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Colloque de Caen 66 : émergence d'une nouvelle discipline
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Normandie
/ Canal-u.fr
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Appel à la Recherche, à la formation, à la professionnalisation au colloque de Caen de 1966 et émergence des Sciences de l'éducation comme discipline universitaire
Cet entretien,donné à
l’occasion du 50èmeanniversaire du Colloque de Caen de 1966, s’est
tenu dans le cadre des Journées
scientifiques Coordination –
collaboration : quelles compétences collectives ? organisées
par le CERSE les 2 et 3 mars 2016.
Le Colloque de Caen de
1966, organisé par l’Association d’Études pour l’expansion de
la Recherche scientifique (AEERS), constitue, avec le Colloque
d’Amiens qui l’a suivi en mars 1968,
une date importante dans le processus de modernisation de
l’Université française, alors appelée à s’ouvrir à la
question de la professionnalisation (« d’enseignements de
préparation à la vie professionnelle ») et à celle d’une
recherche scientifique susceptible de rénover et d’enrichir la
production industrielle. Pour assurer la formation des enseignants,
au cœur des débats au même titre que « la formation permanente »,
les participants en appellèrent – en particulier – au
développement des recherches sur l’éducation. C’est ce moment
qui est évoqué par un entretien de Jean-Yves Bodergat avec Francine
Best, qui participa à ce colloque, ainsi qu’à celui d’Amiens.
Francine Best est
présidente d’honneur des Ceméa, inspectrice générale honoraire
de l’Éducation Nationale, directrice
honoraire de l’INRP, présidente du GREF de 1992 à 1998, ancienne
présidente du Comité Français pour la Décennie des Nations Unies
concernant l’Éducation aux Droits de l’Homme, ancienne
vice-présidente du comité d’organisation du centenaire de
Célestin Freinet. Elle a notamment publié Pour une pédagogie de
l’éveil (Armand Colin,1973), Pour l’expression
(Nathan, 1976), L’adolescent dans la vie scolaire (Nathan,
1978), Vers la liberté de parole (Nathan-INRP, 1978),
L’échec scolaire (Que-sais-je ? PUF, 1997), Tous
les êtres humains…éducation aux droits de l’Homme
(Ed.UNESCO, 1998). Francine Best est une grande
figure de la pédagogie en France. Mot(s) clés libre(s) : sciences de l'éducation, activités d'enseignement et de recherche, shs
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Transmettre et percevoir
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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« Mise en présence » des enjeux d’incorporation
dans une expérience de recherche chorégraphique
Le format hybride de cette intervention, au croisement de la «recherche-création» et de la
« conférence dansée », représente une étape de ma recherche chorégraphique et doctorale.
Il me permet de présenter un moment de pratique théorique qui peut nous aider à questionner la
création contemporaine en danse et à développer des hypothèses d’analyse à partir de la perception
sensible du mouvement et des modalités du langage utilisé en situation. La création en danse
contemporaine est une rencontre, elle est le lieu et le temps d’un partage. Il s’agit d’un rapport
interactif où la transmission de la danse singulière du chorégraphe investit le danseur à part entière
avec toutes ses ressources, humaines et professionnelles. Dans mon intervention une danseuse (une de
mes collaborateurs, ma sœur) expose son corps aux variables suggérées par la chorégraphe/chercheuse
(moi-même). Ce corps et ses réactions sont analysés en fonctions des prémisses chorétiques et des
résultats obtenus.
Alessandra Sini est doctorante à l’Université de Nice Sophia Antipolis, danseuse, enseignante et
chorégraphe pour la compagnie « Sistemi dinamici altamente instabili ». Elle étudie le corps et ses
transformations dans la recherche chorégraphique italienne récente en articulant pratiques
artistiques et champ théorique.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, analyse, pratique, activités d'enseignement et de recherche, chorégraphie
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Qui est Rudolf Laban?
