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La biosynthèse des protéines
/ BioMedia-UPMC
/ 30-03-2004
/ Unisciel
Borde Isabelle
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La biosynthèse des protéines, ou traduction, est un processus complexe qui nécessite l'action contrôlée de nombreuses macromolécules. Dans ce document, nous présentons l'enchaînement des différentes étapes de la biosynthèse des protéines (initiation, élongation et terminaison) sous forme de schémas légendés. Il est ainsi possible de visualiser les interactions des différents acteurs de cette biosynthèse accompagnées de commentaires (logiciel d'animation Flash5). Mot(s) clés libre(s) : Acides aminés, ARN, ribosome, Biologie moléculaire
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L'utilisation des rayons X pour l'analyse de la matière
/ Mission 2000 en France
/ 16-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PETROFF Yves
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Le rayonnement synchrotron est devenu en quelques années la principale source de rayons X. Il est émis par des particules chargées (électrons) qui sont accélérées par des champs magnétiques dans des machines construites au départ pour étudier la physique des particules. Ce rayonnement est très intense et sa brillance peut atteindre 1011 fois celle d'un tube à rayons X. Ceci a ouvert des possibilités complètement nouvelles dans de nombreux domaines : possibilité de faire des images sur des objets qui absorbent très peu les rayons X et de faire des hologrammes, possibilité d'étudier la structure de la matière dans des conditions extrêmes de pression et de température qui règnent au centre de la terre, résolution de structures biologiques complexes tels que le ribosome, le nucléosome ou des virus de grande taille, étape importante pour la réalisation de nouveaux médicaments. Le but de cette conférence est d'illustrer ces possibilités par des résultats récents. Mot(s) clés libre(s) : accélérateur de particules, biologie moléculaire, diffraction, imagerie X, matière, onde électromagnétique, rayon X, rayonnement synchrotron
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L'opéron lactose
/ BioMedia-UPMC
/ 26-03-2004
/ Unisciel
Borde Isabelle
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L'étude de l'opéron lactose permet de décrire un système de régulation des gènes. La régulation de l'opéron lactose est ici illustrée grâce à plusieurs panneaux qui s'ouvrent sur des séquences animées (logiciel d'animation Flash5). Différentes conditions de croissance sont présentées par un texte court et une animation, On peut ainsi voir : la régulation négative, la levée de l'inhibition de la transciption et la répression catabolique.. Mot(s) clés libre(s) : lactose, Biologie moléculaire
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L'Institut des Sciences Moléculaires d'Orsay à J-300
/ Christine AZEMAR
/ 03-06-2015
/ Canal-u.fr
Institut des Sciences Moléculaires d'Orsay (ISMO)
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L’Institut des Sciences Moléculaires d’Orsay est une unité
mixte de recherche du CNRS et de l’Université Paris-Sud, issue en 2010 de la
fusion de trois laboratoires de physique : LPPM (Laboratoire
de Photophysique Moléculaire), LCAM (Laboratoire
des Collisions Atomiques et Moléculaires) et LIXAM (Laboratoire d’Interaction du rayonnement X
Avec la Matière). De la
recherche fondamentale aux applications, les recherches conduites à l’ISMO
s’articulent autour de la matière diluée et l’optique, les nanosciences et la
physique pour la biologie.
