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IPM 2006 - Bilan quantitatif sur l'usage des TICE par les étdudiants de médecine à l'Université de Lyon 1 en 2005"
/ 31-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BATIER C.
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C. Batier nous présente le bilan quantitatif sur l'usage des TICE par les étdudiants de médecine à l'Université de Lyon 1 en 2005.
Origine
Canal-U Médecine et Santé IPM 2006 - Tunis
Générique
Auteur: BATIER C. Réalisation: SPI-EAO & CERIMES Mot(s) clés libre(s) : IPM 2006, Lyon1, Technologie de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement, TICE
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent, DANAN Jane-Laure, CHARLES Didier, NEMITZ Bernard
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3: QuestionsDoit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat 1: Questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence.DEBAT N°1: Le fait qu'un enseignant en soins d'urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieur à celui des apprenants pose-t-il problème? Modérateur: Dr jean-Calude BartierL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67Débat 1Le fait qu’un enseignant en soins d’urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieurou égal à celui des apprenants pose-t-il problème ?Jusqu’en 2006, les dispositifs de formation à l’urgence proposésaux professionnels de santé étaient ceux du ministèrede l’Intérieur. Il s’agit en particulier de l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS). Cette formation repose sur une approche pédagogique démonstrative. Toute personne, y compris non soignante, ayant suivi une formation d’une cinquantaine d’heures est susceptible d’enseigner l’AFPS.L’AFGSU a été créée en 2006, afin de répondre aux spécificitésde la formation des soignants dans le domaine de l’urgence : pratique professionnelle en milieu de soins auprès de patients, connaissances antérieures et, souvent,expérience en matière d’urgence, etc. L’approche pédagogique repose sur la méthode de la découverte.Ces choix pédagogiques ont conduit les experts à recommanderque les formateurs AFGSU aient un niveau de qualificationsupérieur ou égal à celui des apprenants (par exemple, un infirmier peut enseigner à des infirmiers et des aides-soignants, mais pas à des médecins), pour être en mesure d’explorer et de prendre en compte adéquatementles connaissances antérieures de ces derniers dans la démarche d’apprentissageDe nombreux formateurs de CESU se sont alors retrouvés exclus de formations auxquelles ils participaient antérieurement.Certains contestent la situation actuelle.Dr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67ModérateurDéfenseurs du OUIDr Ismaël HSSAINMédecin urgentiste au SAMU - CESU 68Dr Hubert TONNELIERMédecin anesthésiste au SAMU 88Défenseurs du NONDr Carole AMSALLEMMédecin urgentiste au SAMU - CESU 80Ysabelle THOMASCadre de santé au CESU 38 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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IP3S session IX - CIDMEF, CIDPHARMEF, CIDCDF
/ CERIMES, SPI-EAO, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 03-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BARRIER Jacques, LAHMITI Saad, DIYANE Khadija, LEPORI Anne Laure, PHILIPPE Henri Jean, MOUDOUNI Saad, BINET Christian, ESSADKI Boubker, ALAOUI YAZIDI Abdelhaq, TANOUTI Boumediane
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Session IX : CIDMEF, CIDPHARMEF, CIDCDF. Motivation des étudiants, enseignants, praticiens et institutionnels pour les technologies éducatives (TICE)
Motivation des enseignants par HJ. PHILIPPE (Nantes).
Discutant: Saad MOUDOUNI (Marrakech)
Motivation des praticiens par Christian BINET (DFMC, Tours). Discutant : Boubker ESSADKI (Marrakech)
Motivation des institutionnels par Abdelhaq ALAOUI YAZIDI (Marrakech), Jean-François DENEF (Louvain, Belgique), Françoise GALLAND (Angers). Discutant : Boumediane TANOUTI (Marrakech)
Discussion Mot(s) clés libre(s) : CIDCDF, CIDMEF, CIDPHARMEF, Internet et pédagogie des sciences de la santé et du sport de l'UMVF et UNF3S, IP3S, motivation, pédagogie, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement
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SIFEM 2006 - l'évaluation des enseignements en sciences de la santé : les points critiques vus par le groupe de travail EVALENS - séance de questions
/ 01-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BARRIER Jacques
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Le comité de pilotage du groupe EVALENS répond aux questions sur l'évaluation.