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Perspectives théoriques et méthodologiques pour la
construction d’un objet de recherche
Rudolf Laban (1879-1958) a été danseur, chorégraphe, théoricien du mouvement, écrivain, pédagogue,
organisateur, inventeur d’une nouvelle méthode de notation du mouvement, peintre, caricaturiste et
conseiller pour l’industrie. Il a aussi travaillé dans la publicité. Son influence a été décisive pour la
naissance et la diffusion de la danse moderne et sa carrière, autant extraordinaire que controversée, a
été l’objet de nombreuses études. Cette communication présentera comment l’objet d’étude « Rudolf
Laban » a été construit à différents moments de l’historiographie européenne et américaine de la
danse, en mettant en évidence les horizons disciplinaires, théoriques et méthodologiques qui ont
dessiné les marges des ces recherches ainsi que leurs lignes interprétatives. L’analyse de cet exemple
vise à faire émerger les difficultés que l’historiographie de la danse a connu au niveau international
pour se structurer sur des bases solides et conscientes. Sera ainsi mis en lumière le potentiel offert par
les approches (inter)disciplinaires récentes.
Susanne Franco est chercheuse à l’Université de Salerno. Elle a publié plusieurs articles et ouvrages
sur la danse moderne et contemporaine et sur la métodologie de la recherche. Elle dirige la collection
« Dance for Word/Dance Forward. Interviste sulla coreografia contemporanea ».
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, méthodologie, mouvement, notation, activités d'enseignement et de recherche, Laban
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Penser l’archive audiovisuelle pour la recherche en danse
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Etude de cas: le
Fonds d’Archives Numériques Audiovisuelles Bagouet-Carnets Bagouet de
FANA Danse Contemporaine
L’usage diversifié de la vidéo dans les pratiques chorégraphiques artistiques depuis les années 1960,
relayé depuis une dizaine d’années par les possibilités de diffusion numérique change et devrait
changer encore profondément les méthodologies et les constitutions d’objets d’étude et des sources
pour la recherche en danse. Face à cette prolifération des documents audiovisuels, nous voudrions
réfléchir cette mutation pour la recherche en danse, poser globalement la question du document
audiovisuel mais aussi de ses cadres d’archivage numérique comme « sources » pour l’histoire et
l’esthétique de l’art chorégraphique.
Aurore Després est Maître de conférences en Esthétique de la Danse à l’Université de Franche-
Comté, équipe de recherche CIMArtS (Création, Intermodalité, Mémoire dans les Arts du Spectacle)
au sein d’ELLIADD - EA 4661, responsable du Diplôme Universitaire Art, danse et performance créé
en 2011 et de F.A.N.A Danse Contemporaine au sein de FANUM de l’Université de Franche-Comté-
MSHE Ledoux.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, méthodologie, audiovisuel, archives, activités d'enseignement et de recherche, Recherche
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La recherche-création avec/en danse
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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En partant d’une expérience concrète, une recherche menée à Nice dans le cadre d’une thèse doctorale
en Arts : Danse, je propose une réflexion sur des questions méthodologiques concernant la recherche-
création « avec » et « en » danse : quelles méthodes spécifiques sollicitent ce mode de recherche ?
Comment ces méthodes affectent le domaine de la recherche académique et celui de la création
artistique?Qu’est-ce que les pratiques artistiques en danse peuvent apporter à la recherche
universitaire ? Quelles formes d’écriture peuvent accompagner ces pratiques ? À quelles formes
d’écriture peut conduire l’étude de ces pratiques dans un contexte académique ?
Marian del Valle est chorégraphe et danseuse, Docteure en Art : Danse (Université de Nice Sophia
Antipolis). Elle est chercheure associée à l’Université Saint Louis (Bruxelles) au Centre de Recherche
sur les Arts Performatives (CAP) et chargée de cours à l’Université Lille 3.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, méthodologie, art, performance artistique (poésie), activités d'enseignement et de recherche
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Construire la mémoire, construire l’oubli.
