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Les philosophies de la mondialisation
/ UTLS - la suite
/ 07-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
TOSEL André
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La philosophie française en sa grande majorité demeure silencieuse sur la mondialisation alors que les sciences humaines et sociales connaissent un déluge d'études spécialisées .Elle l'aborde de deux manières : soit sur le mode oblique de questions juridico-politiques en se concentrant sur les relations entre souveraineté politique et cosmopolisme - soit de manière métaphorique par des considérations sur la technique planétaire à l'époque de la post-modernité, que celle-ci soit comprise comme le joyeux avènement d'une pensée faible, ou comme le tragique oubli de l'être propre à la pensée occidentale. Pour remédier à cette stratégie de fuite hors des problèmes effectifs de la contemporanéité la philosophie est affrontée à la tâche de définir ne serait-ce que de manière préalable le concept de la mondialisation. Il sera proposé une définition post-marxienne, non pas anti-marxienne. La mondialisation serait la généralisation inachevée du mode de production capitaliste à l'orbe du globe. Elle ne se réduit pas à sa dimension économique, puisque le réseau transnational des grandes firmes fondé sur la troisième révolution technologique (industries de la communication) et sur l'autonomisation du capital financier prend simultanément forme dans le système d'une économie monde d'Etats inégaux, caractérisé par son centre et ses périphéries, dominé par une puissance impériale, les Etats-Unis, perpétuellement confrontés de leur côté à la formation de pôles concurrents. Cette forme est indissolublement culturelle puisque la marchandise-argent devient le faux universel symbolique hégémonique, intégrant contradictoirement des formes de vie où les individus insécurisés cherchent refuge dans des communautés imaginaires. Une violence inédite intransitive répond à la violence du capital qui joue son avenir en immergeant la production dans la consommation. La philosophie doit se demander ce qu'il en est de la liberté des individus en cette affaire. On examinera quelques attitudes significatives de philosophes contemporains étalées sur un spectre qui va du pôle mondialophobe au pôle mondialophile. Mot(s) clés libre(s) : globalisation, mondialisation, philosophie
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3e table ronde : Les « cas éminents » de l’Europe contemporaine
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 06-06-2016
/ Canal-u.fr
THIBAUD Paul, LE GOFF Jean-Pierre, SCHNAPPER Dominique
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Discutant : Paul Thibaud (ancien directeur d’Esprit)
Jean-Pierre Le Goff (CNRS-Université Paris 1 Panthéon Sorbonne)
« Peut-on encore comprendre mai 68 ? »
Dominique Schnapper (EHESS-CESPRA)
« La chute du mur de Berlin : succès et effets pervers » Mot(s) clés libre(s) : mai 68, contestation, interprétation, Union soviétique, Chute du mur de Berlin, Europe
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Evolution des illustrations des manuels scolaires utilisés à Taïwan
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
TERADA Torahiko
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Les instances territoriales turques et l'Europe
/ 23-04-2009
/ Canal-u.fr
TEK Hande
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Video konferans :
jeudi 23 avril 2009
Les instances territoriales turques et l'Europe - Hande Tek Mot(s) clés libre(s) : Turquie, adhésion, relations Union Européenne-Turquie, Europe, Instances territoriales
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Sondages et usage des sondages : quel impact ? - Stéphane Rozès, Brice Teinturier
/ UTLS - la suite
/ 18-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
TEINTURIER Brice, ROZES Stéphane
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Le Serment du Jeu de Paume et sa postérité Sondages et usage des sondages : quel impact ? L'Université de tous les savoirs et Le Château de Versailles présentent les Premiers entretiens du Jeu de Paume La démocr@tie d'opinionDu siècle des lumières à la démocratie des courts circuits Vendredi 18, samedi 19 et dimanche 20 juin 2010 16h30 : Sondages et usage des sondages : quel impact ? Stéphane Rozès, directeur de la société CAP, Conseil, analyse et perspective.Brice Teinturier, directeur général-adjoint de TNS-Sofres. Mot(s) clés libre(s) : democratie, politique, presse
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Sondages et usage des sondages : quel impact ? - Stéphane Rozès, Brice Teinturier
/ UTLS - la suite
/ 18-06-2010
/ Canal-u.fr
TEINTURIER Brice, ROZES Stéphane
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Le Serment du Jeu de Paume et sa postérité Sondages et usage des sondages : quel impact ? L'Université de tous les savoirs et Le Château de Versailles présentent les Premiers entretiens du Jeu de Paume La démocr@tie d'opinionDu siècle des lumières à la démocratie des courts circuits Vendredi 18, samedi 19 et dimanche 20 juin 2010 16h30 : Sondages et usage des sondages : quel impact ? Stéphane Rozès, directeur de la société CAP, Conseil, analyse et perspective.Brice Teinturier, directeur général-adjoint de TNS-Sofres. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, politique, presse
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Jean-Pierre Stroobants / Espace Schengen, flux migratoires et sécurité en Europe
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 27-11-2015
/ Canal-u.fr
STROOBANTS Jean-Pierre
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Dans le cadre de l’édition 2015 des
journées sur l’Union Européenne Eurotémis, organisée par Science Po Bordeaux,
plusieurs personnalités se sont prêtées aux questions des étudiants de
l’association EUROFEEL sur le thème « L’espace Schengen : Problème ou
solution aux flux migratoires et à la sécurité en Europe ? »
Mot(s) clés libre(s) : immigration, Europe, Espace Schengen
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La déréglementation
/ Mission 2000 en France
/ 12-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
STOFFAES Christian
