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Simulation: Influence de la turbulence atmosphérique sur les images
/ Observatoire de Paris, Unité de formation-enseignement de l'Observatoire de Paris
/ 04-07-2002
/ Unisciel
Lacombe François
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Le but de cette appliquette est d'expérimenter l'influence de la turbulence atmosphérique sur l'image d'un objet ponctuel. Mot(s) clés libre(s) : turbulence, optique adaptative, formation des images, tavelures, speckles, interférences
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Cinéma stéréoscopique, une vision subjective. Une conférence de Lenny Lipton
/ La Cinémathèque française
/ 17-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Au début des années 1980, Lenny Lipton fondait la StereoGraphics Corporation. Il est considéré comme le père de la diffusion d'images vidéo en relief. La quarantaine de brevets de stéréoscopie dont il est le détenteur est au cœur de l'actuelle révolution 3D numérique.Intervention suivie d'un dialogue. Mot(s) clés libre(s) : 3D, brevets, cinéma, image, innovation technologique, relief, révolution numérique, StereoGraphics Corporation, stéréoscopie, trois dimensions
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IPM 2007. Atlas virtuel des lésions mammaires
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
KUSSAIBI Haitham
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L'enseignement d'histologie nécessite des manuels, des microscopes et des caméras. les lames virtuelles permettent de consulter à distance. Pour numériser , il faut compter 25 minutes. Avec les lames, un atlas a été développé pour les étudiants, chercheurs souhaitant avoir un panorama de la pathologie du sein. Une interface a été ensuite développée pour accéder à ces documents. Les lames virtuelles sont aussi utilisées dans le cas de décision difficile.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : atlas, histopathologie, images virtuelles, IPM 2007, lames virtuelles, lésions mammaires
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Du microscope électronique à la microscopie à champ proche
/ UTLS - la suite
/ 06-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
KLEIN Jean
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A travers les siècles, l'homme a toujours cherché à observer le monde de l'infiniment petit qui l'entoure, le monde invisible à l'oeil nu. Pour cela, il invente la loupe (XVe siècle), puis le microscope optique (XVIIe siècle) pour observer des cellules sanguines ou des bactéries ..., mais il semble impossible d'observer les éléments ultimes dont est faite la matière : les atomes. Il faut attendre la découverte de la mécanique ondulatoire de Louis de Broglie(1923) pour que l'espoir renaisse. Les particules qui constituent la matière peuvent se comporter comme des ondes de longueur d'onde très petite : 0,1 nm (10-10 mètre), c'est-à-dire de la taille d'un atome. De cette dualité onde-corpuscule va naître le microscope électronique en 1933 (E.Ruska) - où l'éclairage par une source lumineuse utilisé dans le microscope optique est remplacé par une source d'électrons. L'observation d'atomes reste encore indirecte et s'appuie sur des phénomènes de diffraction. Les applications de la microscopie électronique sont nombreuses et le développement instrumental est aujourd'hui très sophistiqué que ce soit au niveau des appareillages ou au niveau du traitement informatique des données. Les domaines explorés sont très divers,la biologie moléculaire et cellulaire ,la cristallographie, la métallurgie, et les sciences des matériaux.La résolution des microscopes électroniques permet d'atteindre l'échelle atomique mais il faut noter un point fondamental,on n'observe pas le relief des surfaces observées mais une vue projetée.Les ondes associées aux électrons qui permettent l'obtention d'images sont des ondes progressives et l'on se trouve dans le cadre du champ lointoin.Cet inconvénient est entièrement levée dans le cas des microscopies en champ proche. En 1982, un nouveau type de microscope - le microscope à effet tunnel, est inventé par Gerd Binnig et Heinrich Rohrer, ouvrant un champ très vaste d'investigations scientifiques et des nouveaux horizons technologiques. Cette nouvelle technique utilisant une pointe très fine terminée par un atome permet l'observation directe et aisée d'atomes et de structures atomiques de surfaces conductrices dans une large variété d'environnements (air, eau, huile, vide). Depuis l'invention du microscope tunnel, d'autres microscopies à sonde locale ont été développées, et notamment le microscope à effet de force atomique (1986) qui permet d'imager non seulement des surfaces conductrices mais aussi des surfaces isolantes.Enfin une autre microscopie en champ proche optique donne des images pour lesquelles les critères de Rayleigh. En plus, les progrès les plus récents ont montré la possibilité de manipuler les atomes à l'aide de ces microscopes - ainsi les premières structures artificielles à l'échelle atomique ont été élaborées.Toutes ces techniques d'observation et d'élaboration de nanostructures ont données naissance à une nouvelle physique,la nanophysique et aussi à de nouvelles nanotechnologies qui préfigure l'aube d'une révolution "nano" industrielle. Au cours de cette exposé nous présenterons les différents types de microscopes électroniques et les résultats les plus spectaculaires obtenus dans le domaine des sciences puis les trois familles de microscopies en champ proche et les applications surlesquelles elles débouchent naturellement. Mot(s) clés libre(s) : effet tunnel, infiniment petit, longueur d'onde, microscope électronique, microscopie à force atomique, microscopie en champ proche, résolution d'image, sonde électronique, spectroscopie
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L'apparence et l'identité
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
KILBORNE Benjamin
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession L'implicite des représentations scientifiques De quoi dépend l'apparence ? Dans quelle mesure peut-il et doit-il y avoir un rapport entre l'apparence et l'identité ? Comment le vivant peut-il être représenté ? Sur quels présupposés repose le concept d'identité ? Rapport entre mémoire et identité, entre honte et identité (cf. phénoménologie de la honte chez Sartre). En quoi consiste la reconnaissance ? Autant de questions qui sont abordées dans cette communication de Benjamin Kilborne. La conférence est suivie de questions du public sur l'identité, l'image de soi.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : apparence, identité, image de soi, mémoire, perception de soi, philosophie, théories du vivant
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IPM 2007. L'apport des images 3D dans la formation des étudiants
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
KEHRLI Pierre
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L'imagerie standard est insuffisante, la dimension tridimensionnelle est plus adaptée et plus utile.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : images 3D, IPM 2007, IRM, radiologie
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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La photo contre l’image / Laurent Jenny
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 13-10-2014
/ Canal-u.fr
JENNY Laurent, COCHOY Nathalie
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La photo contre l’image / Laurent Jenny. Conférence organisée, dans le cadre du
séminaire Poéthiques "La vérité en images", par Nathalie Cochoy (axe "Poéthiques", laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) et par Jean-Yves Laurichesse (laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire", Équipe Littérature et Herméneutique, PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès - campus Mirail, 13 octobre 2014.
