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Génome et cancer - Mark Lathrop
/ UTLS - la suite
/ 21-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LATHROP Mark Lathrop
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?
Par Mark Lathrop Mot(s) clés libre(s) : ADN, cancérologie, génétique, génome
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Actualité de l'animal-machine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LARRERE Catherine, LARRERE Raphael
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Pensée et identité / sous la présidence d'Olivier FaureOn a pu croire que la théorie cartésienne de l’animal-machine avait perdu toute vertu heuristique, et que l’animal était, depuis lors, considéré comme un être sensible doté d’états mentaux. Or, on assiste avec le développement des techno-sciences, à une nouvelle réification de l’animal.Déjà la zootechnie moderne considère l'animal comme une «machine vivante à aptitude multiple». Certes, il ne s'agit plus de l'automate cartésien : l'animal de la zootechnie est une machine thermodynamique dotée de mécanismes d'autorégulation, un engin cybernétique. On tente d'en améliorer le rendement énergétique, on tend à maximiser l'efficacité de toutes ses fonctions (nutrition, croissance, reproduction).En décomposant ses besoins (glucides, lipides, protides) en éléments simples, appelant des rations alimentaires elles aussi décomposées en éléments simples, on a obtenu une augmentation considérable de productivité … et l’on a recyclé des prions. Si les vaches peuvent devenir «folles» c’est peut-être que ce ne sont pas que des machines thermodynamiques.La génétique contemporaine travaille sur une autre analogie : l’animal n’est plus une machine thermodynamique, mais un programme d’ordinateur, que l’on peut à loisir enrichir d’informations nouvelles. Les biotechnologies prétendent ainsi «fabriquer» des animaux «programmés» pour développer des caractéristiques intéressantes, soit pour la recherche médicale, soit pour la production. L’espoir est même de parvenir à cloner ces animaux transgéniques, et donc de pouvoir les dupliquer à volonté. Pourtant, jusqu’à maintenant, ces «constructions génétiques» sont des bricolages mal maîtrisés, dont on ignore encore largement les effets sur la physiologie et le comportement de l’animal. Combien d’échecs et d’embryons non viables pour un résultat spectaculaire ? S’il y a tant de casse, c’est peut-être que les animaux (comme les végétaux d’ailleurs) ne sont pas réductibles à leur «programme génétique».Enfin, l’animal est en première ligne du programme de naturalisation de l’esprit. L’analogie du cerveau et de l’ordinateur invite à analyser le comportement des animaux comme le traitement, plus ou moins complexe, des informations stockées dans certains lobes de leur cerveau, et de celles qui leur parviennent du contexte dans lequel ils se trouvent. D’une part, ces recherches tendent à établir une continuité entre le fonctionnement du cerveau des mammifères et des hommes – et en ce sens brouillent les frontières entre humain et non-humain. D’autre part, elles ont aidé la robotique à «fabriquer» des automates se comportant comme des animaux domestiques, et brouillent les frontières entre l’animal et la machine.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Amélioration génétique, Animal-machine, Animalité (philosophie), Biologie -- Philosophie, Biotechnologies, Génétique animale, Homme -- Animalité, Identité humaine, Théories du vivant, Zootechnie
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Les Humains: une longue histoire, puis un retour à la nuit des temps
/ 10-10-2013
/ Canal-u.fr
LANGANEY André
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L’évolution humaine montre une accélération de plus
en plus forte de la transformation de notre espèce, au départ banale, et de son
environnement, qu’elle modifie et dégrade sans cesse. On en retracera les
principales étapes, les mécanismes généraux et particuliers, les innovations et
les spécificités. On tentera, en conclusion, d’en déduire le cadre que ses
dernières étapes créent pour l’avenir de nos descendants.Dernier volet du cycle de conférences "De l'Histoire à l'actualité des sciences".Pour voir les volets précédents : 1. De la création à l'évolution : l'invention de la biologie 2. L'évolution détournée : par le plaisir puis par les humains. Mot(s) clés libre(s) : mutation, diversité génétique, ancêtre commun, gène, ADN mitochondrial
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Les bases génétiques de l'évolution humaine
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 10-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LANGANEY André
