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La biorobotique : de la mouche au robot et vice versa
/ Paris Tech ESPCI
/ Canal-u.fr
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Conférence expérimentale du 17 juin 2013 par Stéphane Viollet (CNRS Marseille).La biorobotique est une discipline au service des sciences de l’information et des neurosciences. Tout en apportant aux machines intelligentes des principes biologiques éprouvés par la nature depuis des millions d’années, cette entreprise pluridisciplinaire débouche sur une meilleure compréhension du vivant.
C’est ainsi que vous pourrez découvrir le fonctionnement d’un capteur optique biomimétique bien particulier, puisque inspiré de l’oeil de la mouche !Plus d'infos sur : http://www.espgg.org/Conference-experimentale-lundi-17,227 Mot(s) clés libre(s) : neuroscience, biorobotique, capteur bio-mimétique
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La révolution de l'apprentissage profond
/ Inria / Interstices
/ 25-01-2019
/
Bengio Yoshua
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Reconnaître un visage, compléter une phrase, gagner au jeu de go... Après plusieurs décennies de déconvenues, les machines intelligentes deviennent enfin réalité – grâce à des réseaux de plusieurs couches de neurones artificiels. Mot(s) clés libre(s) : intelligence artificielle, réseaux de neurones artificiels, apprentissage profond
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Quand les machines apprennent à l'aide des réseaux de neurones profonds
/ Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique / Interstices
/ 21-12-2018
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Lepetit Vincent, Jongwane Joanna
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Reconnaissance d'images, traduction automatique, voitures autonomes... Nombreux sont les domaines dans lesquels l'apprentissage profond ou deep learning est utilisé. Très en vogue, cette technique de l'intelligence artificielle est au cœur des progrès récents dans cette thématique scientifique. Vincent Lepetit, spécialiste du deep learning, décortique ce sujet complexe dans cet épisode du podcast audio. Mot(s) clés libre(s) : réseaux de neurones artificiels, deep learning, apprentissage automatique, vision par ordinateur
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Reconnaissance d’objets, une problématique résolue ? / Has object vision been solved?
/ INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
THORPE Simon
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The ability of humans to identify and categorize objects in complex
natural scenes has long been thought to be beyond the capacities of
artificial vision systems. However, recent progress in Deep Learning and
Convolutional Neural Networks has demonstrated that simple feed-forward
processing architectures composed of less than 10 layers of neurons can
achieve human levels of performance in object recognition tasks. It is
interesting to note that such processing architectures have a very
similar structure to the primate visual system. Could it be that we are
close to understanding how our brains recognize stimuli? I will argue
that the main problem with the current state of the art in computer
vision is that the learning procedures used are totally unrealistic.
Essentially, building such a system requires hundreds of millions of
training cycles of supervised learning. By contrast, our own visual
systems can learn new stimuli in a few tens of presentations. I will
suggest that more biologically realistic learning mechanisms based on
spike-based processing and Spike Time Dependent Plasticity (STDP) may be
much closer to the way our own visual systems operate, and allow our
visual systems to learn about objects in the visual world on the basis
of experience. Mot(s) clés libre(s) : neurosciences, information visuelle, extraction valeur des images
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Number-theoretic methods in quantum computing
/ INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique), CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, UNS, Région PACA
/ 28-04-2016
/ Canal-u.fr
SELINGER Peter
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An important problem in quantum
computing is the so-called approximate synthesis problem: to find a
quantum circuit, preferably as short as possible, that approximates a
given unitary operator up to given epsilon. Moreover, the solution
should be computed by an efficient algorithm. For nearly two decades,
the standard solution to this problem was the Solovay-Kitaev algorithm,
which is based on geometric ideas. This algorithm produces circuits of
size O(log^c(1/epsilon)), where c is approximately 3.97.
It was a long-standing open problem
whether this exponent c could be reduced to 1. In this talk, I will
report on a number-theoretic algorithm that achieves circuit size
O(log(1/epsilon)) in the case of the so-called Clifford+T gate set,
thereby answering the above question positively.
