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Le rôle de la Banque Centrale Européenne face à la crise de la dette
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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Cette vidéo explique en 3 minutes les raisons de l'indépendance de la banque centrale, le rôle de la banque centrale européenne et ses marges de manoeuvre face à la crise de la dette. Mot(s) clés libre(s) : crise économique, Banque Centrale Européenne, Dette
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La création monétaire : un juste équilibre
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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Cette vidéo explique en 3'30 les mécanismes de la création monétaire dans notre économie et le contrôle de son juste équilibre. Mot(s) clés libre(s) : monnaie, inflation, banques
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Audrey Kermalvezen - Mes origines : une affaire d'Etat
/ Samia SERRI
/ Canal-u.fr
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L’insémination artificielle avec donneur se pratique de façon officielle en France depuis 40 ans. Les « bébés » issus de cette technique ont aujourd’hui bien grandi et mettent en lumière les dangers liés à l’interprétation extensive du principe d’anonymat : risques de santé publique, risques de consanguinité, non-respect de la volonté des donneurs, violation des traités internationaux ratifiés par la France.
Audrey Kermalvezen est avocate, spécialiste des questions de bioéthique, présidente de l’association Procréation Médicalement Anonyme (www.pmanonyme.asso.fr). Elle a publié un essai-document intitulé : « Mes origines : une affaire d’Etat » aux éditions Max Milo. Mot(s) clés libre(s) : droit, principe d'anonymat, don de gamète, don de sperme anonyme, législateur, procréation assistée avec tiers donneur, embryon, le clonage, banque de spermes, sciences du vivant, consanguinité, euthanasie, santé publique, bioéthique, éthique, géniteur
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Forum Nîmois - Charles GIDE - TRICHET - 14 mars 2013
/ 13-03-2013
/ Canal-u.fr
TRICHET Jean-Claude
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 14 mars 2013, à la maison du protestantisme à Nîmes Jean-Claude Tichet.
L’homme que nous recevons ce soir restera, j’en suis sur, dans l’histoire de l’Union européenne.
Son cursus d’études est multiples. Il fut d’abord à l’Ecole des Mines de Nancy. Puis passa en faculté de droit et sciences économiques dont il sortit avec une Maitrise. Il suivi ensuite la filière classique de la fonction publique, à Sciences Po puis à l’ENA où il fit partie de la promotion Thomas More, l’homme d’honneur qui fut exécuté pour ne pas avoir approuvé le divorce de son maître Henri VIII d’Angleterre
Il est sorti de l’ENA comme Inspecteur des finances et il a fait ensuite une brillante carrière au Ministère des Finances. Il y a travaillé dans divers cabinets, puis comme Directeur du Trésor, entre 1987 et 1993, puis comme Gouverneur de la Banque de France entre 1993 et 2003.
Je voudrais dire tout d’abord que j’ai tout de suite apprécié la loyauté dont il a fait preuve au Trésor auprès de Pierre Bérégovoy quand celui-ci a accédé au poste de Ministre des Finances en 1988. Tout le monde sait que Pierre Beregovoy, honnête homme s’il en fut, d’une rare intelligence , n’était pas coutumier des arcanes de la finance. Jean Claude Trichet, qui avait servi sous plusieurs précédentes majorités à divers postes, a travaillé de la manière la plus loyale et la plus efficace possible avec lui. D’autres, de ce cabinet, sont partis faire fortune, ce qu’on ne peut pas leur reprocher a priori, mais Jean Claude Trichet, lui a poursuivi sa carrière dans la haute fonction publique, beaucoup moins rémunératrice.
Cette fidélité à l’action publique, lui a valu d’être nommé en 2003, Président de la banque centrale européenne, après le néerlandais Wim Duisenberg. C’était afficher une triple continuité. D’abord une continuité comme banquier central, ce qui est un métier spécial , différent du métier de banquier tout court. Ensuite une continuité doctrinale. Il va en effet diriger l’euro, si je puis dire, durant huit ans, après l’avoir préparé, en liaison étroite, avec les gouvernements Balladur, puis Rocard, comme Gouverneur de la banque de France, entre le Traité de Maastricht, approuvé par référendum en 1992, et son entrée en vigueur en 1999.