La construction d’un nouveau bâtiment pour l’ISMO, au cœur
du campus Paris Saclay, répond à deux objectifs principaux : permettre une
vie scientifique intense en regroupant l'ensemble des personnels en un lieu
unique ; placer les expériences dans les meilleures conditions possibles de
stabilité mécanique, thermique, électromagnétique. Mot(s) clés libre(s) : sciences, moléculaires
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Hommes et hominidés
/ UTLS - la suite
/ 18-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
SENUT Brigitte
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Il s'agit d'explorer la dichotomie entre les grands singes et l'Homme et comment comprendre cette divergence aujourd'hui. En consultant les médias, on voit souvent évoquer le fait que l'Homme partage 99% de son matériel génétique avec le chimpanzé. Les Hommes et les chimpanzés, mais aussi les gorilles, sont extrêmement similaires. Les travaux en biologie moléculaire nous permettent de dire qu'il y a environ 7 millions d'années, à la fin du miocène, les ancêtres des humains, des chimpanzés et des gorilles actuels sont partis sur leurs propres chemins évolutifs et leurs propres régions géographique. Quelles sont les certitudes, les interrogations concernant cette évolution ? Il est impossible de vraiment trancher pour savoir qui du chimpanzé ou du gorille et plus proche de l'Homme. Il s'agirait plutôt d'une trichotomie au sein d'une même population. Le problème peut être abordé sous plusieurs aspects : anatomique, géographique et climatique, environnemental qui façonnent les êtres fossiles et qui ont fait ce que nous sommes avec nos variabilités physiques et culturelles. Mot(s) clés libre(s) : australopithèque, dimorphisme sexuel, espèce humaine, évolution, fossile, grand singe, hominidé, horloge moléculaire, origine de l’homme, paléontologie, phylogénie
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Grains de vie
/ Marcel DALAISE, CSI, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 01-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
JULLIEN Emmanuel
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Mars est la planète du système solaire qui ressemble le plus à la terre et de nombreux scientifiques pensent que la vie a pu s'y développer. André Brack, chercheur au Laboratoire de biophysique moléculaire du CNRS étudie en laboratoire les conditions d'apparition de la vie à partir des grains cométaires (grains issus des comètes et pouvant contenir des molécules organiques). Il travaille également à la conception d'appareils qui partiront vers Mars en 2005 à la recherche d'une vie fossile dans le sous-sol de la planète.GénériqueEnquête : JULLIEN Emmanuel Réalisateur : DALAISE Marcel Production : CSI-Science Actualités, CNRS AV Production déléguée : CSI-Science Actualités Mot(s) clés libre(s) : acide aminé, biophysique moléculaire, comète, grain cométaire, Mars, système solaire, vie fossile
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Génomique et informatique
/ UTLS - la suite
/ 24-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
RISLER Jean Loup
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La presse généraliste, et bien entendu la presse spécialisée, se font régulièrement l'écho du séquençage complet d'un nouveau génome. Il est cependant impossible pour le grand public de se rendre compte à quel point les choses vont vite: sont disponibles actuellement les séquences complètes des génomes de 51 bactéries et de 4 organismes multicellulaires, cependant que sont en cours les séquençages de 210 (!) génomes bactériens et de nombreux organismes supérieurs (rat, souris, chimpanzé et plusieurs plantes en particulier). Pour le non spécialiste, il n'est pas non plus facile d'imaginer le rôle crucial de l'informatique dans le processus conduisant à la connaissance de la séquence complète d'un génome. En fait, l'ordinateur joue un rôle central à toutes les étapes, depuis la gestion des données brutes dans les centres de séquençage jusqu'à l'assemblage final de la séquence complète, la recherche des gènes et la mise à disposition des résultats dans des banques spécialisées. Si l'on définit la génomique comme étant "le séquençage des génomes puis tout ce que l'on peut en tirer", alors à coup sûr il n'y aurait pas de génomique sans informatique. Certes, et l'on ne peut que s'en féliciter, le dernier mot revient toujours au biologiste. Mais il n'est pas faux d'affirmer que grâce -entre autre- à l'informatique, notre vision des génomes et de leur évolution a été bouleversée. Plus les séquences s'accumulent et plus la fameuse image de F. Jacob concernant "le bricolage de l'évolution" s'avère pertinente. Pour le biologiste que je suis, et sans doute pour la majorité des gens, l'apport principal de la génomique est de nous donner des pistes pour répondre aux questions classiques et lancinantes "qui suis-je, d'où viens-je, où vais-je?" grâce à la comparaison des séquences de différents génomes. Ces comparaisons ont le mérite de remettre les choses à leur place et de nous rappeler le devoir d'humilité: que notre génome ne comporte guère que deux fois plus de gènes que celui d'un ver microscopique ne flatte sans doute pas notre ego et nous montre bien l'étendue de notre ignorance. D'un point de vue plus pratique, c'est la connaissance de la batterie complète des gènes d'un organisme qui permet de réaliser des "puces à ADN" grâce auxquelles des kits de diagnostic simples et efficaces peuvent être mis au point -après toute une série d'analyses informatiques non triviales. C'est certainement une bonne nouvelle pour le thérapeuthe. A nous cependant de veiller à ce que leur usage ne soit pas indûment détourné à des fins de "sélection" inadmissibles. A nous également de faire le tri entre le possible et les promesses prématurées de thérapie génique triomphante. Il est clair que "la génomique" est source de progrès incontestables dans la connaissance pure et dans ses applications. Il n'en reste pas moins, et la chose est banale, qu'elle soulève de nombreuses questions morales ou éthiques: elles ne sont pas près d'être résolues tant l'ampleur des aspects financiers qui en découlent faussent le débat, qui n'est d'ailleurs pas simple .... Mot(s) clés libre(s) : bio-informatique, biologie moléculaire, chromosome, génomique, phénotype, phylogénie moléculaire, puce à ADN, séquençage d'un génome
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Philippe KOURILSKY - 19 novembre 2015
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 19 novembrel 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Philippe Kourilsky.
