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Université de Franche-Comté
/ 13-12-2008
Park Changun
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Les programmes d’enseignement sud-coréens ont été élaborés en 1945 sous l’influence des Etats-Unis et des théories pédagogiques américaines de l’époque, toujours utilisées à l’heure actuelle lors de l’élaboration de nouveaux programmes. Ces programmes ont été systématiquement réformés à chaque changement de pouvoir sous l’impulsion des gouvernements mis en place, et donc avant tout désireux de s’assurer une certaine légitimité et d’introduire dans les manuels un certains nombre d’éléments propres à leurs idéologies. Bien qu’un certain nombre de mesures aient été officiellement mises en œuvre par la sphère gouvernementale afin de consulter les acteurs du monde de l’éducation, ces derniers n’ont cependant pu participer effectivement aux réformes, et diverses exigences sociales n’ont pas été prises en compte. Notre travail s’articule autour de six parties. La première permet de cerner certains événements socio-historiques marquants et d’expliquer la terminologie employée. La deuxième analyse la structure et l’évolution des systèmes d enseignement en Corée du Sud. La troisième définit les différentes théories relatives à la constitution des programmes, illustre les points de vue traditionnellement adoptés et présente l’approche synthétique qui sert de base à notre étude. Les quatrième et cinquième parties traitent respectivement de la méthodologie et du modèle de recherche. La dernière fournit des explications détaillées sur l’organisation, les structures décisionnelles et les procédures administratives intervenant au cours de l’élaboration, de la publication et de la diffusion de ces programmes et de ces manuels.
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Université de Franche-Comté
/ 23-05-2007
Bouvard Alexandre
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En Europe, l actualité revient régulièrement sur la violence à l école. Les premières études menées depuis une dizaine d années, en particulier par l Observatoire Européen de la Violence Scolaire (OEVS), font apparaître une situation sérieuse auquel aucun type d établissement n échappe. Il y a toujours eu des élèves difficiles, cette notion n est pas nouvelle, mais elle semble aujourd hui prendre un sens nouveau dans un contexte de remise en question des fondements d un système scolaire qui peine à s adapter à la massification. La constatation est faite que la violence à l école a acquit le statut de problème social. Cette violence au sein de l école a déjà été approché par des chercheurs qui ont, loin de dégager un facteur d explication unique, montré un enchevêtrement de processus, d évènements familiaux, scolaires, juvéniles qui, dans leurs recoupements mutuels, créent les conditions favorables aux parcours de rupture scolaire. L intégration d un individu dans la société comme dans les établissements scolaires nécessitant à la fois attachement, croyance, engagement et implication c est-à-dire à la fois la création de liens affectifs puissants, l intégration intense en un milieu et l adhésion aux valeurs de ce dernier. Notre recherche prend en compte les stratégies d attachement, l estime de soi ainsi que la structure du système de valeur afin de mettre à jour la façon dont les comportements a-sociaux en milieu scolaire peuvent êtres liés à l histoire développementale des sujets et à leur inscription dans des groupes d appartenances.
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Université de Franche-Comté
/ 24-11-2006
Ndawouo Fandio Martine
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Analysant le discours de formation au Cameroun de 1982 à 2002, l’étude s’intéresse au corpus des méthodes et textes qui ont servi de support à l’enseignement du français et de l’anglais, langues officielles et langues d’enseignement dans les cycles maternel, primaire et secondaire. Bien qu’elle s’inscrive globalement dans la perspective pragmatique, la démarche n’est pas moins pluridisciplinaire : elle s’intéresse à comment le langage se met en action, comment ce dernier puise dans les ressources d’un système de signes et surtout, quelle est sa place dans l’univers des relations sociales qui lient les hommes entre eux et au monde. L’étude rend ainsi compte des possibles interprétatifs du discours de formation, lesquels à leur tour, génèrent des représentations qui surgissent et se cristallisent au point de rencontre des processus de production et d’interprétation et qui sont susceptibles d’influencer notablement la personnalité individuelle et collective des sujets apprenants. L’analyse constate que, par les représentations androcentristes qu’il charrie, le discours de formation du corpus semble préparer les sujets apprenants, futurs acteurs sociaux, à une socialisation différentielle, en fonction des sexes. Bien qu’elle ne propose pas des solutions immédiates, l’étude montre l’urgence de la prise en compte du paradigme « genre » dans le choix des images, des graphismes, des textes littéraires et autres documents authentiques auxquels a recours l’enseignement des langues officielles, afin que le discours de formation ne soit plus en porte-à-faux avec le discours politique dominant et même la réalité sociologique.
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