, il est de plus en plus un « écrivain géographe ». Dès Le Vent, les facteurs climatiques et urbains jouaient un rôle aussi important, voire davantage, que ce qu'il y subsistait encore d'« intrigue romanesque ». Tout le cycle de 1940 (de La Route des Flandres au Jardin des Plantes) développe le rapport de la guerre à la terre et aux territoires, que l'on retrouve aussi dans Les Géorgiques avec l'évocation des campagnes de l'ancêtre, le général L. S. M., à travers toute l'Europe, sous la Révolution et l'Empire. La ville conçue comme un grand corps vivant, mais aussi malade, qu'il s'agisse de Perpignan ou de Barcelone, est longuement évoquée d'Histoire au Tramway. Le voyage, et en particulier le voyage en avion, révèle la fascination qu'exerce sur l'écrivain la morphologie terrestre, dans Les Corps conducteurs, L'Invitation ou Le Jardin des Plantes. L'œuvre photographique fait aussi une place significative au paysage, par exemple dans le grand « Paysage d'Espagne » d'Album d'un amateur, dans les vues aériennes de la revue Du, ou dans les visions des Corbières arides de Mythologie. La géographie peut même fournir une image de l'œuvre et de ses strates temporelles, comme la fameuse structure « en puits artésien » de La Route des Flandres, dessinée dans « La fiction mot à mot ». Quant à la figure de l'écrivain, Claude Simon la représente tantôt par l'Orion aveugle de Poussin, fondu dans le paysage comme « partie intégrante du magma de terre, de feuillage, d'eau et de ciel qui l'entoure », tantôt comme un « explorateur » se frayant un chemin « dans une contrée inconnue » et en dressant une « carte approximative » (Discours de Stockholm). Comment mieux dire que, matériellement et métaphoriquement, l'écriture a partie liée avec la géographie ? L'objet de ce colloque est donc de prendre toute la mesure de cette géographie simonienne, en tant qu'elle s'articule au monde réel, mais aussi et surtout en tant qu'elle se construit comme monde poétique, dans la rencontre entre une mémoire et un imaginaire, au « présent de l'écriture ». Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle), temps et espace (dans la littérature)
|
Accéder à la ressource
|
|
Chorèmes : pour une approche schématologique de la géographie simonienne / Jacques Isolery
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ISOLERY Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
Chorèmes : pour une approche schématologique de la géographie simonienne / Jacques Isolery. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Equipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
|
Accéder à la ressource
|
|
La rose des vents simonienne / Sjef Houppermans
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
HOUPPERMANS Sjef
Voir le résumé
Voir le résumé
La rose des vents simonienne / Sjef Houppermans. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
|
Accéder à la ressource
|
|
La géo-prospective appliquée à la gestion de l'eau
/ Bruno BASTARD
/ 04-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
HOUET Thomas, VIDAL Franck
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis les années 1950, les paysages fragmentés bretons (occupation du sol, bocage, fonds de vallées humides) ont subi de profondes transformations. Ces évolutions ont induit des changements, notamment sur la qualité des eaux. Dans le cadre de la mise en place des schémas d’aménagement et de gestion de l’eau (SAGE) les travaux présentés portent sur le développement de scénarios exploratoires et de scénarios prospectifs au sein d’un système d’information géographique, à une échelle fine (bassin versant) afin de dégager et de cartographier les évolutions potentielles des paysages agricoles bretons dans les prochaines années. Cette mise au point méthodologique, technique et scientifique est désormais transposable à d’autres problématiques environnementales mais également à d’autres milieux ou régions géographiques.Auteur : Thomas HOUET, Interview : Franck VIDAL Mot(s) clés libre(s) : aménagement, bocage, Bretagne, eaux, Environnement et risques, évolutions, géographie rurale, géomatique, occupation du sol, paysage, paysages fragmentés, pollution, risques, SAGE, système d'information géographique
|
Accéder à la ressource
|
|
Le peuplement de la planète et la diversité génétique de notre espèce
/ 31-01-2013
/ Canal-u.fr
HEYER Evelyne
Voir le résumé
Voir le résumé
Après la sortie d'Afrique, Sapiens peuple toute la
planète. Ce peuplement a un effet majeur sur la répartition de notre diversité
génétique. Pour l’essentiel notre diversité génétique est structurée par la
géographie : plus deux individus sont proches géographiquement, plus ils
se ressemblent génétiquement. Au fil du peuplement, l'Homme se trouve confronté
à de nouveaux environnements auxquels il s'adapte génétiquement au fil des générations.
A partir de cette gradation continue, les nouvelles données qui couvrent tout
notre génome, permettent néanmoins d’identifier des groupes d’individus
géographiquement proches qui se ressemblent génétiquement entre eux. Nous
présenterons plusieurs exemples de rencontres génétiques entre différents
groupes.
2nd volet du cycle de conférences "Evolution et diversité de l'Homme".
