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Teacher education and ICT integration: Jozef Colpaert
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Reassuring lies versus inconvenient truths.
One of the major challenges in teacher education is to convince pre-service teachers, our students, that they should (become able to) determine for themselves which technologies to use, when, where, how and why. Preferably in a methodological and justifiable way. This provocative statement stems from two conflicting phenomena. On the one hand, technology is evolving so quickly that it does not make sense to build a course around specific systems or applications as they might have become obsolete once our students start to teach in the real world. On the other hand, our students expect their professors to explain in detail which technologies to use and, more importantly, how to use them. Students in teacher education are often reluctant (or afraid?) to think for themselves, and false assumptions and myths permeate their vision on the role of ICT in learning and teaching.
In this presentation Jozef Colpaert will present and discuss the inconvenient truths he has been confronted with over the last two decades. He will show how periods of hypes and myths alternated with periods of common sense, and how current beliefs can be classified under ‘blurred ontologies’: flipped classrooms, digital natives, blended learning, MOOCs, digital pedagogy, etc.
EuroCALL Teacher Education SIG Workshop
Nice, 22-23 May, 2014 Mot(s) clés libre(s) : apprentissage des langues, TICE, didactique des langues, Accompagner les enseignants aux usages pédagogiques du numérique
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SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour un patient d’origine africaine. QUESTIONS.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FAYEMI P.
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Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine. QUESTIONS.Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, FranceRésumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mortLes africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funérairesMélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, origine africaine, rites funéraires, SFAP 2011, soins palliatifs, tradition
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SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FAYEMI P.
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Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, FranceRésumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mortLes africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funérairesMélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, origine africaine, rites funéraires, SFAP 2011, soins palliatifs, tradition
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SFAP 2011 – Soigner sans espoir de guérir.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
KAHN A.
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Titre : SFAP 2011 – Soigner sans espoir de guérirAuteur(s) : A. KAHN. (Président de l’Université René Descartes, Parie- France ).Etablissement : Université René DescartesRésumé : Soigner sans espoir de guérir. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Plénière 5- Médicalisation et sens du mourir aujourd’hui.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, SFAP 2011, soigner, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Soigner sans espoir de guérir QUESTIONS.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
KAHN A.
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Titre : SFAP 2011 – Soigner sans espoir de guérir QUESTIONSAuteur(s) : A. KAHN. (Président de l’Université René Descartes, Parie- France ).Etablissement : Université René DescartesRésumé : Soigner sans espoir de guérir. QUESTIONL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Plénière 5- Médicalisation et sens du mourir aujourd’hui.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, SFAP 2011, soigner, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier en soins palliatifs.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
KAECH F.
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Titre : SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier ressource en soins palliatifs (IRPS) dans les maisons de retraites médicalisées et au domicile (ARCOS).Auteur(s) : F. KAECH (assistant de recherche à Lausanne – Suisse).Etablissement : Institut des Sciences Sociales, Université de Lausanne, Suisse,Résumé : Dans le cadre du Programme Cantonal Vaudois de développement des soins palliatifs, le réseau de soins lausannois (ARCOS) avec le soutien de la santé publique a créé le statut et l’institutionnalisation du rôle d’Infirmier-ère Ressource en Soins Palliatifs (IRSP). Le but de ce dispositif est de renforcer la prise en charge des patients en situation palliative en maison de retraite médicalisée (EPHAD) et au domicile. La mise en œuvre d’une telle démarche repose sur la formation d’une partie du personnel de santé de première ligne de ces institutions, qui opère en tant que ressource pour le reste du personnel. Cette recherche analyse, à partir des points de vue croisés des IRSP et des responsables institutionnels, le rapport des infirmiers(ères) à leur rôle d’IRSP, ainsi que les freins et les facteurs favorisant l’application de ce rôle au sein de leurs contextes institutionnels respectifs..L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Opioïdes et benzodiazépines avant l’admission en soins palliatifs.Questions.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TARDIF F.
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Titre : SFAP 2011 – L’utilisation des opioïdes et des benzodiazépines selon le milieu de vie avant l’admission en soins palliatifsAuteur(s) : F. TARDIF (coordonnateur équipe de recherche – Québec – Canada).Etablissement : Centre de Recherche en CancérologieRésumé : Les patients atteints de cancer avancé expriment le souhait de prolonger le temps passé à domicile avant leur admission en unité de soins palliatifs pour la phase terminale. Cependant, il demeure difficile d’identifier les facteurs provoquant l’admission en unité de soins palliatifs. La prise de médicaments, une donnée fiable et reproductible, peut nous orienter vers les facteurs potentiellement impliqués dans cette admission. Le but de cette étude est d’explorer les variables pharmacologiques associées à la provenance des patients admis en unité de soins palliatifs.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, benzodiazépines, opioïdes, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Maladie incurable, décès : expérience italienne Padi-A.R.T. destinée aux jeunes.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CASTELLO A.
