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Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours : ouverture du colloque / Fabrice Boudjaaba, Christine Dousset, Sylvie Mouysset
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 22-03-2012
/ Canal-u.fr
MOUYSSET Sylvie, BOUDJAABA Fabrice, DOUSSET-SEIDEN Christine
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Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours : ouverture du colloque / Fabrice Boudjaaba, Christine Dousset, Sylvie Mouysset, in colloque international organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne: histoire des sociétés du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse, Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012.[Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les 1er et 2 décembre 2011].
Le colloque "Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours" a pour objectif de s’attacher à l’étude des liens fraternels dans une perspective historique de longue durée.Même si les travaux sur les différents
liens familiaux se sont multipliés ces
dernières années, qu'il s'agisse par exemple de la relation grands- parents /
petits-enfants (V. Gourdon, 2001), ou
encore de la relation avunculaire (M.
Trévisi, 2008), et si les fratries elles-mêmes ont donné lieu à un certain nombre de publications récentes (D.
Lett en 2004 ; M. Oris en 2007...), la relation entre frères et
soeurs n'a pas encore fait l'objet d'une
grande enquête ni d'un travail de recherche qui lui soit spécifiquement dédié. Cette lacune s'explique aisément tant du
point de vue des historiens des
populations que des historiens du social. Les premiers comme les seconds ont, en effet, toujours montré plus
d'intérêt pour les relations intergénérationnelles au sein des familles que
pour les relations de collatéralité. Cette orientation s'explique en partie
pour les uns par le prisme des sources
et par certaines options problématiques pour les autres. Les historiens démographes
français, promoteurs de la technique de reconstitution des familles, comme les
historiens utilisateurs de généalogies ont, en effet, été souvent conduits à considérer la famille de manière
verticale, qu'ils s'intéressent à la
reproduction des familles ou à la
transmission lignagère des valeurs
matérielles et symboliques au sein de la famille. Les historiens du social, quant à eux, très
intéressés par la question de la
reproduction sociale, ont souvent mis l'accent sur l'analyse des
destins comparés des pères et des fils,
au moment du mariage par exemple, ce qui renvoie à nouveau à une relation
verticale au sein de la famille.Pourtant, la prise en compte de la
complexité des processus de reproduction
sociale conduit inévitablement les historiens à s'intéresser davantage aux relations de collatéralité. A
titre d'exemple, les travaux sur les systèmes de partage, égalitaire comme inégalitaire, et sur les processus
de transmission successorale, sont de plus en plus attentifs à la question de la dimension et de la composition
des fratries, éléments qui sont au moins
aussi déterminants que les règles d'héritage. La connaissance de cet
environnement familial semble indispensable à la compréhension du destin de chaque individu. Du point de vue de
la reproduction sociale, la fratrie
apparaît également comme une échelle très pertinente pour analyser et comparer
les destins professionnels, car frères et sœurs (à la différence de pères et fils) affrontent des
situations et des contextes socioéconomiques
proches, sinon semblables, du fait de leur proximité d'âge. Sur le plan de l'histoire des sentiments familiaux,
que le développement des études sur les
écrits du for privé a considérablement fait progresser ces dernières années (F.-J. Ruggiu, S. Mouysset),
la relation frères/sœurs est également une échelle d'observation très intéressante : à l'inverse des relations parents/enfants,
elle s'inscrit dans un cadre moins contraint par des obligations de pouvoir et
d'obéissance au sein de la famille. De
leur côté, les psychologues ont également beaucoup travaillé ces
dernières années sur « l'expérience
fraternelle » (J.-P. Almodovar, 1981).L'ambition
de ce double colloque est de proposer une approche très large de la fratrie, aussi bien sur le plan
géographique que thématique, du Moyen
Âge à nos jours, pour comprendre à la fois la spécificité de ce lien dans
l'ensemble des relations familiales et la diversité de ses formes selon les époques et les espaces (Europe au
sens large et Amérique). Mot(s) clés libre(s) : relations frères-soeurs, sociologie de la famille, relations entre frères, famille (aspect historique), fratricide, fratrie (dans la littérature), frères et soeurs dans la Bible
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Apocalypse, tomorrow : regards sur la naissance de l’Apocalyptique