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Aucun élément du patrimoine génétique humain n'est spécifiquement propre à notre espèce. Nos gènes, nos chromosomes, nos cellules et nos ADN sont les mêmes que ceux des autres êtres vivants, d'autant plus partagés que ces derniers sont nos plus proches parents. Ces comparaisons nous obligent à une grande modestie quant a la spécificité humaine, qui réside ailleurs. Si elles ont des conséquences en matière d'éthique, notre société ne semble pas en être consciente. A un autre niveau, la variation des gènes entre individus et leurs diverses fréquences entre populations nous permet de reconstituer, de plus en plus précisément, l'histoire de nos ancêtres et la façon dont ils ont réparti leurs gênes à la surface de la planète au cours des mille derniers siècles. Des résultats fondamentaux, tant pour notre curiosité que pour des problèmes touchant à la santé publique, en sont attendus. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie biologique, chromosome, diversité humaine, évolution, génétique, génétique des populations, grand singe, groupe sanguin, origine des espèces, primate
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SML 2011 – Les maladies génétiques responsables d’une épilepsie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LAMBERT Laetitia
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Titre : SML 2011 – Les maladies génétiques responsables d’une épilepsieIntervenant(s) : Laetitia LAMBERT (Laboratoire de génétique – CHU de Nancy)Résumé : Les maladies génétiques responsables d’une épilepsieL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) et des 3èmes Rencontres Lorraines de l’Epilepsie. Coordonnateurs : Pierre LAHALLE-GRAVIER (Président d’Accueil Epilepsie Lorraine), Jean-Luc SCHAFF (médecin, Office d’Hygiène Sociale (OHS)). Organisateurs : Accueil Epilepsies Lorraine – CHU de Nancy - Office d’Hygiène Sociale (OHS)Réalisation, production : Canal U/3SMots clés : SML Nancy 2011, épilepsie, génétique Mot(s) clés libre(s) : épilepsie, génétique, SML Nancy 2011
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RDV santé Inserm : génétique, inégalités naturelles, éthique
/ Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)
/ 03-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
KAHN Axel
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Conférence donnée par Axel Kahn au Palais de la Mutualité sur les problèmes éthiques liés à la génétique. Mot(s) clés libre(s) : Axel Kahn, clonage, clonage reproductif, diversité, éthique, évolution, génétique, inégalité, reproduction
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Les enjeux éthiques de la génétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 31-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KAHN Axel
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Conférence du 31 janvier 2000 par Axel Kahn. Au XIXème siècle, la théorie de l'évolution, qui s'applique à l'Homme et le dépossède donc de son privilège de créature à l'image de Dieu, a constitué une onde de choc dont les effets se font encore sentir aujourd'hui. En effet, les grandes idéologies qui ont si cruellement marquées le XXème siècle, notamment l'eugénisme et le racisme ont massivement emprunté à la science de l'évolution ce qui leur semblait de nature à conforter leurs préjugés. La génétique a plus modifié l'énoncé des idéologies enracinées dans une conception pervertie de l'évolution qu'elle ne les a créées. Le gène est rapidement devenu l'élément de base matérialisé des vieilles conceptions déterministes et des projets eugénistes et racistes. Le danger est grand que tous ceux qui sont déjà persuadés que le destin humain est déterminé par sa dimension biologique se trouvent confortés dans leurs préjugés par une certaine présentation du programme "génome humain" et par l'interprétation rapide de nombre d'études génétiques, en particulier celles portant que les comportements. Le généticien a une responsabilité élective : non seulement réaliser du mieux qu'il le peut une science qui fasse honneur au génie humain, mais aussi s'impliquer pour la présenter au public, expliquer ce qu'elle signifie et ce qu'il est illégitime de lui faire dire. S'il est parfaitement illégitime de faire dire à la génétique que nous sommes tous prisonniers de nos gènes, la science ne suffit pas non plus à fonder l'exigence de liberté. Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, eugénisme, génétique
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Les nouvelles données sur la diversité génétique humaine réintroduisent-elles la notion de race ?
