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Pourquoi la Méditerranée
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUGOT Philippe, LE CORRE Sébastien
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La Méditerranée peut être considérée de différents points de vues. Les arguments pour une unicité de cet espace sont nombreux mais ils font bien souvent l’objet de contestations.Malgré cela, la volonté de créer un espace et des projets autour de cette mer illustre bien les enjeux économiques et géopolitiques dont elle fait l’objet. Mot(s) clés libre(s) : aménagement du littoral, attractivité (géographie), géopolitique, Méditerranée (région), polarisation (économie politique), projets d’urbanisme
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1ère liaison aérienne Paris - Nouméa 1932
/ 26-04-2014
/ Canal-u.fr
DÉVÉ Bertrand
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En 1932, Charles de Verneihl, Max Dévé et Emile Munch forment l'équipage de l'avion "Biarritz" construit par René Couzinet et relie pour la 1ère fois la France à la Nouvelle Calédonie.Bertrand Dévé, fils de Max Dévé, nous raconte ici les différentes étapes de ce grand raid. Mot(s) clés libre(s) : récit de voyage, aéronautique, Nouvelle calédonie
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Les calendriers mésoaméricains
/ 21-11-2011
/ Canal-u.fr
DEHOUVE Danièle
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La Mésoamérique, aire culturelle qui comprend la partie méridionale du
Mexique et plusieurs pays d’Amérique centrale, a été le siège de la
découverte de calendriers sophistiqués, indépendamment de l’Ancien
Monde. Ses nombreuses populations (Olmèques, Mixtèques, Zapotèques,
Mayas et Aztèques) ont partagé, à partir de 600 avant J.-C., un système
complexe fondé sur l’articulation des cycles de plusieurs astres
(Soleil, Vénus, Mars…) au moyen d’un cycle « artificiel » de 260 jours.
Au fondement de la divination et de la mise en oeuvre des guerres, des
rituels et des sacrifices, les calendriers mésoaméricains sont parvenus à
des calculs très exacts embrassant des millénaires.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : mesure, contribution au concept de temps, Mésoamérique, Calendriers, Olmèques, Mixtèques, Zapotèques, Mayas, Aztèques
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Villages fantômes / José María Cuesta
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-05-2005
/ Canal-u.fr
CUESTA José María
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Dans le Sobrarbe, en Aragon (Espagne), des dizaines de villages furent abandonnés entre les années 1950 et 1965. Le processus de reproduction socio-économique s'est interrompu à ce moment là... mais il reste certains témoins et quelques traces de ce qu'il s'est passé. De manière scientifique, ce sont les mécanismes de l'émigration, anciens et plus récents, et les causes du dépeuplement que l'auteur étudie et essaie de faire connaître à travers ce film.
Un documentaire réalisé à partir de témoignages, s'appuyant sur une importante documentation et une riche iconographie : images d'hier et d'aujourd'hui, musiques, ambiances, tout un environnement sonore qui transporte dans un monde inconnu, celui d'un Sobrarbe peuplé de fantômes... les fantômes de ces villages à l'abandon qui, seuls, peuvent faire imaginer ce que pouvait représenter cette société paysanne vivant en autarcie.
[Version française : commentaire en français, entretiens en espagnol sous-titrés en français].
Film réalisé grâce au concours du Musée Pyrénéen (fonds Briet) et de la ville de Lourdes, des Musées de Huesca et San Juan de Plan (collections photographiques), de Max Daumas (collection personnelle). Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, exode rural, Sobrarbe (Espagne), Haut-Aragon (Espagne), Espagne (1950-1970), gestion des ressources en eau (Pyrénées)
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Pueblas fantasmas / José María Cuesta
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-09-2002
/ Canal-u.fr
CUESTA José María
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La Comarca de Sobrarbe comprende unos 2.000 km2 donde vivían unas 26.000 personas aprincipios del siglo XX y donde hoy no quedan más que 6.400 decenas de pueblos que fueron abandonados a partir de la década de 1950. La lectura del paisaje, la exploración de los archivos y los numerosos testimonios recibidos de los ancianos del lugar, permiten observar una forma tradicional de organización del territorio muy diferente a la reciente. Este film intenta explica los mecanismos de la emigración antigua y reciente, las causas y
mecanismos de la despoblación de la comarca altoaragonesa del Sobrarbe,
mostrando diversos testimonios personales
Dans le Sobrarbe, en Aragon (Espagne), des dizaines de villages furent abandonnés entre les années 1950 et 1965. Le processus de reproduction socio-économique s'est interrompu à ce moment là... mais il reste certains témoins et quelques traces de ce qu'il s'est passé. De manière scientifique, ce sont les mécanismes de l'émigration, anciens et plus récents, et les causes du dépeuplement que l'auteur étudie et essaie de faire connaître à travers ce film.