Nombre de mes confrères économistes lui ont reproché la cure d’une austérité monétaire, pas vraiment terrible, qu’il a imposée pour que nous soyons à même de remplir, en cette année 1999, les conditions d’entrée dans l’euro. Deux ou trois autres pays ( Grèce évidemment, Italie aussi, Portugal sans doute), quelques contorsions financières ont été réalisées pour cette entrée. Ce ne fut pas, grâce à sa rigueur, le cas de la France. Mais certains de mes chers confrères pour lesquels la dévaluation semble une pratique récurrente inévitable pour la France, ont dénommé cette politique, de manière critique : « la pensée unique », ce qui est une double idiotie ? Car , en premier lieu, « on » avait parfaitement le droit de penser autrement et « on » ne s’en privait pas. En second lieu, même si l’économie n’est pas une sciences exacte – comme la météo, c’est une science tellement complexe , une science du complexe, même, qui ne saurait avoir l’exactitude de la physique- certains chemins y sont inévitables pour atteindre un but, et c’est celui que Jean Claude Trichet du faire suivre à la monnaie française pour qu’elle se fonde dans la monnaie européenne. Mais que n’a-t-on écrit sur ce « « penseur unique » ?
Il n’a heureusement pas eu le sort malheureux de Tomas More, patron, je l’ai dit, de sa promotion à l’ENA exécuté en 1535 mais il a été presque doctrinalement persécuté.
Devenu Président de la BCE, Jean Claude Trichet a été un important contributeur, sinon le plus important, d’abord évidemment, à la mise en marche de l’euro bancaire en 1999, puis de l’euro de circulation en 2002. Là encore on avait annoncé une catastrophe, un « bug » informatique gigantesque, qui, heureusement, n’a pas eu lieu.
Mais en juillet 2007, quand les prêts interbancaires quotidiens, de dizaines de milliards d’euro, qui sont au cœur même du fonctionnement de notre système bancaire, se sont interrompues, quand les banques, quelques jours durant, n’ont plus voulu se prêter les unes aux autres , on peut le dire, sans emphase, il a sauvé le système bancaire européen. Sans lui, sans son action, et la parole des dirigeants français et allemands, on a risqué , pendant quelque jours la ruée mortelle des déposants, pour réclamer leurs dépôts , ce qui aurait mis les banques en défaut puis faillite les unes après les autres et ruiné des millions d’européens.
On peut même dire qu’avec ses collègue du Federal reserve system américain , des banques centrales d’Angleterre et du Japon, ils ont sauvé le monde économique et financier
Par la suite il a su manœuvrer avec habileté, comme d’ailleurs son successeur Mario Draghi, entre les tenants d’un trop grand laxisme, venus plutôt des pays du sud, et les membres ultra-rigoureux de la Deutsche Bundesbank. Pour nos voisins germains, un peu trop affecté d’une phobie de l’inflation au-delà de 3%, depuis la crise de 1923 ou, il est vrai, il fallait une brouette de Reischmarken pour acheter une boite d’allumette, cette rigueur allemande , donc, doit s’appliquer partout et de la manière la plus déterminée. Or cette ultra-rigueur peut tuer le malade qui meurt alors gueri et provoquer des réactions sociales violentes. Même si la rigueur actuelle est devenue supportable, vous risquez déjà de voir dans les urnes du 15 mai, une révolte injuste mais logique contre l’Europe de l’austérité
Bref, vous aurez tous compris, que j’ai une grande admiration pour Jean Claude Trichet, qui fut ma tutelle bancaire pendant cinq ans, et je me sens vraiment sur-honoré qu’il me délivre du « Cher professeur », alors que c’est, bien plutôt lui, qui est mon maitre en finances.
