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B5 - Les nouveaux programmes de japonais Langue vivante par L. Mérand (2/2)
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MERAND Lionel
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008.L’exposé présente les nouveaux programmes de japonais au collège parus en 2007 en soulignant les difficultés rencontrées pour traduire les descripteurs définis dans le Cadre Européen de Référence pour les Langues (CEFRL) en termes de compétences langagières spécifiques. Mot(s) clés libre(s) : cadre européen commun de référence des langues (CECRL), didactique des langues, japonais (langue), programmes d'enseignement, programmes de langues vivantes
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Tangun : personnage historique ou mythique?
/ 16-04-2015
/ Canal-u.fr
Maurus Patrick, CHOE Jeong-U
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« Dans les temps anciens vivait Hwanin, connu comme le roi de l'empire céleste. Hwanin avait beaucoup de fils (princes), dont Hwanung, qui était différent de ses frères. Hwanung, bien que vivant par lui-même dans l'empire céleste, n'avait pas particulièrement d'intérêt pour celui ci, mais uniquement pour le monde des hommes, qui se trouvait sous le ciel.
Le monde des hommes, comme l'empire céleste, ne paraissait pas paisible. Dans le monde des hommes, les gens plus faibles (sans force) étaient assaillis par les gens puissants (avec de la force), et les personnes soit se querellaient entre elles, soit commettaient des mauvaises actions. En observant cela, Hwanung trouva la situation pitoyable.
Alors, le roi de l'empire céleste donna à Hwanung un objet aux vertus magiques et lui dit de descendre sur le monde des hommes pour les gouverner. Ces objets magiques, les « trésors du ciel », étaient actuellement un miroir, un couteau et une clochette. Hwanung se fit accompagné par le dieu (chargé) du vent et le dieu (chargé) de la pluie, ainsi que le dieu (chargé) des nuages et 3000 suivants, et il descendit sur la terre du monde des hommes.
À peine était il descendu sur terre qu'il créa un autel dans un lieu élevé, pour rendre hommage à l'empire céleste. De plus, il créa un village ci-bas. Les gens l'appelèrent « Hwanung le Roi divin ». Hwanung le Roi divin leur fit cultiver la terre. En outre, il leur montra comment guérir la maladie. Il donna des récompenses aux personnes effectuant un bon travail, et il infligea des pénitences aux personnes effectuant un mauvais travail.
Dans le lieu que Hwanung dirigeait existait une certaine grotte, où à l'intérieur vivaient un ours et un tigre. Cet ours et ce tigre étaient envieux des personnes se tenant sur deux jambes et se promenant. De plus, les animaux ordinaires ne pouvaient pas se comparer avec les humains, à tel point qu'ils étaient envieux des choses intelligentes. Ainsi, quand Hwanung les trouva, ils le supplièrent de les transformer en personne.
Alors que Hwanung leur donna de l'armoise et de l'ail aux vertus magiques, il leur dit : « Durant 100 jours, vous ne verrez pas la lumière du soleil, et vous devrez manger cette armoise et cet ail à l'intérieur de la grotte, en attendant. Alors seulement votre vœu de devenir humain pourra être exaucé ».
L'ours et le tigre, après avoir répondu avec confiance qu'ils feraient ainsi, prirent avec eux l'armoise et l'ail et se rendirent à l'intérieur de la grotte. Au bout de quelques jours passés dans la grotte, ce genre de quotidien rendit le tigre fou. L'ours le consola en lui disant qu'il ne devait patienter qu'encore un peu. Cependant, le tigre voulait manger de la viande et courir dans la montagne et les champs à volonté. À la fin, il craqua, et sortit de la grotte.
Même si l'ours se sentait seul sans le tigre à l'intérieur de la grotte, son espoir de devenir une personne le fit patienter encore et encore. Le centième jour arriva et l'ours sorti à l'extérieur. Cependant, de son apparence d'ours, elle s'était déjà transformée en femme humaine. Cette femme s'appela Ungnyeo.
Ungnyeo, pareillement aux femmes normales, voulait se marier et avoir un enfant. Ainsi, elle se rendit tous les jours à l'autel et elle pria avec la plus grande dévotion pour pouvoir donner naissance à un enfant. En la voyant prier chaque jour sans exception, Hwanung fut ému. Hwanung pris la forme d'un homme et épousa Ungnyeo.