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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Serge Lifar et les Ballets Russes
Serge Lifar (1905-1986), danseur des Ballets Russes de Serge Diaghilev (1923-1929) et maître de
ballet à l’Opéra de Paris (1930-1945 ; 1947-1958), a bâti sa formidable renommée en se présentant
comme l’ « héritier » de Diaghilev. Grâce à l’écriture de nombreux textes, grâce à des expositions
d’objets sur les ballets russes et grâce à des ventes aux enchères, Lifar a « administré » la construction
de la mémoire de Diaghilev et de son répertoire. Son obsession pour les documents et l’archive (à
retenir, cacher, publiciser), son attachement au rôle crucial du mot et son recours à des « nègres »
(dont le plus prestigieux fut le fameux pouchkiniste et ami de Diaghilev, Modest Liudvigovich
Hofmann, le montrent comme un homme hanté par l’histoire et et soucieux de s’ancrer culturellement
dans la nouvelle patrie française.
Patrizia Veroli est historienne de la danse et chercheurse indépendante. Elle a écrit et dirigé plusieurs
livres, notamment sur la danse au XXème siècle et sur les Ballets Russes, privilégiant une approche
historique et issue des Cultural Studies. Elle est présidente d’AIRDanza depuis 2010.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, histoire, Russie, activités d'enseignement et de recherche
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L'EHESS se mobilise en soutien aux universitaires turcs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 13-04-2016
/ Canal-u.fr
DUCLERT Vincent, BOZARSLAN Hamit, BALIBAR Etienne, CALAME Claude, ESKIIZMIRLILER Sélim, FASSIN Eric, SAINT-SAENS Isabelle, TAYLAN Ferhat, ESCADAFAL Alain, ZARAKOLU Ragıp, ÖZKORAY Erol
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L’EHESS s’est mobilisée en organisant une réunion d’information le 18
janvier 2016 et une conférence, le 13 avril 2016 sur la répression des
universitaires de Turquie dans leur action pour la paix.
Depuis plusieurs années, la Turquie lutte pour la liberté de
recherche et d’enseignement, un combat qui s’est accentué depuis 2010.
La répression s’est traduite par l’emploi de la loi « anti-terreur »
débouchant sur des procès et des mises en détention pour « terrorisme »
ou pour « complicité de terrorisme ». C’est à la suite de ces événements
que le Groupe International de travail « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie » a été créé.
Les intervenants, enseignants-chercheurs ou militants des droits de
l’homme, ont donné des informations détaillées permettant de juger de
l’ampleur de la répression du gouvernement turc, invitant à créer un
Comité international de soutien aux Universitaires pour la paix.
Parmi les actions citées, certaines relèvent du domaine judiciaire.
Des enseignants ont par exemple été envoyés en prison durant dix jours ;
des signataires de pétition et organisateurs d’une conférence de presse
ont été arrêtés suite à l’accusation de « propagande pour une
organisation terroriste ». D’autres actions s’apparentent à une forme de
harcèlement institutionnel : licenciements, exclusions de jury et de
direction des départements, annulations de bourses pour les étrangers,
procédures disciplinaires pour « propagande terroriste » ou « insulte
aux institutions et à la République turque ». A celles-ci s’ajoutent des
actions d’intimidation, telles que les menaces adressées aux proches,
le marquage des portes par une croix (parfois accompagnée d’un message
de menace dans certaines universités comme celle de Gazi) et une
pression pour quitter la ville d’enseignement.
Après avoir exposé la situation, des enseignants-chercheurs de
Suisse, d’Istanbul, d’Allemagne et des Etats-Unis ont pu témoigner par
visioconférence des faits dénoncés et montrer leur soutien à la Turquie.
Une chercheuse a par exemple lancé le hashtag #Raiseyourpenforfreedom,
qui invite les internautes à se prendre en photo avec un stylo levé à la
main et de le « poster » sur Twitter en signe de solidarité, afin de ne
pas laisser cette répression inconnue du grand public.
Dans l’ensemble, cette conférence a permis de dresser le constat,
terrible, de l’ampleur des injustices subies par les universitaires
turcs et de susciter l’espoir d’une mobilisation durable par la création
du Comité international de soutien aux Universitaires pour la paix.
