|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La mégapolisation : le défi de la ville monde
/ Mission 2000 en France
/ 12-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MONNET Jérôme
Voir le résumé
Voir le résumé
"La mégapolisation peut être définie comme le processus qui donne une importance accrue aux villes géantes dans l'organisation de l'espace humain contemporain. Cette importance se reflète dans l'augmentation du nombre des mégapoles, de leur population et de leur rôle dans la création et les échanges de biens, de services, de richesses et d'informations. Au cours du 20e siècle, la mégapolisation a banalisé sur la planète la figure de la ville-monde, qui apparaissait autrefois, exceptionnellement, à l'apogée d'une civilisation : la Rome antique, la Byzance impériale, la Bagdad des Califes, la Babel du mythe, la Mexico-Tenochtitlan précolombienne, pour n'en citer que quelques-unes. Il s'agissait de villes qui étaient en leur temps le centre de leur monde ; leur complexité interne en faisait un monde en soi, reflet et matrice à la fois du monde extérieur. Le défi de notre temps, c'est de cesser d'interpréter et de traiter les mégapoles comme des exceptions, pour inventer les règles de gestion et de vie commune dans ces milieux cosmopolites probablement destinés à héberger la majorité de l'humanité." Mot(s) clés libre(s) : agglomérations urbaines, aménagement du territoire, croissance des villes, métropolisation, polarisation, urbanisme
|
Accéder à la ressource
|
|
ENS Lyon - La condition urbaine (Olivier Mongin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 10-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MONGIN Olivier, WORMSER Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
La question de la relation au territoire est aujourd’hui centrale. La mondialisation technologique et économique a des effets immédiats sur le territoire. Alors que les philosophes grecs ont pensé un espace d’agglomération (y compris des savoirs) et que la ville médiévale se vivait comme un espace de contacts très fort, en quelques siècles, nous sommes passés à un espace de proximité : un territoire de flux et de mobilité totale. Cet espace urbain conjoint un territoire et un imaginaire, sans quoi il ne serait pas habitable. Mot(s) clés libre(s) : condition urbaine, ENS Lyon, espace de proximité, espace d’agglomération, espace urbain, Gérard Wormser, imaginaire, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, mobilité totale, mondialisation, Olivier Mongin, territoire, territoire de flux, ville
|
Accéder à la ressource
|
|
La condition urbaine (Olivier Mongin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 10-05-2007
/ Canal-u.fr
MONGIN Olivier, WORMSER Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
La question de la relation au territoire est aujourd’hui centrale. La mondialisation technologique et économique a des effets immédiats sur le territoire. Alors que les philosophes grecs ont pensé un espace d’agglomération (y compris des savoirs) et que la ville médiévale se vivait comme un espace de contacts très fort, en quelques siècles, nous sommes passés à un espace de proximité : un territoire de flux et de mobilité totale. Cet espace urbain conjoint un territoire et un imaginaire, sans quoi il ne serait pas habitable. Mot(s) clés libre(s) : territoire, Olivier Mongin, mobilité totale, espace d’agglomération, espace de proximité, condition urbaine, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Gérard Wormser, ENS Lyon, imaginaire, ville, espace urbain, mondialisation, territoire de flux
|
Accéder à la ressource
|
|
La péri-urbanisation en France
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 29-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LABORIE Jean-Paul, LE CORRE Sébastien
Voir le résumé
Voir le résumé
Le péri-urbain est un espace complexe et polymorphe à l'interface de la ville et de la campagne, il peut être décrit selon différents indicateurs. De multiples moteurs sont à l'oeuvre pour créer ces espaces où les fonctions s'accumulent (habitats, commerces, activités). Sous cet angle, le périurbain apparaît comme une zone d'enjeux forts pour la gouvernance et la planification spatiale. (Entretien réalisé le 29 juin 2006)GénériqueInterview : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : Centre Audiovisuel et Multimédia, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, géographie urbaine, périurbanisation, relations villes-campagnes