Un documentaire réalisé à partir de témoignages, s'appuyant sur une importante documentation et une riche iconographie : images d'hier et d'aujourd'hui, musiques, ambiances, tout un environnement sonore qui transporte dans un monde inconnu, celui d'un Sobrarbe peuplé de fantômes... les fantômes de ces villages à l'abandon qui, seuls, peuvent faire imaginer ce que pouvait représenter cette société paysanne vivant en autarcie.
Film réalisé grâce au concours du Musée Pyrénéen (fonds Briet) et de la ville de Lourdes, des collections photographiques des Musées de Huesca et San Juan de Plan, de Max Daumas (collection personnelle), des habitants de la vallée du Sobrarbe (archives familiales et témoignages).
> Voir la version courte (58 mn.) en français : "Villages fantômes". Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, exode rural, paysage rural, Sobrarbe (Espagne), Haut-Aragon (Espagne), Espagne (1950-1970), gestion des ressources en eau (Pyrénées)
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Les savoirs géographiques vernaculaires ont-ils une valeur ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 08-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COLLIGNON Béatrice
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Négligés jusqu'au milieu des années 1980 par la géographie savante, les savoirs géographiques vernaculaires ont pourtant une efficacité au quotidien qui témoigne de leur validité. Développés par toutes les sociétés, des Inuits aux parisiens, ils sont adaptés à des situations particulières, ne sont pas transposables et se construisent sur une expérience directe associée à une transmission qui échappe pour l'essentiel aux canaux institutionnels. C'est entre autres par l'élaboration de ces savoirs fins que les sociétés territorialisent leur espace de vie, c'est à dire qu'elles se l'approprient en produisant pour son usage une interprétation efficace, en adéquation avec leurs valeurs. Les savoirs géographiques vernaculaires sont ainsi l'une des médiations par lesquelles se construit la relation entre les hommes et leur milieu. Comprendre comment s'élaborent, évoluent et se transmettent ces savoirs permet aux chercheurs non seulement de comprendre les actions des hommes dans l'espace, mais aussi d'appréhender les modalités ordinaires de production d'informations géographiques sur les territoires. Mot(s) clés libre(s) : échange de savoirs, géographie, savoirs vernaculaires
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Kenya, conflits et territoires
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 04-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CHARLERY DE LA MASSELIÈRE Bernard, VIDAL Franck
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En janvier 2008, après la réélection contestée du président Kibaki de violents affrontements secouent Nairobi, la capitale du Kenya. Si les médias ont bien souvent résumé ces violences à des oppositions interethniques, le point de vue du géographe, spécialiste de l’Afrique de l’Est replace le conflit dans un contexte beaucoup plus large : c’est à travers la géographie du Kenya - terre de contraste et de diversité, mais aussi à travers tous les processus de définition des territoires mis en place par la colonisation anglaise et enfin, à travers les phénomènes de mondialisation économique qu’il est nécessaire d’analyser les événements actuels au Kenya. Mot(s) clés libre(s) : affrontements ethniques, géographie économique, géopolitique, guerre, histoire, kenya, mondialisation, politique et gouvernement, postcolonialisme
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CAROZZA Laurent
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Mot(s) clés libre(s) : chalcolithique, géographie historique, métallurgie préhistorique (Hautes-Alpes ; France)
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Le risque sismique en France
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 18-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CAROZZA Jean-Michel, VIDAL Franck
