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067 - Qui furent les Européens d’Algérie ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensMigrations croisées : session thématique (prés. Jean Charles Jauffret)par Valérie Esclangnon-Morin (Université Paris 7)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne L’objectif n’est pas ici de présenter une étude démographique précise de ce que fut la population européenne d’Algérie. Il est nécessaire, certes, d’en rappeler les caractéristiques principales et les origines ; mais ce qui nous intéresse, c’est d’analyser leur intégration au système colonial qui a été particulier en Algérie.L’importance numérique de cette population, dès la fin du XIXe siècle, a laissé penser que l’Algérie pourrait devenir une réelle colonie de peuplement occidental. La chute de la population indigène à la même période a renforcé ce sentiment. Cette particularité dans le monde colonial français et même européen - à l’exception des colonisations sud-africaines - a entraîné une conception différente de la colonisation. L’impression d’être majoritaire, notamment dans certaines villes, le sentiment de la toute-puissance européenne sur le monde indigène a, encore plus qu’ailleurs, conduit à un immobilisme total et bloqué toute possibilité d’évolution. Les contacts avec les indigènes algériens étaient pourtant nombreux, il n’y a jamais eu d’apartheid au sens strict en Algérie. Le mélange des populations était une réalité mais seulement de manière superficielle : les mariages mixtes sont quelques dizaines, les Européens à parler l’arabe à peine 20 %.La propension des Européens à se regrouper dans les deux principales villes du pays, la création de quartiers « européens » dans les autres, conduit à créer un imaginaire collectif. Le sentiment d’appartenir à un « peuple nouveau » (Albert Camus), à une « nouvelle race » (Louis Bertrand) commence à faire son apparition parmi les intellectuels d’Algérie. Même si ces conceptions ne sont pas toutes portées par la même idéologie - le métissage méditerranéen pour le premier, les racines romaines, pour le second -, elles montrent bien le besoin pour cette population de se définir par rapport aux indigènes et par rapport aux Français de France. La sensation de pouvoir être un pays autonome face à la métropole avec ses règles propres est largement antérieure à 1954.La guerre qui débute à cette date va justement tout remettre en cause et obliger les Européens d’Algérie à se redéfinir. Qui sont-ils vraiment ? Des Français d’Algérie et en ce cas l’idée même de l’indépendance algérienne n’est pas pensable puisqu’elle équivaudrait à la perte de leur statut national. Même ceux qui ont soutenu la lutte d’indépendance n’ont pas tous été prêts à faire le sacrifice de leur nationalité au profit de leur terre !De retour en France, il leur faut de nouveau accepter de devenir des « rapatriés », terme juridique qui les définit pour l’État français. Cette nouvelle exception de leur condition n’est pas toujours bien acceptée, même s’ils savent l’utiliser pour revendiquer auprès des pouvoirs publics. Leur identité spécifique se prolonge alors lorsqu’ils se dotent du nom de « pieds-noirs », terme au départ jugé injurieux mais finalement repris par la plupart des Français d’Algérie, faute de mieux. Dans une France qui connaît un retour vers les racines régionales, les pieds-noirs tentent de montrer, eux aussi, un visage cohérent à la communauté nationale, revendiquant une place et une histoire à part. Du moins ces revendications sont-elles portées par certaines associations qui, d’ailleurs, ne présentent pas toutes un seul et même aspect de ce groupe. Preuve, s’il fallait encore la faire, de l’extrême diversité de cette population malgré toutes ses tentatives pour se vouloir uniforme.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonisation, émigration et immigration (algérie), européens (algérie), minorités
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065 - Forum associations - mémoire - histoire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Forum associations - mémoire - histoire par Emmanuel Laurentin (France Culture)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie)
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064 - De la construction d'une identité nationale à la guerre d'indépendance algérienne (2)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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Restitution des sessionsColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, guerre d'indépendance, histoire, nationalisme, opinion publique
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063 - La torture durant la guerre d’Algérie dans l’actualité (2000-2005)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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une « régénération » de l’espace public ? par Abdelhafid Hammouche (Université Lyon 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne C’est par une approche sociologique que nous souhaitons interroger dans cette communication la mise en débat dans l’actualité récente de la torture durant la guerre d’Algérie et de la colonisation. Nous nous appuierons sur deux types de matériaux : un échantillon d’articles de journaux, notamment du journal Le Monde - de 2000 à 2005 -, et des données saisies lors de recherches précédentes sur l’engagement associatif dans les associations de la région lyonnaise liées à