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Usages des neurosciences pour la psychanalyse
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, C.E.R.I.M.E.S.
/ 27-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Laurent Eric
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Neurosciences et psychanalyse : une rencontre autour de l'émergence de la singularitéColloque organisé par Pierre Magistretti, le mardi 27 mai 2008 Collège de FranceAmphithéâtre Maurice Halbwachs11, place Marcelin Berthelot75005 Paris Mot(s) clés libre(s) : neurosciences, psychanalyse
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Voir le cerveau penser
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 26-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LE BIHAN Denis
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L'imagerie par Résonance Magnétique (IRM) permet depuis une vingtaine d'année de produire des images de l'anatomie statique' du cerveau, c'est-à-dire des coupes virtuelles montrant les détails des structures cérébrales (matière grise, matière blanche) avec une précision millimétrique. Cette imagerie anatomique' est utilisée par les radiologues pour la détection et la localisation de lésions cérébrales. Plus récemment, l'IRM est aussi devenue fonctionnelle' (IRMf), montrant l'activité des différentes structures qui composent notre cerveau. L'imagerie neurofonctionnelle par IRMf repose sur deux concepts fondamentaux. Le premier, soupçonné depuis l'Antiquité mais clairement mis en évidence au siècle dernier par les travaux du chirurgien français Paul Broca, est que le cerveau n'est pas un organe homogène, mais que chaque région est plus ou moins spécialisée dans sa fonction. Le deuxième, suggéré par l'anglais Sherrington à la fin du siècle dernier, est que les régions cérébrales actives à un moment donné voient leur débit sanguin augmenter. C'est cette augmentation locale et transitoire de débit sanguin, et non directement l'activité des neurones, qui peut être détectée par l'IRMf et par la caméra à émission de positons (autre méthode d'imagerie neurofonctionnelle). En pratique, il suffit donc d'acquérir des images représentant le débit sanguin en chaque point de notre cerveau quand il exécute une tâche particulière (motrice, sensorielle, cognitive,...) et dans une condition de référence neutre. A l'aide d'un traitement informatique de ces images, on peut extraire les régions cérébrales pour lesquelles le débit sanguin a changé entre la condition de contrôle et l'exécution de la tâche et en déduire que ces régions ont participé à cette tâche. Ces régions sont reportées en couleurs sur l'anatomie cérébrale sous-jacente. Bien que l'imagerie neurofonctionnelle, aujourd'hui, ne permette pas de descendre à l'échelle des neurones, les exemples rassemblés dans ces pages tendent à montrer que les circuits cérébraux utilisés par l'activité de pensée' sont communs avec ceux utilisés par des processus de perception ou d'action réels. Ce résultat n'est pas surprenant a priori, si on considère que certaines formes de pensée (créer et voir une image mentale, imaginer une musique, inventer une histoire, évoquer des souvenirs...) ne sont autres que des simulations ou reproductions internes d'évènements que nous avons vécus ou que nous pourrions vivre. Au delà de l'identification des régions impliquées dans les processus cognitifs, des travaux en cours laissent présager qu'un jour nous pourrions peut-être même avoir accès en partie à la nature de l'information traitée par les différentes régions de notre cerveau, et donc, d'une certaine manière, à une petite fraction du contenu de nos pensées... Mot(s) clés libre(s) : anatomie cérébrale, Broca, cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, language, matière blanche, matière grise, motricité, neuroimagerie, neurone, neuroscience, pensée, région cérébrale, She
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De l'homéostasie aux processus opposants : une dynamique psychobiologique
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, C.E.R.I.M.E.S.
/ 27-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Le Moal Michel
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Mot(s) clés libre(s) : homéostasie, neurosciences, psychanalyse, psychopathologie expérimentale
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L'électrophysiologie moléculaire
/ BioTV
/ 10-09-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LEGENDRE Pascal, DAUTIGNY André
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Les techniques d'électrophysiologie ont permis, en étudiant la propagation des signaux électriques entre les cellules nerveuses, de montrer comment le système nerveux gère l'information pour produire des comportements adaptés au milieu externe et interne. Depuis une vingtaine d'années des techniques nouvelles (patch clamp) ont révolutionné notre vision du fonctionnement su système nerveux central en donnant accès aux propriétés fonctionnelles des protéines-canaux qui sont à l'origine de l'activité électrique du système nerveux. Ces techniques associées à la biologie moléculaire ont élargi considérablement notre compréhension de certaines maladies génétiques qui conduisent à un dysfonctionnement du cerveau. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, électrophysiologie, neurobiologie, neurone, neuroscience, patch-clamp, potentiel d'action, système nerveux
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Neurosciences et psychanalyse une rencontre autour de l'émergence de la singularité-Introduction
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE
/ 27-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Magistretti Pierre
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/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, C.E.R.I.M.E.S.