Philippe
Kourilsky, nous sommes très heureux de vous accueillir au Forum pour nous
éclairer sur des problèmes auxquels les chercheurs, et les médecins qui les
accompagnent, sont confrontés constamment, dont le grand public n’est que
vaguement au courant, alors même qu’il attend de la recherche biologique, la
santé, la survie et, pour les plus transhumanistes, la vie presque éternelle.
On peut
presque dire que votre route était tracée
dès votre premier souffle puisque vous êtes fils d’un professeur de
médecine et d’un médecin. An départ, vous avez fait un écart, mais un écart
brillant, car vous êtes entré à Polytechnique, ce qui pouvait vous mener aux
sciences dites dures. Mais vous avez ensuite fait retour à la biologie avec une
thèse sous la direction de François Gros.
Vous avez
effectué la majeure partie de votre carrière au CNRS ou vous avez terminé
évidemment a-t-on envie de dire, Directeur de recherche. Vous êtes membre de l’Académie
des sciences depuis 1997 et vous avez été nommé au Collège de France en 1998,
pour la chaire d’immunologie moléculaire que vous avez occupée jusqu’en 2012. Cette
chaire succédait à celle de biochimie cellulaire de votre maitre de thèse.
L’importance prise par l’immunologie, montre qu’étudiant ses mécanismes au
niveau moléculaire, vous avez ouvert des voies qui s’avèrent essentielle
aujourd’hui. En 2000 vous êtes entré à l’Institut Pasteur dont vous fûtes
directeur général jusqu’en 2005. Vous avez fondé une association Resolis, dont
vous êtes président, qui se donne pour objet de ‘évaluer les solutions
innovantes et sociales. Vous pourrez nous en dire un mot car au-delà de la
présentation de membres très respectables, avec, je l’ai constaté avec plaisir,
autant de femmes su d’hommes, le site de cette association n’est pas très
explicatif.
Vous avez
écrit cinq livres importants, notamment sur le principe de précaution, mais
aussi sur l’altruisme, et sur les essais cliniques dans les populations des
pays pauvres. Le dernier de ces livres « Le jeu du hasard et de la
complexité » (Odile Jacob 2014) est présenté ici par notre libraire Siloe.
Complexité,
précaution éthique. Tels sont les trois termes de votre propos ce soir
Pour la
complexité, nous sommes bien contraints d’aller vers Edgar Morin dont le livre
de 1982 Science et conscience formule la première définition de la pensé
complexe. Je le cite : « Le
but de la recherche n’est pas de trouver un principe unitaire de toute
connaissance, mais d’indiquer les émergences d’une pensée complexe, qui ne se
réduit ni à la science, ni à la philosophie, mais qui permet leur
intercommunication opérant des boucles dialogiques ».
Il y a,
évidemment, l’extrême complexité interne à la biologie elle-même. La complexité
de l’organisme humain, qui est aussi notre capacité à nous maintenir en vie, et
à corriger de nous-mêmes nos déséquilibres. Mais il y a la complexité
inter-disciplinaires, tant la physiologie de l’homme est liée à son milieu, son
comportement. Tout le monde comprend,
plus ou moins vaguement aujourd’hui, que la santé et la thérapie, par exemple,
ne sont pas liées qu’à la biologie, mais aussi à la psychologie, à
l’anthropologie, à la sociologie. Je
voudrais énoncer un fait statistique indiscutable, qui vient d’être révélé pour
Londres, mais l’est aussi pour Paris : l’espérance de vie, et l’espérance
de vie en bonne santé, sont bien plus basses à l’est des capitales, l’East end
de Londres, même s’il se boboïse actuellement, comme l’est de Paris, ce qui recoupe
évidemment la distribution géographiques des revenus.
Bien plus
que les chercheurs en sciences dures, sauf si l’on va au fin fond de la matière
et de l’histoire de l’Univers, les chercheurs en sciences biologiques font face à une énorme
complexité, que, je pense, vous allez exposer mieux que moi.
Précaution !