J’avais eu l’idée de faire venir Jean Claude Trichet dans le cadre d’une sorte de festival des amis de la poésie, car, au milieu de son métier austère de maitre de la monnaie, il cultive l’amour de cette forme littéraire. Ce ne sera pas l’objet de la réunion de ce soir dont le thème est plus austère : « Leçons de la crise et avenir de l’euro ». Je ne sais pas si Jean Claude Trichet va nous la faire en vers. Ce dont je suis sur, c’est qu’il nous fera une vraie leçon sur la monnaie. C’est d’ailleurs le sujet de son petit livre de 2013 : « La monnaie, pourquoi » ici présent ? Président, vous avez la parole. Mot(s) clés libre(s) : financement européen, Banque Centrale Européenne
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Devenir de l'agriculture et du monde rural en Amérique Latine
/ Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, UOH - Université Ouverte des Humanités, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 12-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SILI Marcelo, VIDAL Franck
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Entre grandes exploitations agro-industrielles exportatrices de soja et petites exploitations paysannes, le monde agricole et rural latino-américain est au cœur d'un vaste bouleversement entamé depuis les années 1980. En Argentine, en particulier depuis la crise économique du pays en 2001 (dévaluation par trois du péso) de profonds changements s'opèrent non seulement sur le monde rural mais également sur l'ensemble de la société. Le point de vue du professeur Marcelo Sili est doublement intéressant sur cette problématique : c'est un géographe argentin (chercheur et professeur d'université), mais c'est également un conseiller auprès de la Banque Mondiale.GénériqueInterview : Franck Vidal, Réalisation et montage : Bruno Bastard, Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin, Production et moyens techniques : CAM Université de Toulouse-Le Mirail. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, Amérique latine (conditions économiques), Argentine (conditions rurales), Banque mondiale, biocarburants, culture du soja, écologie, géographe (métier), géographie économique, industrie agro-alimentaire, nationalisations, OGM, organismes tran
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Taux de change
/ AUNEGE, IAE Lyon, Université Jean-Moulin Lyon 3
/ 04-01-2016
/ Canal-u.fr
SERDON Nicolas
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Le terme « taux de Change » est
un terme économique connu et familier qui évoque, par exemple, le tourisme et
le fait d'échanger de la monnaie d’un pays contre une autre devise. Cette
expression peut également être associée à la notion de taux de change «
euro/dollar », car la parité EUR/USD est l'instrument financier le plus actif
et le plus traité du monde : cela représente 27 % du total des opérations
d’achats et ventes immédiats de devises.
Mot(s) clés libre(s) : taux de change, Marché des changes, parité euro dollar, politique monétaire, action sur les taux, Banque Centrale Européenne (BCE),, Federal Reserve System américain (FED)
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2014 - La finance : un danger pour l'Europe ?
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ 09-04-2014
/ Canal-u.fr
GRANDIN Pascal
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Présentation par Pr Michel Levasseur
Université Lille2
Pascal Grandin est Professeur à la Faculté de Finance, Banque, Comptabilité de l’Université Lille 2 et Directeur de la Recherche à SKEMA. Ses travaux portent sur la gestion de portefeuille. Il s’intéresse à deux courants nouveaux de l’économie financière, la finance comportementale et la finance durable.
L’activité financière, qu’il s’agisse des banques ou des marchés financiers, est souvent mal comprise. C’est probablement la raison pour laquelle elle est si vivement critiquée. La finance apparaît aujourd’hui comme une menace pour l’Europe, crise oblige. Qu’en est-il ? Il est vrai que les marchés financiers peuvent être affectés par nombre de biais comportementaux et être source d’instabilité à court terme.
Cependant, une analyse en profondeur nous oblige à suggérer que ce n’est pas la finance qui met en danger la construction européenne mais les déficiences de la construction européenne qui viennent perturber les marchés financiers. Mot(s) clés libre(s) : finance, monnaie, communauté européenne, Banque Centrale Européenne, pays d'europe, construction européenne
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14 - Les banques et l’Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-u.fr
ENS-LSH/SCAM
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Les banques et l’Algérie : mise en valeur impériale ou exploitation impérialiste ? par Hubert Bonin (Institut d’études politiques, Bordeaux)
Le soubassement économique : session thématique (prés. René Gallissot)
Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne
Nos études sur le déploiement de la Compagnie algérienne, du Crédit foncier d’Algérie & de Tunisie, de la Société générale, du Crédit lyonnais et du Comptoir national d’escompte de Paris en Afrique du Nord, qui ont prolongé les analyses effectuées sur diverses maisons au Maroc - Guillen - ou en Tunisie - Gharbi -, permettent désormais de mieux comprendre les stratégies, les méthodes, l’organisation, les activités de ces établissements outre-mer.
