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La pollution des sols et le recyclage des déchets - Grégoire Calleja
/ UTLS au lycée
/ 19-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au lycéeLa pollution des sols et le recyclage des déchetsAvec Grégoire Calleja, ADEMECFA BTP (CENTRE DE FORMATION DES APPRENTIS DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS) D’AIX LES MILLES (13593 AIX EN PROVENCE) Mot(s) clés libre(s) : ADEME, cycle des déchets, déchets BTP, déchets d'entreprises, déchets ménagers et assimilés, évolution, pollution
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EEHU ARRAS 2011 – L’identité Professionnelle.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TISON Philippe
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Titre : EEHU ARRAS 2011 – L’identité ProfessionnelleIntervenants : Philippe TISON (Docteur en psychologie)Résumé : L’identité en psychologie :- C’est une représentation mentale (de soi)- Est multifactorielle : caractère, sexe, langue, profession- La construction de l’identité : Processus continu (Freud, Piaget, Durkheim)- C’est dimension personnelle + une dimension socialeCaractéristiques et constituants de l’identité sociale et collective : - Normes du groupe d’appartenance- Normes du groupe que je désire intégrer- Représentations sociales du métier IDE- Statuts professionnels collectivement partagés- Idéologie du système de soins- Valeurs socio-éducatives collectives- Acquis professionnels partagés- Attentes des autres acteurs du soinL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la réunion de l’EEHU (Espace Ethique Hospitalier et Universitaire de Lille) sur le thème approche clinique de l’éthique en situations cliniques, en formation et en recherche. Lille-Arras le 31mai 2011.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère – enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : accommodation, assimilation, EEHU, éthique, identification, IFSI, Lille 2011, prévention, projections, représentations mentales
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La représentation picturale de l'Antillais sous la Troisième République
/ 01-03-2013
/ Canal-u.fr
LOZERE Christelle
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Dans la construction de l'imaginaire colonial, les "vieilles colonies" apparaissent à la fin du XIXe siècle comme les symboles d'une assimilation réussie. A l'heure du paternalisme triomphant, les pouvoirs publics sont convaincus que seule la France peut faire naître le sentiment esthétique chez les Antillais trop longtemps exposés "à la langueur de l'ennui", incapables de ressentir le sublime et le pittoresque, pourtant omniprésents dans les paysages paradisiaques insulaires. Seuls des esprits éclairés peuvent réveiller des talents artistiques endormis. Cette communication portera principalement sur l'impact des images dans la construction d'une identité antillaise. Elle évoquera particulièrement le rôle des artistes de "la Société coloniale des artistes français" dans la diffusion d'un imaginaire créole. Mot(s) clés libre(s) : femmes, peinture, assimilation, colonisation, utopie, Exotisme, exposition, Art, Costume
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066 - Les colons de 1848, des proscrits ? Un mythe tenace et récurent
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Yvette Katan (Université Paris 1)Présentation par Jean Charles Jauffret, en l'absence de l'intervenantColloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La IIe République marque un moment important de l’histoire de la colonisation de l’Algérie, après une période d’hésitations politiques et d’incertitudes militaires. En effet, la IIe République s’engage fermement dans une politique d’assimilation administrative et de peuplement de l’Algérie, en refoulant les indigènes. Désormais, on affirme que l’Algérie est le « prolongement de la France ». De vastes étendues de terres semblent s’offrir à la colonisation au moment où sévit une grave crise économique et sociale en France.Le 19 septembre 1848, l’Assemblée nationale, sous l’impulsion de Lamoricière, vota un crédit de 50 millions de francs pour la création de 42 villages agricoles en Algérie où cette colonisation va doubler le peuplement rural français. Quels en furent les objectifs ? Débarrasser Paris des éléments trop turbulents après les journées sanglantes de juin 1848 ? L’envoi, dès octobre 1848, de Parisiens, à l’exclusion de milliers de candidats provinciaux, pourrait étayer cette thèse de l’utilisation de la conquête pour résoudre les problèmes sociopolitiques intérieurs.Durant toute la période coloniale on présente ces Parisiens arrivés en Algérie comme de vrais quarante-huitards. Charles-André Julien me demanda d’éclairer ce mystère : comment des hommes imbus d’idées révolutionnaires ont-ils pu devenir des conservateurs endurcis, des « colonistes » ? Heureusement, pour résoudre cette énigme on disposait d’archives surabondantes à Aix-en-Provence - dans la série F80 surtout et à Paris aux archives de la Préfecture ; tout est dit dans cet océan de documents : la sélection des candidats pour l’Algérie, les critères de sélection qui ne tendaient à retenir que des hommes sûrs et à éliminer les « enragés des barricades ». Pour compléter cette enquête, nous disposons des rapports des directeurs de village - des officiers « allergiques » à toutes idées subversives qui traitent les nouveaux colons d’« énervés de la capitale » mais qui disent en même temps le refus de ces colons de pratiquer le travail en commun.Il nous semblait que la cause était entendue : les Parisiens émigrant en Algérie n’étaient ni des déportés, ni des révolutionnaires. L’article que je publiais alors en 1984 dans la Revue d’histoire moderne et contemporaine me semblait devoir mettre fin définitivement à toute ambiguïté. Le retour de ce mythe, même sous la plume aujourd’hui d’historiens autorisés, nous invite à réfléchir sur les causes de la création et de la persistance des mythes dans le courant de l’Histoire.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1830-1871 - conquête française), assimilation politique, colonies, colonies (administration), colons (algérie), france (1848-1852), Paris (1848 - journées de juin), villages agricoles
