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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Chine-Algérie : Une relation singulière en Afrique par Thierry Pairault

/ Boris SVARTZMAN / Canal-u.fr
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L’Algérie socialiste entretenait déjà des relations amicales avec la Chine maoïste, mais c’est paradoxalement dans les années 1990 et 2000, alors que l’Algérie abandonnait la référence officielle au socialisme, que les échanges entre les deux pays connaissent une expansion sans précédent, aux plans économique, commercial, humain…, tellement rapide qu’elle a pu alimenter des fantasmes sur la présence et les visées chinoises en Algérie. C’est cette accélération brutale de l’histoire des relations entre les deux pays qui est interrogée dans cet ouvrage. D’abord pour tenter d’en évaluer l’ampleur et les contours, puis, dans une perspective comparative, pour relativiser le phénomène au regard de ce qui se passe sur le continent africain, en distinguant les aspects contingents de cette présence de ceux qui s’inscrivent dans la longue durée, les traits singuliers de ceux que l’on retrouve ailleurs en Afrique.Socialist Algeria had friendly relations with Maoist China; it is paradoxically during the 1990s and the 2000s, while Algeria abandoned the official reference to socialism, that economic, commercial and human relations between the two countries began experiencing an unprecedented expansion in such a way that it could feed fantasies about the Chinese presence and expectations in Algeria. This book examines the sudden acceleration of the relations between the two countries. It aims first at assessing the extent and outlines of these relations, then at putting this phenomenon into perspective relatively to what is taking place on the African continent; it therefore distinguishes casual aspects of this presence from those which may last more permanently, singular features from those which are more commonly met in Africa.[中文]社会主义时代的阿尔及利亚与毛泽东时代的中国保持良好关系。矛盾的是在1990年和2000年期间,阿尔及利亚官方放弃了社会主义时,而两国之间的经济、 贸易及人际关系却有了一场从没有过的发展。使中国对阿尔及利亚的期望及影响引起了人门的幻想。本书首先描写、评估这些关系;然后比较中国在阿尔及利亚与在 非洲大陆的异同现象。 Thierry Pairault et Fatiha Talahite, Chine-Algérie : Une relation singulière en Afrique, Riveneuve Éditions, 2014, 256 p. Page personnelle de Thierry Pairault http://cecmc.ehess.fr/index.php?2635  Sommaire Avant-propos Introduction Fatiha TALAHITE Présences chinoises : des marchandises, des entreprises, des hommes Les relations entre la Chine et l’Algérie Thierry PAIRAULT Les relations économiques entre la Chine et l’AlgérieKarima FACHQOUL et Thierry PAIRAULT L’Algérie et la « diplomatie pétrolière » de la Chine Claude ZANARDI Les relations militaires sino-algériennes La présence chinoise en Algérie Thierry PAIRAULT Entreprises chinoises en AlgérieRachid MIRA et Fatiha TALAHITE Huawei, le géant chinois des télécoms en Algérie Dzifa KPETIGO L’autoroute Est-Ouest Hicham ROUIBAH Une entreprise chinoise à Sétif vue de l’intérieur Samia HAMMOU et Thierry PAIRAULT Commerçants et travailleurs chinois en Algérie La Chine, le Maghreb, l’Afrique Alice EKMAN La vision chinoise du MaghrebThéophile DZAKA-KIKOUTA, Francis KERN et Chiara GONELLA Aide chinoise et transferts de technologie en Afrique centrale et au Maghreb Hongwu LIU La Chine et le développement de l’Afrique Carine PINA-GUERASSIMOFF La diaspora chinoise : fer de lance de la Chine en Afrique ? Zhe ZHANG Les relations économiques sino-africaines vues par une citoyenne chinoise Riveneuve éditions, 75 rue de Gergovie – 75014 Paris http://www.riveneuve-editions.com/ 
Mot(s) clés libre(s) : Chine, Algérie, échanges internationaux, développement de l'Afrique
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 2ème Partie: Usages publics de la mémoire

/ Michel KIMMEL / 08-10-2015 / Canal-u.fr
ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, HEIMBERG Charles, ROUSSEAU Frédéric, DE COCK Laurence
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2ème Partie: Usages publics de la mémoire La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes. C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers. La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie). La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire). Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3)
Mot(s) clés libre(s) : guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, historien, Mons Memorial Museum, commémoration, histoire, mémoire collective, mémoire officielle
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La France et l'Algérie : 130 ans d'aveuglement