Ils ont contribué à la « modernisation » de cet outre-mer maghrébin en y diffusant des outils modernes de crédit, en élargissant sensiblement les débouchés des productions agricoles, en contribuant à l’essaimage d’un système de production semi-industriel. En revanche, leurs clientèles ont été constituées sensiblement parmi les entreprises venues d’Europe, l’appareil d’État, les populations et producteurs issus des migrations européennes ; leur engagement dans le « développement » des producteurs et des commerçants autochtones a été limité en direct - même si l’on peut prétendre que, indirectement, leur action a permis de multiplier l’emploi rural ou citadin.
C’est donc la « logique » de croissance de ces banques qu’il faut reconstituer afin de déterminer si elles contribuent à aggraver « le rapport inégal » ou si elles ont été véritablement des leviers de modernisation et de développement.
Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : conditions économiques, colonies (administration), algérie (1945-1962), banques (algérie), politique économique
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014 - Les banques et l’Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Les banques et l’Algérie : mise en valeur impériale ou exploitation impérialiste ? par Hubert Bonin (Institut d’études politiques, Bordeaux)Le soubassement économique : session thématique (prés. René Gallissot)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Nos études sur le déploiement de la Compagnie algérienne, du Crédit foncier d’Algérie & de Tunisie, de la Société générale, du Crédit lyonnais et du Comptoir national d’escompte de Paris en Afrique du Nord, qui ont prolongé les analyses effectuées sur diverses maisons au Maroc - Guillen - ou en Tunisie - Gharbi -, permettent désormais de mieux comprendre les stratégies, les méthodes, l’organisation, les activités de ces établissements outre-mer. Ils ont contribué à la « modernisation » de cet outre-mer maghrébin en y diffusant des outils modernes de crédit, en élargissant sensiblement les débouchés des productions agricoles, en contribuant à l’essaimage d’un système de production semi-industriel. En revanche, leurs clientèles ont été constituées sensiblement parmi les entreprises venues d’Europe, l’appareil d’État, les populations et producteurs issus des migrations européennes ; leur engagement dans le « développement » des producteurs et des commerçants autochtones a été limité en direct - même si l’on peut prétendre que, indirectement, leur action a permis de multiplier l’emploi rural ou citadin.C’est donc la « logique » de croissance de ces banques qu’il faut reconstituer afin de déterminer si elles contribuent à aggraver « le rapport inégal » ou si elles ont été véritablement des leviers de modernisation et de développement. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1945-1962), banques (algérie), colonies (administration), conditions économiques, politique économique
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De la crise grecque à l'union bancaire européenne
/ 19-02-2013
/ Canal-u.fr
ECHINARD Yann
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Si la zone euro a connu une crise saillante de ses finances
publiques à partir de fin 2009, la zone euro a également connu, et
continue de connaître une crise de son système bancaire.
Du fait d’une surexposition aux risques et de l’existence de
superviseurs nationaux pleinement souverains, et afin d’éviter une crise
systémique, de nombreuses banques ont été directement soutenues par des
aides publiques, ont été nationalisées, ont bénéficié de soutiens
financiers européens via le FESF et le MES.
La banque centrale européenne a également joué un rôle non
négligeable de résolution de crise puisqu’elle s’est substituée au
marché interbancaire afin d’éviter l’effondrement de ce dernier. Face à
l’étendue de la crise, l’Espagne entrant à son tour dans la danse durant
l’été 2012, la création d’une union bancaire européenne a été décidée
au Conseil européen de décembre dernier. Cette union fonctionnera à
partir de 2014.
Si cette union permet de renforcer la gouvernance économique
européenne, rend davantage responsable la banque centrale européenne
(garantir la stabilité monétaire mais aussi la stabilité financière),
cette union peut aussi être analysée comme une union trompe-l’œil. Le
volontarisme politique n’est pas encore pleinement au rendez-vous. Mot(s) clés libre(s) : Grèce, Union européenne (politique économique), crise économique (Europe), banques, crise grecque
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