l’immigration - des années 1960 à aujourd’hui. Nous mettrons en discussion l’hypothèse d’une « régénération » de l’espace public afin de tenter d’éclairer l’enjeu que représente cette période historique dans l’établissement d’une mémoire collective.La référence au passé et la définition de celui-ci sont considérées comme des enjeux relatifs à la construction sociale de cette mémoire. Ainsi la manière dont les acteurs tendent à la définir revient d’une part à juger le passé et les positions des parties prenantes au conflit, et d’autre part à définir un vivre ensemble actuel et à venir. La régénération se définit comme un processus de mise en discussion publique de pratiques telle que la torture, mais dans la perspective d’un dépassement sans oubli. Elle équivaut à une tentative d’assainissement de l’espace public. On peut penser, en effet, qu’il s’agit de la sorte de se dégager sans reniement des « encombrements » légués par la colonisation - comme la négation du colonisé et la déconsidération de l’immigré ou les traumatismes de la guerre - afin de permettre des repositionnements des différentes parties prenantes de l’épisode colonial - notamment les rapatriés, les harkis et les immigrés, puis les enfants de ces trois populations - pour une participation « pleine » et « entière » à la société française. Cette régénération n’est pas pour autant le fait de ces seuls derniers, mais est bien à l’œuvre depuis l’engagement de multiples acteurs agissant pour certains depuis les années 1950 - militants politiques, historiens, journalistes, etc.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonisation, opinion publique, torture
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062 - Quelle prise en compte de l’histoire par la théorie postcoloniale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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dans son approche des textes littéraires algériens francophones ?par Charles Bonn (Université Lyon 2)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (2)Les traces de la guerre : session thématique (prés. Ahmed Henni)La théorie postcoloniale, devenue le parcours obligé aux États-Unis pour aborder les littératures francophones, elles-mêmes souvent devenues la porte d’entrée unique pour l’étude de la littérature française classique, réclame une meilleure prise en compte de l’histoire, coloniale ou postcoloniale, dans l’approche des textes littéraires issus de ce que Pierre Bourdieu appelle la « périphérie » et leur rapport au « centre ».Cette revendication est assurément justifiée, comme on le montrera. Mais précisément cette prise en compte de l’histoire dans le fonctionnement littéraire réserve des surprises, car le face-à-face n’est pas là où on l’attend, et, de plus, le postmodernisme dans lequel nous vivons actuellement relativise grandement le raisonnement binaire sur lequel repose cette approche, grandement tributaire de l’apport de théoriciens comme Frantz Fanon qui, s’il prenait sens dans les années 1960, est aujourd’hui pour le moins relayé par des réflexions plus récentes. Dès lors cette théorie postcoloniale, si elle réclame à juste titre la prise en compte de l’histoire dans l’approche littéraire, n’en oublie-t-elle pas quelque peu sa propre insertion historique ?Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), histoire (dans la littérature), littérature algérienne de langue française, littérature et histoire
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061 - Au-delà de la victimisation et de l’opprobre : les harkis
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par François-Xavier HautreuxColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)Une guerre de reconquête coloniale : session thématique (prés. Franck Renken)Depuis la fin de la guerre d’Algérie s’est formée sur le sol métropolitain une communauté originale, distincte des pieds-noirs ou des immigrés d’origine algérienne : la communauté harki.Le terme « harki » fait référence à une unité auxiliaire créée par la France à l’occasion des « événements d’Algérie ». Pendant les huit années de guerre, l’armée française fit massivement appel à ce type de troupes. Malgré l’importance de cette expérience, spécifique par bien des aspects au conflit franco-algérien, l’histoire des harka demeure en grande partie méconnue. En dehors de quelques articles de Guy Pervillé et de Charles-Robert Ageron, aucun travail véritablement historique ne s’est en effet jusqu’à présent penché sur la question, laissant la porte ouverte à toutes les interprétations.Si les harka regroupèrent le plus d’homme, d’autres unités « supplétives » existèrent également : les makhzens des Sections administratives spécialisées, les Groupes mobiles de police rurales (ou Groupes mobiles de sécurité après 1958), les Groupes d’autodéfense et les Assès. Ces différentes unités servirent suivant des modalités très différentes. Mais à l’intérieur même de chaque catégorie, de profondes différences existèrent.Au-delà des résumés simplificateurs, il s’agit ici d’étudier ces différentes manières de servir : en observant ce qui fait la spécificité de chacune de ces unités, mais également ce qui les rapproche. À travers une vision chronologique, il s’agira également de cerner les évolutions qui ont pu exister des premiers engagements à leur suppression en 1961 et 1962 : évolution des effectifs et des missions, bien sûr, mais également évolution dans les objectifs visés par le commandement à travers cette expérience. En replaçant les combattants supplétifs dans le double contexte du monde colonial avant 1954 et de l’affirmation de l’État algérien en 1962, en rationalisant l’expérience de ces hommes, peut-être sera-t-il possible de mieux saisir les enjeux de mémoire auxquels ils sont mêlés encore aujourd’hui, de part et d’autre de la Méditerranée.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), armée française, harkis, rapatriement forcé, troupes supplétives
