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Apprendre à lire quand on est sourd / Marie-Thérèse L'Huillier
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
L'HUILLIER Marie-Thérèse
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Apprendre à lire quand on est sourd / Marie-Thérèse L'Huillier, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit",
journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du
professorat et de l'éducation (ESPE Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS)
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en langue des signes française traduite en français par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, lecture (apprentissage), enfants sourds
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Quel français tu causes ? Les langues parlées dans notre cinéma. Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 04-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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La parution du livre de Michel Chion : Le Complexe de Cyrano (éd. Cahiers du cinéma, 2008) est une belle occasion d'engager le débat avec l'auteur, mais aussi avec des cinéastes. Quelle langue parle-t-on dans le cinéma français, ou plutôt quelles langues dans le cinéma d'auteur comme populaire ? Une rencontre animée par Claire Vassé (journaliste et écrivain).Intervenants :- Michel Chion (théoricien du cinéma, compositeur)- Catherine Breillat (cinéaste)- Pascal Bonitzer (scénariste, cinéaste)- Jacques Doillon (cinéaste) Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, cinéma, cinéma (langage), langage et langues, scénaristes
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Phonologie et cognition
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LAKS Bernard
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Conférence du 14 février 2000 par Bernard Laks. La phonologie analyse l'organisation de la composante sonore du langage. La conférence illustrera l'aspect cognitif et mental de ce fonctionnement phonologique. Les représentations mentales du signe sonore sont constituées par des catégories arbitraires et abstraites, les phonèmes. Selon les langues, le nombre et les limites de ces catégories sont très variables. On en donnera des exemples. Malgré cette diversité, les langues humaines sont extrêmement semblables. La conférence illustrera l'approche "Principes et Paramètres" qui rend compte à la fois de l'universalité de la compétence linguistique de l'espèce et de la paramétrisation singulière qu'on observe langue à langue. Enfin, les représentations mentales abstraites que manipule notre compétence de locuteur ne sont pas linéaires. Leur structure interne et leur architecture cognitive expliquent un grand nombre de processus phonologiques observés. On en prendra des exemples dans diverses langues. Mot(s) clés libre(s) : communication, langage et langues, langues (diversité), linguistique cognitive, phonologie (aspect cognitif), représentations mentales, sciences cognitives, signe (linguistique)
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Place du latin et du grec dans l'enseignement secondaire en France de 1902 à nos jours / Jean Leduc
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LEDUC Jean
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La place du latin et du grec dans les cursus de l'enseignement secondaire en France de 1902 à nos jours. Jean LEDUC. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème IV : Compétences littéraires et transfert de compétences. Compétences littéraires, 28 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : enseignement classique (20eme siècle), grec (langue), langues classiques (enseignement secondaire), latin (langue)
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Place du latin et du grec dans l'enseignement secondaire en France de 1902 à nos jours / Jean Leduc
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 27-05-2010
/ Canal-u.fr
LEDUC Jean
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La place du latin et du grec dans les cursus de l'enseignement secondaire en France de 1902 à nos jours. Jean LEDUC. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème IV : Compétences littéraires et transfert de compétences. Compétences littéraires, 28 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : grec (langue), Latin (langue), enseignement classique (20eme siècle), langues classiques (enseignement secondaire)
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? [st LSF] / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, BRUGEILLE Jean-Louis
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Langue des signes française : quelle évaluation pour une langue sans écriture ? / Élise Leroy, Jean-Louis Brugeille, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015. Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. * Version sous-titrée en Langue des Signes Française.La Langue des Signes Française (LSF) est aujourd'hui reconnue comme une langue à part entière et de fait comme langue enseignée. Mais sa reconnaissance comme langue d'enseignement reste encore difficile, ce qui peut, comme nous le verrons de manière transversale lors de cette présentation, poser différents problèmes aussi. Pourtant de nombreuses évolutions ont découlé du texte de loi de février 2005 relatif à l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. En effet, dès la rentrée scolaire en septembre 2008, des programmes d'enseignement de la LSF ont été édictés pour un enseignement de langue 1 et de langue 2, dans le premier et second degré -notamment dans le cadre des épreuves facultatives aux baccalauréat et BTS. Il est important toutefois de signaler que des classes où l'enseignement est fait en LSF de la maternelle au lycée existe depuis 1984 en France. Le groupe ministériel chargé de l'élaboration des programmes d'enseignement s'est donc appuyé sur ces expériences du terrain. Par ailleurs, les concours du CAPES de LSF (Certificat d'Aptitude au Professorat de l'Enseignement du Second degré) ont été mis en place également dès l'année scolaire 2009-2010. Depuis cette création, les épreuves du CAPES -comme ceux du Diplôme de compétence en langue (DCL)- et les critères d'évaluation n'ont eu cesse d'être modifiés pour s'adapter au mieux à cette langue visuo-gestuelle, sans écriture (au sens graphique du terme). De même, il faut noter qu'il n'existe pas à ce jour de référentiel détaillé pour la langue des signes française. Seule une ébauche dans le cadre de l'adaptation du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues) avait été produite en 2002. Comment donc concevoir des critères d'évaluation adaptés au vu du format des concours proposés ? Il s'agit de soulever, dans le cadre de la justice basée sur des normes collectives et une justesse fondée sur la prise en compte des singularités du
public -les sourds entre autres, des réflexions quant à l'accès des sourds au
français écrit, que nous considérons comme langue seconde pour ce public. Dans cette communication, Élise Leroy et Jean-Louis Brugeille montrent les pistes et solutions d'évaluation pensées dans ce cadre, tout en tenant compte d'une part, de la problématique singulière de l'hétérogénéité du public des candidats (apprentissage divers de la LSF, langue
1 vs langue 2…) et, d'autre part, du caractère singulier de la langue. Il
s'agit, autrement dit, d'expliciter l'innovation des épreuves de ce concours faites au moyen de la LS-vidéo.