/ 27-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Magistretti Pierre, ANSERMET François
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Mot(s) clés libre(s) : homéostasie, neurosciences, plasticité neuronale, psychanalyse
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4.Modèle de souris KO pour étudier les mécanismes de la dépendance au cannabis
/ BioTV, euroneuro.tv
/ 17-03-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MALDONADO Rafael
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Conférence du Dr Rafael Maldonado Mot(s) clés libre(s) : neuroscience, recepteur au cannabis, souris KO
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7. Prévention de la rechute dans l'alcoolisme primaire.
/ BioTV
/ 17-03-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MARRA Donata
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Conférence de Donata MARRA donnée dans le cadre de la journées sur les addictions Mot(s) clés libre(s) : addictions, alcoolisme, amisulpride, dépendance, neuroscience, toxicomanie
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Le cerveau de la connaissance: physiologie de la cognition et images du cerveau
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAZOYER Bernard
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L'existence de relations entre cerveau et pensée a alimenté de nombreuses querelles philosophiques, et ce en raison de l'absence de techniques d'observation du fonctionnement normal de cet organe. A la fin du 19e siècle, physiologistes et neurochirurgiens ont établi que les fonctions cognitives généraient des modifications localisées de la circulation sanguine cérébrale, et que des stimulations ou des lésions du cortex pouvaient provoquer une interruption ou un trouble de leur exécution. Jusqu'aux années 1980, cette dernière approche - la neuropsychologie - a constitué la méthode expérimentale prédominante pour l'étude des relations entres structures et fonctions cérébrales. Elle est cependant limitée parce qu'elle tente d'inférer le fonctionnement du cerveau normal à partir de l'observation de dysfonctionnements de cerveaux lésés. Dans ce contexte, la mise au point au cours des années 1990 de techniques d'imagerie numérique tridimensionnelle permettant d'observer de façon externe chez l'homme vivant l'organisation fonctionnelle de son cerveau, constitue une véritable révolution. La tomographie par émission de positons, l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle et la magnétoencéphalographie sont désormais à même de fournir des cartes spatio-temporelles des événements électriques et métaboliques qui sous-tendent les activités mentales. Ces nouvelles approches des fonctions cognitives ont déjà fourni de nombreux résultats en démontrant que les activités cognitives avaient pour base une modulation d'activité neuronale. Elles devraient également permettre dans l'avenir une nouvelle approche des dysfonctionnements cognitifs apparaissant au détours des maladies neurologiques et psychiatriques. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, magnétoencéphalographie, neurone, neuropsychologie, neuroscience, pensée, sciences cognitives, système nerveux, tomographie
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Les récepteurs à dépendance : Interface entre apoptose et développement du système nerveux
/ BioTV
/ 16-06-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MEHLEN Patrick
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La recherche des mécanismes de réception de signaux extracellulaires par une cellule a jusqu'ici toujours été considérée selon le schéma classique suivant: un ligand fixe un récepteur, ce récepteur devient alors actif et transduit un signal intracellulaire. Un tel schéma n'a pourtant pas permis d'expliquer dans tous les cas, pourquoi et comment de nombreux récepteurs sont impliqués à la fois dans des phénomènes tumoraux mais aussi au cours du développement. Très récemment, nous avons proposé que certains récepteurs, en absence de ligand, ne sont pas forcément inactifs mais au contraire pourrait alors médier une signalisation menant la cellule à sa mort par apoptose. De tels récepteurs, nommés récepteurs à dépendance ou « dependence receptor », et que sont le récepteur de faible affinité aux neurotrophines P75ntr, le récepteur aux androgènes, RET (REarranged during Transfection), le récepteur DCC pour deleted in colorectal cancer', les récepteurs UNC5H et b-integrin, montrent tous une implication dans le développement du système nerveux et dans le même temps dans la régulation de la tumorigenèse. Depuis notre installation en Septembre 1998 au sein du CNRS UMR5534, notre groupe s'attache à étendre les connaissances relatives à ces récepteurs à dépendance. Notre activité se décompose en trois axes: (i) la recherche des mécanismes moléculaires permettant cette double signalisation dépendante du ligand, (ii) la recherche de nouveau récepteur à dépendance et (iii) la recherche de la signification biologique de ces récepteurs, en visualisant in vivo le rôle de l'activité pro-apoptotique de ces récepteurs dans le contrôle de l'échappement tumoral et dans le développement du système nerveux. Au cours de ma présentation je ferais le point sur l'état d'avancement de ces trois axes. Mot(s) clés libre(s) : neuroscience, recepteur, signal, transduction
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