In case the operator to be approximated
is diagonal, the algorithm satisfies an even stronger property: it
computes the optimal solution to the given approximation problem. The
algorithm also generalizes to certain other gate sets arising from
number-theoretic unitary groups. This is joint work with Neil J. Ross. Mot(s) clés libre(s) : Solovay-Kitaev algorithm
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/ VSP - Vidéo Sud Production, Région PACA, INRIA, Université de Nice Sophia Antipolis, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SCHMID Cordelia
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Mot(s) clés libre(s) : analyse video, apprentissage, interprétation scène, reconnaissance video
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Les animats
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MEYER Jean-Arcady
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Contrairement aux ambitions affichées aux origines de la discipline, en 1956, les recherches en intelligence artificielle ont à ce jour largement échoué à reproduire l'intelligence de l'homme, même si un programme d'ordinateur a réussi à battre le champion du monde aux échecs. Quant aux robots modernes, ils ne brillent pas non plus par leur intelligence, même si certaines machines caniformes ou humanoïdes sont de véritables merveilles de technologie. De nombreux chercheurs estiment qu'il est largement prématuré d'espérer reproduire directement l'intelligence de l'homme tant qu'on n'aura pas compris comment elle s'est mise en place au cours de l'évolution. Aussi, dans le but de rechercher en quoi l'intelligence humaine s'explique à partir des processus adaptatifs les plus simples hérités des animaux - et plutôt que de viser directement à comprendre et à reproduire les performances les plus élaborées dont est capable le cerveau - ces chercheurs visent d'abord à synthétiser des animats, c'est-à-dire des animaux artificiels ou des robots réels dont les lois de fonctionnement sont aussi inspirées de la biologie que possible. L'objectif est d'attribuer à ces animats certaines des capacités d'autonomie et d'adaptation basiques qui caractérisent les animaux réels, de façon à leur permettre de "survivre" ou d'assurer leur mission dans des environnements plus ou moins imprévisibles et dangereux. Cette conférence évoquera quelques automates célèbres - du pigeon d'Archytas de Tarente au canard de Vaucanson, en passant par l'androïde de Léonard de Vinci - pour rappeler que la conception de machines inspirées du vivant a été de tout temps une préoccupation humaine. La structure générale d'un animat et son mode de fonctionnement seront ensuite décrits. Ils se caractérisent par le fait que l'animat acquiert des comportements efficaces par interaction étroite avec son environnement, grâce à son architecture de contrôle - équivalent du système nerveux d'un animal - reliant ses capteurs - équivalents des récepteurs sensoriels- à ses actionneurs - équivalents des organes moteurs. Puis divers exemples illustreront la façon dont les animats peuvent eux-mêmes améliorer ou se constituer une architecture de contrôle ou une morphologie adaptées, par des processus inspirés de la biologie comme le développement, l'apprentissage ou l'évolution des espèces. Enfin, à partir notamment de l'évocation des "biobots" - robots hybrides constitués à la fois d'éléments artificiels et d'éléments vivants - les avantages et les risques liés à ces recherches seront discutés. Mot(s) clés libre(s) : animal artificiel, apprentissage des robots, biobot, ethologie, intelligence artificielle, processus biomimétique, réseaux de neurones, robotique, sciences cognitives
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L'intelligence artificielle
/ Mission 2000 en France
/ 19-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HATON Jean-Paul
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L'intelligence artificielle (IA) a pour but de faire faire par une machine des tâches réputées intelligentes, que ce soit en s'inspirant du fonctionnement perceptif et cognitif humain ou non. Pour mener à bien cette tâche ambitieuse, l'IA est amenée à formaliser le savoir et les connaissances et à mécaniser les raisonnements dans les domaines de l'activité humaine. Les méthodes et techniques mises en oeuvre sont variées, pluridisciplinaires et souvent complémentaires : modèles symboliques fondés sur des connaissances, réseaux neuromimétiques, modèles stochastiques. Après un optimisme excessif des premiers travaux au cours des années 1950, l'IA a permis au cours des dernières années de mettre au point des applications pratiques résolvant des problèmes