Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Sur le terrain de la recherche - Les recherches en aménagement forestier durable - partie 2
/ Marika Jacob, Anne Marie Nadeau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Cablevision
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Sous la loupe des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (Québec)ÉMISSION 5 – LES RECHERCHES EN AMÉNAGEMENT FORESTIER DURABLE - PARTIE 2Dans cette deuxième émission sur la Chaire en aménagement forestier durable UQAT-UQAM, nous nous rendons à la Forêt d’enseignement et de recherche du lac Duparquet où nous rencontrons des étudiants dont les recherches portent sur la croissance des arbres, les nichoirs et la paléoécologie.Participants : Brian Harvey, professeur et directeur de la Forêt d'enseignement et de recherche du lac DuparquetSuzanne Brais, professeure à l’Institut de recherche sur les forêtsYves Bergeron, professeur-chercheur et codirecteur de l’Institut de recherche sur les forêts et titulaire de deux ChairesJessica Smith, étudiante à la maîtrise en biologieArun Bose et Lisa Bajolle, étudiants au doctorat en sciences de l’environnementAnthony Poittevin, stagiaire français de l’Université Joseph Fourier Mot(s) clés libre(s) : écosystème, faune, forêt, mousse, aménagement forestier, bryophytes
|
Accéder à la ressource
|
|
Sur le terrain de la recherche - Les recherches en aménagement forestier durable - partie 1
/ Marika Jacob, Anne Marie Nadeau, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Cablevision
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Sous la loupe des chercheurs de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (Québec)ÉMISSION 4 – Les recherches en aménagement forestier durable - partie 1La Chaire en aménagement forestier durable UQAT-UQAM aborde l’aménagement écosystémique de la forêt sous plusieurs angles. Dans cet épisode, deux professeurs et trois étudiants aborderont l’étude des bryophytes (les mousses), les recherches en lien avec la petite faune ainsi que l’utilisation de l’histoire afin d’améliorer nos façons de faire en termes d’aménagement forestier.Participants :Nicole Fenton, professeure à l’Institut de recherche sur les forêtsLouis Imbeau, professeure à l’Institut de recherche sur les forêtsMarion Barbé, Victor Danneyrolles et Pauline Suffice, étudiants au doctorat en sciences de l’environnement Mot(s) clés libre(s) : écosystème, faune, forêt, mousse, aménagement forestier, bryophytes
|
Accéder à la ressource
|
|
Quel projet pour la Normandie?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette
rencontre entre responsables politiques – hauts et
bas-normands, issus de famillles politiques différentes – a été
organisée dans le cadre du colloque Régions et territoires :
à propos de la réforme territoriale qui s'est tenu au Centre
Culturel International de Cerisy du 11 au 15 juin 2015, sous la
direction d'Armand FRÉMONT et Yves GUERMOND.Depuis plusieurs années, quinze géographes des universités de Caen, de
Rouen et du Havre se réunissent. En effet, ils considèrent que la
division entre une Haute et une Basse Normandie est une aberration de
l’Histoire et ont été stimulés par l’actualité. D’abord, le projet d’un
TGV Paris-Normandie qui cristallisait la grande ambition d’un couloir
urbain prolongeant le Grand Paris jusqu’à la mer. Puis, en 2013,
l’unification elle-même, voulue par le Gouvernement et en cours de
discussion devant le Parlement. C’est donc sans doute maintenant que se
posent les questions les plus ardues, le choix de la capitale régionale
en recouvrant bien d’autres.Ces géographes, réunis sous aucune autre tutelle que celle des
universités, totalement libres de leurs opinions, sont avant tout
motivés par la connaissance qu’ils ont acquise de la Normandie, de ses
problèmes, de ses projets, de ses divisions. À ce stade, ils éprouvent
le besoin de confronter leurs idées dans deux directions principales.
D’où ce colloque de juin 2015 où il s’est agi d’exposer, d’écouter et de
discuter.Ont participé à cette
table ronde, animée par Pascal Buléon (directeur de la MRSH de
Caen) : Joël Bruneau (maire de
Caen et président de la Communauté d'agglomération Caen la
mer),
Hubert Dejean De La Bâtie
(maire de Sainte-Adresse, conseiller régional de Haute-Normandie,
vice-président de la Communauté d'agglomération havraise),
Frédéric Sanchez (maire
de Petit-Quevilly, président de Métropole Rouen-Normandie,
vice-président du Conseil général de la Seine-Maritime),
Yannick Soubien
(Vice-président du Conseil régional de Basse-Normandie).