/ Bertrand JORDAN, UTLS - la suite
/ 10-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
JORDAN Bertrand
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?
Par Bertrand Jordan
L’humanité est-elle séparée en races différentes ? Vérité scientifique au XIXe et durant une bonne partie de XXe, cette affirmation a été battue en brèche après la 2e guerre mondiale, en réaction aux crimes nazis et dans une perspective antiraciste. Au cours des dernières décennies, la biologie a nié la pertinence même de la question au motif que tous les humains auraient en commun 99,9% de leur patrimoine génétique. Pourtant, les avancées toutes récentes de la génétique nuancent cette affirmation, et montrent l’existence de différenciations héréditaires stables. Au-delà des seules apparences (couleur de peau, chevelure, etc.), il est ainsi possible de remonter aux origines géographiques lointaines des individus, de préciser leur ascendance (souvent mixte), et parfois d’expliquer leurs prédispositions à certaines maladies.
Certes, les groupes ainsi repérés ont des limites floues, leur diversité interne est élevée, et aucun classement hiérarchique ne peut être justifié à partir de ces éléments. Les « races », au sens classique du terme, n’existent effectivement pas. Néanmoins la pluralité humaine, telle que l’on peut l’appréhender avec des techniques très récentes, est plus grande et plus subtile qu’on ne voulait le croire… Mot(s) clés libre(s) : ADN, génétique, racisme
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Les nouvelles données sur la diversité génétique humaine réintroduisent-elles la notion de race ?
/ Bertrand JORDAN, UTLS - la suite
/ 10-06-2008
/ Canal-u.fr
JORDAN Bertrand
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Une conférence du cycle : Qu'est ce que la vie ? Où en est la connaissance du génome ?
Par Bertrand Jordan
L’humanité est-elle séparée en races différentes ? Vérité scientifique au XIXe et durant une bonne partie de XXe, cette affirmation a été battue en brèche après la 2e guerre mondiale, en réaction aux crimes nazis et dans une perspective antiraciste. Au cours des dernières décennies, la biologie a nié la pertinence même de la question au motif que tous les humains auraient en commun 99,9% de leur patrimoine génétique. Pourtant, les avancées toutes récentes de la génétique nuancent cette affirmation, et montrent l’existence de différenciations héréditaires stables. Au-delà des seules apparences (couleur de peau, chevelure, etc.), il est ainsi possible de remonter aux origines géographiques lointaines des individus, de préciser leur ascendance (souvent mixte), et parfois d’expliquer leurs prédispositions à certaines maladies.
Certes, les groupes ainsi repérés ont des limites floues, leur diversité interne est élevée, et aucun classement hiérarchique ne peut être justifié à partir de ces éléments. Les « races », au sens classique du terme, n’existent effectivement pas. Néanmoins la pluralité humaine, telle que l’on peut l’appréhender avec des techniques très récentes, est plus grande et plus subtile qu’on ne voulait le croire… Mot(s) clés libre(s) : ADN, génétique, racisme
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Le vivant programmé par le génome ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
JORDAN Bertrand
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Les limites du vivant / sous présidence de Gabriel Gachelin"L'ADN humain, «maître-plan» (blueprint) de l'organisme, est aujourd'hui presque totalement «décrypté». Et l'on s'aperçoit que cette séquence, Graal pour certains de la biologie moléculaire, ne dit pas tout. L'on peine même à se mettre d'accord sur le nombre de gènes qu'elle révèle, sans parler de leur fonction ni de la manière dont ils interagissent pour assurer le fonctionnement des cellules et des tissus. Il est donc nécessaire de revenir sur cette analogie informatique (l'ADN, programme qu'exécute l'organisme) qui a été si féconde mais dont les limites sont aujourd'hui évidentes, sur l'apport essentiel mais insuffisant de la séquence, et sur l'illusion d'une toute puissance de l'ADN, fantasme dont les effets peuvent être tout à fait pernicieux. "(Bertrand Jordan)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : ADN -- Recherche, Gènes, Génie génétique, Génome, Théories du vivant
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