Ungnyeo, comme elle le souhaitait, tomba enceinte, et donna naissance à un garçon en bonne santé. Cet enfant, au fur et à mesure qu'il grandissait, et pareillement à Hwanung, devint intelligent et courageux. Après que des années se soient écoulées, cet enfant pris la succession de Hwanung et gouverna le monde des hommes. Il fut nommé Tangun Wanggeom. Tangun fixa la capitale au château de Pyongyang et édifia un pays. Ce pays, qui fut en premier lieu bâti par les Coréens, se nomma Kojoseon. »Voici l'histoire de Tangun, le père fondateur de la Corée.Bien que cette histoire semble être une simple légende, du moins à nos yeux d'étudiantes françaises, Tangun est un personnage important, autant en Corée du Nord que du Sud.Cette particularité, accompagnée de la présence de véritables croyants en ce mythe, nous a amené à choisir ce thème comme objet d'étude. À travers cette vidéo, et ses différents entretiens, nous avons souhaité démontrer l'ampleur de l'influence de Tangun dans la société coréenne. Mot(s) clés libre(s) : société, histoire, mythe, religion, Corée, tangun, littérature, philosophie
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Les onomatopées coréennes : une richesse linguistique
/ Cynthia Utuka, Mylène Oury, Émilie Moyaert
/ 10-03-2015
/ Canal-u.fr
Maurus Patrick
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Les onomatopées coréennes : une richesse linguistiqueLes onomatopées tiennent un rôle important dans la communication orale. Présentes dans un nombre infini de langues, elles remplissent plusieurs fonctions :imiter les sonsdécrire les chosesexprimer les sentimentsenseigner la langue Cependant, la langue coréenne se démarque par sa capacité de production d'onomatopées. En effet, les onomatopées coréennes sont très utilisées dans le discours ordinaire et dans la littérature.Les onomatopées coréennes sont à l'image de la société, elles évoluent avec le temps. Par ailleurs, elles participent à la réflexion qui porte sur les pratiques langagières ainsi que sur la traduction. Il convient de les analyser pour mieux comprendre ce concept propre à la langue coréenne. À ce titre, Patrick Maurus, coréanologue et traducteur nous donne son avis éclairé sur le fonctionnement des onomatopées coréennes. Mot(s) clés libre(s) : Corée, apprentissage de la langue, pratique de la traduction, Onomatopées, Littérature coréenne
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FORMATIC - Paris 2011 : Formation au FLE pour les professionnels de santé d’origine étrangère
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 08-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MASSIOT Marc
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FORMATIC - Paris 2011 : Un dispositif de formation au FLE pour les professionnels de santé d’origine étrangère.Conférence enregistrée lors du congrès international FORMATIC PARIS 2011. Atelier TIC et pratiques innovantes au service de la formation des professionnels de la santé. Président de séance : Antoine TESNIERE (Université Paris Descartes projet ILumens), modérateur : Lisette CAZELLET (Consultant formateur TIC Santé), auteur : MASSIOT Marc.Réalisation, production : Canalu UN/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : e-learning, FLE santé, FORMATIC Paris 2011, formation langues étrangères, professionnels de santé
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Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant : quid des sensibilités phonologiques universelles ? / Norbert Maïonchi-Pino
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 21-05-2016
/ Canal-u.fr
MAÏONCHI-PINO Norbert
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Les stratégies de segmentation syllabique en lecture chez l’enfant : quid des sensibilités phonologiques universelles ? / Norbert Maïonchi-Pino, séminaire organisé par l'Unité de Recherche Interdisplinaire en neuropsycholinguistique Octogone-Lordat, Université Toulouse Jean Jaurès, 20 mai 2016.
Peut-on dépasser le constat classique du rôle « indiscutable » des « grands classiques » psycholinguistiques, notamment le rôle des propriétés statistiques des syllabes pour justifier des stratégies de
segmentation ou d’accès au lexique ? Alors même que la syllabe est une unité centrale en français, cela ne fait qu’une vingtaine d’années que, véritablement, les études développementales mettent en évidence son rôle précoce, mais progressif, pendant l’apprentissage de la lecture. Et nombreuses sont celles qui se sont attachées à démontrer, non sans certaines controverses, l’importance de la fréquence d’occurrence de la syllabe initiale dans la langue comme un facteur déterminant, associée à la fréquence lexicale ou bien encore au trou bigrammique pour expliquer la sensibilité et l’utilisation de la syllabe dans des activités de
lecture. Pourtant, son statut d’unité incontournable repose principalement sur le respect de grands principes linguistiques (e.g., principe d’attaque maximale, loi du contact syllabique optimal, principe de séquençage basé sur la sonorité) qui n’ont que très rarement été
abordés d’un point de vue développemental, en lecture. Partant du postulat que les propriétés statistiques bénéficieraient d’un « excès de confiance » et que l’implication des propriétés phonologiques universelles sont sous-estimées (e ;g., la sonorité) – tout du moins pour l’étude du français – l’objet de la présentation consistera à répondre à plusieurs questions autour de leurs rôles respectifs dans des activités de lecture auprès d’enfants, qu’ils soient normo-lecteurs ou
dyslexiques. Mot(s) clés libre(s) : lecture (apprentissage), français (étude et enseignement), perception de la parole, syllabe, conscience phonologique
