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Le lexique de la violence dans l'oeuvre de Spinoza
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Pierre-François
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéPierre-François Moreau fonde sa réflexion sur les deux traités de Spinoza : le traité théologico-politique (1670), qui se présente comme un pamphlet visant à résoudre la question de savoir s'il faut accorder la liberté de philosopher ; le traité politique (1677), qui se présente comme un traité dogmatique sur l'Etat et son fonctionnement. La liberté de philosopher est-elle utile ou nuisible à la piété et à la sécurité de l'Etat ? Il analyse ensuite la question de la sécurité de l'Etat et la théorie du pacte à l'origine de l'Etat, chez Hobbes et chez Spinoza, avant d'en venir au lexique de la violence chez Spinoza. Le pacte, le contrat social suffit-il à endiguer les violences de l'état de nature ?Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Baruch Spinoza, philosophie, Tractatus politicus, Tractatus theologico-politicus, violence
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Finalité et biologie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU Pierre-François
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par Pierre-François MoreauColloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession L'implicite des représentations scientifiques "La représentation du vivant est depuis longtemps le lieu privilégié des idéologies finalistes, et, réciproquement, les différentes versions de l'idée de finalité ont longtemps semblé indispensables pour comprendre la spécificité de la vie. Elles ont en même temps servi de vecteur pour exporter hors de la connaissance de la vie un certain nombre de caractéristiques spécifiques de cette dernière et que l'on a cru pouvoir appliquer aux sciences de la nature ou de la société. Elles se sont souvent appuyées sur la communication entre les deux dimensions indiquées (en français et dans d'autres langues) par le double sens du mot vie : biologique et biographique.Toutefois, des courants philosophiques minoritaires, que l'on peut indiquer par les noms d'Epicure, Lucrèce ou Spinoza, ont tenté de représenter le vivant hors de ce complexe d'idées et d'images."(P.-F. Moreau)Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Baruch Spinoza (1632-1677) -- Contribution au concept de vie, Biologie -- Philosophie, Épicure (0341-0270 av. J.-C.) -- Contribution au concept de vie, Lucrèce (0098?-0055 av. J.-C.) -- Contribution au concept de vie, Sciences -- Philosophie, Théories du
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« Erreur et estonnement » (Essais II, 30) : de Montaigne à Spinoza / Raffaele Carbone
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-12-2014
/ Canal-u.fr
CARBONE Raffaele
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« Erreur et estonnement » (Essais II, 30) : de Montaigne à Spinoza / Raffaele Carbone, in "L'erreur chez Montaigne colloque", organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 6 : Enjeux et perspectives philosophiques.Les
Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire
des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie »,
« erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses,
politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute
qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le
cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son
usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou
« populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au
mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet,
avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et
dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des
leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette
« chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et
pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre
complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592), connaissance (philosophie), vérité (épistémologie), entendement (philosophie), Baruch Spinoza (1632-1677)
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