Intervenants : Cagla Aykac, Etienne Balibar, Hamit Bozarslan,
Claude Calame, Yves Deloye, Vincent Duclert, Selim Eskiizmirliler, Eric
Fassin, Elise Massicard, Isabelle Saint-Saens, Engin Sustam. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, Turquie, libertés publiques, activités d'enseignement et de recherche, Erdogan
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Le Master "Histoires des sciences, technologies, sociétés"
/ Canal-u.fr
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Les études sur les sciences et techniques ont connu de profonds
développements depuis une quarantaine d'années. Ceux-ci ont affecté la
façon dont historiens et philosophes interrogent tant la production des
savoirs que ses contextes. Ils ont conduit tant à des ouvertures
fructueuses avec les différentes formes d’histoire (sociale, culturelle,
micro-histoire, histoire globale) qu’à des rencontres avec les sciences
sociales (sociologie, anthropologie, études de genre, économie).Ce master propose une formation à l’ensemble de ces
approches. Il vise à inscrire l’étude des sciences dans une perspective
large, au croisement de l’histoire et des sciences sociales.
Il s’agit donc de penser les sciences et les
savoirs dans leurs modes d’existence sociaux et historiques, ce qui
conduit notamment à :
confronter les différentes approches des sciences.
exposer les dynamiques d’élaboration et d’usage des savoirs dans une perspective qui varie.
présenter les interrogations relatives aux
sciences et aux choix technologiques contemporains, qui constituent une
dimension essentielle du gouvernement des sociétés.
assurer aux étudiants un travail collectif sur
les sources, les méthodes et les outils de recherche, ainsi qu'un suivi
personnalisé des parcours.
La mention dispense donc des enseignements en histoire des sciences, histoire des techniques et études sociales des sciences.
Ceux-ci concernent une grande variété de domaines
(des sciences de l’homme aux mathématiques), de périodes (de l’Antiquité
au temps présent) ou de thèmes (des formes de visualisation à
l’expertise en passant par les rapports à l’économie ou au droit).
La formation associe séminaires introductifs et séminaires de recherche spécialisés. Elle comprend :
des enseignements d’histoire des sciences et des techniques par grande période historique.
des enseignements sur les différentes formes de
savoirs et de pratiques savantes – sciences formelles, sciences
physiques, sciences de la vie, médecine, sciences humaines, techniques
et technologies
des enseignements sur la place des savoirs dans
les mondialisations successives, du XVIe siècle à nos jours et sur les
traditions savantes en dehors de l’Europe.
des enseignements sur les sciences et les
techniques en société, la place des régulations économiques et
politiques, l’expertise, le débat public.
Du fait de cette diversité, la mention permet aux
étudiants de réaliser des parcours thématiques assez variés qui peuvent
porter sur une période (par exemple sur la première modernité ou le XIXe
siècle), un domaine (par exemple sur les techniques ou sur les savoirs
de la santé et de la maladie) ou sur une thématique (par exemple le
rapport entre sciences et religion).
Ces parcours ne sont en aucun cas des filières
séparées. Les étudiants peuvent les construire librement à partir de
l’ensemble des propositions d’enseignements en accord avec leur tuteur
et en conformité avec l’esprit du master de Sciences sociales de
l’EHESS.
Les unités d’enseignement (UE) offertes par la mention sont de trois types :
des UE de base, obligatoires, qui s’appuient sur
la lecture de textes fondamentaux permettant une initiation aux grandes
questions historiographiques, aux diverses méthodes d’étude des
sciences et aux grands cadres chronologiques.
des UE dites fondamentales qui introduisent à un domaine ou une thématique précis.
des séminaires de recherche, dans lesquels les
étudiants de master sont en contact avec doctorants et
enseignants-chercheurs travaillant sur un sujet d’intérêt direct pour
leur recherche, en particulier pour le mémoire de M2.
La liste des enseignements sera disponible, début octobre, sur le site du Centre Alexandre-Koyré.
Les étudiants sont encouragés à choisir au moins
une de leurs UE parmi toutes celles offertes par l’ensemble des mentions
de l’EHESS. La mention HSTS a aussi passé deux accords plus
spécifiques :
avec la mention « Santé, population, politiques
sociales » (spps) qui permet aux étudiants inscrits dans chacune des
mentions de choisir 3 ue dans l’autre.
avec le parcours « Travail, techniques et sociétés » (tts) et le parcours « Transfrontières »En savoir plus Mot(s) clés libre(s) : EHESS, master, activités d'enseignement et de recherche
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