Vous avez donc, dans un ouvrage fait une critique, au sens philosophique du
mot, du principe de précaution que Jacques Chirac a eu l’imprudence – mais il
n’y a pas eu alors de mouvements populaires contre lui pour cela- d’inscrire
dans la Constitution. L’origine latine du mot, c’est « precavere »
prendre garde. Je pense que tous les médecins prennent spontanément garde
depuis toujours à ne pas tuer le patient pour le guérir. Mais imposé à la biologie,
qui est en amont des soins, avant, bien
avant l’autorisation de pratiquer une thérapie ou de mettre un
médicament sur le marché, elle doit effectivement être très entravant. Vous
allez, je pense, nous le dire.
Enfin,
éthique ! Là nous sommes en pleine « actu » comme disent les
journalistes. Quand commence la vie à laquelle il est interdit de mettre fin ? Comment tester des
thérapies sur l’homme, quand elles ne l’ont été que sur l’animal ? Si
l »’on est certain de l’efficacité d’un traitement mais pas de tous ses
effets secondaires, est-il légitime de pratiquer l’expérience en double
aveugle, bloquant temporairement c’est vrai,l’accès à la guérison pour la
moitié des cobayes ? Ou doit s’arrêter l’« augmentation» de l’homme
que souhaitent les transhumanistes, et au bord de laquelle nous sommes ?
Enfin bien sûr, est-ce encore une vie que l’état d’un patient en coma sans
chances objectives de recouvrer la conscience ? Un patient n’a-t-il pas le
droit quand l’issue est certains à court terme, de mettre lui-même finaux jours
de souffrances ou de dépendance totale qui s’annoncent ?
Vous n’allez
pas ce soir, Philippe Kourilsky, répondre à ces questions remplaçant les
comités divers de bioéthique qui ont déjà bien du mal à proposer des avis.
Mais vous
allez nous décrire, comme vous me l’avez excellemment suggéré, l’écartèlement
de la recherche médicale entre ces réalités et ces impératifs Mot(s) clés libre(s) : biochimie, immunologie, chimie moléculaire
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Formes et organisations en nanosciences : l'exemple de la Nature / Bruno Chaudret
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUDRET Bruno
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Formes et organisations en nanosciences : l'exemple de la Nature / Bruno Chaudret. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 3 : Les modalités épistémiques et esthétiques des images, 9 décembre 2010. Comment faire croître des nano-objets aux formes bien définies à partir d’atomes ou de molécules ? Comment les organiser et les relier au monde macroscopique ? Ce sont les questions essentielles auxquelles la présentation de Bruno Chaudret essaie de proposer un début de réponse en prenant exemple de la Nature et de ses mécanismes de croissance. Les autres questions concernent l’intérêt d’une telle démarche que ce soit sur le plan cognitif, scientifique ou applicatif.> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : imagerie scientique (chimie), matériaux nanostructurés, nanosciences, structure moléculaire
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Evolution, développement : la systématique génétique
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MAZAN Sylvie
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Au cours des deux dernières décennies, la génétique moléculaire a permis des avancées majeures dans de très nombreux domaines de la biologie. C'est notamment le cas de la biologie du développement. En effet, la caractérisation des réseaux génétiques complexes qui contrôlent le développement embryonnaire constitue l'un des fondements de l'embryologie moderne. C'est également le cas de la systématique, qui a été très largement renouvelée par l'utilisation des phylogénies moléculaires. Ces deux domaines d'étude convergent actuellement dans une discipline nouvelle, visant à préciser les mécanismes moléculaires et génétiques qui sous-tendent l'évolution morphologique des espèces. Il s'agit de retracer, à travers la comparaison d'un large spectre de métazoaires, l'histoire évolutive des gènes qui contrôlent la morphogenèse et par là-même, de mieux comprendre les mécanismes moléculaires qui sous-tendent l'évolution morphologique. Ces analyses ont réservé aux biologistes quelques surprises de taille. Ainsi, en dépit de la diversité des formes au sein du monde animal, certains systèmes génétiques jouant des rôles essentiels dans le développement embryonnaire apparaissent extrêmement conservés chez des espèces aussi éloignées que la méduse et l'homme. A ces mécanismes génétiques très conservés s'ajoutent cependant des processus beaucoup plus variables, qui rendent compte de la variété des formes, souvent observée même à courte échelle évolutive. Ces données éclairent d'un jour nouveau notre compréhension de l'évolution des espèces. Elles fournissent en outre des outils précieux pour décrypter les séquences génomiques aujourd'hui disponibles chez une espèce qui nous intéresse au plus haut point, l'humain. Mot(s) clés libre(s) : biologie du développement, biologie moléculaire, développement, diversification génétique, embryologie, embryon, Evo-devo, évolution, évolution des espèces, génétique, génome, morphogenèse, ontogenèse, ontogénie, vertébré
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