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"Des milliers de lois, des milliers d'actes de portée réglementaire - et nul n'est censé ignorer la loi... La déréglementation est une des formes qu'ont prises, ces dernières années, les nouvelles politiques économiques issues de la révolution libéral-monétariste : aux côtés de la désinflation, de la baisse des impôts, du libre-échange, des privatisations, la déréglementation fait partie de la panoplie des instruments de la libéralisation et de la globalisation de l'économie. Dans le secteur des télécommunications, elle est à l'origine de la téléphonie mobile et de la révolution Internet et donc de la "" nouvelle économie "". C'est donc un aspect majeur du monde contemporain. Comme son nom l'indique, la déréglementation consiste à supprimer des règlements, c'est à dire des textes de portée juridique. Tout au long du XXème siècle, c'est la montée continue de l'emprise de l'Etat sur l'économie qui caractérisait les politiques économiques par rapport au "" laissez faire "" du XIXème siècle capitaliste et libéral. Le siècle s'achève par un mouvement en sens inverse : on juge généralement aujourd'hui qu'il y a trop de contraintes au libre jeu du marché, que les réglementations excessives pénalisent les initiatives, l'esprit d'entreprise et l'innovation -c'est à dire la croissance économique et l'emploi. Ainsi, est-il généralement admis qu'une réglementation excessive du marché du travail porte une certaine responsabilité dans la persistance du chômage. On cite volontiers en exemple l'économie américaine - où la liberté contractuelle des relations du travail est plus grande qu'en Europe - formidable machine à créer des emplois. L'argumentaire libéral, certes, est contesté. Le sujet n'est pas ici de disserter sur le bien-fondé de la déréglementation, ni sur les raisons pour lesquelles on brûle aujourd'hui ce qu'on adorait hier - l'Etat-Providence, les nationalisations, la planification centralisée, le rôle social de l'Etat : il est de décrire et d'analyser. Parmi les domaines où s'appliquent les politiques de déréglementation, on propose de focaliser l'attention sur les services publics, en raison de l'importance des enjeux et de la complexité du sujet. " Mot(s) clés libre(s) : déréglementation, inflation, libéralisation, monopole, privatisation
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L'Etat souverain face à la mondialisation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
STERN Brigitte
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""" No man is an island "", "" Aucun homme n'est une île "" disait le poète John Donne. L'homme ne vit pas isolé, il est inséré dans toute une série de collectivités, dans tout un ensemble de sociétés : la société familiale, la société tribale, les sociétés religieuses, les sociétés sportives, les sociétés savantes, voire des sociétés secrètes, mais aussi la société étatique. L'Etat se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu'il est une collectivité souveraine, du fait qu'il dispose du monopole de la force armée organisée sur son territoire. A ce monopole de la force armée organisée est lié le monopole d'édiction du droit : est règle juridique la règle que l'État considère comme une règle juridique, soit qu'il l'édicte lui-même à travers ses organes, soit qu'il reconnaisse des règles posées par d'autres, comme par exemple dans les contrats nationaux ou internationaux établis par les particuliers ou des sociétés multinationales, comme ayant valeur juridique. On conçoit facilement qu'un droit destiné à s'appliquer au sein d'un État qui dispose de la force - le droit national - n'aura vraisemblablement pas les mêmes caractéristiques qu'un droit destiné à s'appliquer entre États souverains, disposant chacun du monopole de la force armée organisée sur son territoire, mais non dans l'ensemble de la communauté des États : le droit international apparaît dès lors comme un droit s'appliquant dans une société où il n'y a pas de centralisation de la force armée organisée. Cette structuration différente des sociétés internes et de la société internationale explique que les contours de la souveraineté ne soient pas les mêmes dans l'ordre interne et dans l'ordre international. " Mot(s) clés libre(s) : état, mondialisation, souveraineté
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L'État souverain face à la mondialisation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-06-2000
/ Canal-u.fr
STERN Brigitte
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""" No man is an island "", "" Aucun homme n'est une île "" disait le poète John Donne. L'homme ne vit pas isolé, il est inséré dans toute une série de collectivités, dans tout un ensemble de sociétés : la société familiale, la société tribale, les sociétés religieuses, les sociétés sportives, les sociétés savantes, voire des sociétés secrètes, mais aussi la société étatique. L'Etat se distingue fondamentalement des autres collectivités humaines, parce qu'il est une collectivité souveraine, du fait qu'il dispose du monopole de la force armée organisée sur son territoire. A ce monopole de la force armée organisée est lié le monopole d'édiction du droit : est règle juridique la règle que l'État considère comme une règle juridique, soit qu'il l'édicte lui-même à travers ses organes, soit qu'il reconnaisse des règles posées par d'autres, comme par exemple dans les contrats nationaux ou internationaux établis par les particuliers ou des sociétés multinationales, comme ayant valeur juridique. On conçoit facilement qu'un droit destiné à s'appliquer au sein d'un État qui dispose de la force - le droit national - n'aura vraisemblablement pas les mêmes caractéristiques qu'un droit destiné à s'appliquer entre États souverains, disposant chacun du monopole de la force armée organisée sur son territoire, mais non dans l'ensemble de la communauté des États : le droit international apparaît dès lors comme un droit s'appliquant dans une société où il n'y a pas de centralisation de la force armée organisée. Cette structuration différente des sociétés internes et de la société internationale explique que les contours de la souveraineté ne soient pas les mêmes dans l'ordre interne et dans l'ordre international. " Mot(s) clés libre(s) : etat, mondialisation, souveraineté
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