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Titre : SFAP 2011 – Maladie incurable, décès : expérience italienne Padi-A.R.T. destinée aux jeunes.Auteur(s) : A. CASTELO (Formatrice – Bettola – Italie)).Etablissement : Association Paulo Parra pour la Recherche sur la Fin de Vie, Bettola, Italie.Résumé : Padi - mots murmurés est un parcours destiné aux jeunes des écoles primaires et secondaires créé en 2000 par l'A.R.T, Association Paulo Parra pour la Recherche sur la Fin de Vie. Ce parcours vise à aider les plus jeunes à affronter des thèmes souvent ignorés : émotions difficiles, douleurs, souffrances, maladies et fin de vie. L'acronyme PADI (en italien) dérive de PA (parole-mots) DI (discrète-murmurés). Les données recueillies grâce à un questionnaire à l’issue de dix années d'activité, l'avis positif des enseignants, élèves et des parents démontrent que Padi répond aux besoins des jeunes de pouvoir parler ouvertement de leurs peurs, émotions, angoisses sur ce sujet qui peut difficilement s’exprimer.La méthodologie est de type expérientiel. Une constante recherche pédagogique permet l'utilisation de techniques d’approches psychologiques et culturelles appliquées au soutien au deuil et à la gestion des émotions : jeux psychologiques, témoignages de vie, partage en groupe et techniques de visualisation élaborées ad hoc par l'équipe Padì. Le travail est centré sur les émotions, en particulier sur celles liées à des épisodes de souffrance, sur la prise de conscience du Soi et sur l'écoute de l'Autre.Le but de Padì est de créer un cadre protégé dans lequel les jeunes se sentent libres d'exprimer leur vécu sans craindre jugement ou dérision. L'implication active de l'enseignant est obligatoire dans toutes les rencontres.Padi a été réalisé en Italie également dans le but de sensibiliser les jeunes sur les soins palliatifs. Significatives sont les collaborations avec des équipes de soins palliatifs en structure ou à domicile.Lorsqu’un malade a de jeunes enfants, il est parfois difficile pour l'équipe soignante de trouver l'espace, le temps et les méthodes les plus adéquates pour offrir un soutien adapté aux plus jeunes impliqués dans le drame familial. Le manque de formation spécifique est souvent une limite ressentie par les opérateurs. D’où, le besoin de compter sur la collaboration de professionnels extérieurs compétents et experts.Chaque phase du travail de l’équipe Padi est partagée avec les soignants. Se développent ainsi, aux dires des mêmes opérateurs, de précieuses occasions de croissance sur un thème souvent encore absent des parcours de formation.Depuis quelques années, la multi-culturalité est au centre de l’attention des soignants. Pour les jeunes émigrés, à la souffrance de la maladie ou du deuil, s’ajoute celle des barrières culturelles, linguistiques et de l’éloignement de la famille et du pays. C’est une réalité délicate à laquelle sont confrontées les nations accueillant des émigrés. La méthode Padi s’y adapte en intégrant des éléments du contexte culturel et/ou religieux du jeune émigré pour optimiser la relation d'aide.L’A.R.T. propose, dans le cadre du congrès de la SFAP, une expérimentation et un partage d’expériences pour tracer des lignes-guides utiles pour tous.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, maladie incurable, Padi, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – L’utilisation des opioïdes et des benzodiazépines avant l’admission en soins palliatifs
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TARDIF F.
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Titre : SFAP 2011 – L’utilisation des opioïdes et des benzodiazépines selon le milieu de vie avant l’admission en soins palliatifsAuteur(s) : F. TARDIF (coordonnateur équipe de recherche – Québec – Canada).Etablissement : Centre de Recherche en CancérologieRésumé : Les patients atteints de cancer avancé expriment le souhait de prolonger le temps passé à domicile avant leur admission en unité de soins palliatifs pour la phase terminale. Cependant, il demeure difficile d’identifier les facteurs provoquant l’admission en unité de soins palliatifs. La prise de médicaments, une donnée fiable et reproductible, peut nous orienter vers les facteurs potentiellement impliqués dans cette admission. Le but de cette étude est d’explorer les variables pharmacologiques associées à la provenance des patients admis en unité de soins palliatifs.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, benzodiazépines, opioïdes, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – L’alliance soignants en soins palliatifs et l’accompagnement au deuil.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MAURO C.
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Titre : SFAP 2011 – L’alliance entre soignants en soins palliatifs et chambre mortuaire dans l’accompagnement au deuil. Auteur(s) : C. MAURO (psychologue – Lomme - France).Etablissement : Unité de Soins Palliatifs, Centre Hospitalier Saint Philibert, Lomme, France.Résumé : La mort survient aujourd’hui le plus souvent en dehors de l’espace privé où l’on avait vécu, accompagnée de soignants investis pleinement auprès du patient et de sa famille. Les questions formulées et recueillies dans l’instant du mourir sont nombreuses et complexes. Certaines, au-delà des tabous, de la culpabilité, de la gêne, concernent l’après, le devenir du corps mort, les démarches à entreprendre, et dans cette continuité les modalités d’organisation des obsèques à venir.L’objectif de notre propos est de mettre en évidence les modalités d’accompagnement de ces demandes intimes et douloureuses au travers le travail de liaison nécessairement mis en place entre les soignants de l’unité de soins palliatifs et les soignants en chambre mortuaire. Nous fonderons notre développement à partir des résultats obtenus à l’issue d’une thèse de doctorat en psychologie et sur la base de rencontres cliniques.Nous tenterons de faire valoir les différentes missions de ces soignants singuliers (information auprès des équipes pour la préparation du corps, accueil et recueil des premiers souhaits de la famille, respect des croyances et des rites funéraires, réalisation de la toilette mortuaire, présentation du défunt, réalisation des démarches administratives, travail de liaison avec les pompes funèbres,préservation et respect du corps,…) afin de mettre en évidence le sens profond que recouvre cette complémentarité avec l’équipe de l’unité de soins palliatifs et les enjeux psychiques tant du point du vue du patient (réassurance, information…), que de sa famille (présence sécurisante, réappropriation du défunt, possibilité d’un recueillement, apaisement des stigmates de souffrance du patient décédé, accompagnement au deuil… ) et des soignants de cette équipe (alliance thérapeutique…).Les perspectives de ce travail sont multiples : renforcer les valeurs d’humanitude, donner une place et réinscrire le mort dans la communauté, être au plus près des besoins dans l’accompagnement du deuil, préparer l’indispensable travail de mémoire.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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