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Des styles littéraires aux formes de vie / Marielle Macé
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail / Formation continue
/ 21-06-2013
/ Canal-u.fr
MACÉ Marielle
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Des styles littéraires aux formes de vie / Marielle Macé, in Le lecteur et ses autres, journée d'études organisée par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts, Création, Recherche, Émergence, en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA-CRÉATIS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 21 juin 2013. Les formes du dire proposées par la littérature engagent aussi des « formes de vie » : autant de figures littéraires, de dispositifs temporels ou d’inventions grammaticales, autant de phrasés de l’existence, de pistes d'être, de modalités de la vie humaine. La lecture participe alors, en tant que telle, d’une chance plus vaste, celle qui consiste pour les lecteurs à se rendre attentifs au ‟comment” de leur vie, à reprendre en charge ce que l’on peut appeler les « formalités » de leur pratique, autrement dit à viser une véritable ‟stylistique de l'existence”. C'est cette conception pragmatique de la lecture que dans le sillage d’un précédent ouvrage, Façons de lire, manières d’être, Marielle Macé s’efforcera d’explorer et d’exemplifier.[Illustration : photo de Juan Lauriente (Flickr.fr)] Mot(s) clés libre(s) : lecture, livres et lecture, littérature (appréciation), lecture (influence)
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C1 - Allocutions d'introduction
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MACE François, FOUCAULT Marc, MONNANTEUIL François, IIMURA Yutaka
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enseignants (France), japonais (langue), langues vivantes-étude et enseignement, méthodes d'enseignement, pédagogie (France)
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C2 - Le japonais dans la France du 21ème siècle : défis et perspectives par E. Lozerand
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LOZERAND Emmanuel
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, japonais (langue), langues vivantes (étude et enseignement), méthodes d'apprentissage (France)
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Histoire sociolinguistique de Paris
/ UTLS - la suite
/ 04-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LODGE Anthony
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Le "Français de Paris" s'identifie traditionnellement avec le français 'officiel' ou 'standard'. Ce français aurait évolué, à partir du latin, suivant des lois émanant de sa structure interne, secondée de temps à autre par l'intervention de gens cultivés hantant la capitale. Les écarts de la norme perpétrés par la population parisienne s'expliqueraient en général par la paresse ou par l'ignorance. La sociolinguistique historique offre une vision assez différente des choses. Elle soutient d'abord que la langue des villes est caractérisée, à toutes les époques, par une grande variabilité et que les variétés linguistiques en présence évoluent de manière symbiotique. Elle soutient ensuite que c'est la communauté des locuteurs qui fait évoluer la structure des langues et non pas l'inverse. Une histoire sociolinguistique de Paris se doit donc d'être multidimensionnelle et d'enchâsser l'évolution linguistique de cette très grande ville dans une analyse crédible de son évolution démographique et sociale. Ce beau programme bute néanmoins contre un problème fondamental, que certains jugent insurmontable - celui des preuves. Paris possède une documentation linguistique vraisemblablement plus riche que les autres villes d'Europe, mais même là les sources historiques restent inadéquates. L'historien sociolinguistique se trouve ainsi en situation de paradoxe: construire des systèmes hypothétiques est toujours dangereux, mais faire de l'histoire sans faire d'hypothèses est impossible. Dans cette conférence je propose un rapide survol de l'histoire sociolinguistique de Paris depuis le XIIe s. jusqu'au milieu du XXe s. Je vais rapprocher deux ordres d'idées, le premier tiré de la théorie de l'urbanisation proposée par Hohenberg et Lees (1985), et le second inspiré des travaux sur le contact de dialectes menés par Peter Trudgill (1986). Les premiers offrent une périodisation du développement urbain en Europe en trois phases : la période pré-industrielle (XIe-XIVe s.), la période proto-industrielle (XVe-XVIIIe s.) et la période industrielle (XIX-XXe s.). Peter Trudgill, part du principe que si les communautés linguistiques vivant en autarcie ne sont pas inconnues, elles sont rares à l'époque moderne, et tout à fait inconnues dans les grandes villes, les villes étant les endroits privilégiés de contacts de dialectes, de mélanges dialectaux. Trudgill isole trois processus qui entrent en jeu lorsque les locuteurs de dialectes différents se trouvent en situation d'interaction fréquente: 'koinéisation', ''réallocation' et 'nivellement'. Nous chercherons à établir des corrélations entre les trois phases de l'urbanisation, identifiées par Hohenberg & Lees, et les principaux processus observés dans les cas de contact dialectal analysés par Trudgill. Mot(s) clés libre(s) : attitudes linguistiques, dialectes urbains, français, langues en contact, sociolinguistique, variation linguistique
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, ROHR Anne
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enfants sourds, langue des signes française, adultes sourds
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