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Il existe, dans l'hexagone, mais surtout dans les Dom Tom un risque sismique réel en France. A travers les principales définitions de la sismicité, mais également à travers l'exposé des méthodes géomorphologiques de repérage des traces de séismes, l'auteur expose le concept de risque sismique et en particulier le rôle du chercheur en géographie dans la détection, la prévision et la prévention des risques de tremblements de terre en France aujourd'hui. (entretien réalisé le 18 décembre 2006)GénériqueInterview : Franck Vidal - Réalisation et Post production : Bruno Bastard - Cadreurs : Claire Sarazin et Nathalie Michaud - Production et moyens techniques : CAM - Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : construction parasismique, échelle de richter, géomorphologie, gestion des risques, paléosismologie, prévention, prévision, risque naturel, séisme, tremblement de terre, volcanisme, zone sismique
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Les ONG et la question humanitaire
/ UTLS - la suite
/ 22-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BRUNEL Sylvie
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En préambule, un constat s'impose : l'explosion des ONG depuis la fin de la Guerre froide, et leur rôle croissant sur la scène internationale. ONG « de terrain » comme mouvements de lobbying et de sensibilisation, ONG du Nord et du Sud, ONG « associatives » mais aussi ce que les Anglo-Saxons appellent les « GONGOS » (gouvernemental NGO...) tirant leurs ressources de financements publics, les ONG sont partout, l'humanitaire fait recette et ses hérauts figurent en tête des personnalités préférées des opinions publiques occidentales Mais déjà un premier paradoxe se fait jour : pourfendeurs de la mondialisation, les ONG en sont pourtant les principales bénéficiaires. La prolifération du mouvement associatif est en effet un pur produit de la mondialisation : jamais les mouvements associatifs n'ont pu bénéficier de telles caisses de résonance, de tels moyens médiatiques et de communication pour faire entendre leur voix. Le second paradoxe nous est fourni par le discours des ONG. Dans le concert souvent dissonnant de leurs multiples revendications, émerge une constante : l'hostilité à toutes les formes de représentations traditionnelles du pouvoir et de la diplomatie internationales. Aux Etats, aux entreprises, aux agences institutionnelles de l'ONU et de ses organisations dérivées (FMI, Banque mondiale, OMC...), les ONG prétendent substituer une légitimité auto-proclamée, la leur. Elles seules incarneraient la « société civile », les autres acteurs ne pouvant être que des imposteurs. Et qui plus est, des imposteurs malfaisants. La deuxième question est donc celle de la légitimité des ONG face aux autres acteurs des relations internationales. D'autant que leurs dénonciations tous azimuts leur valent un courant de sympathie dans l'opinion publique et contribuent au discrédit de l'action politique classique. Cette posture nous amène à nous poser une troisième question. Celles des actions menées par les ONG depuis leur « prise de pouvoir » dans les enceintes internationales, et de leurs bilans. Nul ne peut nier la justesse de certaines de leurs prises de position, les avancées du droit international qu'elles ont pu permettre d'obtenir, leur rôle nécessaire de sentinelle face aux excès et aux abus en tous genres que peuvent produire des logiques purement commerciales ou stratégiques. Néanmoins, deux questions essentielles méritent d'être soulevées : - les ONG ne sont-elles pas guettées elles-mêmes, précisément en raison de leur succès, par les dangers majeurs qu'elles ne cessent de dénoncer : le manque de transparence, les coûts de fonctionnement de plus en plus lourds des appareils, l'absence d'évaluation des actions ? - l'action humanitaire contribue-t-elle vraiment, aujourd'hui, au développement ? Cette question est la plus essentielle de toutes : c'est elle qui justifie l'existence et les moyens d'action des ONG, puisque celles-ci, rappelons-le, n'existent à l'origine que pour contribuer au développement (et, depuis une décennie, au développement dit « durable »). En ce domaine, quelles leçons tirer de l'expérience des trente dernières années ? Mot(s) clés libre(s) : assistance humanitaire, médias et assistance humanitaire, mondialisation, ONG, organisations non-gouvernementales, secours international
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