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Les séries TV et le soap opera
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
WINCKLER Martin
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En France, la télévision est considérée comme un support « impur », inapte à véhiculer des productions artistiques conçues spécifiquement pour elle. Il n'en va pas de même partout. Aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, où spectacle populaire et production artistique vont toujours de pair (et ont toujours été indépendants du pouvoir), les productions télévisées sont infiniment plus audacieuses et plus inventives qu'en France. Le mépris habituellement réservé aux « séries » et aux « soaps » par les intellectuels français repose sur une seule chose : leur ignorance profonde de ce genre, certes populaire, mais aussi créatif que la bande dessinée, les « mauvais » genres littéraires que sont le roman policier et la science-fiction et le théâtre expérimental. Infiniment plus proches de la réalité que ne l'est le cinéma, les téléfictions établissent avec leur public une relation particulière - liée aux conditions de diffusion et de réception - et portent sur le monde un regard incisif, critique et extrêmement anti-conformiste. Cette conférence visera d'une part à définir ce que sont les séries télévisées et les « soap operas », à en brosser un panorama thématique et analytique avec quelques extraits de séries récentes en guise d'illustration visuelle, et de montrer qu'il s'agit aussi de fictions accomplies. Il sera en particulier question de séries telles que « Friends », « Les Soprano », « Urgences », « Oz » « New York District », « Homicide », « Buffy contre les vampires » ou « A la Maison Blanche ». Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, censure, états-unis, feuilletons télévisés, france, genres télévisés, intellectuels français (influence), séries télévisées, soap opéras (télévision), télévision, télévision (aspect social)
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Eloge de la maladresse, pratique obstinée du détour. (Macha Makeïeff et Jérôme Deschamps)
/ La Cinémathèque française
/ 16-04-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Makeïeff Macha, Deschamps Jérôme
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Conférence de Macha Makeïeff et Jerôme Deschamps.Tout enfant sait vite que le plus court chemin pour aller à l'école n'est pas forcément le plus instructif. Tati aussi. Alors, qu'apprend-on à faire des tours et détours ? Qu'est-ce qu'on risque ? Rien peut-être, sinon de trébucher (et de se rattraper en beauté), d'entrevoir d'autres horizons et de faire chemin faisant l'expérience de sa liberté.La vidéo contient les extraits des films projetés par les conférenciers. Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, cinéma, jacques tati (1907-1982), langage cinématographique
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Quel français tu causes ? Les langues parlées dans notre cinéma. Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 04-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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La parution du livre de Michel Chion : Le Complexe de Cyrano (éd. Cahiers du cinéma, 2008) est une belle occasion d'engager le débat avec l'auteur, mais aussi avec des cinéastes. Quelle langue parle-t-on dans le cinéma français, ou plutôt quelles langues dans le cinéma d'auteur comme populaire ? Une rencontre animée par Claire Vassé (journaliste et écrivain).Intervenants :- Michel Chion (théoricien du cinéma, compositeur)- Catherine Breillat (cinéaste)- Pascal Bonitzer (scénariste, cinéaste)- Jacques Doillon (cinéaste) Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, cinéma, cinéma (langage), langage et langues, scénaristes
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037 - Débat
/ ENS-LSH/SCAM
/ 24-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
HANNA Christophe
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Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine Résumé A propos des écritures contemporaines (disons des années 90-2000) on a pu parler de désimplication, dépolitisation, désengagement, c’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui que j’allais réfléchir sur différents modèles possibles de l’action par l’écriture et l’écrit et m’attarder en particulier sur quelques nouveaux modèles qui me plaisent dans leur version actuellement reconstruite comme ceux d’action directe, de tactique critique, de ré-instrumentations documentales. Je vais m’efforcer de dessiner la figure du sujet producteur littéraire qu’elles supposent et si j’ai le temps je parlerai aussi des ajustements méthodologiques et théorétiques qu’elle implique. Je ne ferai pas vraiment d’histoire des idées.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : art, art d'écrire, art politique, cartographie, création (esthétique), description, documents, écriture, france (1968), littérature française, mai 68, militantisme
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036 - Kiaï ! (écritures / impacts / action)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 24-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
HANNA Christophe
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Session Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de création Colloque Mai 68 en quarantaine A propos des écritures contemporaines (disons des années 90-2000) on a pu parler de désimplication, dépolitisation, désengagement, c’est pourquoi j’ai décidé aujourd’hui que j’allais réfléchir sur différents modèles possibles de l’action par l’écriture et l’écrit et m’attarder en particulier sur quelques nouveaux modèles qui me plaisent dans leur version actuellement reconstruite comme ceux d’action directe, de tactique critique, de ré-instrumentations documentales. Je vais m’efforcer de dessiner la figure du sujet producteur littéraire qu’elles supposent et si j’ai le temps je parlerai aussi des ajustements méthodologiques et théorétiques qu’elle implique. Je ne ferai pas vraiment d’histoire des idées.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, création (esthétique), écriture, france (1968), littérature française, mai 68
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Écriture, relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-Vikhil
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ARIAS-VIKHIL Marina
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L’écriture comme relecture : les métamorphoses du texte du lecteur engagé / Marina Arias-VikhilDans l’univers aragonien le lecteur est un miroir qui renvoie au poète sa propre image. « Nous utilisons les livres comme des miroirs qui nous renvoient notre réflexion » écrit Aragon dans la postface de son roman "La Mise à mort". Si Sartre comprend la lecture comme une rencontre dramatique de deux libertés dans l’espace de l’œuvre qui souvent se présentait sous une forme de théorème à prouver ou de problème à résoudre, Aragon entraîne son lecteur dans un jeu de reflets de miroir dans son roman "La Mise à mort". Il tente de séduire le lecteur en créant en même temps l’image de l’auteur évolutive, à contours dédoublés, non focalisée afin de suggérer l’idée de la liberté de l’auteur insaisissable et insoumis au jugement du lecteur. Lecteur comme miroir fidèle de l’auteur, lecteur qui le suit dans toutes ses divagations et dont l’esprit critique est détourné, devient un engagé de l’auteur qui reste à son tour engagé. Dans cet esprit on se propose d’observer comment Aragon devient lecteur de ses propres textes : en nous basant sur l’analyse du texte du roman La Mise à mort" (1965) , notamment de l’épisode concernant le voyage à Moscou d’Aragon en été de 1936, nous essayons de démontrer que la narration d’Aragon, où l’écrivain raconte l’histoire de la mort et de l’enterrement de Gorki, représente la relecture de ses textes écrits bien avant "Les jours de Gorki" (1936) et "Les jeunes gens" (1955). La figure de Gorki permet à Aragon de formuler le problème de son engagement qui reste au centre de sa réflexion sous différents aspects. Les métamorphoses de cet épisode, recréé plusieurs fois, ne finissent pas en 1965 : c’est encore en 1977, dans sa préface à "L'Œuvre poétique", qu’Aragon nous offre une nouvelle relecture de ce récit qui démontre que la dernière version est étroitement liée au désengagement politique du poète dans les années 70.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, engagement politique, lecture (subjectivité), livres et lecture, Louis Aragon (1897-1982), Louis Aragon (La mise à mort), réception des oeuvres
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