Origine
CERIMES Canal-U Médecine et Santé
Générique
SIFEM,EVALENS,CIDMEF,évaluation des enseignements SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : accréditation, CIDMEF, EVALENS, évaluation des enseignements, questions, SIFEM
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SIFEM 2006 - l'évaluation des enseignements en sciences de la santé : les points critiques vus par le groupe de travail EVALENS (CIDMEF)- I
/ 01-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BARRIER Jacques
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Il ne faut pas évaluer pour évaluer mais pour décider et changer ; on évalue les objectifs de l'enseignement, les moyens et méthodes, le système d'évaluation, la gouvernance. La seconde étape commence aujourd'hui jusqu'en 2008 ; la Faculté est maître d'ouvrage et doit s'engager dans l'évaluation formative de l'enseignement. 27 problèmes ont été listés au cours de l'atelier et 5 niveaux de criticité.
Origine
CERIMES - Canal-U Médecine et Santé
Générique
SIFEM 1er colloque - Beyrouth SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF, EVALENS, évaluation des enseignements, gouvernance, objectifs, SIFEM
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CIDMEF Libreville 2011 - Evaluation des enseignements par les étudiants
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 16-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARRIER Jacques
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XVIIIème Journées Universitaires Francophones de Pédagogie des Sciences de la Santé de la CIDMEF.3ème Congrès International Francophone de Pédagogie des Sciences de la Santé 16-*19 avril 2011 Faculté de Médecine de Libreville (Gabon). Université des Sciences de la Santé.Titre : CIDMEF Libreville 2011 - Session CADMEF : Evaluation des enseignements et des stages.Intervenant : Jacques BARRIER (professeur – Nantes, France)Résumé : Session de la CADMEF. Evaluation des enseignants par les étudiants.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère-enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3SSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CIDMEF Libreville 2011, enseignant, enseignement, étudiant, évaluation, pédagogie, université
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Formation médicale 2011 - Atelier : Le médicament, les vecteurs de sa connaissance . Discussion.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 09-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARDOU Marc, LE JEUNE Claire, JOLLIET Pascale, VITAL-DURAND Denis, PARIENTE Antoine, DUROCHER Alain
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Titre : Formation Médicale 2011 – Atelier : Partage d’expériences : le médicament, les vecteurs de sa connaissance de la formation initiale médicale continueIntervenants : Marc BARDOU (Dijon, CNPM), Claire Le JEUNE (Paris, APNET), Pascale JOLLIET (Nantes, CNPM), Denis VITAL-DURAND (Lyon, APNET), Antoine PARIENTE (Bordeaux, CNPM), Alain DUROCHER (Lille, APNET).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : le médicament, les vecteurs de sa connaissance de la formation initiale médicale continue. CNPM et APNET. Discussion. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BARDOU (Dijon), Alain DUROCHER (Lille).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny Mot(s) clés libre(s) : enseignement, UMVF, efficience, formation médicale, UNF3S, 2011, médical, EGFM 2011, conférence des doyens, études, EGFM, Bobigny
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Formation Médicale 2011 – Connaissances pharmacologiques nécessaires à une prescription raisonnée.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 09-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARDOU Marc
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Titre : Formation Médicale 2011 – Connaissances pharmacologiques nécessaires à une prescription raisonnée : apport de la pharmacovigilance et du suivi thérapeutiqueIntervenants : Marc BARDOU (Dijon, CNPM).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : le médicament, les vecteurs de sa connaissance de la formation initiale médicale continue. CNPM et APNET. De la connaissance du médicament au savoir prescrire. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BARDOU (Dijon), Alain DUROCHER (Lille).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny Mot(s) clés libre(s) : enseignement, UMVF, efficience, formation médicale, UNF3S, 2011, médical, EGFM 2011, conférence des doyens, études, EGFM, Bobigny
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