/ UTLS - la suite / 07-02-2002 / Canal-U - OAI Archive
WINOCK Michel
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La guerre d'Algérie a durée de 1830 à 1962. Un raccourci provocateur si l'on considère qu'entre la conquête d'Alger en 1830 et les accords d'Evian en 1962, il y eut des périodes de paix et de stabilité. Mais on peut employer une telle formule dans le but de mettre en évidence la durée du conflit. Un conflit qu'il ne faut pas réduire aux dernières années. Il a fallu une longue période à la France pour coloniser la totalité de l'Algérie. Une longue guerre inexpiable et très violente de part et d'autres. Violence fondatrice des rapports entre les deux communautés. Il faut aussi évoquer la violence de la confiscation des terres, la France voulant faire de l'Algérie une colonie de peuplement. Il en est résulté une paupérisation importante de la population musulmane. A cause de ces violences l'Algérie n'a jamais trouvé son statut, « pendant 130 ans d'aveuglement »…
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), algérie 1830-1871 (Conquête française), colonies françaises, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, relations france-algérie
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Les Pieds noirs

/ UTLS - la suite / 28-02-2002 / Canal-U - OAI Archive
VERDES-LEROUX Jeannine
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L'histoire des « pieds noirs » a souvent été déformée car totalement méconnue, remplacée par une histoire coloniale qui manipule des catégories mais ne considère pas les vivants, les rapports qu'ils entretenaient et leur vie quotidienne en Algérie. Ces français sont oubliés et souvent caricaturés 40 ans après un exode dramatique. Sont-ils difficile à comprendre ? Ils sont certes différents, tous n'étaient pas colons au sens strict. Nombreux étaient ouvriers, enseignants, chefs d'entreprise, commerçants. L'ensemble des français représentait l'infrastructure économique du pays. Il ne s'agissait pas de riches propriétaires comme certains clichés le laissent penser. Il existe une histoire réelle, importante, entre français et algériens, faite d'échanges, de fraternité, parfois de tendresse. Il faut désormais souhaiter que les historiens repensent, réévaluent le passé des « humilier de l'histoire ».
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), colonies françaises, guerre d'algérie, harkis, pieds-noirs (histoire), rapatriement forcé, relations france-algérie
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Guerre et diplomatie : victoire militaire, défaite diplomatique ?

/ UTLS - la suite / 14-02-2002 / Canal-U - OAI Archive
VAISSE Maurice
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Victoire militaire, défaite diplomatique. 0n peut y voir un constat objectif au regard des résultats positifs de l'armée française et de l'issue négative du conflit pour la France. Mais comment ne pas déceler dans cette opposition des termes une intention polémique. Aux yeux d'une partie de l'armée, des pieds noirs, la victoire fut manquée parce que le chef de l'état n'en a pas voulu ainsi. La guerre gagnée sur le terrain fut mise à mal par une politique ambiguë poussant les Algériens à se rallier au FLN et à préférer l'indépendance au maintien de la France en Algérie.Il y a effectivement un paradoxe, comment une victoire militaire s'est-elle transformée en défaite diplomatique ? Mais d'abord, y-a-t-il eu victoire militaire et dans quelle mesure peut-on parler de défaite diplomatique ? Pour y voir plus clair, il convient d'analyser la guerre d'Algérie, non pas comme une guerre classique, mais bien comme une guerre de décolonisation. Hors dans un tel conflit, c'est la hantise d'une défaite qui a plané au-dessus de la France après l'Indochine et Dien Bien Phu, après le retrait de la Tunisie et du Maroc.
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française, colonies françaises, FLN, front de libération nationale (algérie), guerre d'algérie, guerre d'indépendance, harkis, relations france-algérie, torture
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IPM 2007. Evolution de l'utilisation des TICE chez les étudiants en médecine de Rouen et Batna

/ Canal U/Tice Médecine Santé / 30-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
TAVOLACCI Marie-Pierre
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Les étudiants francophones peuvent aussi suivre l'enseignement en ligne. Le questionnaire était anonyme. 915 étudiants ont complété avec une moyenne d'âge de 21-23 ans. A Batna, 7 étudiants sur 10 avaient un ordinateur en 2006 avec une évolution vers 8 sur 10. 8 étudiants sur 10 ont l'ADSL. Sur un temps donné, la part du temps consacrée à Internet est surtout à usage personnel. En conclusion la connexion Internet et l'ADSL sont très bien développés aujourd'hui. Il est cependant nécessaire de développer certaines habiletés sur Internet ne serait ce que les e-mails à Batna. Il est important de former les étudiants avant la mise en ligne de cours. SCD médecine mpa
Mot(s) clés libre(s) : Algérie, Batna, enquête, Internet, IPM 2007, Rouen, TICE
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L'Algérie aujourd'hui

/ Centre Audiovisuel de Paris (Forum des images) / 30-06-2003 / Canal-u.fr
STORA Benjamin
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Spécialiste du Maghreb, Benjamin Stora inaugure le cycle "Algérie" en dégageant les grandes lignes de force de la société algérienne contemporaine, à la lumière de l'histoire mais aussi de la démographie, de la sociologie et d'une analyse du pouvoir politique, syndical, militaire, religieux. Série d'émissions produites sous le titre de Canal du Savoir. Les intervenants, professeurs d'universités ou membres de grandes institutions (Collège de France, CNRS, EHESS…) ont accepté d'adapter la transmission de leur savoir au support télévisuel. Générique A venir
Mot(s) clés libre(s) : sociologie, Algérie
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La guerre d'Algérie dans la mémoire des Français