En effet, la vidéographie semble être aujourd'hui le moyen de palier l'absence de forme écrite pour cette langue, en remplissant la quasi totalité des fonctions de la lecture/écriture graphique, mais des critères d'évaluation ont dû être inventés tenant compte des compétences techniques et linguistiques que cela implique. Enfin est évoqué un recul sur l'évolution des épreuves au CAPES en montrant les contraintes (éducatives, sociales et politiques) encore rencontrées face à ce jeune concours. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, évaluation en éducation, vidéo (outil d'évaluation), Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, ROHR Anne
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enfants sourds, langue des signes française, adultes sourds
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Table ronde : Humanités et euro-méditerranée. Fonctions socio-culturelles des Humanités
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LEVET Jean-Pierre, SALHA Habib, VOISIN Patrick
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Table ronde "Humanités et euro-méditerranée". Dans "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème I : Humanités et sociétés, 27 mai 2010.- Philologie européenne et euro-méditerranéenne. Jean-Pierre Levet (professeur de grec, Université de Limoges).- Le feuilleté des langues : la Tunisie plurielle. Habib Salha (professeur, Faculté des Lettres de la Manouba, Tunis).- Les humanités sont aussi de la rive sud. Patrick Voisin (professeur de lettres en CPGE, Pau). Mot(s) clés libre(s) : civilisation classique (étude et enseignement), culture méditerranéenne, lettres classiques (enseignement supérieur), linguistique, littérature tunisienne de langue française
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Histoire sociolinguistique de Paris
/ UTLS - la suite
/ 04-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LODGE Anthony
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Le "Français de Paris" s'identifie traditionnellement avec le français 'officiel' ou 'standard'. Ce français aurait évolué, à partir du latin, suivant des lois émanant de sa structure interne, secondée de temps à autre par l'intervention de gens cultivés hantant la capitale. Les écarts de la norme perpétrés par la population parisienne s'expliqueraient en général par la paresse ou par l'ignorance. La sociolinguistique historique offre une vision assez différente des choses. Elle soutient d'abord que la langue des villes est caractérisée, à toutes les époques, par une grande variabilité et que les variétés linguistiques en présence évoluent de manière symbiotique. Elle soutient ensuite que c'est la communauté des locuteurs qui fait évoluer la structure des langues et non pas l'inverse. Une histoire sociolinguistique de Paris se doit donc d'être multidimensionnelle et d'enchâsser l'évolution linguistique de cette très grande ville dans une analyse crédible de son évolution démographique et sociale. Ce beau programme bute néanmoins contre un problème fondamental, que certains jugent insurmontable - celui des preuves. Paris possède une documentation linguistique vraisemblablement plus riche que les autres villes d'Europe, mais même là les sources historiques restent inadéquates. L'historien sociolinguistique se trouve ainsi en situation de paradoxe: construire des systèmes hypothétiques est toujours dangereux, mais faire de l'histoire sans faire d'hypothèses est impossible. Dans cette conférence je propose un rapide survol de l'histoire sociolinguistique de Paris depuis le XIIe s. jusqu'au milieu du XXe s. Je vais rapprocher deux ordres d'idées, le premier tiré de la théorie de l'urbanisation proposée par Hohenberg et Lees (1985), et le second inspiré des travaux sur le contact de dialectes menés par Peter Trudgill (1986). Les premiers offrent une périodisation du développement urbain en Europe en trois phases : la période pré-industrielle (XIe-XIVe s.), la période proto-industrielle (XVe-XVIIIe s.) et la période industrielle (XIX-XXe s.). Peter Trudgill, part du principe que si les communautés linguistiques vivant en autarcie ne sont pas inconnues, elles sont rares à l'époque moderne, et tout à fait inconnues dans les grandes villes, les villes étant les endroits privilégiés de contacts de dialectes, de mélanges dialectaux. Trudgill isole trois processus qui entrent en jeu lorsque les locuteurs de dialectes différents se trouvent en situation d'interaction fréquente: 'koinéisation', ''réallocation' et 'nivellement'. Nous chercherons à établir des corrélations entre les trois phases de l'urbanisation, identifiées par Hohenberg & Lees, et les principaux processus observés dans les cas de contact dialectal analysés par Trudgill. Mot(s) clés libre(s) : attitudes linguistiques, dialectes urbains, français, langues en contact, sociolinguistique, variation linguistique
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C2 - Le japonais dans la France du 21ème siècle : défis et perspectives par E. Lozerand
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LOZERAND Emmanuel
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, japonais (langue), langues vivantes (étude et enseignement), méthodes d'apprentissage (France)
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