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060 - Bilan sur les camps de regroupement de la guerre de 1954-1962
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Michel Cornaton (Université Lyon 2)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (2)Une guerre de reconquête coloniale : session thématique (prés. Franck Renken)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne 350 000 Algériens regroupés, 1 200 000 « recasés », c’est-à-dire une sorte de déportés clandestins, des dizaines de milliers de prisonniers, la plupart dans des camps d’internement, dont quatre en France. Si l’on fait les comptes, on s’aperçoit que près de 40 % de la population algérienne a été déplacée et enfermée. Devant pareils chiffres, on peut comprendre que certains aient parlé de politique génocidaire. En tout cas, nous ne nous trouvons pas devant un simple « déracinement », plus dramatique que les autres. Les excès de la thèse sociologique finissent par gommer les dimensions historiques et politiques d’un véritable phénomène social total.La mémoire des camps de regroupement dérange autant les autorités algériennes que françaises, aujourd’hui comme hier, ce qui explique d’abord le silence qui les entoure : les camps et les regroupés n’existent plus parce que le pouvoir, sous toutes ses formes, l’a décidé.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962- guerre d'algérie), camps de regroupement (algérie), colonies (administration)
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059 - Le haut commandement, la direction et la conduite de la guerre d’Algérie : Paris ou Alger ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par André-Paul Comor (Institut d’études politiques, Aix-en-Provence)De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (2)Une guerre de reconquête coloniale : session thématique (prés. Franck Renken)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Dans les premiers mois qui suivent le déclenchement de la Guerre d’indépendance, il revient aux chefs militaires de prendre la mesure de l’événement. À Paris, le général Callies, inspecteur des forces terrestres, aériennes et maritimes de l’Afrique du Nord, donne le premier le ton, le 9 décembre 1954, au cours d’un long exposé devant ses pairs du conseil supérieur des forces armées. À Alger les réactions sont mitigées, mais très vite le point de vue des officiers « africains » et de la « coloniale » va s’imposer. Dès lors, les différences d’appréciation entre les deux centres de décision vont se traduire par une série de crises internes.De novembre 1954 à février 1956, sans directives précises de Paris - tout en partageant dans un premier temps l’appréciation de la situation politique et militaire -, Alger assure les deux missions dans une certaine confusion. En mars 1956, le général Paul Ely, nouveau chef d’État-major général des forces armées, tente de reprendre en main la situation. Il doit très vite déchanter : dès octobre 1956 et jusqu’au 13 mai 1958, malgré ses instructions et ses directives comme ses injonctions au général Salan, le fossé se creuse entre les centres de décision. Si le retour au pouvoir du général de Gaulle rétablit l’unité de commandement, la conduite de la guerre n’est pas pour autant modifiée, du moins jusqu’à la nomination de Pierre Messmer comme ministre des Armées.La direction comme la conduite de la guerre d’Algérie, connues dans leurs grandes lignes, n’ont cependant pas fait l’objet d’une enquête approfondie à partir des archives du haut commandement de l’armée. S’appuyant sur des sources militaires inédites, la présente communication est destinée à combler cette lacune en mettant en lumière les causes profondes du divorce - la crise dénoncée en son temps par la presse et bon nombre de partisans de l’Algérie française - et les conséquences « militaires » de l’interprétation-représentation du conflit.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), guerre d'indépendance, paul ély (1897-1975), pierre messmer (1916-2007), politique militaire (france)
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058 - Présentation de la session thématique : Une guerre de reconquête coloniale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Franck RenkenDe la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (2)Une guerre de reconquête coloniale : session thématique (prés. Franck Renken)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonies (france), histoire
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057 - La guerre d'indépendance algérienne, 1954-1957 : débat et questions
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Khaoula Taleb-IbrahimColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (2)La guerre d’indépendance algérienne (1954-1962) : session thématique (prés. Khaoula Taleb-Ibrahimi)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, guerre d'indépendance, histoire, nationalisme
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