Les quatre invités ont dressé le
tableau des multiples chantiers qu'imposera prochainement la fusion
des deux Normandies. Malgré des sensibilités propres à chacun, de
cette discussion à bâtons rompus a émergé une réelle volonté
d'oeuvrer ensemble à un projet ambitieux, vécu d'abord comme une belle
opportunité régionale. Mot(s) clés libre(s) : aménagement, Normandie, Politique
|
Accéder à la ressource
|
|
La huerta méditerranéenne, un modèle d'agriculture périurbaine ?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette communication a été enregistrée dans le cadre d'un colloque international organisé à l'université d'Oum El Bouaghi (Algérie) par le laboratoire Ressources Naturelles et Aménagement des Milieux
Sensibles, en collaboration avec l’INRA Écodéveloppement (Avignon,
France) les 15 et 16 avril 2015, colloque intitulé l’agriculture périurbaine, aux impacts du fait urbain, stratégies et jeux d’acteurs.Robert Hérin, géographe, est enseignant émérite de l'université de Caen-Basse-Normandie. Il fut notamment à l'initiative de la Maison de la Recherche en Sciences Humaines (Université de Caen), dont il assura le premier la direction, de 1995 à 2001.Résumé de la communicationÀ l’image de celle de Valencia plus au nord, ou des autres plaines méditerranéennes d’irrigation séculaire, voire millénaire, d’agriculture intensive enviée par les habitants des terres d’agriculture sèche ou des sierras inhospitalières, la huerta de Murcia est de plus en plus intégrée par la ville et dans la ville, avec laquelle elle a toujours été en symbiose forte. De voisinage agricole et rural elle est devenue banlieue en voie d’urbanisation plus ou moins avancée, jusqu’à sa disparition dans les secteurs les plus soumis aux pressions urbaines de tous types.Les problèmes qu’elle pose aujourd’hui ne relèvent plus que très secondairement de l’agriculture, souvent réduite à un complément secondaire de revenu, quand ce n’est pas à un rôle de loisirs en fin de journée de travail en ville. Désormais confrontée à des problèmes d'urbanisme, d'environnement et de préservation patrimoniale, n'est-ce pas la confirmation que la huerta appartient aujourd'hui à l'histoire ? Mot(s) clés libre(s) : agriculture, paysage, mutations, aménagement
|
Accéder à la ressource
|
|
Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 1/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
Voir le résumé
Voir le résumé
La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, Bassin Parisien, logement social (France)
|
Accéder à la ressource
|
|
L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 03-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VELTZ Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales. Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, mondialisation, pôles de développement, relations économiques internationales
|
Accéder à la ressource
|
|
L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, CERIMES
/ 03-01-2006
/ Canal-u.fr
VELTZ Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales.
Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, mondialisation, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, pôles de développement, relations économiques internationales
|
Accéder à la ressource
|
|
Les paysages fluviaux urbains
/ Bruno BASTARD, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 08-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VALETTE Philippe, VIDAL Franck
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans l'histoire de l'expansion urbaine, bien souvent, les fleuves ont joué un rôle majeur. Les villes s'implantent le long de cours d'eau qui facilitent les échanges économiques, apportent le commerce, déterminent des passages. La ville s'agrandit alors en fonction du fleuve, distinguant rive gauche et rive droite, zone inondable et zone protégée. Domestiqué au XVIIIe siècle, le fleuve est abandonné et détourné de sa vocation première dans les années 1950. Dans les pays développés, depuis la fin du XXeme siècle, le fleuve « urbanisé » est désormais réhabilité dans sa fonction de paysage fluvial urbain, indice de l'émergence de la civilisation des loisirs.GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et Moyens techniques : SCAM / Université de Toulouse Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09. Mot(s) clés libre(s) : aménagement des rives, cours d'eau (régularisation), cours d'eau (utilisation pour les loisirs), génie fluvial, paysage urbain, tourisme fluvial
|
Accéder à la ressource
|
|
Conférence de Jean-Yves QUAY / Leçons de campagne
/ Jacques DELAYE
/ 24-11-2015
/ Canal-u.fr
QUAY Jean-Yves
Voir le résumé
Voir le résumé
Aujourd’hui, force est de constater que les problématiques issues d’une pensée essentiellement urbaine des espaces naturels, augmentent la fragilité des territoires ruraux, normalisent les paysages, font éclater les limites et accentuent la dispersion de notre habitat. En signant la disparition de la géographie en tant qu’épreuve physique, cette pensée globale nous éloigne des affaires locales, où l’e+au et le sol, sous les climats, restent les conditions premières de la vie.
Admettre ce que nous devons, en termes de paysages et d’habitat, de savoir-faire et de valeurs, aux formes héritées du travail de l’homme avec la nature, peut utilement nous rappeler en quoi notre condition est dépendante de l’attention portée à la terre.
Si, depuis quelques décennies (quatre au plus), les algorithmes ont tendance à remplacer le bon sens, force est de constater que la beauté de l’indusréalité n’est pas aussi présente que son étendue… Et, devant l’évolution de plus en plus rapide de notre environnement, remettre dans la procédure un peu de pensée lente, un peu plus de factuel, ne nous ferait pas démériter. Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire (France)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le devenir des villes et la modélisation
/ Mission 2000 en France
/ 14-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PUMAIN Denise
Voir le résumé
Voir le résumé
Pour l'artiste qui la chante, pour l'habitant qui la vit, mais aussi pour ceux qui la gèrent et tentent d'anticiper son développement, chaque ville est un être unique, dont le devenir paraît plein d'incertitudes, imprévisible. Pourtant, quand on les considère toutes ensembles, les villes présentent certaines similitudes et cohérences d'évolution, que la mondialisation révèle aujourd'hui au grand public. Ces cohérences sont l'expression des multiples relations qui lient les villes entre elles, par les échanges, la circulation des informations, la concurrence. Elles ont été mises en évidence depuis plus d'un siècle. Les chercheurs ont d'abord représenté les ensembles de villes d'un même territoire par des modèles de réseau urbain, images statiques régulières où dominent les figures du triangle et de l'hexagone. Puis ils ont construit des modèles dynamiques, qui combinent règles et aléas pour simuler les processus de croissance et de différenciation dans des systèmes de villes. Ces travaux s'inspirent de notions élaborées par les sciences de la matière et du vivant, comme l'auto-organisation. Les modèles urbains ne sont pas cependant que des jeux mathématiques ou informatiques, ils aident à départager certaines hypothèses contradictoires dans les débats actuels sur l'avenir des villes. Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, modélisation, mondialisation, politique urbaine, réseaux urbains, urbanisme, villes
|
Accéder à la ressource
|
|