|
Accéder à la ressource
|
|
ENS Lyon - Conjuguer bien commun, aspiration à l'autonomie et refus des contraintes (M-C Jaillet)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 17-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine, WORMSER Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
L'individu a été longtemps encadré par des systèmes de valeurs qui donnaient du sens à sa vie. Il était inséré dans des groupes organisés : la famille, l’usine, le syndicat, le parti... Il était établi dans des lieux : le quartier, la commune, le village... Cela produisait un individu relativement sécurisé, disposant d’une place (pas toujours choisie) dans la société.Aujourd’hui, ce système s'est désagrégé. Les relations doivent obéir au principe de la satisfaction et du libre choix. Mais l'individu y a gagné en liberté et en autonomie. Mot(s) clés libre(s) : autonomie, diversité sociale, ENS Lyon, Gérard Wormser, groupes organisés, individu, insécurité, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, liberté, libre choix, Marie-Christine Jaillet, mixité, sécurité, ségrégation urbaine, système de valeurs, ville
|
Accéder à la ressource
|
|
Conjuguer bien commun, aspiration à l'autonomie et refus des contraintes
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 17-11-2007
/ Canal-u.fr
JAILLET Marie-Christine, WORMSER Gérard
Voir le résumé
Voir le résumé
L'individu a été longtemps encadré par des systèmes de valeurs qui donnaient du sens à sa vie. Il était inséré dans des groupes organisés : la famille, l’usine, le syndicat, le parti... Il était établi dans des lieux : le quartier, la commune, le village... Cela produisait un individu relativement sécurisé, disposant d’une place (pas toujours choisie) dans la société.
Aujourd’hui, ce système s'est désagrégé. Les relations doivent obéir au principe de la satisfaction et du libre choix. Mais l'individu y a gagné en liberté et en autonomie. Mot(s) clés libre(s) : sécurité, ségrégation urbaine, mixité, Marie-Christine Jaillet, libre choix, groupes organisés, diversité sociale, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Gérard Wormser, ENS Lyon, ville, insécurité, autonomie, liberté, individu, système de valeurs
|
Accéder à la ressource
|
|
Urbaniser pour dépolitiser : la rhétorique du spatialisme et du localisme
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
GARNIER Jean-Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJean-Pierre Garnier s'intéresse ici aux violences urbaines, s'interroge sur leur définition et sur leurs origines. Il précise ainsi qu'il s'agit des violences "qui troublent l'espace public urbain". Il montre ensuite que le fait de qualifier un problème d'urbain est une façon de neutraliser le conflit et de nier la division, en un mot de dépolitiser le problème. Il s'intéresse ensuite au traitement de ces violences par le recours à deux idéologies : l'idéologie du spatialisme et celle du localisme. Le spatialisme consiste à transfigurer les problèmes sociaux en problèmes dus à un certain type d'espace. C'est une idéologie en vertu de laquelle le cadre de vie détermine très largement le mode de vie : la configuration du bâti conditionne les comportements. Le localisme est une démarche qui consiste à formuler, étudier et traiter les problèmes là où ils se posent : au lieu de remonter aux processus globaux générateurs des violences, on se borne à traiter les conséquences locales. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : insécurité, politique urbaine, violence urbaine
|
Accéder à la ressource
|
|
Le spectre des Roms. Racialisation, Europe et démocratie
/ Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire - Université de Caen Basse-Normandie, Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ 24-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FASSIN Eric