/ UTLS - la suite / 21-03-2002 / Canal-U - OAI Archive
ROUSSO Henri
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La mémoire de l'événement, l'étude de la postérité dans l'imaginaire collectif est un thème aujourd'hui classique dans l'historiographie. Qu'elles sont les évolutions successives depuis la fin de la guerre d'Algérie des représentations que cet événement a suscité ? Le sujet reste extrêmement vif dans les mémoires. Est-il possible de comparer, même de façons lointaines, la mémoire de la guerre d'Algérie et de la seconde guerre mondiale ? Il existe une constante chez les historiens qui considèrent que les événements traumatisant du XXème siècle ne finissent pas, un passé qui ne passe pas. Nous vivons encore aujourd'hui dans l'écho de cette guerre qui n'a pas fini de poser des questions, des problèmes, de soulever des polémiques. L'historien a donc une tache un peu différente de celle qui consiste à analyser l'événement, il doit se pencher sur la mémoire de l'événement. Comment la guerre d'Algérie s'est perpétuée dans la conscience collective ?
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), algérie 1830-1871 (Conquête française), colonies françaises, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, relations france-algérie
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Terrorisme et guérilla : de la Toussaint rouge à la tragédie des Harkis

/ UTLS - la suite / 21-02-2002 / Canal-U - OAI Archive
PERVILLE Guy
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La compréhension et l'analyse de la guerre d'Algérie sont complexes et bien souvent faussées car ces événements sont considérés de manière unilatérale. Il convient au contraire d'analyser l'interaction et l'interdépendance des deux camps ainsi que l'engrenage de la violence qui en est résulté. Qui a commencé ? Incontestablement le FLN par son insurrection du 1er novembre 1954 et ses chefs ont clairement revendiqué la responsabilité de leur initiative. Mais il faut aussi noter qu'ils la voyaient comme une riposte nécessaire à la violence et à l'injustice du régime colonial établi par la force depuis 1830. Une riposte face à l'impossibilité démontrée d'une émancipation pacifique par la voie légale. Mais la recherche du premier responsable, de la première violence est vaine. Il appartient aux historiens de tenir compte de toutes les victimes et d'expliquer leur sort tragique.
Mot(s) clés libre(s) : colonisation, guerre d'Algérie
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033 - Pourquoi le 1er novembre 1954 ? par Gilbert Meynier

/ ENS-LSH/SCAM / 21-06-2006 / Canal-U - OAI Archive
MEYNIER Gilbert
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De la construction d’une identité nationale à la guerre d’indépendance algérienne (1)Résistances anticoloniales et nationalisme : l’avant 1954 : session thématique (prés. Omar Carlier)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne En reprenant la classique gradation en histoire des causes lointaines aux plus immédiates, cette contribution entend situer le déclenchement de la Guerre d’indépendance le 1er novembre 1954 à la rencontre de plusieurs séries factuelles et de plusieurs échelles temporelles. Le récit ainsi constitué renvoie l’événement que les journalistes français nommèrent la « Toussaint rouge » : À la colonisation de l’Algérie par la France, depuis la conquête entamée en 1830, à son caractère violent, aux spoliations et aux traumatismes qui l’ont accompagnée. Au dépérissement culturel qu’a engendré la colonisation. À la discrimination et au racisme et aux corollaires politico-culturels de cet état de fait. À la naissance de l’idée indépendantiste/nationale, apparue en exil, constituée en 1926, en « Étoile Nord-Africaine »puis en Parti du peuple algérien - PPA (1937) et après la Seconde Guerre mondiale, en Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques - MTLD (1946). Au dépit de non-possession des élites rurales, le plus souvent mises sur la touche par la colonisation. De ce fait, on a pu dire que le peuple algérien fut à ce moment un « peuple-classe » et que la lutte des classes fut donc presque toujours, en même temps, une lutte anticoloniale, contrairement à ce qui a pu exister en d’autres aires du Tiers-monde. Aux blocages coloniaux et à l’incapacité du système colonial à se réformer. À des détonateurs précurseurs qui, de la grande insurrection à vecteurs confrériques de 1871 aux soubresauts du Constantinois de mai 1945 et à la répression consécutive, pérennisèrent dans la masse algérienne le non-dit de la reprise des armes pour chasser les envahisseurs. À la crise du parti indépendantiste MTLD à l’été 1953, où la figure de Messali Hadj fut remise en cause, ouvrant la voie à des militants activistes qui décidèrent d’une rupture par les armes pour sortir du désarroi et de l’impasse.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : ahmed messali hadj (1898-1974), algérie (1830-1962), algérie (1954-1962 - guerre d'Algérie), autonomie et mouvements indépendantistes, colonisation, étoile nord-africaine, guerre d’indépendance, histoire, mouvement pour le triomphe des libertés démocratiq
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