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 03-03-2004
/ Canal-U - OAI Archive
CAMBRONNE Patrice
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La littérature apocalyptique trouve son origine dans l’Antiquité : le peuple juif sous domination grecque trouve dans l’apocalyptique un moyen de défense. Il s’agissait de faire résistance aux influences grecques et de maintenir l’identité juive. A cette époque, l’apocalyptique se définissait comme un cheminement dont le terme était la « déchirure » du voile des cieux. C’est donc avant tout un peu de la lumière de la fin qui est accordée et cette lumière porte l'espérance. Dans les siècles suivants, cette lecture perd son sens originel et original, et s’ouvre sur une théologie symbolique : elle prend la valeur de catastrophe finale, de phase ultime de l’histoire. Le livre de Daniel est le premier livre biblique à marquer cette distinction et à répondre à la perfection à ce modèle apocalyptique.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2003-2004 sur le thème "Demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : bible, bible. A. T..Daniel, littérature apocalyptique, littérature hébraique, prophéties, temps
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Croyances et messianisme
/ Mission 2000 en France
/ 28-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BIRMAN Claude
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Le messianisme est une croyance dont la compréhension suppose d'en considérer l'origine, le développement, et l'actualité. Son origine historique est un rite d'onction, c'est-à-dire l'acte de verser de l'huile sur la tête du nouveau roi, attesté dans les sociétés du Proche-Orient antique, il y a 3000 ans. Il s'apparente aux libations d'huile en général. L'huile adoucit, protège, réchauffe, nourrit, éclaire. Le roi assure la paix, la paix civile, la prospérité, la civilisation, la culture, c'est-à-dire le bien du peuple qui lui confie le pouvoir. Repris par les Hébreux ( I Samuel 2,35), ce rite est sublimé par le monothéisme : l'onction du roi d'Israël par le dieu d'Israëll ne concerne plus le seul bien d'un peuple particulier, mais, par la conservation du peuple de l'Alliance du Sinaï, la présence au monde d'un message de paix à toute l'humanité. C'est en ce sens que les prophètes bibliques l'ont compris, associant toujours l'espoir d'un nécessaire renouveau d'Israël, après ses désastres nationaux, avec l'exigence d'une paix mondiale et d'une unification fraternelle des hommes. Cet esprit d'universalité, développé et cultivé depuis 2000 ans par le Judaïsme, le Christianisme et l'Islam, non sans consonances avec nombre d'autres spiritualités, est sans doute aujourd'hui celui de la Charte des Nations-Unies. Mot(s) clés libre(s) : Bible, messianisme, messianisme juif, Messie, prophète, religion
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Moïse dans tous ses états
/ 05-10-2015
/ Canal-u.fr
ATTIAS Jean-Chistophe
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Selon la tradition, Moïse aurait écrit les cinq premiers livres de la Bible. Il s’y dépeint de façon surprenante : avec et contre Dieu ; avec et contre son peuple ; porteur des Tables de la Loi, qu’il brise ; prophète bègue, guide vers une Terre promise dont l’entrée lui reste interdite, mort dont nul ne connaît le tombeau... De quoi dérouter celles et ceux qui s’imaginent Moïse taillé d’un bloc, d’autant qu’il est aussi revendiqué et réinventé par le christianisme et par l’islam. Sans oublier Freud, la psychanalyse et le cinéma.
Au fil d’une série de portraits possibles, Jean-Christophe Attias suit les métamorphoses, dans les textes et à travers les âges, du libérateur des Hébreux. Et il y découvre un Moïse fragile, maître d’un judaïsme de l’esprit, de l’errance et de l’inachèvement. Mot(s) clés libre(s) : christianisme, bible, Islam, judaïsme, Dieu, Moïse
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Pourquoi, comment Jean Chrysostome a-t-il prononcé
cinq homélies sur la mère de Samuel ?
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre des Jeudis du LEM, la conférence de Catherine Broc-Schmezer (Univ. Bordeaux III/LEM) porte sur le thème « Pourquoi, comment Jean Chrysostome a-t-il prononcé cinq homélies sur la mère de Samuel ?» Mot(s) clés libre(s) : bible
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Les manuscrits de la mer Morte. Perspectives historiques et bibliques
/ Canal-u.fr
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Leçon de rentrée par M. Langlois, Maître de Conférences en Ancien Testament, Membre de l'Institut Universitaire de France : "Les manuscrits de la mer Morte. Perspectives historiques et bibliques" dans le cadre de la séance de rentrée de la Faculté de Théologie protestante de Strasbourg. Mot(s) clés libre(s) : bible, Manuscrits, protestant
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