Depuis son invention, en très peu de temps, la photographie a submergé le monde et forgé avec succès une nouvelle culture de l'image alors même que, paradoxalement, la photographie n'a cessé d'être contestée au motif qu'elle ne pouvait pas constituer de véritables images... S'adossant aux écrits critiques sur la photographie, Siegfried Kracauer, Charles Baudelaire, Clément Greenberg qui écrivit sur Walker Evans (Allie Mae Burroughs, 1936) et Edward Weston (Artichoke,
1930), Laurent Jenny questionne notre rapport aux images et l'essence de la photographie en convoquant la peinture, Eugène Delacroix (La
mort de Sardanapale, 1827) et Paul Delaroche (L'Hémicycle des Beaux-arts, 1841), la littérature et la philosophie, notamment Proust, Guibert et Georges Didi-Huberman à propos de sa lecture phénoménologique de quatre photos d'Auschwitz en août 1944.
Il illustre ses propos d'images de Gustave Le Gray (La grande vague, Navires au port de Sète, 1857), Eugène Adolphe Disdéri (portraits-cartes de visites), de daguerréotypes de nus, William Klein (Moscou 1er mai 1959), André Kertész (The Blind violonist, Ebony, 1921), Duane Michals (Andy Warhol, 1958), le portrait de la mère de Marcel Proust et la photographie de la mère de Roland Barthes...
* Illustration : photographie de Jean Kempf, The Ogdon Museum of Southern Art, La Nouvelle Orléans, 2010. Mot(s) clés libre(s) : réalité (dans l'art), esthétique (philosophie), critique photographique, esthétique de la réception (photographie), image (philosophie), photographie (19e-20e siècles)
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Sciences et société de l'image
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 14-10-2011
/ Canal-u.fr
HAROCHE Claudine
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Claudine Haroche, sociologue, directeur de recherche, CNRS, rattachée au Centre Edgard Morin, EHESSEtre visible pour existerDepuis les années quatre-vingt-dix, de nouvelles formes de pratiques sociales exigent une médiatisation permanente de l’individu. Exister c’est être visible, l’invisibilité étant désormais synonyme d’inexistence sociale et psychique. La mise en œuvre de la visibilité de l’individu – sorte d’exhibition de l’intime pour être légitime et reconnu par sa famille, ses amis, ses pairs et par sa soi-même – prend diverses formes (réseaux sociaux, blogs, sites…). Pour exister aux yeux des autres, pour éprouver un sentiment d’existence, il faut se donner à voir le plus possible, et pour cela offrir constamment des images de soi. Cette injonction de visibilité sociale et psychique bouleverse en profondeur les relations entre les individus et influence la propre construction du sujet, de soi. Quelles sont les répercussions en termes sociétal, professionnel, politique, du rapport à soi, et à l’autre…? Qu’elle est la face cachée de l’injonction à la visibilité qui révèle de nouvelles formes de tyrannie sur la condition psychique, et sur les modes d’appropriation et de perception du visible par chacun d’entre nous ?Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : image de soi, médiatisation, visibilité
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L'iconoclasme numérique à l'assaut des pouvoirs de l'image
/ 22-04-2013
/ Canal-u.fr
GUNTHERT André
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La révolution de la photographie numérique est loin d’être achevée. L’étape la plus récente de l’évolution des pratiques est aussi la plus décisive. Nous assistons à un changement en profondeur du paradigme photographique, particulièrement visible à travers les usages communicants de l’image, qui jouent un rôle décisif dans la nouvelle écologie de la conversation numérique. À la manière du dessin de presse, la réappropriation ludique de formes officielles permet la manifestation sauvage, parfois violente, d'une satire ou d'une critique des discours dominants. Producteurs de leur propre énergie médiatique par la dynamique de la « viralité », le remix ou le mème (*) permettent d'identifier les ressorts techniques et juridiques sur lesquels repose la culture numérique. Mais ils jettent aussi un pont vers les formes classiques du traitement de l'information, par le biais du recyclage médiatique. Laboratoire expérimental d'une culture des biens communs, l'image dans ses circulations numériques est devenue la pire ennemie de l'icône de jadis, emblème du pouvoir et de l'ordre des choses.(*) Mème : jeu participatif de décontextualisation d'image pratiqué sur le web. Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : images
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