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette conférence a été enregistrée dans le cadre du colloque Roms, Tsiganes et gens du voyage qui s'est tenu à Caen les 24 et 25 novembre 2011, organisé par le Centre de Recherche sur les Droits Fondamentaux et les Évolutions du Droit (CRDFED). L'objectif était de mieux connaître les populations concernées et de comprendre comment les politiques publiques et le droit les appréhendent. Derrière ces différentes dénominations se pose la question de l'appréhension de la figure de l'autre, des catégorisations et possibles discriminations que ces dernières induisent. Ont été examinés la liberté d'aller et venir, les droits politiques et sociaux et l'encadrement du droit interne par le droit international et européen.Pour parler des Roms, des tsiganes et des gens du voyage, est-il besoin de compétences particulières ? À écouter les discours publics, apparemment pas. De fait, il conviendrait de distinguer les Roms, un nom mais aussi un groupe parmi d’autres dans le spectre de ces populations stigmatisées, des « Roms », entre guillemets, figure rhétorique dans le discours public actuel, sans grand rapport avec la réalité empirique des personnes sur lesquelles elle n’en a pas moins des effets bien réels. C’est donc, non pas sur les Roms, faute de compétence, mais sur les « Roms », soit la « question Rom », que porte cette communication.Dans un premier temps, on s’emploie à resituer les « Roms » parmi diverses figures de l’autre, comme « l’Islam », les « Noirs », les « immigrés » ou les « enfants d’immigrés », etc. (à distinguer pareillement de l’Islam, des Noirs, des immigrés et de leurs enfants…). Dans ce spectre, l’altérité n’est pas tant liée à des propriétés intrinsèque qu’à une distinction, constamment réactivée, entre « eux » et « nous », qui ne cesse de mettre en scène des figures de l’autre pour dessiner en creux quelque chose comme une identité nationale racialisée – une France (ou une Europe) blanche, de souche.La suite de cette communication s’attache toutefois, non plus à l’interchangeabilité relative de ces figures de l’autre, mais à la spécificité de la « question Rom », autour de deux points – l’un géographique, et l’autre historique – que la controverse de 2010, entre la France et l’Europe, a rendus visibles. D’abord, et c’est l’objet de la deuxième partie, si les discours identitaires et, en miroir, les multiples figures de l’autre traversent aujourd’hui l’Europe, elles n’ont pas la même « valence » dans différents contextes. C’est ainsi que « l’Islam » a bien moins de réalité à l’Est qu’à l’Ouest. En revanche, on pourrait dire que depuis la chute du Mur de Berlin, et avec l’élargissement de l’Europe, le spectre « Rom » parcourt l’Europe entière, jusqu’à devenir une figure négative de son identité.Ensuite, dans un troisième temps, on peut souligner une deuxième spécificité de la question « Rom » aujourd’hui, qui est de nature historique. En effet, l’Europe s’est construite sur les ruines de la Deuxième guerre mondiale, en tirant les leçons du racisme nazi : « plus jamais ça ! » Aussi l’antisémitisme n’a-t-il plus droit de cité. Si le racisme revient, c’est donc, d’ordinaire, sous des formes renouvelées, qui se parent des atours d’une logique démocratique – et singulièrement de ce que j’appelle « démocratie sexuelle » : les « autres » traiteraient moins bien les femmes (voire les homosexuels) que les « nôtres ». Or la « question Rom » ne s’autorise guère de justifications démocratiques. Le spectre « Rom », c’est donc aussi le spectre des années 1930. Mot(s) clés libre(s) : Démocratie, Identité, Minorités, Roms, Ségrégation, Territoire
|
Accéder à la ressource
|
|
Projet politique urbain et mise en oeuvre d'une politique sociale municipale / A.-G. Beau-Castagnac
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 02-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BEAU-CASTAGNAC Anne-Guite
Voir le résumé
Voir le résumé
Intervention d'Anne-Guite Beau-Castagnac (conseillère technique auprès du maire, mairie de Toulouse) dans le cadre du colloque "Le travail social à l'épreuve du management et des impératifs gestionnaires" organisé par l’Université Toulouse II-Le Mirail (Formation Continue, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités-Sociétés-Territoires, Centre de Promotion de la Recherche Scientifique). Université de Toulouse II-Le Mirail, 1-3 juillet 2009.Deuxième séance pléniaire : Analyse des transformations provoquées dans les structures et les pratiques : l'engagement des acteurs. Mot(s) clés libre(s) : action sociale, France), politique publique (Toulouse, politique sociale, politique urbaine
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|