réels dans des domaines très divers tels que l'aide à la décision, le diagnostic, l'interprétation de signaux, la reconnaissance de la parole, le traitement du langage écrit, la robotique, l'interprétation d'images et la vision par ordinateur, les jeux, le réglage de machine, la conduite de processus industriels, etc. Ces domaines seront utilisés pour illustrer les principes et les méthodes présentées au cours de cette conférence. Les tendances actuelles de la recherche en IA ont trait à l'amélioration de la robustesse des systèmes mis au point, à l'approfondissement des connaissances dans un domaine d'activité et à l'interaction plus " naturelle " entre un utilisateur et une machine. Une autre tendance importante est l'intégration de l'IA dans des systèmes d'information plus généraux d'une entreprise ou d'une organisation. Mot(s) clés libre(s) : intelligence artificielle, mécanisme d'apprentissage, modèle statistique, modèle symbolique, réseaux neuromimétiques, simulation, système expert
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Réseaux d'automates: trente ans de recherche
/ VSP - Vidéo Sud Production, Région PACA, INRIA, Université de Nice Sophia Antipolis, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 20-10-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GOLES CHACC Eric Antonio
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Ma complicité avec ce sujet date de longtemps, pas tout à fait assez pour dire que j’y étais depuis le début, mais quand même.... Ainsi, je vais vous raconter comment on a obtenu, aux alentours de l'année 1979, les premiers résultats mathématiques sur la dynamique de ce qui s’appelle aujourd'hui les réseaux de neurones artificiels et qui font aujourd’hui partie du cursus classique de toute école d’ingénieurs. Puis, le succès de ces résultats m’a amené, à partir d’une étrange lettre que j’ai reçue au début de vacances à Grenoble, à me passionner pour les fourmis. Je suis quand même arrivé à tirer de certains modèles formels de ces séduisants insectes quelques résultats de complexité .... Et, s’il s'agit des fourmis, pourquoi pas les tas de sable? Beaucoup d’individus interagissant de façon simple, mais, avec des résultats globaux étonnants ? Et voilà que, à partir d'une suggestion que m’a faite le mathématicien L. Lovasz à un congrès à Sao Paulo vers la fin des années 1980 et les conversations que j’ai eues à Santiago et à Paris avec le cher feu Schutz (Marco Schützenberger), je me suis attaqué a ce sujet avec un tel succès que je peux dire sans trop me tromper que c’est moi qui ai inoculé cette maladie ou ce virus à un grand nombre de collègues français. Pour finir, si j’ai le temps, je voudrais vous faire rigoler un peu. Etant donné que je vous ai déjà parlé des fourmis je me permettrai de vous raconter mon histoire personnelle de cigale : je vous dirai pourquoi il y a des espèces qui ne chantent que tout les 17 ans et ... si jamais j’ai encore un petit brin de temps, je vous raconterai également comment des informaticiens et un physicien peuvent interpréter les phénomènes de ségrégation. Toute autre chose que je n’ai pas dite ici pourra être évoquée dans la conférence ou bien elle était inscrite dans la marge de ce cahier. Mot(s) clés libre(s) : colonie de fourmis, mathématiques discrètes, réseau neurones artificiel, réseaux neuronaux
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MOOC L'Intelligence Artificielle… avec intelligence !
/ INRIA, UNIT
/ 06-04-2020
/
ALEXANDRE Frédéric, VIEVILLE Thierry, DE QUATREBARBES Sophie
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L’IA vous fait peur ? Vous en entendez parler à toutes les sauces ? Les humains seraient bons pour la casse ? Mais c’est quoi l’intelligence (artificielle) au fait ? Class’Code IAI est un Mooc citoyen accessible à toutes et à tous de 7 à 107 ans pour se questionner, expérimenter et comprendre ce qu’est l’Intelligence Artificielle… avec intelligence !
Ce cours a pour but de : décrypter le discours autour de l'IA pour passer des idées reçues à des questions sur lesquelles s'appuyer pour comprendre, manipuler des programmes d'IA pour se faire une opinion par soi-même, partager une culture minimale sur le sujet, pour se familiariser avec le sujet au-delà des idées reçues, être en mesure de discuter le sujet, ses applications, son cadre avec des interlocuteurs variés pour contribuer à la construction des applications de l’IA Mot(s) clés libre(s) : intelligence artificielle, programmation objetIA, programmation informatique, apprentissage machine, polymorphisme, jeux de données, développement durable
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