Pour voir les volets précédent et suivant :
1. L'émergence de notre espèce, la rencontre avec Néandertal
3. Comment la culture influence notre évolution biologique Mot(s) clés libre(s) : marqueurs, mutation, variabilité génétique, diversité génétique, proximité génétique et géographique
|
Accéder à la ressource
|
|
Cartographie et systèmes d'information géographique (SIG)
/ Mission 2000 en France
/ 09-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GUERMOND Yves
Voir le résumé
Voir le résumé
L'évolution actuelle est un tournant dans l'histoire de la cartographie : depuis des siècles les cartes, sous leurs différents formats, étaient soit pliées, comme les cartes routières (et déchirées à l'emplacement des plis...), soit conservées précieusement à plat dans les tiroirs de meubles spécialisés, comme les plans cadastraux. D'une administration à l'autre, d'une ville à l'autre, les échelles étaient différentes, de même, bien souvent, que les systèmes de projection, et leur mise en relation étaient souvent impossibles. La révolution cartographique qui est en cours depuis les années 1980 oblige à reconstruire la totalité de l'information cartographique. La conférence en donnera quelques exemples, soit dans le domaine de la cartographie embarquée, soit pour l'invention de nouveaux paysages ou la simulation d'évolutions. La carte, en se libérant du papier, est sortie des tiroirs. De multiples domaines nouveaux s'ouvrent à son utilisation. Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire (modèles mathématiques), analyse spatiale (statistique), bruit, cartes routières, cartographie, géographie (logiciels), géomatique, informatique, positions géographiques, systèmes d'information, systèmes d'information géographiqu
|
Accéder à la ressource
|
|
Une approche géographique des images de l'art occidental
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
GRISON Laurent
Voir le résumé
Voir le résumé
Notre travail unit un métier - celui de chercheur - et une double passion, celle de l'art et celle de la géographie. En mettant soigneusement les choses les unes à côté des autres, les unes avec les autres, comme dans la poésie mallarméenne ou sur une carte, nous choisissons de comprendre la géographie comme une dialectique du combinatoire qui a pour objet l'interprétation des lieux, des symboles et des signes, une science à la recherche de l'épissure entre l'espace réel et l'espace imaginaire. Étudier les figures géographiques dans les différentes formes d'art, c'est construire un pont entre plusieurs approches de la spatialité. La figure géographique - la représentation d'un carrefour ou d'une route, par exemple - est une forme fondamentale de l'espace. Elle détermine le sens des représentations. Nervure du réel, elle entretient des liens intimes avec l'espace géographique et correspond à des lois de l'organisation spatiale. La figure est une pièce de l'espace, qu'il soit espace réel et/ou espace imaginaire construit à partir du réel. Notre postulat de départ est que l'art est écriture créative de l'espace - même si, bien sûr, on ne peut réduire la création à cette seule caractéristique. Entre autres gestes, les artistes - écrivains, peintres, musiciens ou autres - narrent, projettent et reproduisent l'espace. Ils utilisent, façonnent et exposent des figures géographiques dans un processus de construction qui intègre des phénomènes d'imbrication et de transposition de celles-ci. Les différentes formes d'art n'entretiennent pas avec l'espace les mêmes relations mais il nous semble qu'aucune n'est plus spatiale qu'une autre par principe et que rien n'empêche de les considérer avec une même méthode rationnelle. Notre problématique centrale est la suivante : comment la création artistique use-t-elle des figures géographiques et quel sens leur donne-t-elle dans l'art occidental depuis la Renaissance ? Portant un regard à la fois géographique et sensible sur les oeuvres, nous mettons au jour quelques éléments d'une grammaire des figures dans l'art qui associe forme et sens. Le géographe est ici un déchiffreur de signes : représentations de l'espace, métaphores et symboles. Notre méthode est d'essence structuraliste : s'appuyer sur le contexte social et politique de la création d'une oeuvre, mesurer la transformation de la relation de l'art à l'espace, n'exclut pas de rechercher des éléments fondamentaux et universels. Mot(s) clés libre(s) : analyse spatiale (statistique), art et géographie, art occidental, création (esthétique), espace (art), géographie dans l'art, perception spatiale
|
Accéder à la ressource
|
|
Les repères : identité, réseaux, territoires, les paysages et la diversité culturels
/ Mission 2000 en France
/ 11-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GRESILLON Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
"Sans négliger d'entrer dans le débat (pluridisciplinaire) de la ""perte des repères"", quelles catégories de la pensée peuvent aujourd'hui être avancées pour répondre aux défis posés à la fois par les changements d'échelle et la révolution technique de l'information et de la communication ? Entre lieux/territoires d'appartenance et espaces de projection/réseaux d'affiliation, entre catégories fixes établies (locale, nationale, régionale) ou en devenir (Europe, monde), et processus d'intermédiation qui les traversent et les dynamisent (tout ce qu'introduisent les préfixes ""inter"", ""trans"", ""multi"", ""pluri"") se situent repères de soi et savoirs du monde. C'est aussi l'occasion de discuter des mythes séducteurs (métissage, cosmopolitisme) ou réducteurs (""village planétaire""), d'argumenter contre celui (autrement dangereux) du monoscalaire, ou mal de l'extrémisme de droite dans certains pays d'Europe, et pour de meilleures appréciations de la distance/distanciation critique à l'égard des horizons européen et mondial. Conscience de soi, de pair avec celle de l'autre et celle du monde, l'individu-sujet, citoyen à échelles multiples, a un vaste chantier conceptuel (et pédagogique) devant lui." Mot(s) clés libre(s) : géographie sociale, identité, individu et société, mythe, perte des repères, pluriappartenance, territorialité humaine, Umberto Eco
|
Accéder à la ressource
|
|