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006 - Algérie/Maroc : une mise en parallèle à l'époque coloniale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Daniel Rivet, Professeur (Université Paris 1)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne S’agit-il de deux cas de colonisation singuliers et incomparables ? Colonisation directe et paroxystique à la manière de l’Afrique du Sud labourant et dévastant la société précoloniale d’une part et colonisation oblique traitant de manière tangentielle les hommes et les richesses à la façon du Ghana ou de l’Égypte d’autre part ?Des raisons circonstancielles militent plutôt en faveur de la première hypothèse. En Algérie, la colonisation s’attarde 132 ans et au Maroc elle dure 44 ans. Les deux modes de saisie sont dissemblables : annexion et assimilation à la France d’un côté, protectorat de l’autre. Effacement du mode ottoman de domination dans un cas, maintien, renforcement, surexposition d’une monarchie arabo-andalouse dans l’autre, avec invention d’une tradition néomakhzénienne par Lyautey. Les modes d’appropriation des deux pays sont contrastés : en Algérie, un capitalisme colonial agraire, retardataire après 1914 et surprotégé par la métropole, au Maroc, la saisie de la richesse par un appareil d’État néochérifien entrepreneur et par un capitalisme financier - Paribas - ouvert sur la mondialisation - acte d’Algésiras en 1906. La décolonisation revêt une physionomie très différente dans les deux pays : non pas bien sûr divorce à l’amiable au Maroc et drame historique incommensurable en Algérie. Mais au Maroc négociation de l’indépendance avec une élite citadine et un souverain donnant le sentiment - l’illusion ? - de la restauration d’une continuité historique non pas brisée comme en Algérie, mais déviée. Et, en Algérie, livraison du pays - sous la pression d’une insurrection au ressort composite et de la conjoncture mondiale à la décolonisation - à une mince couche de néomameluks parvenus, d’essence militaire et d’origine plébéienne.Si on creuse au-delà du jeu des analogies et des dissemblances formelles, on observe des effets de symétrie et de convergence pas moins saisissants. Dans les deux cas, une guerre de conquête cruelle et destructrice des vieux archaïsmes tribaux, avec l’appel aux mêmes ressources d’un patriotisme confessionnel aiguisé par la lutte contre la reconquista. Le même surgissement d’un islam-refuge des identités blessées, puis rénové et « jacobin » sur fond de lutte acharnée contre l’islam des gens et d’érosion précipitée des cultures de terroirs. Et puis surtout, le même processus de destruction/reconstruction des sociétés introduit par la généralisation de l’économie de marché, le salariat, l’émigration vers les villes, la paupérisation de larges fractions des paysanneries et la « clochardisation » d’une partie conséquente de la population. Et encore la même confrontation des détenteurs d’un savoir, d’une expérience des gens d’en face à la colonisation virant au colonialisme. Aussi s’esquisse un synchronisme pan-maghrébin à l’orée des années 1930 qui culmine vers 1955-1956 : les forces d’émancipation de la sujétion coloniale jouent transversalement de Gabès à Agadir et brouillent de façon éphémère la frontière entre les peuples.Il n’en reste pas moins que deux styles de colonisation particuliers ont façonné deux paysages historiques singuliers. Le fait n’échappe pas aux praticiens de la colonisation nord-africaine venus de France que nous avons pu interroger. En Algérie, ils avaient le sentiment d’évoluer dans une province franco-musulmane anachronique maintenue sous perfusion par la République comme en culture de serre. Au Maroc, ils ressentaient immédiatement l’altérité : la sensation d’être à l’étranger dans un pays indéchiffrable au Français sans immersion dans les profondeurs du pays et apprentissage de son code culturel.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : afrique du nord, algérie, annexion (droit international), assimilation politique, colonisation, colonisation directe, histoire, maroc
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La chimie des sols
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 21-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
AMBLES André
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Le sol est un milieu essentiel pour de nombreux êtres vivants, il constitue un véritable réacteur biologique dont les principaux processus concernent la transformation de la matière organique. Du fait des pratiques culturales modernes, le taux de matière organique des sols tend à diminuer. La matière organique joue pourtant un rôle considérable sur les propriétés chimiques et physiques des sols par exemple la perméabilité, la stabilité structurale, la capacité de rétention et de circulation de l'eau. Le problème actuel grave de l'érosion des sols est pour une grande part une conséquence de teneurs insuffisantes en carbone organique. Mieux connaître les processus de fonctionnement des sols pour mieux les utiliser et les préserver impose de bien connaître leur matière organique et les réactions de transformation qui l'affectent. Dans les sols, les formes les plus intéressantes de matière organique sont les lipides et les substances humiques dont la structure moléculaire est encore largement inconnue et la définition peu précise. Le carbone organique des sols est d'origine végétale ou microbienne. L'activité biologique transforme une partie du carbone végétal ou microbien - par un processus naturel appelé humification - en composés de type " humique ", plus stables que les formes initiales et qui correspondent probablement à des formes transitoires de " stockage " de carbone organique dans les sols. Ces processus ne sont que partiellement connus. À terme, une partie du carbone organique-déchet " propre " pourrait être facilement recyclée, à un coût réduit économiquement acceptable, pour corriger les pratiques actuelles et ainsi compenser les déficits en carbone. Des résultats particulièrement intéressants ont déjà été obtenus. À l'inverse, certains sols carencés à activité biologique réduite, où la matière organique tend à s'accumuler, peuvent être facilement améliorés en compensant les carences et en favorisant ainsi le turn-over de la matière organique. Mot(s) clés libre(s) : actinomycète, assimilation, chaîne alimentaire, climat, glycéride, humification, humine, hydrocarbure, lipide, matière organique, microflore, minéralisation, photosynthèse
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